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Brûlant réveil avec Chloé

Nico, artiste installé à Paris, est rejoint au matin par la belle et jeune Chloé, dont le cours a été annulé. Elle se glisse bientôt sous des draps pour l'aider à se réveiller.

Proposée le 8/02/2023 par pascallarc

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


– Mon cours est annulé, je serai chez toi dans quinze minutes.

Je suis encore au lit mais de toute façon elle a les clés. Chloé est la fille d’un ami du lycée. Lui et sa femme habitent dans le sud. Ils possèdent une magnifique maison provençale dans le Lubéron. Je passe chaque année une partie de mes vacances estivales chez eux.

Chloé a grandi là-bas avant de venir à Paris après le bac pour continuer ses études. Elle et moi sommes restés plusieurs années sans nous voir. Mes dernières vacances avec elle avaient été pour le moins compliquées. Nous avions toujours été très complices, malgré la différence d’âge. C’était l’année du bac. Une chaude après-midi, en l’absence de ses parents, elle m’avait brusquement embrassé, me déclarant son amour. Je l’avais rejetée. Chloé l’avait très mal pris mais j’étais resté ferme. Je n’étais pas indifférent bien sûr, mais sa déclaration venait bien trop tôt. J’avais écourté mon séjour pour ne pas envenimer la situation. Il s’en était suivi une rupture dans nos échanges, pourtant d’habitude réguliers.

Le bac en poche Chloé avait effectué une année de césure en Australie. Elle s’y était plue et, ayant rencontré un type là-bas, avait prolongé son séjour d’une année supplémentaire. J’avais finalement été mis au courant par le biais de son père du retour de la jeune femme en France et de son inscription dans une école à Paris pour la rentrée de cette année.

C’est autour de novembre qu’elle m’avait téléphoné. Elle souhaitait me revoir, je lui manquais et nous habitions maintenant la même ville. Entendre sa voix, familière mais au timbre changé, m’avait ému. Je l’avais invitée à la maison pour dîner afin que nous puissions tranquillement bavarder. Mes derniers souvenirs d’elle datait déjà de presque trois ans. J’avais en tête une post-adolescente très mignonne mais pas encore adulte. Et c’est au contraire une magnifique jeune femme que j’accueillais chez moi. Ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules mettaient en avant ses grands yeux bleus, rendus plus perçants encore par leur contraste avec l’élégante robe noire qu’elle portait ce soir-là. Petite montre élégante, sac de créateur au bras, des ballerines aux pieds, elle semblait déjà acclimatée à la vie parisienne. Un peu intimidée de me revoir, cette fois en tant qu’adulte, elle détournait parfois le regard quand nos yeux se croisaient. Curieuse, la jeune femme découvrait l’agencement de mon atelier, la grande verrière au plafond. Je lui présentais les quelques tableaux présents. Sa main jouait souvent avec la chaîne en or autour de son cou délicieux.

Malgré ce qui s’était passé entre nous quelques années auparavant, j’étais très heureux de la revoir, elle aussi m’avait manqué. Pour nos retrouvailles je servis un champagne René Lalou de l’année de sa naissance, au goût complexe et racé. Pendant que je finissais de préparer le dîner et nous servais à manger, elle me racontait sa vie, son voyage en Australie, son premier copain sérieux, ses différentes expériences professionnelles là-bas puis sa rupture et son envie de rentrer. La soirée s’écoula très chaleureusement et nous nous quittâmes en nous promettant de nous revoir bientôt.

Le lendemain midi, alors que j’étais plongé dans l’étude de Derain et Vlaminck, on sonne à ma porte. C’était Chloé. Je pensais qu’elle avait oublié quelque chose après notre dîner mais à ma grande surprise elle se jeta dans mes bras, avec cet emportement caractéristique dont j’ai déjà parlé. Tremblante, elle m’avouait le retour de son attirance pour moi, me serrait fort dans ses bras, en sanglotant, me suppliait de ne pas la rejeter encore une fois. La digue que j’avais construite se fissura brusquement. L’attirance incompréhensible qu’elle éprouvait à mon encontre depuis des années, sa beauté, sa jeunesse, son parfum que j’avais toujours connu, l’envie de la posséder… Je basculais.

La clé tourne déjà dans la serrure de la porte d’entrée. Elle a été plus rapide que prévu. Je l’entends ôter des chaussures, puis ses pas rapides sur le parquet craquant. Enfin elle apparaît dans l’embrasure de la porte de la chambre, une grosse écharpe en laine rouge encore autour du cou, cerclant ses longs cheveux blonds. Son petit nez pointu semble frigorifier. Je l’invite à me rejoindre sans attendre d’un signe de la main. Elle fait tomber son sac, enlève son manteau en cuir et retire son pantalon. En tee-shirt et collant noirs, elle vient me rejoindre sous les draps. Je suis nu, contre elle glacée. Pour la réchauffer, je serre ses mains contre ma poitrine. Chloé est contente de débarquer à l’improviste. Elle souffle :

– J’ai rêvé de toi hier, me dit-elle.

Je glisse ma main chaude dans son collant, parcours la peau douce et encore fraîche de sa hanche. Elle est blottie dans mes bras. Quand elle me raconte ses rêves, cela annonce en général de très bonnes choses pour moi.

– Tiens tiens, et de quoi as-tu rêvé ?
– Tu me prenais par-derrière… Tu m’enculais.

Mon sexe, déjà excité par sa présence, sa chaleur, son parfum, bande brusquement. Elle a senti sur moi l’effet de sa confession. Son visage jusque-là blotti contre mon épaule se rapproche du mien, cherche mes lèvres pour les embrasser. Ma langue se glisse dans sa bouche, profite de son petit goût de jasmin, parfum du thé qu’elle boit habituellement toute la journée. Notre baiser s’enflamme, mes lèvres appuient sur les siennes, je bois dans sa bouche, je ne la laisse pas respirer. Elle recule à bout de souffle, son regard me foudroie d’envie, excitée.

– Je t’ai réveillé, laisse-moi te sucer pour me faire pardonner.

Elle se redresse et enlève son tee-shirt qui découvre sa plantureuse poitrine fièrement soutenue par un élégant soutien-gorge en dentelle. J’adore ses beaux seins généreux avec lesquelles elle me laisse jouer. Je les choie, les chéris, parfois les maltraite. Chloé s’allonge entre mes cuisses, me prend la queue de ses mains encore froides et commence à me la lécher. Elle me la parcourt de ses lèvres, puis avec sa langue. Elle m’avale, résolue, me titille l’emplacement du frein de mon sexe encore calotté. Mes mains se perdent dans ses cheveux, les repoussent pour découvrir ses oreilles qu’elle a mignonnes, ornées d’une simple boucle à chaque lobe.

Deux jours plus tôt elle était également passée en coup de vent, avait déclaré que je devais jouir avant qu’elle ne reparte. En dix minutes je lui avais rempli la bouche, fait boire mon sperme chaud qu’elle avait goulûment avalé. À genoux, à mes pieds, encore toute habillée, sa chemise ouverte me laissant une vue plongeante sur son décolleté bombé, Chloé m’avait fixé des yeux pendant que je jouissais en gueulant son nom et que mon sexe convulsait, se vidait dans sa bouche. Puis sa main avait parcouru ma verge les doigts serrés, de la base au gland, me pressant pour ne pas perdre une goutte de ma semence et finalement m’avait nettoyé de ses belles lèvres pulpeuses. Sans un mot, satisfaite de son œuvre, elle avait ensuite ramassé ses affaires pour s’enfuir en cours, petit sourire en coin.

Aujourd’hui, Chloé me suce lentement. Elle est méticuleuse. Sa salive chaude baigne bientôt mon gland qu’elle maintient en bouche, coule le long de ma verge jusqu’à mes couilles. Dans le même temps elle caresse du bout des doigts toute la longueur de ma queue. Après m’avoir décalotté, elle me lèche le frein de petits coups de langue précis, avant d’engloutir à nouveau le tout. Elle me pousse au fond, en gorge profonde, luttant contre son réflexe nauséeux. Sa main stimule et caresse mes testicules dans le même temps. Je lui masse la nuque à travers ses beaux cheveux. Fière d’elle son regard me laisse comprendre :

– Tu ne jouis pas hein, j’en ai envie là, en bas.

Au bout de dix minutes de cette torture, je lui enlève ma bite de la bouche et la fais s’allonger contre moi. Je suis au-dessus d’elle, je l’embrasse, le goût de ma queue se mélange à celui de sa salive. Je lui sors les seins des bonnets de son soutien-gorge, lui fais écarter les cuisses et lui masse la vulve à travers son collant. Même débraillée, Chloé est magnifique. Ses mamelons sont déjà rouges, gonflés. Je mets tout en bouche, embrasse et lèche ses gros seins que j’ai envie de traire. Ses tétons sont durs, elle s’agite quand je les pince avec mes lèvres. Les bouts des doigts qui la caressent en bas ressentent l’humidité qui suinte à travers le tissu. Les joues de Chloé sont enflammées. Déjà elle geint, réclame, s’impatiente :

– Tu me touches comme ça… Tu me tortures, tu joues avec moi.

Je descends me placer entre ses cuisses, pour son plus grand plaisir. J’attrape son collant et sa culotte au niveau des hanches et pour les enlever je lui fais lever les jambes que je pose sur mon épaule, mais j’arrête de la déculotter à mi-cuisses. Dans cette position elle me présente son cul, son anus rose avec juste au-dessus ses belles lèvres gorgées de désir, couleur brique. Une cible parfaite, onctueuse, que je m’empresse de pénétrer, poussant ma queue à travers. Chloé se raidit un instant, surprise de la dureté de mon sexe qui la pénètre.

– Nico tu es dur, tu es gros, Nico…

Je glisse, je l’enfonce, repousse ses chairs, elle est trempée. Tout en la foutant, je joue avec ses gros seins, lui malaxe d’une main et caresse le pourtour de ses mamelons du bout des doigts. Ma main revient vers le bas, longe sa fesse et s’approche de sa chatte, dégoulinante. Ses mains désespérées tentent de m’attraper les hanches, les jambes, les genoux. Toute sa vulve est exposée. Je lui caresse ses petites lèvres, lesquelles sont collées à ma bite en train de la travailler. Mon doigt ressort trempé. Chloé s’agrippe, tente de se redresser pour m’embrasser, retombe. Profitant de sa position exposée, je glisse la main sous son pli fessier, suintant, et lui caresse l’anus. Elle écarquille les yeux, intéressée. Je lui demande :

– Je peux te mettre un doigt là ?

Elle répond oui de la tête, en se mordant la lèvre, heureuse que je me souvienne de sa suggestion. Avec précaution, je lui introduis le pouce dans le cul et dans le même temps pousse plus fort ma queue dans son vagin. Je sens la pression de son anus sur mon doigt qui l’explore. Surexcité de la pénétrer par ses deux orifices, mon sexe tendu va-et-vient en elle, remplissant son vagin inondé de toute la longueur de ma queue. Encore quelques minutes de ce traitement, dans cette position contrainte, à pousser de plus en plus profond en elle, et brusquement Chloé jouit en criant :

– Nico, han, Nico, je viens !

La sentant jouir, je finis par relâcher ses jambes, puis la couche en chien de fusil, sous moi. Hagarde, exténuée, elle me regarde m’éloigner quand je vais chercher une serviette pour m’essuyer. La prendre dans cette position a été rude. De retour, je m’approche pour l’embrasser. Nos deux visages sont presque collés lorsqu’elle me souffle :

– J’ai encore envie. Viens encore, viens en moi.

Elle m’attrape la nuque, m’embrasse à pleine bouche. Cette fois je finis de la déshabiller complètement. Ses seins voluptueux, la grâce de sa taille, ses hanches amples me fascinent un moment, puis, passant entre ses deux cuisses où se mêlent sa mouille, la bave de ma queue et sa sueur, je la pénètre à nouveau. Elle lève une jambe, écarte les cuisses et je la maintiens en position pour admirer sa chatte ouverte ruisselante dans laquelle mon sexe s’insère. Je me sens monter, perdre le contrôle. Je glisse une main entre ses deux seins confortables aux tétons pointants et me baisse pour les embrasser, les sucer. Chloé me chuchote alors :

– Remets-moi un doigt dans le cul.

Ma bouche s’abat sur la sienne. Pendant que je l’embrasse, je repasse le doigt à son entrecuisse dégoulinant puis j’enfonce de nouveau mon pouce lubrifié par ses pertes dans son anus, l’y poussant à fond. Elle souffle bientôt en me fixant de ses yeux de louve :

– Pour toi... Juste pour toi…

Ma langue dans sa bouche, ma queue dans sa vagin et mon pouce dans son cul, je jouis brusquement, tendu en elle, propulsant mon sperme au fond de son vagin. Elle m’encourage à la remplir et je crie son prénom en éjaculant. Quelques secondes passent, suspendues. Je réduis peu à peu mon va-et-vient, jusqu’à m’immobiliser. Ma bite finit de se vider en elle, par à-coups, et je me repose, affalé sur la jeune femme, collé à sa cuisse, le doigt toujours enfoncé dans son fondement. Je lui embrasse les lèvres, les joues, le front, la lèche, savoure le goût de sa transpiration. Elle me passe tendrement la main dans les cheveux, me fixe attentive de ses grands yeux bleus. Elle finit par dire :

– Le doigt c’est pas mal mais la prochaine fois j’aimerai que tu m’encules, sentir dedans ta verge, ton gland, et puis surtout que tu décharges dans mon cul.

Chloé, Chloé...

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