Balade en campagne

En cette fin du mois de mai et par une belle et chaude journée ensoleillée nous avions décidé avec Mathilde d’aller faire une petite balade en campagne. Les premiers rayons de soleil dans une clairière nous ont inspiré et apparemment pas que nous...

Proposée le 27/02/2023 par JMPR04

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie

En cette fin du mois de mai et par une belle et chaude journée ensoleillée nous avions décidé avec Mathilde d’aller faire une petite balade en campagne. Le temps étant déjà estival Mathilde avait enfilé une petite robe courte et légère à bretelle. Soucieuse de ne pas avoir de marque de bronzage sur les épaules, Mathilde avait fait glisser les bretelles de sa robe le long de ses bras, mettant ainsi son cou et ses épaules en valeurs. Ses seins retenaient sa robe. Toutefois, lors de certains passages et mouvements ladite robe semblait se montrer récalcitrante à bien vouloir cacher sa poitrine généreuse et que j’aimais tant admirer caresser, lécher…

Sa robe assez courte mettait en valeur ses longues jambes fines et douces qui également réclamaient à pouvoir bénéficier des premiers rayons de soleil. Nous promenant dans des chemins assez vallonnés, je me permettais de ralentir dans certaines montées pour mieux admirer ses jambes et apercevoir sa petite culotte à dentelle blanche qui enveloppait des fesses que j’aimais tellement claquer tant avec mes mains que mon sexe. Mathilde semblait avoir compris mon petit jeu et chaque passage un plus abrupte, elle avait une petite tendance à accélérer et à se pencher en avant pour mieux “attaquer la pente” et surtout pour mieux me satisfaire. Arrivée en haut, elle se retournait vers moi, se penchait en avant les mains sur les genoux comme pour reprendre son souffle afin que j’admire ses seins sur lesquels quelques gouttes de sueur venaient couler.

Lorsque nous arrivions à un panorama, Mathilde s'arrêtait pour admirer le paysage, elle se redressait, se cambrait et dans un geste innocent, posait ses mains sur ses hanches tout en faisant remonter sa robe juste à la limite de ses fesses. Son regard sur mon entrejambe ne laissait aucun doute sur ses intentions et la grosseur de mon sexe qui commençait s’impatienter d’entrée en action trahissait ma folle enive de la prendre sur le bord du chemin.

Après une bonne heure et demi de marche et de ce petit jeu, nous arrivons dans une petite clairière, l’endroit idéal pour faire une petite pause. Nous nous posons côte à côte assis sur un tronc d’arbre. Mathilde remonte sa robe au plus haut pour laisser entrevoir son sexe à travers sa culotte. Penchée un peu en arrière, elle semble vouloir s’offrir à moi. Toujours en silence, je résiste à la tentation…j’aime tellement quand c’est elle qui se propose “pour être ma salope”, j’aime tellement quand elle cherche à m’exciter.

Je tente de me concentrer sur la chaleur des rayons du soleil, sur les odeurs de cette campagne luxuriante, sur le chant des oiseaux…mais mon sexe dur me rappelle au jeu qui se trame autour de moi.

Brusquement, sans me regarder, naturellement Mathilde enlève sa culotte et me la jette à mes pieds, elle s’allume une cigarette qu’elle tient dans sa main gauche alors que de sa main droite ses doigts écartés passent dans un pubis délicatement dessiné. Le plus simplement du monde en inspirant sa cigarette, d’un doigt elle masse délicatement son clito. Le plaisir que lui procure un geste aussi doux que lent se traduit par des petits soupirs lorsqu’elle expire sa cigarette. Un doigt, puis deux s’occupent très délicatement de son sexe au rythme que la cigarette se consume.

Sous mes airs de promeneur en admiration de la nature, je ne rate aucun de ses mouvements, de ses soupirs. La cyprine commence à faire luire sa chatte; Elle passe ses doigts le long de ses lèvres qui mouille de plus en plus.
La cigarette écrasée, Mathilde descend le haut de sa robe sur ses hanches et m’offre le plaisir de profiter de cette généreuse poitrine dont les tétons pointent déjà de plaisirs.

Je n’ai qu’une envie : la Baiser; Je n’ai qu’un objectif : résister le plus longtemps possible afin de voir jusqu’où elle peut aller dans la provocation et surtout pour que je la défonce à la hauteur de mon excitation. Je commence à me demander par quoi je vais commencer : lui bouffer les seins ? la chatte ? ou bien directement un grand coup de bite ? Mathilde aime bien les grands coups de bite directs dans de telles situations. Mais moi j’aime le gout de son sexe. J’aime la faire jouir à l’extérieur avant de terminer avec ma bite. J’aime la pousser à bout, j’aime quand elle se comporte comme un mec après le sexe : pas de calin, juste une clope pour profiter de l’adrénaline que l’intensité du moment à sucité.

- Bon ! Tu me la sors ta bite ! J’ai envie de te sucer ! Viens te mettre devant moi que je te fasse jouir un peu

Sans me précipiter afin de ne pas trahir mon excitation, je me lève et commence à dégrafer ma braguette. Mon sexe déjà bien gonflé sors rapidement de sa jole pour se présenter devant son visage. Mathilde sourit de contentement; Elle s’allume une nouvelle cigarette et laissant pour quelques instants sa vulve, elle commence par me passer les ongles sur mon pubis. De sa main qui tient sa cigarette, elle commence à effleurer ma bite. Ses yeux fixe les miens avec un certains sadisme et un sourire jouissif lorsque voulant aspirer une taffe de sa cigarette, elle fait passer le bout incandescent de sa cigarette à quelques millimètres de mon sexe. Son petit jeu pervers dure le temps de sa cigarette, une main massant doucement, délicatement mes couilles et à chaque taffe le bout de la cigarette qui me met en tension, l’incitant à serrer un peu plus mes boules pour bien me faire comprendre que c’est elle qui domine, qu’elle a le pouvoir de me faire mal ou de me faire jouir. A chaque expiration, Mathilde soupire de sadisme, de plaisir. Et en même temps, elle sait que son jeu va l’amener à en prendre plein le cul, la chatte, la bouche…bref je vais la défoncer

Puis, après avoir écrasé sa cigarette, Mathilde commence à passer sa langue sur le bout de mon gland tout en continuant à jouer avec mes boules. Instinctivement j'agrippe ses cheveux pour mieux maîtriser ses mouvements. Elle se recule pour me donner une claque sur le sexe. Par réflexe, je me plie en deux et recule d'un pas.

- Les mains dans le dos !! Pour l’instant c’est moi qui joue; Après tu feras ce que tu voudras de moi !!

Cette dernière phrase n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd et je ne vais pas l’oublier ma chérie !!

Comme un soldat au garde à vous, je m'exécute et croise les bras dans le dos et laisse Mathilde s’occuper de mon attirail. A la fois excitant et frustrant, j’adore le fait qu’elle prenne son temps et pourtant j’ai envie de lui foutre ma bite au fond de la gorge. Cette tension est à la fois une torture et un plaisir extrème. Mathilde s’amuse à mouiller au maximum ma queue, elle alterne entre des petits coups de langue qui partent de mes couilles et remontent jusqu’au gland puis engloutit ma bite le plus profondément possible avec des grands coups de tête. A certains moments, ses deux mains etreignent ma bite et la branle avec une intensité folle. Son excitation est telle que son rire en devient aussi sadique que les méchants dans les films de super-héros. Elle aime me tenir au piège dans l’attente que j’explose.

Après m’avoir léché, caressé, pompé, Mathilde prend un peu de recul et s’allonge sur le tronc d'arbre où elle était assise. Elle place une jambe de chaque côté du tronc.

- Bouffe moi la chatte pendant que je continue à te sucer

M'exécutant j'enjambe sa tête et lui place mes couilles devant la bouche, mes doigts écartent sa vulve et ma langue s’engouffre passionnément dans cette chatte peine de foutre que je voulais tant goûter. L’odeur de sa chatte, la cyprine sur ma langue, les mouvements de sa bouche sur mon sexe me rende dingue. Si je pouvais maintenant la retourner et la baiser.
Mathilde a de plus en plus de mal à me sucer, tellement elle prend du plaisir à se faire lécher la chatte. J’alterne entre des mouvements lents et appuyés sur son clito, des coups de langues sur ses lèvres et de temps en temps je la doigte avec plus ou moins d’intensité. Mathilde a abandonné ma bite et mes couilles, elle se laisse porter par son propre plaisir. De temps en temps, elle prend ma tête pour guider le rythme de mes coups de langue. Au fur et à mesure de ma progression autour et dans son sexe, les soupirs se sont transformés en petits râles, en petits cris.

Sauf que ma queue se sent seule, abandonnée depuis que Mathilde navigue sur son océan de plaisirs. Brusquement et d'un geste presque bestial je redresse Mathilde et la plaque contre un arbre. J’empoigne sa robe roulée autour de ses hanches et la décolle du sol pour la faire reculer. Ses mains s’appuient sur l’arbre tandis que d’une grande claque sur les fesses je lui signifie d’écarter les cuisses. Mathilde s'exécute dans un petit cri de douleur. Elle m’offre sa chatte et son cul ruisselant et illuminé par les rayons du soleil. Je passe ma main sur sa chatte trempée et avec mes doigts ainsi mouillés je les fais tourner doucement autour de son cul et les introduisant doucement, petit à petit….

Euh ! Non ! Enfin oui mais pas trop
Pourtant tu aimes que je te titille la rondelle !!
humm, Euh oui..un peu peur…hum !! oh !! vas-y oh !! non !! Si vas-y mais pas trop
Tu veux quoi !!! Que je te baise ou qu’on se promène comme deux vieux !!!
Vas-y baise moi !!! Traite moi comme une salope

Je continue à jouer sur sa peur en jouant avec sa rondelle et passant ma main et ma bite régulièrement. Je sais qu’à la fois, il y a une peur à se faire défoncer le cul chez elle et en même temps elle aime se mélange de douleurs et de plaisirs. Alors j’insiste un peu toujours à la limite de sa peur et de son envie qu’on l’explore plus en profondeur. Elle se sait complètement soumise, piégée à cet instant.

Après quelques minutes de ce jeu qui contribue à la faire monter en tension, je m’agenouille et recommence à lui lécher la chatte à lui mordiller les lèvres, je les aspire dans ma bouche et les mordilles. Face à son plaisir grandissant, les jambes de Mathilde semblent ne plus la tenir.

- Vas-y viens !! Prends moi !! Baise moi !!

A cet instant, je n’ai plus qu’une envie : c’est de lui donner de grands coups contre cet arbre. En me redressant, je vois face à moi un homme d’une quarantaine d'années qui également avait l’idée de profiter du soleil pour faire une balade. Apparemment, il ne profitait pas que du soleil et cela depuis un bout de temps à voir la queue dure qu’il tenait entre ses mains.

- Mathilde perçoit l’interruption de mon geste.
- Qu’est ce qu’il y a ?
- Juste devant nous

Mathilde voit l’homme en train de se masturber devant nos ébats. A la fois, nous sommes troublés par ce voyeur et une forte excitation émerge de cette situation surprise.

- Continue merde !! J’ai trop envie que tu me baises et si ça l’amuse de nous regarder en se branlant, ben qu’il le fasse !!

A la fois d’accord avec elle, j’ai quand même sur le coup envie d’exhiber la beauté de cette femme que je saute régulièrement. J’ai envie de montrer mon trophée. J’ai envie de lui montrer à ce branleur/voyeur ce que moi je fais. Et en même temps j’ai envie de montrer à Mathilde qu’elle est à moi, que je suis son maître, qu’elle est ma salope.

Brutalement, je prends Mathilde par les cheveux et la redresse devant moi, ma bite se collant à son cul. Je la décale un peu de l’arbre afin que notre mateur la voit nue dans son intégralité. Tout en lui tenant les cheveux d’une main, je la doigte de l’autre et l’embrasse dans le cou tout en fixant notre invité.

- Fixe le et caresse toi les seins !!!
- il va pas tenir longtemps le pauvre garçon…dit elle en rigolant
- M’en fou !! Vas y fais tes petits cris de jouissance en plus !! pour bien lui montrer que tu prends ton pied

Mathilde s'exécute, elle empoigne ses seins et face à mes coups de doigts, elle accompagne de petits cris de plaisirs ses trémoussements.

Face à nos provocations, l’homme s’enhardit et sort de sa cachette et s’approche de nous toujours en jouant avec sa queue. Au regard de sa tenue, l’homme devait être un de faire un footing; Il avait extirpé sa bite d’un côté de son short pour se branler. Il est à quelques mètres de nous et continue à nous observer alors que Mathilde commence à se pencher en avant pour que je commence à la piner. Et pourtant, je ne m'exécute pas. Au contraire, je tire sur ses cheveux pour la redressai et je me recule un peu

- Bouges, danses, caresses toi la chatte !!! Fait le jouir ce con
- tu joues à quoi ?
- Vas y excites le !!
- Ok tu veux jouer ?? Mais s' il vient pour me baiser ??

Il est vrai que nous n’avions jamais vraiment été confronté à cette situation. Nous aimions provoquer, prendre des risques mais nous n’étions pas partageur…Et pourtant là, je ne sais pas…J’avais envie de la soumettre encore un peu plus, j’avais envie de pousser les limites. Mais cela dépendait d’elle avant tout

- Au max, tu joues avec sa queue mais il ne touche pas à ta chatte et à ton cul ?
- Ok ça me va !!

Mathilde s’écarte de moi et commence à se caresser les seins, la chatte. Elle s’assoit sur le tronc d’arbre où nous étions posés et écartant les cuisses, elle se caresse de plus en plus en se penchant en arrière. Puis elle se met à genoux au sol, les cuisses écartées, se penchant en arrière, elle se doigte en prenant un plaisir intense.

- Dis donc, si tu veux te branler en regardant ma femme se faire baiser, tu pourrais assumer au lieu de le faire comme un ado attardé. Mets toi à poil pour lui faire honneur au moins !!!

L’homme s’exécute rapidement car face au mouvement de Mathilde, il ne semble plus en capacité de s'arrêter de se branler, tant sa queue le démange.

- Ah ouais quand même !! commente Mathilde, en observant ce mec pas trop mal foutu et bien membré.

- ça va !! tu vas te calmer !! Mets toi à 4 pattes dans la terre que je te baise, espèce de salope

- Serais tu jaloux ?

- Après ce que tu vas prendre tu ne te poseras plus la question !!! dis-je avec une certaine colère

-Humm!! tu te fâches, j’adore, vas y défonces moi !!

Mathilde se retrouve à 4 pattes et se cambre pour mettre son cul en valeur. D’une main je lui attrape les cheveux pendant que de l’autre je lui mets brutalement ma bite bien au fond de sa chatte trempée.

- OH OUI !!! crit elle

Les cris de Mathilde ne s'arrêtent pas et mes coups de bite sont intenses, rapides et violents…Mathilde tente d’extirper sa tête de ma main pour la poser au sol tellement elle est à bout.

Notre petit voyeur reste figé, là à quelques mètres et tente de se branler au même rythme que me coups de bite.

- T’es con ou quoi !!! Viens t'asseoir sur le tronc devant elle !! Elle va te branler

Le gars obéit à mes ordres, lui aussi est sous emprise, il ne sait plus quoi faire, pris au piège de son propre jeu. Je suppose que c’est la première fois qu’il se trouve dans une telle situation. Il vient se poster devant Mathilde qui continue à crier sous mes coups de queue. Il écarte les jambes pour lui présenter sa bite. Mathilde pose ses coudes sur les genoux de notre sportif et lui prend sa bite à deux mains, elle n’a pas besoin de bouger les mains; ce sont mes grands coups dans son cul qui font bouger l’ensemble de son corps et branle notre inconnu.

- Vas-y regarde le !!! montre-lui que tu aimes en prendre plein la chatte !!! montre lui que tu aimes être une cochonne

Mathilde le fixe dans les yeux, lui ne sait plus ce qu’il doit faire : fixer son regard ? la regarder se faire baiser ? regarder les seins gonflés de Mathilde qui oscillent au rythme de mes pénétrations ?

J'arrête mes allers et venus pour laisser ma bite bien au fond de sa chatte en faisant des petits mouvements qui l’a font gémir. J’en profite pour à nouveau écarter son cul et lui titiller la rondelle voire lui enfoncer un doigt dans le cul . Mathilde gigote de plaisir et accompagne ses petits mouvements par des petits soupirs. Elle en profite pour prendre délicatement la queue de notre compagnon d’un temps et pour lui caresser doucement du bout des doigts sa bite, ses couilles. L’homme semble aux anges, il se penche en arrière laissant Mathilde explorer avec minutie et douceur l’ensemble de ses parties génitales. Ses yeux sont fermés, il profite de l’instant au maximum.

- Suces-le !!! Lui dis je

Mathilde est dans un autre espace, un autre temps, celui du plaisir. Elle ne se pose plus de questions. Elle commence par lui lécher délicatement les couilles, pendant que je commence à lui redonner des petits coups dans la chatte. Un petite claque sur les fesses lui fait comprendre qu’elle doit engloutir cette bite inconnue au fond de sa bouche. Elle la prend à pleine bouche avec envie et onctuosité. J’accélère les mouvements et Mathilde en fait autant. Notre sportif s’est redressé et regarde avec admiration Mathilde le pomper.

Subitement, je donne un grand coup de rein à Mathilde qui ne pouvant absorber la violence du coup se retrouve avec la bite au fond de la gorge au point de s'étouffer. Je lui tiens la tête pour qu’elle subisse ces coups de plus en plus violents. Je sais qu’elle aime quand elle n’a plus prise sur ce qu’il lui arrive… Je m'arrête quelques secondes Mathilde reprend son souffle et rit nerveusement…Je repars pour une nouvelle séquence de coups de bite pour un pompage intensif pour mon collaborateur qui ne sait plus comment gérer son excitation et sa tension.

Après quelques courtes minutes de cette intense activité, je sens que Mathilde est à bout, et que notre inconnu aussi. Pour ma part, je ne suis pas loin de tout lâcher. Je me retire de Mathilde qui extrait sa bouche pour reprendre son souffle.

Je me redresse en regardant mon compagnon de baise qui m’imite comme s’il m’avait compris.

- Reste à genoux mais redresses-toi !!

Mathilde à l’habitude de cette position avec moi. Elle se met à genoux, les jambes écartées, le dos bien droit voire cambré pour mettre ses seins en évidence. Les mains sur ses cuisses, la tête bien droite, elle fait face à 2 bites prêtent à exploser.

- Vas-y termine le boulot !!

Mathilde ne sait pas trop comment s’y prendre, elle prend une bite dans chaque main et commence à nous branler.

- T’as le droit de sucer aussi !!

A tout seigneur, tout honneur, Mathilde commence à engloutir ma bite et la pompe avec douceur mais à la fois intensité. Notre compagnon prend la main de Mathilde pour accompagner son geste afin de ne pas se retrouver en reste. Mathilde se retourne vers l’autre bite et de la même manière elle la suce.

Mais très rapidement, je me rend compte que l’un comme l’autre nous tenons plus, j’ai juste le temps de reculer la tête de Mathilde pour la redresser la tête en lui demandant de mettre ses mains sur les cuisses et d’ouvrir la bouche que nous lui giclons une grande quantité de sperme sur elle.

Mathilde aime ce sentiment de maîtrise où son partenaire ne peut plus se retenir et où il ne peut que subir ce moment de relâchement physique.

Nos spermes se mélangent sur son visage et glissent le long de son cou pour atteindre ses seins. Mathilde en lèche une partie avec avidité.

Notre sportif voyeur recule, grogui, sidéré, enjoué par ce qu’il vient de se passer. Moi, je reste auprès de Mathilde qui me regarde avec un franc sourire.

- Nettoies moi la bite lui dis je doucement

Elle s’approche et délicatement elle lèche et avale les quelques gouttes de sperme sur mon sexe. Elle prend le temps comme si elle voulait profiter de ses derniers instants de ces moments forts et intenses. Mathilde me regarde avec un large sourire de contentement

- J’en peux plus, je suis crevée !!!

Je lui souris en lui demandant si cela va quand même; ses yeux toujours aussi expressifs me font savoir une réelle satisfaction.

Pendant ce temps notre sportif s’est rhabillé et repart mais en marchant : Pas de footing aujourd’hui je pense. A aucun moment nous n'avons entendu le son de sa voix.

En quelques minutes, nous nous retrouvons assis sur ce tronc d’arbre, tous les deux rhabillés et Mathilde fumant sa cigarette comme si nous venions juste de commencer notre pause après notre balade. Nous ne parlons pas et nous profitons de ses premiers rayons de soleil du mois de mai. Je me dis que l’été risque d’être chaud et prometteur.

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