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Moi et les filles (3)

Je suis de retour chez moi à Paris pour retrouver mon Pote Vivien, tout heureux de me raconter ses séances de cul avec sa copine. Je ne peux pas lui avoué que j'ai couché avec une des belle-fille de mon père chez qui je loge pour suivre mes études.

Proposée le 23/11/2022 par Seblebeau

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Chapitre 3
Moi et Vivien
À la suite de l’annonce de mon père de nous laisser seuls les filles et moi, pour nouvel an, nous passons le week-end ensemble en famille. Entre bataille de boule de neige, chocolat chaud au coin du feu et pizza partie devant la télévision.

Pour une fois, les filles avaient mis des tenues plus chaudes où l’on ne pouvait rien voir. Malgré tout, je pense qu’elles n’ont pas de culottes sous leur pyjama. Il ne reste plus qu’une semaine avant les vacances de noël et en cette période le temps passe trop vite.
Il est l’heure d’aller se coucher. Je fais la bise à tout le monde et monte à dans ma chambre. Je plonge direct dans mon lit. Je repense à ce week-end où je viens de perdre ma virginité. Mais avouer que j’ai fait pour la première fois l’amour avec une personne qui vit sous le même toit que moi et qui fait presque partie de ma famille.

Nous n’avons certes aucun lien de sang, mais elle est la fille ainée de la femme de mon père. Que dire de mes sentiments envers Jade, à chaque fois que je la vois, ma journée s’illumine. De plus, à la suite des révélations que m’a faites Manon sur l’oreiller. Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle ressent elle aussi des sentiments pour moi.

Je ne sais pas encore si c’est comme de l’amour fraternel envers un frère qu’elle n’a jamais eu ou bien plus. Est-ce qu’un jour nous irons plus loin ensemble et passer outre ce qui nous a retenues au camping ?

Le jour de mon départ pour Paris est arrivé. Jade m’accompagne à la porte et me dit à l’oreille :
- S’il te plait vient passer le réveillon de nouvel an avec nous.
- Je ne sais pas encore, lui glisse à mon tour en lui rendant sa bise
C’est au tour de Manon de venir faire sa petite bise. Elle me glisse discrètement aussi un petit mot :
- Si tu rentres on sera très gentilles avec toi… Me dit-elle à voix basse.

Le problème c’est que j’ai promis à Vivien, mon pote d’enfance, d’aller au centre de Paris pour fêter la nouvelle année avec lui et sa nouvelle copine. Je ne vais quand même pas les planter. Bien que maintenant, je n’ai plus trop envie de partir. Mais plutôt très envie de réveillonner saint Sylvestre avec les filles. Je prends le train et le voyage me semble bien long. Mais enfin, j’arrive à la gare du nord.

Je descends du train et je tombe direct sur mon pote. On ne s’est pas revu depuis mon départ dans le Nord. On se téléphone souvent mais qu’est-ce que c’est bon de se revoir ! Tout de suite on se prend dans les bras pour se dire bonjour puis direction le métro. En chemin nous nous racontons nos vies. Les études, ma vie en campagne Lilloise et vient la question des filles.
- Alors tu as trouvé une nana ? me demande-t-il
- Non pas vraiment, rien de bien sérieux… Je reste évasif
- Alors, tu es encore puceau ! Eh bien, plus moi. Clame-t-il fière comme Artabant.
Je reconnais bien là le franc-parler de Vivien. Mais je ne peux le démentir car Manon m’a fait promettre de ne rien dire.
- A bon ? je lui réplique d’un air faussement étonné. C’est la nana de ta classe ?
- Oui Mathilde, la fille dont je t’ai parlé la semaine dernière au téléphone.
- D’accord, raconte-moi tout.
- L’autre jour, je suis allé chez elle, ses parents n’étaient pas là, on devait réviser. Après avoir travaillé une bonne heure, on a décidé de faire une pause. On a mangé des petits gâteaux puis on s’est embrassé un long moment. Elle est plutôt timide comme fille.
- Tout l’inverse de toi ! Je lui dis en me moquant de lui.
- Je peux continuer ? Me demande-t-il
- Désolé…
- Alors, on s’est embrassé et j’ai commencé à lui tripoter ses petits seins. J’ai passé mes mains sous son pull et j’ai réussi à lui dégrafer le soutien-gorge d’une main. Me dit Vivien fier de lui.
- Trop fort ! Lui dis-je en me manquant une nouvelle fois de lui.

Imperturbable, il continue son récit :
- J’ai pu lui caresser les nibards à même la peau. Ensuite, j’ai commencé à la déshabiller. A chaque fois que je découvrais un morceau de sa peau, j’embrassais cette nouvelle partie de son corps. Une fois qu’elle était en petite culotte, je me suis dessapé aussi. On s’est caressé un long moment. J’ai dû la poussé un petit peu pour qu’elle me tripote la bite et les couilles. Je lui ai demandé si elle voulait me sucer. Elle a un peu hésité au début. Elle m’a taillée une bonne pipe. Un peu timide au début, mais franchement j’ai adoré. On m’avait déjà pompé le dard, mais là, j’étais au septième ciel. Elle s’est appliquée dessus, passant sa langue tout autour de mon bout. Puis le gobant tout entier. Mon kiki était plein de bave, un truc de dingue. La fille m’a sucé jusqu’à me faire jouir. Me dit-il d’un air rêveur.
- Mais tu ne l'as pas baisé alors ?
- Attend ne soit pas si pressé ! Les puceaux alors… Me dit-il cette fois ci c’est lui qui se moque de moi.
- Très drôle !
- C’était à mon tour de lui faire plaisir, je lui ai enlevé sa petite culotte. Elle avait ses poils tout roux et un peu frisés, comme ses cheveux. Je l’ai caressée, puis je lui ai mis un doigt, j’ai léché son clitoris et je crois bien que je l’ai fait jouir. Après, on a continué à s’embrasser et comme j’étais de nouveau en forme. Ni une ni deux, j’ai enfilé une capote. Et tu sais quoi ? Me demande Vivien.
- Non mais je peux deviner. Lui dis-je.
- Elle me dit qu’elle était vierge et qu’elle avait un peu peur d’avoir mal. Mais j’avais trop envie d’elle. J’y suis allé doucement. Elle a apprécié que je fasse attention. Mais c’était trop bon, franchement rien à voir avec une branlette ! Bon, c’est sûr, c’était notre première fois. Donc ce n’était pas génial et plutôt rapide. Mais mon pote, tu devrais essayer !
- Je me doute… Lui dis-je d’une voix rêveuse en pensant à Manon, à Jade et à leur surprise…
- Depuis, on n’arrête pas de niquer ! Dit Vivien fière de lui

Je ne peux pas lui avouer que je l’ai fait avec une des filles de ma belle-mère et que j’ai envie de la faire avec l’autre aussi…

Il continue sur d’autres sujets notamment la liste des choses que l’on doit faire pendant les vacances. Mais sa petite histoire me fait repenser aux allusions des filles. Je suis en plein dans un rêve érotique. Je les vois nus devant moi. Leur poitrine a porté de mes mains. Toutes les deux penchées sur moi au niveau de mon sexe prêtent à se disputer qui va le sucer en premier. À Jade de me supplier de la dépuceler et à Manon de Jouir dans son cul. Tous mes phantasmes y passent, cela me provoque un début d’érection.
- Tu rêves ou quoi ? Me dit Vivien en me donnant un coup de coude.
- Excuse-moi, tu me disais ?
- Pour le réveillon de nouvel an, j’ai un super plan chez un pote de fac au centre de Paris. Poursuivi Vivien.
- Justement, je voulais te dire, pour le réveillon du nouvel an, je vais devoir rentrer. Désolé
- Non, tu abuses, pourquoi ? Me dit Vivien légèrement énervé.
- Les filles sont seules à la maison, le vieux veut que je sois avec elle pour fêter la nouvelle année. Il part en voyage d’affaires pour 15 jours. Je lui réponds sur un ton faussement embêté.
- En plus, on a prévu d’aller faire le décompte sur les champs. Me dit Vivien.
Je ne pouvais pas lui dire que j’espérais faire l’amour avec Jade à cette occasion et lui avouer mes sentiments pour elle. Je pense qu’il s’est vite résigné et passe à un autre sujet. Vivien reprend la conversation :
- Mathilde m’a présenté une bonne copine qu’elle a rencontrée dans le Metro. Elles sont devenues inséparables. Je suis sûr que tu vas la trouver à ton goût.
- Pourquoi ?
- Elle a tout ce que tu aimes, pas très grande avec de gros nibards. Me dit Vivien en mimant une grosse poitrine.

On arrive à notre station, on descend du métro et on monte chez moi. Là, je retrouve enfin ma mère. Cela fait depuis les vacances de Toussaint que je ne l’ai pas vu, deux mois, c'est trop long. Alors qu’avant on était toujours ensemble. Je me rends compte que c’était même trop. Il est temps à mon âge de prendre un peu de distance.
Chez mon père, c'est plutôt l’inverse qui se passe. Il me laisse vivre ma vie dans le respect des règles de son foyer. Ici, à part ranger ma chambre, je n’avais rien à faire. À Lille, je dois apprendre à laver mon linge. Les filles pour cela m’ont beaucoup aidé. Maintenant, je suis autonome pour toutes les tâches ménagères.

Ma mère me regarde de la tête aux pieds et me dit que j’ai changé. Que je suis un homme maintenant… A-t-elle deviné que j’ai passé un cap en faisant l’amour ?
Vivien repart chez lui et me rappelle que le lendemain, je suis invité chez lui à manger au soir. Je passe la soirée avec ma mère. Elle est seule depuis quelques années. Elle avait bien trouvé quelqu’un, mais celui-ci s’est avéré être un alcoolique. Depuis, je pense que trop déçu par les hommes, elle n’a plus recherché à rencontrer quelqu’un.

Elle me dit souvent qu’elle a des copines et cela lui suffit. L’une d’elles est justement la mère de Vivien. Une dame charmante, voulant absolument que son fils trouve une jolie fille. Qu’il est un travail qui lui rapporte de l’argent pour faire vivre sa famille, en bref la copie parfaite de son père.

Je passe donc une bonne nuit réparatrice et me lève après une bonne grâce matinée. Un rapide passage à la douche et le petit-déjeuner vit avaler. Je monte chez Vivien qui habite 2 étages au-dessus, puis on prend la direction du centre de Paris en passant prendre sa copine. J’ai l’impression de tenir la chandelle, car ils sont toujours en train de s’embrasser et ils ont l’air vraiment amoureux. Cela me rend un peu jaloux.

On se balade une bonne partie de la journée entre les champs et la tour Eiffel pour faire un peu de shopping et pour voir les décorations de Noël. Le midi en mange vite fait un sandwich. L’après-midi passe vite et il est déjà l’heure pour Mathilde de rentrer chez elle. On la raccompagne jusqu’à sa porte.

Une petite bise sur la joue et je laisse la place à Vivien. Ils se disent des petits mots doux et s’échangent des jolis gestes de tendresse. Ils ont du mal à se séparer. Il a l’air accro et surtout complètement différent quand elle est là. Il n’est plus ce macho un peu lourd qu’il peut être entre mecs. Je le presse un peu de peur de louper notre métro pour rentrer. Ils se donnent rendez-vous pour le lendemain.

Arrivé chez moi, Vivien rentre pour dire bonjour à ma mère et me rappelle que je suis invité à manger. Je vais vite fait me changer mais au passage je prends le téléphone. Une fois dans ma chambre, je commence à me déshabiller, puis je me couche dans mon lit et je compose le numéro de mon autre maison. Ça décroche et à la voix j’entends que c’est Manon :
- Oui, allo ?
- Salut c’est Antoine, comment vas-tu ?
- Bien et toi ? Me répond-elle.
- Bien merci.
- On te manque déjà ? Me demande Manon

Je lui réponds sur un air penaud : Un peu…
- Laisse-moi rire. Mr fait les fortes têtes, du style je ne vais pas rentrer avant l’année prochaine et tu es parti depuis à peine un jour et on te manque… Et elle pousse un rire bien gras…

Après une pause de quelques secondes, elle reprend sur un ton beaucoup plus sérieux
- Sinon, je peux faire quoi pour toi ?
- Justement, j’appelais pour vous dire que je vais peut-être quand même rentrer pour le réveillon.
- C’est vrai ? dit-elle d’une voix faussement détachée
- Oui, ce sont vos petites phrases qui m’ont fait changer d’avis. D’ailleurs, c’est quoi cette surprise de Jade et pourquoi tu m’as dit que vous allez être très gentilles ?
- Tu aimerais bien savoir, monsieur l’étalon. Me sort elle en ricanant d’une aire sadique.
- Si tu ne veux pas me le dire, je te laisse. Tu diras le bonjour à Jade. Je dois m’habiller. Je lui dis innocemment.
- Pourquoi, t’es à poil là ? Me demande Manon
- Tu aimerais bien savoir…
- Allez si c’est comme ça, je ne te dirais rien et on se revoit au réveillon de nouvel an !
- Non attend… je suis en slip et toi ?

Je sens que la conversation peut prendre une tournure intéressante
- Avec mon pyjama rose sans rien en dessous. C’est ma journée de repos et comme je ne me sentais pas très bien donc je suis resté à la maison aujourd’hui. M’explique-t-elle.

Je l’imagine avec son pyjama en satin rose façon costume chinois. Il lui va très bien et grâce à sa légèreté, il laisse deviner ses formes. Dans ma tête je la vois, elle continue :
- Mets-toi à poile et fait moi fantasmer… je te donnerais un indice sur ton cadeau.
- Attends-je ferme le verrou de ma chambre.

J’ai trop envie de savoir ce que me réservent Jade et Manon
- Ok, dépêche-toi, moi aussi je suis montée dans ma chambre.
- Je suis allongé et là, j’ai mon zizi dans la main. Lui dis-je pour commencer
- Le zizi s’est pour le petit garçon et toi je sais que tu n’es plus un petit garçon. Alors tu as pris ta bite dans ta main. Elle est comment ?
- Elle commence à grossir, je la caresse doucement. Je la masse de haut en bas. Qu’est-ce que c’est bon. Elle est toute chaude. Elle palpite d’envier. J’aimerais t’embrasser dans le cou, puis descendre vers ta jolie poitrine toute douce. Je mordillerais tes petits tétons avant de les aspirer. De l’autre main je me caresse les couilles. D’ailleurs, j’ai un bleu sur l’une de mes bourses, cela ne te dit rien ?
- Oups, cela s’appelle un suçon, ça mon petit vieux. C’est quand je t’ai sucé les bourses la dernière fois. J’y suis allé un peu fort. Mais continue, tu me fais mouiller… J’ai envie de me toucher le clitoris. Hum c’est bon.
- Je sers de plus en plus fort, ma bite est toute tendue maintenant. Moi aussi ça me fait du bien. J’aimerais tant passer ma langue entre tes lèvres du bas. Venir boire ton jus d’amour directement à ta fontaine de jouvence.
- Je sens ma petite chatte tout humide. J’ai chaud… Je me titille le clito d’une main et de l’autre je me pince les tétons. Hum c’est bon, c’est marée haute, j’ai la moule en feu. Ma chatte te réclame. Me dit-elle d’une voix de vicieuse.
- Moi aussi je mouille comme un salaud. J’aime ça me branler avec toi au téléphone. Mais je préfère quand c’est ta main qui m’astique la queue. Et après je te mettrais ma queue dans tous tes trous.
- Dans tous mes trous ? Même par derrière ?
- Pourquoi pas ? On t’a déjà fait l’amour par-là ?
- Non, on m’a juste mis un doigt. Je n’ai jamais voulu plus. Je suis encore vierge du cul. Mais qui sait avec toi tout est possible… Et toi tu aimerais te faire prendre le petit trou ? Me demande-t-elle
- Je ne sais pas, je n’y ai jamais réfléchi…
- J’ai de plus en plus chaud. Là je me suis mis deux doigts dans la chatte et je sens que ça monte. Tu sais, je ne pense qu’à toi depuis que l'on a fait l’amour ensemble la semaine dernière. Me dit-elle
- Moi aussi, dès que je ferme les yeux, je te vois nue allongée sur mon lit, les jambes écartées, une main qui écarte tes lèvres pour m’indiquer le chemin et l’autre qui titille ton clitoris.
J’entends ma mère vouloir entrer dans ma chambre et me dire :
- Je monte chez Vivien, tu me rejoins ?
- Oui j’arrive. En criant à travers ma porte

Je reprends le téléphone et Manon me dit :
- Je te laisse ta « maman » t’attend. A plus…

La salope, elle me raccroche au nez. Je reste là le pénis luisant de mouille dans la main droite et le téléphone dans l’autre. Je ne sais pas quoi faire. Est-ce que je finis tout seul ou je m’habille vite fait. Je connais Vivien et je sais qu’il va m’emmerder si je viens trop tard. Je me soulagerais ce soir en rentrant.

Donc, je me relève pour m’habiller. J’ai du mal à faire entrer mon sexe dans un caleçon propre puis dans mon pantalon. Je sors de ma chambre, direction l’appart de mon pote. Je ne savais pas que ma mère est invitée aussi.

Nous passons une bonne soirée. Entre le père de Vivien, sa mère et la mienne, le courant passe très bien et se depuis que l’on habite ici. C’est surtout les ragots de l’immeuble qu’ils échangent. Moi, je parle surtout avec Vivien et sa petite sœur. Elle a 16 ans mais ressemble déjà beaucoup à une petite femme. Elle me drague souvent. Même ce soir, elle me fait du rentre dedans devant tout le monde.

Elle me complimente souvent sur mon corps, mes cheveux blonds, mes soi-disant muscles et que s’est dommage de cacher mes yeux bleus derrière mes lunettes. On l’aura compris, je lui plais. Mais moi hélas pour elle, je ne suis pas attiré. D’une elle est trop jeune, de deux c’est la sœur de mon pote et de trois, beaucoup trop mince pas assez de forme. Cela amuse beaucoup Vivien qui n’est pas le dernier pour en rajouter et de la relancer.

Avec les parents, nous parlons essentiellement des études. Vivien galère tout comme moi, on ne chope pas la moyenne. Puis on parle de tout en oubliant de parler des filles, sujet au combien sensible en ce moment. Pour les parents pas question d’avoir une copine tant que nos notes ne sont redevenues correctes. Avec Vivien, on s’échappe pour aller dans sa chambre et jouer à la console, mais sa sœur nous suit. Vivien me glisse d’un coup :
- Et si on descendait à la cave ?
- Maintenant ?
- Ça va, il n’est pas trop tard. Me répond Vivien.

Je sais ce que cela veut dire, il veut aller mater ses bouquins de cul. Depuis qu’il est majeur, il n’arrête pas d’en acheter. On descend donc à la cave en prétextant aller voir des copains de l’immeuble d’à côté. On s’installe sur le vieux clic-clac et il sort ses nouvelles revues.

La vue des corps dénudés des filles aux mensurations plus que généreuse me font bander. Surtout que tout à l’heure, je n’ai pas pu finir ce que j’avais commencé. Apparemment Vivien aussi, car il se caresse la queue à travers son jean. Ce n’est pas la première fois que l’on se retrouve ici à se branler tous les deux. Au bot de 5mn, il descend son pantalon et sort sa bite. Je lui matte un peu la queue, même si ce n’est pas une découverte, elle est vraiment plus petite que la mienne et moins grosse.

Je commence aussi à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Alors, je ne me gêne pas pour l’imiter et baisse mon pantalon. Je prends mon sexe d’une main. Je peux comparer nos bites. Ma queue fait au moins vingt centimètre et la sienne douze ou treize cm. En revanche, quand il bande, son gland est pratiquement découvert. Le mien reste pratiquement recouvert par mon prépuce.

Il faut que je me décalotte. Je sens encore ma queue toute collante de l’excitation d’avec Manon. Je reste bloqué sur une nana au gros sein, la peau bronzée, la chatte entièrement rasée avec un doigt dedans et un regard qui me dit : « Vient me la mettre tout au fond ».

Après avoir encore tourné quelques pages, Vivien se reprend le gourdin et commence à se masturber doucement. On s’est déjà branler mutuellement la bite et nous ne sommes jamais allés plus loin. Mais là, je ne pense pas qu’à part se secouer la nouille chacun dans notre coin, il ne se passera rien d’autre.

Je mouille beaucoup et j’imagine Manon ou Jade à la place de quelques-unes des filles des photos. Bien souvent, quand il y a mec, on ne voit pas sa tête, mais juste son « outil de travail ». Vivien m’a déjà dit qu’avec ce que j’ai entre les jambes, je pourrai faire ce genre de photo.

Je sens que je suis proche de l’éjaculation, je ralentis mais c'est difficile de résister. Je vois Vivien aussi se crisper et s’arrêter brusquement, de grands jets blancs sorts de sa bite. Je le suis de quelques secondes et joui dans un petit cri de satisfaction. Je presse mon pieu pour en faire sortir jusqu’à la dernière goutte. Nous sommes là tous les deux la bite à l’aire pleine de sperme, mais soulagés. Là, Vivien se retourne vers moi et me dit :
- Mathilde vient ici mercredi, mais pas toute seule. Elle sera avec sa copine Laura. Tu viens ?
- Tu me fais quoi comme plan ?
- Tu verras, elle est sympa. Je l’ai déjà rencontré. Et puis comme ça tu ne tiendras pas la chandelle… Ma dit-il avec un petit sourire
- Ok ça marche… Mais là il faut que l’on remonte. Lui dis-je
Nous essuyons vite fait les traces de notre semence avec des kleenex, puis direction l’appartement de Vivien pour dire bonsoir à tout le monde. On se dit à Mercredi avec Vivien.

Noël se passe comme tous les ans chez la famille avec les cousins et les cousines. Le traditionnel échange des cadeaux. Rien de bien spécial pour moi quelques habits et un peu d’argent des grands-parents. Les questions gênantes des oncles et tantes sur l’éventualité de faire connaissance d’une copine.

Je bavarde comme d’habitude une grande partie de la journée avec l’une de mes cousines, Béa. Elle est plutôt pas mal. Son corps ressemble à celui de Jade, petite avec de gros seins et de belle fesse. Elle a peut-être quelques kilos de trop. Quand nous étions plus jeunes nous sommes parties avec ses parents en vacances à la mer. Nous étions inséparables autour de nos 16 ans.

Un été, j’ai même pu la voir nue alors qu’elle se changeait dans la salle de bain. Elle avait oublié de fermer la fenêtre. C’était la première fille que je voyais à poil. Et s’est avec elle que j’ai eu mon premier baiser. Je pense que comme toutes les premières fois cela ne s’oublient jamais. Mais les traits de son visage ressemblent trop à ceux de la famille, en plus féminin quand même.

Bref rien de bien nouveau de ce côté-là. J’étais curieux d’être à mercredi pour voir ce qui allait se passer et savoir ce que Vivien nous a préparé. Cela m’a presque fait oublier la surprise des filles…

L’avenir est toujours en mouvement, on pense un jour que les choses sont écrites mais des rebondissements sont toujours possible. Qui sait ce qui va m’arriver avec toutes ces filles. Jusqu’à peu, j’étais encore puceau. À part pour Manon, je le suis toujours. Qui sera la ou les prochaines filles à me dépuceler ?

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Belle histoire même si très fantasque
Posté le 13/07/2023

Anonyme
Vivement la suite en effet
Posté le 26/11/2022

FredCurieux79
Superbe histoire
Posté le 24/11/2022

Pongodu21
Merci pour cette jolie histoire qui me donne envie de lire la suite.
Posté le 24/11/2022


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