Iris 4

Iris flirtait avec moi. Je l'avais remarqué à plusieurs reprises ces derniers jours, mais je croyais me faire des idées. Elle se balade en sous vêtements de plus en plus souvent et s'est mise à faire du Yoga en mini-short et brassière tous les matins pendant que je prends mon petit déjeuner.

Proposée le 28/11/2022 par Lolita

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Thème: Première fois
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Iris flirtait avec moi.

Je l'avais remarqué à plusieurs reprises ces derniers jours, mais je croyais me faire des idées. Elle se balade en sous vêtements de plus en plus souvent et s'est mise à faire du Yoga en mini-short et brassière tous les matins pendant que je prends mon petit déjeuner. Elle laisse ses jouets traîner encore mouillés, elle est tactile. Toutes ces choses qu'elle ne faisait pas avant.

Elle m'a surpris l'autre soir, je l'observais en train de baiser une autre, encore. Elle a vu la tâche de mouille sur mon leggings gris, juste au niveau de ma chatte. Et plutôt que de me dire de m'en aller, elle a finit de baiser sa conquête en me regardant droit dans les yeux.

Elle sait que je la veux. Et, sûrement pour me faire payer mon premier refus, elle essaie de me faire craquer.

Ce soir, Iris porte une jupe très courte et un décolleté. Elle cuisine, et je rêve de lui arracher ses vêtements et plonger ma tête dans ses seins.
— Tu veux les goûter? M'interpelle Iris
— Hein ?
— Les sablés, tu veux les goûter ?
J'accepte volontiers, et ma colocataire s'approche de moi. Un sablé en main.
— Ouvre la bouche.
Sale garce.
J'obéis et elle aime ça. Car Iris est une dominante, c'est ce que j'ai remarqué. Même quand elle se fait prendre, c'est elle qui donne les ordres.
Elle glisse le sable dans ma bouche et laisse ses doigts glisser sur mes lèvres.
— Tu aimes ça ?
Je hoche la tête sans dire un mot.
— Tu en veux plus ?
Je hoche à nouveau la tête, hypnotisée par son regard bleu profond.
— Dis le.
— J'en veux plus
Iris glisse un sablé entre ses lèvres et s'approche des miennes. J'ouvre la bouche et prends l'autre bout de sablé en bouche. Nous le mangeons doucement, sachant pertinemment que cette dégustation amènera sur un baiser. Je tremble mais je prends mon temps. Iris ferme les yeux lorsque nos lèvres se touchent, moi, je n'ose pas.

Elles sont douces et ont un goût de sucre, exactement comme je les avait imaginées. J'entreprends immédiatement de glisser ma langue entre ses lèvres, hors de question de laisser passer une occasion de me le faire.
— Tu me veux, hein ?
— Oui, je te veux, dis-je en approfondissant le baiser.
Elle porte ma main à son sein que je malaxe allègrement.
— Tu veux que je te baise comme je baise toutes les autres ?
Ma réponse n'est rien d'autre qu'un gémissement d'excitation.
— Tu te touches tous les soirs en pensant à moi ?
Je réponds encore par la positive en serra son sein plus fort.
Elle prend ma main libre et la glisse sur sa culotte.
— C'est de ça dont tu rêves ?
— Oui putain.
Iris romp notre baiser et me tire jusqu'à la cuisine. Elle retire sa culotte, monte sur le plan de travail et écarte les jambes. Je sens sa mouille et son odeur est exquise.
— Elle est à toi, bouffe la, suce la, lèche la, doigte là. Fais moi jouir et je te ferais passer la nuit de ta vie.
Je ne me fait pas attendre plus longtemps en plonge ma tête entre ses jambes. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Alors ma langue entre directement en action. Enfin. Je mange Iris.

Son clitoris est ma nouvelle arme. Je le suce, l'aspire, joue avec. Et Iris me tire les cheveux en soufflant qu'elle aime ça. Je leche ses lèvres, son trou, bavant à souhait. Sa chatte est mienne, il faut qu'elle jouisse. Je la dévore, sans m'arrêter.
— Met moi tes putains de doigts, m'ordonne-t-elle.
Je m'execute et les enfonce en elle. Je la doigte aussi vite que je la mange et ses couinements m'indiquent que c'est ce qu'elle veut. Le bruit de sa mouille raisonne.
— Putain, putain, putain, vas-y dit elle en appuyant ma tête contre son entre jambe.
Je la leche de bas en haut sans m'arrêter et sens ses muscles se tendrent. Elle cri de plaisir et soupire une dernière fois.
— C'était parfait, dit- elle en descendant du plan de travail, maintenant déshabille toi.

Les minutes suivantes furent enfin la réalisation de mes rêves. La bouche d'iris sur mes seins, ses doigts entre mes jambes. Que pouvais-je rêver de mieux ?
— Tu vas t'allonger et je vais frotter ma chatte à la tienne.
Je m'execute tandis qu'Iris se place au dessus de moi en ciseau.
Nos chattes dégoulinantes suffisent comme lubrifiant. Et Iris ne met pas longtemps en se frotter ardument contre moi, je ne la reconnais pas, elle cri comme un animal et baise ma chatte comme aucun homme n'aurait pu le faire. Elle se fait du bien sûr moi et qu'est ce que c'est bon.
— T'aimes ça ?
— Oui, j'aime ça, dis-je entre deux gemissements.
— Qu'est ce que tu veux de plus ? Dit-elle en se frottant toujours contre ma chatte trempée.
Je sais ce dont je rêve, ce que j'ai envie de faire depuis si longtemps.
— Prends moi le cul, avec ton gode ceinture... je t'en supplie.
Si elle garde cette hargne pour me baiser, je ne peux que jouir.
Iris se lève et reccupere son gode qu'elle enfile. Je vois la grosse bite droite et frisonne à l'idée de la sentir en moi.
— À quatre pattes, me dit-elle.
Je me positionne. Iris crache sur mon anus et commence à le caresser pour me préparer.
— Non... je veux que tu me prenne d'un coup.
Iris sourit.
— Alors comme ça on aime la douleur ?
Je ne réponds pas et attend de sentir le gland en silicone forcer mon entrer. C'est exactement ce que je voulais.
Ma bite rentre, d'abord difficilement puis d'un coup sec. Ce qui m'arrache un cri de douleur.
— Ça va ? Demande Iris.
— baise moi, soufflais-je.
La blonde aime ce qu'elle entend et n'attends pas plus pour se mettre à me pilonner. Je tremble, je frisonne. C'est si bon. Elle me donne des coups de reins, mon anus s'étire et le gode tape encore et encore en moi.
— Oui, oui, oui, oui, hurlais-je.
Ça encourage Iris qui visiblement était toujours un peu sur la retenue. Elle tape plus fort et m'arrache un hurlement, ma mouille dégouline le long de mes cuisses, Iris me traite de petite salope et j'y prends d'autant plus de plaisir. Mon corps entier tremble, mon orgasme monte, je vais jouir. Je hurle de toutes mes forces, du liquide gicle de ma chatte, les larmes roulent sur mes joues.

C'était le meilleur coup de ma vie.

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