Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Chaudasse

Sabrina Berthier, jolie brune de 43 ans, passe trois jours à baiser son infatigable amant Stéphane Delaunay dans une maison de campagne. Le dimanche matin elle fait la connaissance de Jérémy, son beau-fils, au petit déjeuner. Elle va vite le mettre à l’aise par l'intermédiaire du chien Rudy.

Proposée le 19/12/2022 par descollages

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Il est 9 h 30 du matin chez les Delaunay, l’air est doux dans la véranda de leur maison de campagne de Souleuvre en Bocage. Assis au bout de la petite table en formica, Jérémy souffle sur son chocolat beaucoup trop chaud. Les yeux vitreux, un peu dans le vague comme s’il venait de passer une mauvaise nuit. Heureusement, aucun bruit pour perturber ce début de matinée à part un petit chant d’oiseaux discret au-dehors.

Chaudasse À l’étage une porte claque, puis il entend sa belle-mère descendre les escaliers à pas lents. Sabrina Berthier est arrivée vendredi soir pour rester tout le week-end et en profiter pour coucher avec Stéphane son père. Le couple se connaît depuis un mois seulement, les deux amoureux manquent souvent de discrétion que ce soit dans la chambre ou même sous la douche.

Traversant le salon, voilà notre jolie brune de 43 ans qui se pavane dans la cuisine, direction la machine à café. Ses longs cheveux noirs ondulés recouvrent sa poitrine avantageuse, et son teint mat rajoute une touche débordante de sensualité italienne. Légèrement vêtue d’une combishort en satin bleu pâle, elle fait naturellement tortiller ses fesses en jetant un coup d’œil dans le jardin. Pendant ce temps le petit expresso coule en crachotant l’eau bouillante à travers le filtre.

– Wouah Haa ! Bien dormi ? lance-t-elle en baillant sans se retourner.

Jérémy poliment lui répond que oui, mais le pauvre n’a pas vraiment eu l’occasion de fermer l’œil de la nuit. Trop excité, il a dû se soulager la bite au moins cinq fois dans un petit mouchoir à des heures tardives, dérangé par les gémissements intempestifs du couple, visiblement peu respectueux des occupants de la maison cherchant le sommeil.

– C’est un sacré baiseur ton père tu sais !? Il la sautait autant ta maman ?!... interroge-t-elle sans se soucier d’attendre une réponse pertinente.

– Pas vraiment non. Maman était trop occupée par son travail de juriste... ! répond le jeune homme un peu décontenancé.

– Hum je comprends ! ne bossant plus à la clinique radiologique de Coutances, on peut dire que ça me réussit plutôt bien ! dit-t-elle levant la tête au ciel et affichant un large sourire.

Tout en se retournant vers Jérémy, elle le fixe droit dans les yeux, tenant sa tasse des deux mains. Puis Sabrina boit une longue rasade de café noir son modeste bonheur matinal et décide de s’installer face à lui pour partager le petit déjeuner et ainsi faire mieux connaissance.

En séductrice aguerrie, Sabrina n'hésite pas à montrer ses jolies formes aux premières heures de la journée. Elle aime surtout aguicher les jeunes puceaux comme Jérémy, le trouble qu’elle provoque en eux fait mouiller sa petite culotte les trois quarts du temps.

Une fois encore, ses gros seins mis en valeur à travers la nuisette transparente en satin, gonflent naturellement de désir. Son petit haut bien échancré sur les côtés dévoilent, à qui veut bien les regarder, ses nichons qui se balancent à chaque mouvement de bras.

Libre, sans soutien-gorge, Sabrina adore se sentir très à l’aise et goûter la sensation extraordinaire du frottement de ses mamelles sous le tissu soyeux de satin. De temps à autre, ses mains douces caressent spontanément ses aréoles sensibles, comme si elle sentait un petit chatouillement au niveau des tétons bien dressés.

Voilà que d’un coup seul coup le silence se brise. Dehors un aboiement résonne de l’autre côté de la baie vitrée. C’est Rudy, un border collie noir et blanc. Pressé de rentrer dans la cuisine, le voilà griffant la vitre comme un fou. Sans doute vient-il réclamer sa ration de croquettes bien méritée ? À force de batifoler dans le grand jardin durant deux bonnes heures, l’animal est complètement affamé.

Prenant pitié, Sabrina décide d’ouvrir la porte-fenêtre, Rudy lui fait tout de suite des joies, comme s'il sentait qu’elle adore les animaux, ce qui est le cas. Elle le caresse longuement tout en se penchant au maximum.

Pendant le petit câlin, dans son dos Jérémy contemple les larges fesses à quelques centimètres de son visage, et les jolies cuisses appétissantes de sa belle-mère. « Quel joli cul de salope », se dit-il, en commençant sérieusement à bander dans son pyjama.

– Allez rentre avec nous ! Ne reste pas dehors ! dit Sabrina affectueusement.

Se léchant les babines, le chien fonce vers sa gamelle déjà remplie. Le glouton avale bruyamment tout en moins d’une minute. Comme si de rien était, la jolie brune reprend sa place initiale, mais elle sent tout à coup que quelque chose a changé en observant Jérémy. Subjugué par cette femme attirante, il la mange littéralement du regard. Ne pouvant détacher ses yeux de l’opulente poitrine qui s’offre à lui, un sentiment étrange réveille brusquement ses instincts les plus primaires.

– ça ne va pas ? T’es tout drôle d’un seul coup, lance-t-elle innocemment.

– Si si, c’est juste j’ai eu du mal à dormir cette nuit et...

– J’espère qu’on n’a pas fait trop de bruit dans la chambre parentale ? Tu sais ton père a essayé à maintes reprises de me mettre la tête dans le traversin pendant qu’il me prenait mon petit trou... C’est toujours douloureux au début, mais après ça passe...

– Non, non, je t’assure ! C’est qu’en ce moment j’ai des examens à préparer et puis... le stress commence vraiment à monter... bredouille-t-il un peu gêné.

– Oh me voilà soulagée ! Tout va bien se passer, il n’y a pas de soucis à se faire, Stéphane m’a déjà dit que tu étais un sacré bosseur, tu sais ?! répond-elle en lui caressant longuement la main.

Rassasié, Rudy se faufile sous la table pour se tenir aux pieds de Sabrina. Mais au bout de plusieurs minutes, le chien commence à renifler sérieusement l’entrejambe de la nouvelle maîtresse de maison. Avec insistance, son museau farfouille la culotte en satin de Sabrina qui commence à se trémousser.

– Oh Rudy, du calme voyons, qu’est-ce que tu fais ? Tu m’chatouilles ! Oh ! dit-elle d’une voix un peu aiguë.

Mais le chien, au caractère tenace et peu craintif, continue de renifler la pièce de lingerie à un endroit bien précis. Le parfum moite de l’intimité de Sabrina l’excite de plus en plus, comme pris d’une petite folie, il commence même à aboyer pour manifester son excitation.

Consciente qu’il faut réagir, Sabrina se lève, ce qui fait grincer sa chaise. Compréhensive, elle continue de lui caresser la tête, pendant que le museau de l’animal complaisant, ne quitte plus sa vulve qui commence à mouiller terriblement.

Brusquement, le chien décide de se tenir sur ses deux pattes arrière pour se bloquer fermement sur une des cuisses de la jolie brune un peu surprise. Voilà l’animal parti dans un rythme endiablé à se frotter de bas en haut sur elle, la baisant littéralement. Le sexe du chien prenant ainsi du plaisir se gonfle, témoignant d’une excitation sexuelle sans retenue.

– Tu as vu dans quel état je le mets ? dit-elle en riant.

Malgré les efforts que cela lui demande, le chien essoufflé continue vaillamment ses frottements de plus en plus prononcés sur la cuisse. Ses assauts saccadés le font terriblement bander, au point de décalotter son petit gland rose. Tandis que les petites couilles poilues glissent sur le genou de Sabrina, elle sent monter un long plaisir malsain incontrôlable. Au lieu de le réprimander comme le ferait la plupart des femmes bien éduquées, elle continue de lui caresser la tête en guise d’encouragements.

– Rudy, je ne suis pas une chienne quand même ? lance-t-elle faussement, tout en fixant Jérémy.

Envoûté par la scène, le jeune garçon commence à sentir lui aussi sa bite se durcir prise de convulsions croissantes. Il aurait pu se lever pour empêcher Rudy de poursuivre sa besogne impudique, mais son érection trop visible, le contraint de rester assis désarmé.

– Tu veux bien arrêter d’embêter Sabrina ! ordonne-t-il a très embarrassé.

– Laisse-le voyons, après tout il a bien le droit de se détendre un peu le pauvre ! répond Sabrina qui commence à se caresser les seins.

– Mais il va finir par... enfin tu sais... 

– Eh bien, dis le mot, il va jouir sur ma jambe, et alors ?

Envahie d’une sensation délicieuse, la jolie brune décide d’enlever les fines bretelles de sa nuisette pour se détendre. Ses seins lourds tombent d’un seul coup comme deux énormes poires.

On peut observer sans se lasser les larges aréoles marron qui mettent en valeur ses tétons dressés d’excitation. Sabrina baisse la tête en tirant la langue, puis relève le sein gauche pour entamer une série de succions accentuées.

N’y tenant plus, le chien comprend que sa peine arrive à échéance. Il commence alors à japper bruyamment. Tendu sur ses pattes, son petit pénis libère par jets successifs la crème blanche sur la cuisse de Virginie. L’animal poursuit son agitation un moment, comme pour terminer d’essuyer son gland sur sa maîtresse, ravie de le voir gicler abondamment sur elle.

– Eh bien Rudy, tu t’es débrouillé comme un chef ! félicite Sabrina en lui faisant un long baiser sur la truffe humide.

Sans attendre plus longtemps, le border collie un peu harassé, retourne tranquillement sous la table pour un repos bien mérité. Sa petite bite satisfaite s’est déjà rétractée sur le carrelage froid de la cuisine.

À ce moment-là, Jérémy n’a qu’une seule envie : rejoindre les toilettes au plus vite pour se branler et envoyer tout son foutre dans la cuvette. Mais comment le faire discrètement, sans passer pour un cochon, devant sa belle-mère qu’il ne connaît que depuis un mois.

– Tu as vu s’il y avait du courrier ce matin ? dit-il pour changer de conversation.

– Du courrier un dimanche ?! Enfin le facteur ne passe pas ce jour-là, tu sais bien voyons !... répond-elle voyant la gêne du jeune homme se tortillant sur sa chaise.

« Nul doute que tu bandes comme un fou, attends tu n’es pas au bout de tes surprises avec moi » pense-t-elle. Sa main passe sous la table pour dégager du bout des doigts le satin de sa culotte trempée. Enfin sa petite chatte poilue respire un peu mieux ! Puis son index commence des va-et-vient subtils dans l’antre humide et tiède...

Intrigué, Rudy lève le museau pour humer l’odeur suspecte et prononcée de la jolie brune qui se branle méthodiquement. Comme il s’avance un peu, il ne tarde pas à lécher la fente de Sabrina qui écarte les cuisses plus largement.

Curieusement, elle se laisse lécher par l’animal affectueux sans lui faire la moindre remarque désobligeante. La langue râpeuse s’active en petits mouvements rapides et précis sur la vulve devenue sensible. Prodiguant ainsi un nettoyage intime délicieux. Ce serait dommage qu’il arrête en si bon chemin.

– À mon tour maintenant de prendre du plaisir on dirait ? c’est très bien mon chien... continue de fourrer ta langue dans ma chatte ! lance-t-elle en gémissant comme une salope.

Après cinq minutes de cunnilingus hors normes, Sabrina hurle son plaisir tout en s’agrippant d’une main ferme au bord de la table. Essoufflée par l’orgasme, elle ouvre la bouche en basculant la tête en arrière. L’animal a très vite compris qu’il pouvait regagner sa place sur le champ, et laisse sa maîtresse reprendre ses esprits.

– Et bien dis donc ! Tu lèches largement mieux que Stéphane ! Moi qui croyais que c’était un champion... Rudy, tu recommences quand tu veux !... lance-t-elle, encore sous l’émotion.

Enfin remise de cet intermède lubrique, Sabrina se lève pour se servir un grand verre d’eau pour étancher sa soif. Tout en jetant un regard dehors, encore absorbée par ses pensées, elle se retourne d’un demi-tour pour s’adresser à Jérémy.

– T’en parles pas à ton père, c'est compris ! Inutile de le troubler avec ça ! Tu comprends ce que je viens de te dire ?... interroge-t-elle sur un ton presque sec.

– Oui oui ! Pas de problème j’dirai rien promis juré ! répond-il à voix basse.

Satisfaite de la réponse, Sabrina se rapproche du jeune homme assis pour passer derrière lui comme une panthère. Elle plaque ses gros seins sur sa tête, et commence gentiment à passer une main sous son t-shirt pour caresser le petit torse musclé de Jérémy.

– Hum... Tu joues le prude alors que ta bite nous dit tout à fait le contraire ! Tu peux te branler si tu veux. je ne serai pas choquée, tu sais ! Après le délicieux moment que nous venons de passer ensemble, tu as le droit de te lâcher un peu !... murmure-t-elle à son oreille.

Hésitant, choqué par ses quelques mots chuchotés, Jérémy reste figé sans réaction.

– Attends je vais t’aider ! laisse-toi aller mon poussin ! continue-t-elle en s’accroupissant à sa gauche.

Sabrina baisse complètement le slip du jeune homme pour contempler la superbe bite toute gonflée prête à se faire cajoler. Tout en serrant fermement l’engin, Sabrina, de sa main droite, commence à le branler affectueusement. Ses mouvements nerveux deviennent de plus en plus secs, jusqu’à lui faire terriblement mal.

– Aïe doucement ! gémit le jeune homme.

– Pardonne-moi si je suis un peu brutale, mais ta belle queue m’excite tellement ! Elle est largement plus grosse que celle de ton père, répond-elle, émerveillée, tout en baissant un peu la cadence.

Le jeune homme, le regard plongé dans la poitrine de sa belle-mère, se fait tripoter délicieusement. Elle le masturbe comme une reine, sa bite avide de caresses compulsives se contracte puis se relâche avec délectation. « Quelle chance d’avoir une femme aussi vicieuse à la maison, ça change de maman » pense-t-il, entamant une suite de déhanchements.

– Attends mon petit cœur ; il me vient une idée aurais-tu un peu de beurre ? demande-t-elle en se relevant d’un seul coup.

– Oui dans le frigo pourquoi ! répond l’autre, déçu d’être abandonné ainsi.

Sabrina ouvre le réfrigérateur, trouve sans difficulté une plaquette entamée sur une soucoupe blanche et revient en trottinant, un petit morceau de beurre entre les doigts. Elle se remet accroupie à côté de Jérémy et lui tartine généreusement le gland.

– Voilà parfait, allez Rudy, vient voir ici ! ordonne-t-elle, complètement excitée.

Le chien obéit immédiatement tout en se léchant le museau. Attiré par la substance jaunâtre et graisseuse, il ne résiste pas à l’envie de lécher le bourgeon luisant de Jérémy.

– Mais tu es complètement folle ! crie-t-il paniqué.

– Je t’aurais bien sucé aujourd’hui, c’est encore un peu tôt, j’ai peur que tu me prennes pour une femme débauchée ! répond-elle les yeux concentrés sur le sexe tendu du jeune homme.

Toujours aussi serviable, Ruby sort sa longue langue rose pour procéder à la petite dégustation. En le regardant faire, aucun doute que le travail va être réalisé mieux que par une professionnelle au coin de la rue.

– Je sais que ça paraît dégoûtant, mais regarde-le comme il prend du plaisir lui aussi ! Murmure-t-elle, au bord de l’extase.

– Mais je... enfin, tu comprends... je peux pas faire ça ! répond l’autre abasourdi.

– Détends-toi et tout ira bien, tu verras !

Pour faire monter d’un cran l’excitation, Sabrina embrasse tendrement Jérémy sur la bouche. Les deux langues se rencontrent et ne tardent pas à s’enrouler l’une autour de l’autre. Étouffé, le jeune homme hurle pendant qu’elle continue de l’embrasser avec fougue.

Sans faire la moindre pause, le chien exécute des va-et-vient humides sur le pénis pris de spasmes. Sa langue dévore littéralement le bonbon ovale et charnu qui lui est offert.

– Au putain... oui lèche mon chien, encore, c'est trop bon, je viens ! s’exclame Jérémy, à demi conscient.

Oh mon Dieu ! On dirait que Rudy a eu une petite récompense au passage. L’épais liquide blanchâtre dégouline dans les poils noirs de sa tête souillée. Le jeune homme soupire de soulagement, les bras le long du corps. Tandis que sa bite tellement bien vidée palpite encore une longue minute pour redescendre doucement.

– Et maintenant, tu nettoies et vite ! ordonne Sabrina, à moitié contente du résultat.

Elle enduit à nouveau de beurre la totalité du pénis devenu un peu mou. Puis le chien redémarre ses mouvements répétés avec sa langue maintenant habituée à l’exercice, mais cette fois sur toute la longueur. Inutile de préciser que Rudy lèche, sans se plaindre, le reste de sperme.

– Ce qu’il y a bien avec les animaux, c’est qu’ils ne font pas de manières ! lance-t-elle, encore excitée de voir l’animal accaparé par la petite besogne licencieuse.

– Si seulement j’avais su ça avant ! répond Jérémy, goûtant ce nouveau plaisir avec délectation.

– Penses-tu que je t’aurais sucé aussi bien ? murmure Sabrina, tout en se relevant.

Il est déjà 11 h 00. Sabrina et Jérémy débarrassent rapidement les tasses pour les mettre dans l’évier, tout en affichant un large sourire. La baie vitrée claque d’un coup sec. Rudy est retourné tranquillement dans le jardin pour se mettre à l’ombre d’un pommier. En un clin d’œil les choses sont rentrées dans l’ordre.

Peu de temps après, Océane, la petite sœur de Jérémy, débarque dans la cuisine en bâillant. Ouf, il reste un peu de café. Vêtue d’un pyjama Hello Kitty, la jolie blonde de 18 ans adresse un petit signe de tête à sa belle-mère. Son frère a disparu comme par enchantement, sûrement parti dans la salle de bain, c’est son heure habituelle.

– J’ai dormi comme un bébé cette nuit, par contre, vous en avez fait du bruit avec le chien ce matin ! remarque-t-elle, en mettant la main devant sa bouche.

– Il est très joueur, et puis je n’ai pas pu résister à lui faire des câlins ! répond Sabrina, en souriant légèrement.

Tendrement les deux femmes se font la bise, puis se regardent longuement dans le fond des yeux. Océane sent un léger frisson lui parcourir le bas du dos. « Papa en a de la chance, elle est tellement mignonne ! » se dit-elle.

Descollages

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

descollages
Retrouvez-moi sur twitter : descollages13 @+ Bisous
Posté le 14/01/2023

descollages
Merci Marie pour ta visite et surtout pour tes photos persos reçues par mail dernièrement à Noël ! Je t'embrasse sur ta petite chatte poilue comme tu aimes. @+ Descollages
Posté le 5/01/2023

Guépiere
Bravo Sabrina est aussi salope que moi et l'histoire du chien j'en veux encore il m'est arrivée une histoire similaire réelle allant beaucoup plus loin je la raconterai un jour ici à moi que tu la veuilles en exclusivité. En attendant pensez à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 22/12/2022


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Une belle-mère chaudasse