Histoire Erotique

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Aventure avec une inconnue

Jean-Paul a appris que sa copine l’avait trompé. Alors qu’il sort de chez lui afin de réfléchir, il va faire la connaissance de Cécile. Ils vont sympathiser et celle-ci va lui proposer d’aller chez elle. Mais la soirée va prendre un virage inattendu…

Proposée le 3/02/2023 par Inconnu808

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Il était près de 23 heures. La neige commençait à tomber. Jean-Paul, malgré la fatigue, ne parvenait pas à trouver le sommeil. Cela faisait maintenant deux heures que sa copine aurait dû être rentrée de sa soirée entre collègues mais elle n’était toujours pas là.

Il s’inquiétait. « Peut-être lui est-il arrivé quelque chose? », pensa-t-il. Sa copine était toujours ponctuelle. Ou au moins prenait-elle le temps d’avertir son compagnon qu’elle serait en retard.

Alors qu’il était allongé dans son lit, il entendit le bruit des clés dans la serrure. Il bondit d’un coup et courut pour aller voir sa copine. Il s’apprêtait à l’embrasser mais celle-ci détourna son visage. Il lui demanda si tout allait bien mais elle ne répondit pas et passa à côté de lui. Il alla vers elle afin de savoir ce qui n’allait pas et, en se mettant en face de sa copine, il remarqua que son maquillage était estompé et que ses cheveux étaient défaits.

« Qu’est-ce qui t’est arrivé ?
- Rien, c’est bon, laisse-moi. »

Évidemment, cette réponse ne pouvait satisfaire Jean-Paul et il sentait au fond de lui que quelque chose de sérieux s’était produit. Elle tourna de nouveau la tête et se dirigea vers la salle de bains. Jean-Paul resta circonspect. Il profita de ce moment pour fouiller dans son sac à l’aide d’indices. Malheureusement, il ne trouva absolument rien de compromettant et alla s’asseoir sur le canapé en attendant qu’elle sorte.

Au bout d’une vingtaine de minutes qui semblèrent une éternité à Jean-Paul, la porte s’ouvrit et celui-ci courut pour l’interroger de nouveau. Il ne voulait pas que sa copine reste avec son secret :

« S’il-te-plaît, dis-moi ce que tu as. Je vois très bien que tu me caches quelque chose.
- Jean-Paul, il n’y a rien, arrête, maintenant.
- Si, bien sûr que si. Nous sommes ensemble depuis plus de cinq ans, je te connais par cœur. Dis-moi, je t’en prie.
- … Je t’ai trompé, Jean-Paul.
- Quoi ?
- Je t’ai trompé.
- Mais comment ? Pourquoi ?
- Je t’ai trompé, c’est tout. »

Jean-Paul ne voulait pas en rester là et lui demanda des explications :

« Écoute, il y a un collègue qui me tournait autour depuis plusieurs semaines. J’ai toujours repoussé cet avance mais pas ce soir… »

Une enclume lui tombait sur la tête. Il la considéra pendant plusieurs secondes et baissa la tête en allant vers le canapé.

« Je suis désolé, vraiment. C’est toi que j’aime et tu le sais. Mais je n’ai pas pu résister. On avait un peu bu et puis… tu sais très bien qu’on ne fait plus beaucoup l’amour, toi et moi.
- Attends, quoi ? Tu rejettes la faute sur moi ?
- - Non, c’est pas ce que je dis ! C’est juste que…
- Stop. Fous-moi la paix. »

Il se leva d’un coup, attrapa son manteau dans l’entrée et sortit en claquant la porte.

Pour Jean-Paul, c’était trop. Il l’aimait, évidemment. Il aurait presque pu lui pardonner ce moment d’égarement. Mais qu’elle ose justifier ça en disant qu’ils ne faisaient plus autant l’amour qu’avant…

Cela faisait maintenant cinq ans qu’ils étaient ensemble. Jean-Paul voulait la demander en mariage dans les semaines à venir et ce moment remettait beaucoup de ses certitudes en question.

Il marcha un long moment dans les rues désertes, sans but précis. Il voulait se vider la tête et n’avait pas envie de rentrer chez lui. Il finit par s’asseoir sur un banc, près d’un parc. Il se prit la tête entre les mains et resta là, prostré, pendant plusieurs minutes. Quand il leva les yeux, il aperçut, à quelques mètres de lui, une jeune fille. Cela l’étonna car, à cette heure, en hiver, la plupart des gens restaient chez eux. Mais il se dit qu’il ne fallait pas y faire attention et baissa de nouveau la tête. À peine une poignée de secondes s’écoulèrent avant qu’il n’entendit des bruits de pas à l’endroit où se trouvait la jeune fille. Selon toute vraisemblance, elle se rapprochait de lui. Il leva alors la tête à nouveau et vit une charmante demoiselle, debout, face à lui.

« Bonsoir, lui dit-elle.
- Bonsoir.
- Je peux m’asseoir avec vous ?
- Euh… oui, bien sûr. »

Jean-Paul la regarda se poser à côté de lui et la considéra du regard pendant quelques instants. Elle était très jolie. Elle avait de grands yeux très beaux et très profonds, des cheveux élégamment plaqués derrière ses oreilles et se terminant sur ses seins, un cou assez fin et une très belle peau, avec un léger maquillage.

« Vous êtes tout seul ?
- Oui. Et vous ?
- Oui. Qu’est-ce que vous faites ici, à cette heure ?
- Eh bien… C’est compliqué. »

Il lui expliqua ce qu’il venait de se passer et la jeune fille la regardait avec attention.

« Je comprends… Il m’est arrivé la même chose il y a quelques mois. J’étais rentrée du travail plus tôt que d’habitude et j’ai surpris mon copain avec une autre, dans notre lit.
- Ah… »

Jean-Paul ne savait pas vraiment quoi dire. Néanmoins, il lui dit spontanément qu’il la trouvait jolie et que c’était dommage pour son copain d’avoir agi de la sorte. La jeune fille rougit et baissa la tête.

« Et vous, qu’est-ce que vous faites ici ?
- Eh bien j’aime me balader à cette heure. Je suis dessinatrice et ça m’aide à trouver l’inspiration. »

Jean-Paul était conquis. Il se permit de lui demander son nom :

« Vous vous appelez comment ?
- Cécile. Et vous ?
- Jean-Paul.
- Enchantée, Jean-Paul.
- De même. 

Elle prit rapidement les devants et lui proposa de venir chez elle :

« Vous comptez rester ici combien de temps ?
- Je ne sais pas. Franchement, je n’ai pas vraiment envie de rentrer chez moi mais il commence à faire froid.
- Vous voulez venir chez moi ?
- Euh… Pourquoi pas. Vous habitez loin ?
- Non, je suis à deux rues d’ici. »

Jean-Paul accepta l’invitation de Cécile et ils se levèrent tous les deux. Ils marchaient tous les deux à quelques centimètres l’un de l’autre.
Ils continuèrent de parler de choses et d’autres. Ils arrivèrent effectivement rapidement devant chez elle.

« Voilà ! C’est chez moi ?
- D’accord ! Tu habites seule ? Oh, pardon, je ne voulais pas te tutoyer !
- Non, tu as raison, on peut.
- D’accord. Donc tu es toute seule ?
- Non, j’habite avec mes parents mais ils ne sont pas là ce soir.
- D’accord. »

C’était une maison assez charmante de l’extérieur. On y accédait par un petit escalier. Étant derrière elle et pendant qu’elle cherchait ses clés, Jean-Paul ne put s’empêcher de lever la tête vers son postérieur. Elle portait un jean assez moulant qui lui fait de superbes fesses. Il ne voyait pas de trace de culotte et en déduit assez facilement qu’elle devait porter un string.

Ils entrèrent et retirèrent leur manteau. Jean-Paul la considéra et remarqua qu’elle porta un haut noir légèrement transparent. Il la complimenta en lui disant qu’elle était ravissante et Cécile rougit en souriant. Elle l’invita à aller dans le salon et prit deux verres avec une bouteille de vin dans la cuisine.

Il était alors minuit. Ils parlaient et rigolaient de bon cœur. Ils étaient tous les deux très à l’aise et enchaînaient les verres. Il fallut déjà que Cécile aille chercher une nouvelle bouteille. La tête commençait légèrement à tourner pour Jean-Paul. À ce moment, la discussion prit une tournure un peu plus crue :

« Qu’est-ce que tu aimes le plus au lit ?
- Mmmh… Franchement, j’aime à peu près tout. J’avoue que j’ai une grosse préférence pour la sodomie et que j’aime beaucoup l’éjaculation faciale mais je suis très ouvert. Et toi ?
- Mmmh… Je ne sais pas. J’aime aussi beaucoup la sodomie et les faciales. Mais mon copain ne voulait pas parce qu’il disait que ça me rabaissait.
- C’est pas faux. Mais ça fait du bien de temps en temps. Il faut savoir parfois se comporter de manière un peu plus sale.
- Totalement d’accord. »

Cécile le regardait en se mordant la lèvre. Jean-Paul allait les resservir quand le portable de Cécile sonna.

« Allô ? Comment tu vas, ma chérie ? Ça va, merci. Je suis avec un ami, là. Ah, tu veux passer à la maison ? Oui, pas de souci. À tout de suite ! »

Et elle raccrocha.

« Excuse-moi, c’est une amie à moi. Ça te dérange pas qu’elle passe ?
- Non, aucun problème. »

Jean-Paul commençait à se faire des films dans sa tête. Ils continuèrent leur conversation pendant quelques minutes, jusqu’à ce que l’on sonne à la porte. Cécile alla ouvrir.

« Coucou ! Ça va ?
- Ça va et toi ?
- Ça va. Viens, je te présente Jean-Paul.
- Enchantée, Jean-Paul. Moi, c’est Magali.
- Enchanté. »

Cécile leur proposa de retourner sur le canapé.

« Tu t’asseois à côté de Jean-Paul ? Je vais t’apporter un verre.
- Ça marche ! »

Ils parlèrent tous les trois pendant encore un certain temps et vidèrent de nouveau plusieurs verres. Jean-Paul commençait à ne plus tenir droit, même sur le canapé. Cécile, elle, finit par s’allonger et à fermer les yeux. Magali la regarda et considéra Jean-Paul.

« Bon, on dirait bien qu’il ne reste plus que nous deux.
- En effet. »

Magali ne savait trop pourquoi mais Jean-Paul lui faisait un certain effet. Jean-Paul, lui, n’avait plus trop le sens des réalités et se mit un peu plus à l’aise sur le canapé. Il pencha sa tête en arrière et avança ses jambes. C’est alors qu’il sentit, malgré son état, une main sur sa cuisse. Il baissa les yeux et découvrit que Magali était en train de le caresser. Il ne put rien dire car l’alcool commençait clairement à faire effet et il remit la tête en arrière. Il sentit sa main monter de plus en plus vers son entre-jambes.

Magali palpa la bosse qui se formait et la caressa. Elle avait posé son autre main sur sa deuxième jambe et le pressait de plus en plus. Jean-Paul poussait quelques râles de plaisir. Elle finit par ouvrir lentement sa braguette. Jean-Paul ne savait pas si c’était bien ou pas. Cécile était juste à côté, sa copine était chez lui et il avait bu. Néanmoins, elle ne s’arrêtait pas et passa sa main par l’ouverture pour sentir sa verge au travers du caleçon. C’était tellement agréable… Jean-Paul baissa de nouveau les yeux dans sa direction et il la vit rivée vers son entre-jambes, elle aussi en train de se mordiller la lèvre.

Elle finit par défaire la ceinture, le bouton et à baisser le pantalon de Jean-Paul jusqu’aux chevilles. Il lui était complètement offert, dans l’incapacité de faire quoi que ce soit. Après, même s’il n’avait rien bu, se serait-il vraiment opposé ? Mais il n’était actuellement pas dans son état habituel et elle profitait clairement de la situation. Il sentait son regard se porter vers lui et ses mains continuaient de lui presser l’entre-jambes. Sa bite avait maintenant pris toute sa taille et descendait sur le côté du caleçon. Elle l’avait évidemment remarqué et et commença à le branler au travers du tissu.

« Putain… »

Magali, excitée par cette exclamation et par la tournure des événements ainsi que par la taille assez conséquente de l’engin de Jean-Paul, prit le caleçon des deux mains et le baisse jusqu’au niveau du pantalon. Son membre se dressa d’un coup en direction de Magali. Jean-Paul l’observa et la vit ouvrir de grands yeux d’étonnement. Elle n’en revenait visiblement pas de la taille de l’engin. Elle posa sa main dessus et cela procura une grande sensation de plaisir à Jean-Paul. Elle le caressa du bout des doigts, comme pour mieux l’étudier.

Elle finit par l’empoigner à pleine main. Et là, ce fut un festival. Elle le branla de toutes ses forces, comme si sa vie en dépendait. Visiblement, elle était vraiment excitée. Parfois, elle rajoutait un filet de salive afin de lubrifier un peu. Jean-Paul se retenait de ne pas crier afin de ne pas réveiller Cécile. Il avait presque honte alors qu’il la connaissait à peine. Par moments, Magali le prenait même à deux mains.

À ce moment-là, le téléphone de Jean-Paul sonna. Ils se regardèrent tous les deux, surpris. Jean-Paul regarda le nom : c’était sa copine. Magali lui dit de décrocher.

« Allô ? Oui ? Non, je suis encore dehors. Je ne sais pas. »

Magali, pendant ce temps, continuait de le masturber en le fixant dans les yeux.

« Je te dirai quand je rentre. Oui. Ah ! »

Jean-Paul regarda Magali : elle avait pris sa verge dans sa bouche.

« Non, non, tout va bien. Je… Ah ! Putain ! »

Elle le pompait avec vigueur, jusqu’à s’étouffer.

« Je te rappelle. »

Jean-Paul raccrocha et prit la tête de Magali entre ses mains et lui baisa la bouche.

« Ah ! Putain ! T’aimes ça, hein ? »

Elle se retira d’un coup, presque les larmes aux yeux. De longs filets de bave pendaient jusque sur les cuisses de Jean-Paul. Il recommença et elle s’extirpa de nouveau au bout de plusieurs secondes, à bout de souffle. L’alcool fit de nouveau son effet et Jean-Paul s’écroula sur le canapé. Magali continua toute seule le travail. Il n’était clairement pas en possession de ses moyens, malgré ce qu’il avait fait. Elle aurait pu lui faire n’importe qui, il n’aurait pas réagi.

Elle se leva alors et lui dit d’attendre ici. Même si elle savait qu’il ne pourrait pas faire grand-chose. Il l’entendait fouiller quelque part, sans vraiment savoir ce qu’elle faisait. Il tourna la tête pour voir Cécile : elle dormait profondément. La sonnerie de son portable ne l’avait même pas réveillée. Il se remit comme il était, la tête en arrière. Et il entendit Magali revenir en sa direction. Il était tellement amorphe qu’il n’avait même plus la force de la regarder. Au bout de plusieurs secondes, il sentit un filet froid tomber sur son sexe. Jean-Paul comprit rapidement ce qui était en train de se passer. Elle le branla un peu pour bien le lubrifier et il sentit rapidement le contact de ce qui semblait être son petit trou.

Magali se tenait sur ses cuisses, dos à lui, au bord du canapé. Elle poussa légèrement en descendant sur l’ouverture. Jean-Paul en avait, comme avait pu le constater, une assez grosse. Aussi, il lui fallait un certain temps pour arriver à rentrer sans douleur. Magali poussait quelques gémissements au fur et à mesure de l’avancée de la chose. Jean-Paul se sentait de plus en plus entrer en elle, jusqu’à ce qu’elle pousse d’un coup et s’empale sèchement sur sa bite. Ils poussèrent tous les deux un cri à réveiller tout le quartier.

Magali resta dans cette position, sans bouger pendant plusieurs secondes, le temps de s’habituer. Puis elle remonta et fit ainsi de lents mouvements de bas en haut. Jean-Paul râlait de plaisir. Magali allait et venait de plus en plus vite. Il trouva tout de même la force de la regarder et se délectait du spectacle. Elle s’arrêta un instant, laissa sortir la verge de son cul et se retourna pour se mettre face à Jean-Paul. Elle enfila de nouveau son sexe en elle et la faisait rentrer à toute vitesse et de toute sa longueur. Elle hurlait de plaisir et lui aussi. Elle s’allongea sur lui pour mieux sentir sa bite entre ses fesses et ralentit un peu le rythme. Elle se retira un instant pour remettre du lubrifiant, elle se mit à côté de lui et le branla. Les sensations étaient divines. En plus, Magali savait y faire.

Elle rajoutait quelques filets de salive de temps en temps et le masturbait à deux mains. Jean-Paul sentait son membre gonfler de plus en plus et il savait qu’elle le sentait aussi. Il la vit alors se replacer au-dessus de lui afin de le terminer mais il trouva la force de se lever de sa torpeur pour la mettre à quatre pattes. Il se mit derrière elle, plaça son sexe à l’entrée de son petit trou et la pénétra. Il la défonça comme jamais il n’avait défoncé une femme. Elle n’en pouvait plus.

« Oh mon Dieu… Oh mon Dieu… »

Ils ne faisaient pas l’amour, il la baisait, la démontait. Magali sentait peu à peu ses jambes flancher et s’écroula de tout son corps sur le canapé. Jean-Paul la suivit et s’allongea sur elle pour continuer son travail.

« J’en peux plus… J’en peux plus… »

Il la ramona encore pendant plusieurs secondes qui parurent une éternité et, au moment de jouir, il sortir d’un coup de ses fesses, se plaça juste devant le visage de Magali et déversa tout son foutre par grandes rasades. Jean-Paul grognait. Il avait joui comme jamais. Magali, elle aussi, prenait un plaisir considérable. Elle avait du sperme partout : dans ses cheveux, sur ses joues, sur son nez, sur sa bouche. Elle le regarda mais celui-ci se rassit immédiatement sur le canapé. Il était vidé.

Magali s’assit à côté de lui. Elle avait toujours le visage reluisant de son foutre.

« C’était bien ? »

Jean-Paul regarda Magali. Ce n’était pas elle qui avait parlé. Tous les deux se tournèrent vers Cécile, qui les regardait en souriant.

Deuxième partie à suivre…

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