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Des mamelles, des mamelles !

Amateur de soumission et de fessée, j'aime qu'une dame mûre me pouponne comme son bébé et je rêve d'être nourri au sein par une maman aux opulentes mamelles.

Proposée le 3/03/2023 par rpic32

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Thème: Homme soumis
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Chez les musulmans, allaiter un adulte est considéré, dit-on, comme un acte de charité. De quoi me convertir à l'islam... si ça me garantissait un bon repas, collé directement à la mamelle d'une belle femme, charitable et attentionnée.

Des mamelles, des mamelles ! Voici mon histoire : la première partie est entièrement véridique. Quant à la seconde... hélas !

Je visite régulièrement une dame ouverte et attentionnée, qui tient une maison de passe spécialisée ; ses petites protégées, en plus du sexe habituel, offrent aussi la domination, soft ou hard, jusqu'à fouetter au sang, soulager leur vessie sur le soumis (uro, golden shower) ou se fendre d'une grosse tarte de caca tout frais tout mou sur son visage (scatophilie, toilet training).

Mais je préfère de beaucoup m'adresser à Liane, la dame de la maison elle-même. J'adore qu'on me pouponne comme un bébé : couche de caoutchouc, tétée simulée, biberon de lait chaud, etc. Mais j'ai toujours rêvé d'une véritable tétée où ma maman me nourrirait de son lait, directement accroché à sa mamelle : hélas je n'ai jamais trouvé... jusqu'à aujourd'hui, nous en reparlerons plus loin.

Je suis un petit chenapan, malcommode et effronté, et maman doit régulièrement me donner la fessée sur ses genoux, ou parfois même le fouet. En d'autres mots, j'ai besoin d'une maman à la fois aimante et sévère. Vous comprenez donc pourquoi je préfère de beaucoup les dames à la vaste expérience, plus âgées, plutôt que les jeunettes, parfois surprises : c'est fort désagréable de justifier ou d'expliquer ses demandes à la demoiselle devant qui on se déshabille. Aussi, j'adore les poitrines opulentes qui montrent du vécu, lentement allongées par la gravité. Lourdes mamelles qui pendent, je rêve à vous depuis toujours !

Cela ne m'empêche pas de ressentir de violents besoins de cunnilingus et d'anulingus. Ah ! la douce sensation d'une solide paire de fesses assises sur votre visage ! Il reste toujours un peu du délicieux parfum et un léger goût poivré de merde qui comblent mon besoin d'abjection. Ah ! nettoyer et lustrer l'intimité de la dame pendant qu'elle vous masturbe allègrement !

Voici, pour bien me faire connaître, le dernier scénario envoyé à la dame qui occupe toutes mes pensées : cette fois-là j'avais surtout un pressant besoin d'être corrigé par une main ferme et intraitable.
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Chère Liane,

Je vous donnerai 150 € pour 1h30 (200 € s'il y a amplement de matière entre les fesses), pour jouer à la maîtresse sadique et intraitable qui adore humilier les hommes, les soumettre, les dresser à sa main, les forcer à boire son pipi et goûter sa merde.
Je rêve cette fois-ci de rien n'avoir à demander, d'être mené à la baguette comme un méchant garnement, rudoyé, maltraité, insulté, fouetté.

Voici comment ça pourrait se passer, mais maîtresse Liane décide.

Maîtresse me reçoit en tenue érotique : blouse noire transparente sur un soutien-gorge ouvert (cupless) qui offre et laisse retomber le sein : rien de plus excitant qu'une lourde mamelle qui pend d'un soutien-gorge trop petit !

Porte-jarretelles, bas noirs diaphanes et talons hauts ou encore mieux, adorables petits bottillons sexy.

Maîtresse me fait embrasser la couche de caoutchouc, me l'étire sur le visage, me la met sur la tête comme une cagoule en riant, puis l'installe en jouant avec mon pénis. Je devrai la porter toute la séance en guise de soumission ; maîtresse l'abaissera pour les coups qui peuvent déchirer mais la laissera parfois pour les trois ou quatre fessées à la main ou à la baguette de plastique.

Longs baisers, très profonds, bien baveux, pour commencer cette rencontre.

Maîtresse défend sévèrement de la toucher sans permission.

Maîtresse m'oblige à sentir ses petites culottes sales, les embrasser, les goûter ; l'idéal : une culotte large, en coton, blanche ou rose, portée plusieurs jours (à la fin, elle s'est essuyée avec, y laissant d'épaisses trainées marron).

Maîtresse se retourne et se penche pour exhiber la merde autour de son anus et m'envoyer son puissant parfum. J'en profite pour agripper ses mamelles, ce qui la met dans une colère noire et la fête commence : cagoule ou bâillon avec la petite culotte sale, fessée sur les genoux (si je crie ou cherche à m'échapper maîtresse me retient de force et tape encore plus fort). Safeword : ASSEZ ! mais à chaque fois maîtresse rajoute autant de coups, encore plus vite et plus fort, pour se défouler d'être interrompue. Martinet sur les fesses et le dos, ceinture de cuir et canne sur les fesses. Oui, des marques sur les fesses : je repartirai le derrière en feu et ressentirai de la difficulté à m'asseoir un jour ou deux.

Massage de la prostate ; enculage profond ; vigoureuse sodomie, maîtresse pousse à fond.

Maîtresse me pisse dans la bouche, la chatte carrément plaquée sur ma bouche ouverte, couché sur le dos. Si j'en laisse échapper, longue fessée, puis maîtresse termine de me nourrir de son pipi au biberon comme un bébé.

Maîtresse réclame sa jouissance. Il me faut brouter son minou longuement, dans sa position favorite, attentif à ses directives : seul son plaisir compte. Je devrai laper tout le précieux nectar qu'elle répand abondamment dans ses violents orgasmes.

Face-sitting avec ordre de lécher la merde autour de l'anus ; tant mieux s'il y en a trop, j'en aurai plein la face puis la permission d'en enlever avec du Sopalin. Maîtresse dilate son anus et je pousse la langue au plus profond de son intimité. À la fois sucré et légèrement épicé. Fabuleux ! On y garderait sa langue toute la journée ! Des fesses, des fesses, des fesses !

Tous deux dans la douche, nous nous savonnons mutuellement, heureux et enfin apaisés.

Couchés côte-à-côte, nous jasons tendrement pendant que je m'amuse avec les adorables mamelles.
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Mais revenons à la magnifique surprise que maman Liane me fait dans son dernier courriel.

De maman Liane :

J'ai rencontré une jeune femme que bébé Jeannot apprécierait beaucoup. Jolie, 1m78, une peu ronde, 100 kg, avec d'énormes mamelles qui lui descendent jusqu'au nombril, comme bébé Jeannot a toujours rêvé de caresser et d'embrasser. Son mari et son bébé sont récemment décédés dans un accident de la route ; elle a beaucoup de lait, sa poitrine a beaucoup grossi, est devenue douloureuse, et elle a vraiment besoin d'argent. Elle serait donc prête à rencontrer bébé Jeannot et lui donner le sein. Elle ne sait pas encore si elle pourrait aller plus loin pour la satisfaction complète de bébé. Vous seriez prêt à donner jusqu'à combien pour une tétée d'une heure directement à la mamelle ?


De bébé Jeannot :

À qui ces adorables mamelles bien dodues ? À bébé Jeannot !

J'offre 150 € pour téter tout le lait que je pourrai tirer à la source durant une heure. Il faudra que nous soyons couchés côte-à-côte dans une position confortable qui me permette d'agripper la mamelle à deux mains. La tétée terminée, maman fait passer le rot.

200 € au total si je peux pratiquer ensuite un bon cunnilingus suivi d'un long anulingus pendant que ma nouvelle maman masturberait son bébé.

J'offre aussi 150 € / jour pour vivre quelques semaines chez ma nouvelle maman, où je me nourrirai exclusivement de son délicieux lait, quatre ou cinq tétées par jour ; ou mieux encore, buffet à volonté, la mamelle toujours accessible. C'est coûteux à la longue, mais songez à tout ce qu'on économise sur l'épicerie, la boucherie et le vin.

200 € au total si elle veut bien s'occuper aussi d'apaiser ma libido qui ne manquera pas d'exploser, ne serait-qu'en masturbant bébé : je m'imagine en ressentir un urgent besoin à chaque tétée.

Bébé Jeannot a terriblement hâte de rencontrer sa nouvelle maman, et il doit se masturber sur-le-champ pour calmer la tension douloureuse qui s'empare de son membre juste à la pensée du bon lait si riche, si nourrissant et de son merveilleux contenant !
Des mamelles, des mamelles, des mamelles !

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