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Céline et le jardinier

Les gouts pour le jardinage entrainent d'autres gouts et envies pour mon épouse et notre voisin, et j'en tire également un bénéfice. Vive le jardinage!

Proposée le 15/02/2023 par esperluette

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Céline et le jardinier

Mon épouse Céline est mordue de jardinage, elle a mis en culture un bout de terrain le long de la clôture, avec des salades, des tomates et autres.


Nous sommes un couple dans le milieu de nos cinquante ans. Céline est une belle brune aux yeux noirs encore très attirante avec une poitrine de bonne tenue, presque pas de ventre et des fesses qui attirent la main. Pour ma part je suis un peu dégarni et j’ai un peu de bide. Nous avons encore de bonnes relations sexuelles, même si la fréquence a bien diminué depuis quelque temps.


Je ne suis pas trop jardinier mais je lui prépare le terrain, à charge pour elle de semer et de planter.
Derrière la clôture, qui est un simple grillage d’un mètre, il y a un autre jardin, cultivé par Robert, un robuste sexagénaire.


Céline, qui est liante, a fait vite connaissance avec le voisin et ils sont devenus très complices en matière de jardinage.
Ils s’échangent des graines, des fleurs, des plantes à repiquer, et ils comparent leurs expériences horticoles. Quand ils se saluent ils se font la bise par dessus le grillage.


Comme elle est presque toujours vêtue d’un maillot échancré et d’une jupe en jean assez courte, je vois qu’il la regarde avec appétit, surtout quand elle se penche vers ses plantations, ses seins ont tendance à déborder du maillot et sa jupe ne cache pas beaucoup ses cuisses.
Souvent les bavardages se prolongent et je les vois rire franchement. Parfois je m’approche et je participe, Robert est très ouvert et aussi bavard que mon épouse, pour ma part je ne suis pas très causant.


L’autre jour, Céline me dit :
- Tu sais, Michel, j’ai l’impression que Robert me fait des avances.
- Ah, je ne suis pas surpris.
- Pourquoi ?
- Robert est tout seul, et tu es plutôt bien roulée pour dire vulgairement.
- quand même, c’est gênant.
- Tu devrais te sentir honorée d’être désirée comme ça.
- Ça ne te fais rien ? Tu n’es pas jaloux ?
- Jaloux pour quoi ? D’abord tu n’es pas ma propriété, et puis ce n’est pas désagréable de savoir son épouse désirée par d’autres.
Elle ne me répond pas mais je la vois un peu rêveuse.
Puis les jours passent et je ne pense plus à ce qu’elle m’a dit.


Un matin, je dois partir faire des courses, je quitte la maison, puis je m’aperçois que j’ai oublié mon portefeuille, je reviens, je rentre dans la maison, machinalement je jette un coup d’œil vers le jardin, Céline est au jardin, je vois Robert qui s’approche du grillage, elle le rejoint, et là, j’ai l’impression que ce n’est pas sur la joue qu’ils s’embrassent, mais sur les lèvres, d’ailleurs il a passé son bras autour des épaules de mon épouse et de l’autre on dirait bien qu’il lui caresse les seins. Et en voyant les mouvements du bras de Céline, je devine qu’il a passé sa bite à travers le grillage et qu’elle est en train de le branler. Puis ils se séparent, elle recule, il a dû éjaculer dans sa main car elle s’essuie avec son mouchoir, elle regarde vers la maison, j’essaie de rester dans l’ombre, elle revient en replaçant son maillot qui était remonté.


- Alors, chérie, vous avez bien progressé tous les deux !
- Ah, tu n’es pas parti ! Alors tu as tout vu ! Tu dois être en colère !
- Pourquoi ? Je t’ai déjà dit que tu fais ce que tu veux.
- C’est la première fois que je le masturbe, crois moi, il n’arrêtait pas de me dire qu’il me désirait, j’ai fini par l’écouter, on a commencé à s’embrasser par dessus le grillage, puis il m’a montré que je le faisais bander, il me montrait sa bite, j’ai commencé à mouiller et je remontais ma jupe pour lui montrer ma culotte, il se branlait en me regardant, puis c’est devenu une habitude, quand on se voyait je lui montrais ma chatte ou mon cul pour qu’il se branle. Puis enfin aujourd’hui j’ai cédé et je l’ai branlé.


- Vous ne ferez pas grand-chose de plus à travers le grillage, il va falloir que tu prennes une décision. Si tu as l’intention de continuer, évidemment !
- C’est difficile de répondre, surtout à toi. Je ne veux pas te tromper, c’est toi que j’aime.
- Tu ne me trompes pas si je suis d’accord, ma chérie. Il t’a proposé d’aller chez lui ?
- Il est comme moi, il hésite, et je crois qu’il te craint.
- Eh bien, ça peut se régler, je vais aller le voir, on va l’inviter, tu es d’accord pour aller plus loin ?
- Euh, oui, j’essaierais bien puisque tu es d’accord, essayons.


Je profitais que Robert était le dos tourné dans son jardin pour m’approcher.
- Salut, Robert, ça va ?
Il fait semblant de ne pas m’avoir entendu.
- Bonjour, Robert !
- Ah, bonjour Michel.
Il s’approche mais il ne me regarde pas en face. Je lui tends la main, il me la serre mollement.
- Comment vas tu en ce moment ?
- Bof….
- Ah, alors ça va pas fort ?
- Si, si…
- Tu voudrais pas venir prendre l’apéro ce soir ?
- Je ne sais pas.
- Tu sais, ça ferait plaisir à Céline, si tu viens.
- Tu crois ?
- Oui, et à moi aussi. Tu sais je suis au courant que tu as un faible pour Céline, alors…
- Ah ! Nous y voilà.
- Tu sais, je ne suis pas jaloux, la seule chose que je veux c’est d’être là quand tu seras avec elle.
- Qu’est ce que tu veux dire ?
- Tu m’as bien compris. Allez, à ce soir.


Céline s’est préparée fébrilement, elle a mis des sous vêtements que je lui avais offerts et qu’elle ne porte pas souvent, un soutien gorge balconnet en dentelle et un tanga assorti, des bas noirs autofixants et par dessus une robe fourreau noire mettant ses formes en valeur.

Vers dix neuf heures, nous entendons une voiture s’arrêter, c’est sans doute lui. Il faut dire que si nos jardins sont contigus, il faut faire un grand tour dans le village pour venir de sa maison à la notre. La sonnette retentit. Céline me fait signe d’y aller, elle est angoissée. Je vais ouvrir la porte, Robert arrive avec un joli bouquet de fleurs qu’il a choisi dans son jardin.


- Regarde, Céline, ce que Robert t’a apporté.
Céline s’approche.
- C’est gentil, Robert merci.
Elle passe un bras autour de son cou et l’embrasse, plutôt chastement, elle lui prend le bouquet et va le mettre dans un vase. Elle revient et emmène Robert vers le canapé. Elle s’assied au centre et nous nous installons de chaque côté d’elle. Je me relève pour aller chercher le champagne et je reviens, je sers et nous trinquons.


Pendant que nous bavardons, Robert ne quitte pas Céline des yeux, depuis ses jambes découvertes presque jusqu’au haut des bas, remontant sur sa poitrine pointant fièrement sous sa robe, puis son cou et sa bouche. Il faut dire qu’elle me fait de l’effet aussi, ma tendre épouse.
Robert a perdu son épouse six ans auparavant et il n’a pour l’instant pas retrouvé de compagne, ce qui explique son appétit pour Céline.

La bouteille de champ’ n’est bientôt plus qu’un souvenir et Céline a les yeux brillants. Je la serre contre moi et nous nous embrassons longuement, puis je me recule, je m’assieds sur un fauteuil et j’encourage Robert du regard.


A son tour il attire Céline, au début ils sont comme des collégiens et osent à peine se toucher. Puis elle s’alanguit contre lui et ils commencent à s’embrasser, timidement d’abord, puis ensuite à pleine bouche, il commence à parcourir son corps en insistant sur ses seins, elle s’est presque couchée contre lui et elle a posé un pied sur le canapé, avec son autre pied restant au sol, elle a les cuisses grandes ouvertes, sa robe est remontée et je vois sa culotte bien imbibée.

Robert lui caresse le ventre, descend sur ses jambes, sa main passe entre ses cuisses et vient se poser sur son sexe par dessus sa culotte. Il lui caresse doucement.
- Déshabille moi, Robert.
Elle se redresse pour qu’il lui ouvre sa robe fermée derrière par un zip, il lui dégage les épaules et fait tomber la robe, elle l’aide à dégrafer son soutif et elle le laisse lui enlever sa culotte. Tout le temps qu’il l’abaisse, il l’embrasse sur le pubis, les cuisses, les jambes jusqu’aux pieds.
C’est au tour de Céline de déshabiller Robert qui fait tout pour être nu aussi vite que possible.
Je vois qu’il a une bite de dimensions respectables, mais dans la normale.


Elle vient se recoller à lui, ils s’embrassent tandis qu’il lui caresse les seins. Sa poitrine pointe outrageusement sous l’excitation. Les lèvres se séparent et il vient lui sucer un sein. Sa main vient entre ses cuisses et ses doigts commencent à la pénétrer, la faisant gémir.
- Michel, tu es loin, viens près de moi.
Je me lève et je viens me rasseoir près d’elle, elle m’embrasse et me prend la main. Je lui embrasse le sein qui n’est pas pris par Robert, nous lui suçons chacun un sein, elle gémit et ronronne de plaisir. Tandis que Robert explore la chatte de Céline, je lui caresse le ventre et je descends jusqu’à son clitoris que je titille, la faisant sursauter à chaque passage. Je le sens grossir sous mes doigts pendant que Robert lui branle le vagin de plus en plus fort.


Sa respiration s’accélère et je sens sa jouissance arriver par les pressions de sa main sur la mienne.
Elle reprend doucement ses esprits et elle se lève, emmenant Robert dans la chambre en le tenant par la bite.
Je les suis tout en me déshabillant. Céline s’allonge et remonte ses jambes pour s’offrir à son amant. Robert vient entre ses jambes, il présente son gland et il la pénètre lentement, ça me fait tout drôle de la voir possédée par un autre, elle que j’ai connue vierge et timide !


Il commence à aller et venir doucement puis il prend son allure de croisière, il la besogne sur toute la longueur de sa queue, les sexes emboîtés sont brillants de cyprine, Céline fait entendre son plaisir en poussant des petits cris à chaque pénétration.
Je me masturbe doucement en les regardant. Par instants il se penche sur elle et l’embrasse, elle lui pétrit les fesses en le collant contre elle.
Il accélère sa cadence et ses coups de reins deviennent presque violents, Céline est secouée sur le lit qui couine de plus en plus fort, il souffle et grogne, il s’enfonce avant de se bloquer et il éjacule en criant son foutre au fond du vagin de mon épouse.


Ils restent l’un sur l’autre un moment sans bouger, les lèvres soudées, puis il commence à débander et il se soulève et se couche à côté de Céline. Je vois sa chatte toute épanouie et un peu de sperme qui suinte. Céline me regarde, elle sourit.
- Viens, Michel, prends moi.
A mon tour je me place entre les cuisses de mon épouse et je la pénètre, c’est à peine si je sens ma bite la pénétrer tant elle a le vagin dilaté et complètement inondé de sa cyprine et du sperme de Robert. Par contre il est bouillant.
- Vas y fort, mon chéri !


Elle m’emprisonne en nouant ses jambes autour de mes reins et en me serrant dans ses bras, elle me donne le rythme en poussant ses reins. Il y a longtemps que nous n’avions pas fait l’amour avec tant de passion, elle me donne sa bouche et m’aspire la langue.


Je vois dans ses yeux brillants le plaisir monter.
- Ah oui ! Qu’est ce que c’est bon ! Continue mon amour ! Je t’aime !
Elle me fait accélérer mon va et vient et me serre encore plus fort entre ses cuisses, elle est déchaînée comme je ne l’ai jamais connue ! Nos deux corps en sueur glissent l’un sur l’autre.
Elle crie des sons inarticulés tandis qu’elle jouit, ce qui me déclenche mon éjaculation au plus profond de son corps, la faisant crier encore plus fort.


Quand elle décide de me libérer, je me retire et je m’allonge à ses côtés. Nous prenons une pause après cette première séance tout en continuant de caresser Céline.
Nous avons peut être un peu somnolé jusqu’à ce que Céline nous secoue un peu.
- serrez vous contre moi, mes hommes au lieu de dormir.
Nous nous plaçons tout contre son corps, elle glisse une cuisse entre nos jambes et elle nous prend la bite et commence à nous branler doucement. Elle est habile notre coquine car nous ne tardons pas à bander de nouveau. La cochonne frotte nos deux bites l’une sur l’autre pendant qu’on lui visite la chatte à deux mains.


Quand elle nous juge bandés à bloc elle nous dit :
- Mes hommes, prenez moi en même temps, je veux vous avoir ensemble.
Elle se soulève et vient chevaucher Robert, elle s’empale sur son mandrin. Je m’installe derrière elle, j’ai quelques doutes sur la possibilité. Je présente mon gland contre la bite de Robert, je dois forcer un peu pour l’introduction, c’est serré mais j’arrive à entrer, la lubrification est une grande aide. Ensuite je commence à aller et venir lentement, mon sexe est bien comprimé et nous devons faire des mouvements de faible amplitude pour ne pas ressortir et de plus nous devons nous synchroniser.


- Ah ! Enfin je vous ai tous les deux ! Faites moi faire jouir, mes cochons ! Allez y plus fort !
Nous essayons de bien la pénétrer tout en allant lentement, mais elle nous fait des effets en contractant son vagin en rythme sur nos queues, nous sommes bien accordés et nous y allons de plus en plus fort, nous la défonçons à grands coups de reins, elle gueule, à ce régime nous n’allons pas durer longtemps, d’ailleurs Robert commence des mouvements désordonnés, menaçant de m’expulser et tandis qu’il grogne, je sens son sperme m’arroser mon gland, j’essaie de me retenir mais trop tard, je lâche ma semence, ce qui a pour effet de m’éjecter, les giclées suivantes s’étalent sur ses fesses et sur la bite et les couilles de Robert.
- C’était bon vos bites dans ma chatte, vous m’avez bien fait jouir, vous êtes des amours !


Nous reprenons notre souffle avant de nous séparer, enfin nous nous levons, Céline va vers la salle de bains prendre une douche, les cuisses dégoulinantes de sécrétions. Robert s’essuie avec un mouchoir avant d’aller se rhabiller, il nous quitte et me remercie.
- Quel cadeau vous m’avez fait ! Je ne l’oublierai jamais.


Je rejoins Céline dans la douche, nous nous embrassons et nous nous lavons mutuellement.
- C’est pas le tout, mais j’ai faim, déclare ma chérie, pas toi ?
Nous faisons un petit repas rapide, pizza et salade, tout nus, et nous allons nous décontracter au salon.
Au bout d’un moment nous allons nous coucher, toujours tout nus.
Je repense à ce qui s’est passé, j’en rebande rien qu’à l’idée, alors je me rapproche de mon épouse.
- Tu bandes ? Me dis pas que tu as encore envie ?
- Tu as deviné, ma chérie.
- Oui mais là, je suis un peu irritée après votre ramonage.
- Dommage pour moi.
- Tu m’as tant fait jouir que je ne peux pas te refuser, prends mon cul, il sera pour toi seul !


Surprise ! Elle avait toujours été réticente à la sodomie et voilà qu’elle me l’offrait ! Il vaut mieux que je ne loupe pas mon coup.
- Attends moi, mon coeur.
Je file chercher quelque chose de lubrifiant, je trouve un tube de pommade adoucissante et je reviens. Je la trouve en position de levrette, le cul en l’air, elle m’attend.
- va doucement mon chéri, c’est la première fois.
- Je te promets mon amour, je t’aime.


Je commence à lui étaler la pommade sur sa rosette, depuis le tour vers le centre, ensuite je lui en injecte un peu dans son petit trou avec la canule.
- c’est froid, dit elle en riant.
Pendant que je la prépare, elle m’a pris la bite pour entretenir ma bandaison. Je pousse un doigt pour l’ouvrir doucement.
- Tu me dis si je te fais mal.
- Oui, continue, ça va.
Je fais entrer mon doigt bien enrobé de pommade, elle reste bien détendue, mon doigt est complètement rentré, je le fais aller et venir, ça glisse tout seul.


- Mmmmm !, oui, continue c’est bon.
Je la branle un moment puis je retire mon doigt, je me place derrière elle et je présente mon gland, je pousse doucement, le sphincter commence à céder, le gland est entré.
- Ça va chérie ?
- Mmmm !, ça fait drôle, oui continue.


Ma queue progresse dans son fondement sans qu’elle réagisse, mon pubis est contre ses fesses, je ne peux pas aller plus loin. Je reste un moment sans bouger puis je commence à aller et venir lentement.
- Ahhh ! C’est bon, j’aime bien. Vas plus vite chéri.
J’accélère donc mon mouvement, je lui lime l’anus sur toute la longueur de ma queue, elle commence à bouger aussi, venant à la rencontre de ma bite. Elle glisse toute seule dans son fondement mais par instants elle contracte son anus, augmentant d’autant mon plaisir.
- Ouiiii ! Vas y, je ne savais pas que ce serait aussi bon !


Mon pubis claque contre ses fesses, elle se cambre encore plus pour augmenter la pénétration, nous sommes déchaînés, elle crie son plaisir et je ne tarde pas à en faire autant, et après quelques coups plus violents contre son cul, je lui injecte mon sperme au fond de ses intestins.
Je m’écroule sur elle, toujours emmanché jusqu’à la garde.


Nous sommes tous deux essoufflés et nous devons reprendre notre respiration quelques minutes.
Puis je me retire lentement de son anus qui se referme lentement.
- Ah chéri, qu’est ce que c’était bon, si différent du vaginal. Je me demande pourquoi on ne l’avait pas fait avant. J’avais des préjugés, mais ça va changer, mon cochon tu vas en profiter !
Nous nous enlaçons et nous embrassons amoureusement et longtemps jusqu’à ce que le sommeil nous gagne.


Le lendemain de ces expériences mémorables, je discute avec Céline, elle me dit qu’elle n’a jamais autant joui et qu’elle souhaite recommencer, si je suis d’accord évidemment.
Je lui dis que nous pourrons recommencer quand elle le voudra. Nous scellons notre accord par un baiser profond, suivi d’un rapport plein de douceur et de sensualité.


Je décide de pratiquer une ouverture dans la clôture, Robert me donne un coup de main pour poser des poteaux et refixer le grillage. Je confectionne un portillon en bois et nous nous mettons d’accord pour que ce soit Céline qui décide de l’ouverture de la porte.
Quand elle est ouverte, soit Robert vient à la maison, soit nous allons chez lui.
Céline a retrouvé une libido d’enfer, ce dont nous ne plaignons pas, Robert et moi.
Nous continuons tous les trois ensemble et je sais que lorsque je suis absent ils ne se gênent pas pour se rencontrer tous les deux.


D’ailleurs, elle me raconte parfois, par exemple un jour il a voulu la baiser sur sa pelouse comme il en avait l’habitude, mais il est tombé en panne d’érection, alors pour satisfaire Céline qui était très excitée, il a été cueillir un magnifique concombre chauffé au soleil et il l’a fait jouir avec.

Le concombre, tu l’as mangé lundi dernier, me dit elle en riant !


- C’est pour ça qu’il était si bon !

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
C'est très bien écrit et l'histoire est jolie ????????
Posté le 5/04/2024

beagle
Une suite où cette fois ce sont les deux hommes qui baisent serait idéale.
Posté le 2/03/2023


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