Histoire Erotique

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Ma cousine Marion.

Je suis en week-end chez ma cousine Marion. Au moment de prendre ma douche, je me rends compte qu'elle est sur le point de me filmer à mon insu. Je vais avoir deux mots à lui dire...

Proposée le 21/11/2022 par Laurent30

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Thème: Chantage
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Dimanche matin, je me réveille paisiblement malgré l’inconfort du canapé-lit et tourne la tête en direction de la chambre de ma cousine. Marion semble dormir encore. Je descends les escaliers dans le silence de la maison jusqu’à rejoindre la cuisine. Mes parents et moi sommes venus passer le week-end chez mon oncle et ma tante. J’ai accepté de venir essentiellement pour voir ma cousine. Marion et moi avons une superbe relation. J’ai vingt ans, elle en a dix-huit. Nous nous voyons rarement à cause de la distance mais à chaque réunion de famille, notre complicité reste la même. Sourires, longues conversations et taquineries sont au rendez-vous. A chaque fois que je la revois, elle est toujours de plus en plus belle. Aujourd’hui, la petite fille que j’ai connue est devenue une femme. 1m70, cheveux châtains clair qui s’allient parfaitement avec son teint légèrement marbré. Elle a aussi développé de belles formes. Deux jolis seins de taille parfaite et un petit cul bien ferme que je n’ai pas manqué de remarquer la veille, quand elle se trimballait dans son mini-short.
La journée d’hier a été appréciable. En ce chaud samedi de mai, les sujets de conversation se sont étirés jusqu’au crépuscule. Avant d’aller dormir, elle m’a collé un bisous sur la joue. Lorsque je me suis couché sur le canapé lit, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à elle, de l’autre côté de la porte, dans sa chambre. Je me suis masturbé en l’imaginant faire de même. Caresser ses petits tétons et jouer avec son clitoris humide. Cette vision m’a fait jouir dans les draps.

Ce matin, mes parents et les siens sont partis tôt en randonnée et ne reviendront pas avant le début d'après-midi. Je me sers d'un café au moment où Marion me rejoint dans la cuisine. En haut, une chemisette ouverte au deuxième bout. En bas, le même mini short que la veille. Instantanément, je sens ma bite prendre du volume.

T’as passé une bonne nuit ?
Oui, mais j’ai eu chaud !

Nous prenons le petit déjeuner ensemble avec la complicité qui est la nôtre.

Tu vas aller prendre une douche ? me demande-elle.
Oui, ça va me faire du bien.

Sans plus attendre, je file à l’étage pour m’enfermer dans la salle de bain. Je me déshabille entièrement puis entre dans la cabine. Une fois, sous le jet, je repense à Marion et ma bite se lève de nouveau. Je m’applique à la savonner. Non sans plaisir.
Une fois la douche terminée, j’enfile un peignoir et commence à me sécher. C’est alors que mon regard s’arrête sur un détail qui marque l’étagère en face de moi. Je n’en crois pas mes yeux. La garce !

Je m’invite dans sa chambre après avoir toqué à la porte. Marion me dévisage d’un air surpris. Sans doute parce que je suis en peignoir et que j’attire son attention sur un objet qui se trouve dans ma main droite. Lorsqu’elle aperçoit le téléphone, sa mine se décompose.

C’est le tient ?
N… Non, bégaye-elle.
Marion, arrête. Je le reconnais. Il était caché dans le panier en osier avec juste la caméra qui dépasse. Tu peux m’expliquer ?
Je… C’était juste une blague.
Elle est de plus en plus mal à l’aise et au bord des larmes. Elle sait qu’elle est prise sur le fait et qu’il n’y a plus rien à faire.

Tu voulais me filmer à poil ? Pourquoi ? Tu sais que c’est grave ? Je vais devoir le dire aux parents.
Non, ne fais pas ça, je t’en prie ! Je suis désolée, je n’aurais pas dû. Ne leur dit rien.

Elle est en train de me supplier. Je m’avance vers elle puis, sans prévenir, j’ouvre mon peignoir pour lui dévoiler mon corps.

C’est ça que tu voulais voir ?

Elle ne répond pas. Ses yeux sont figés sur ma bite. Je décerne dans ses pupilles un mélange d'effarement et d’excitation. Je laisse tomber le peignoir à mes pieds et déambule complètement nu devant elle.

Avoue que c’est mieux en vrai qu’en vidéo ?

Elle ne réagit toujours pas.

Si tu ne veux pas que je le dise aux parents, on peut peut-être s’arranger, dis-je en m’asseyant sur le bord de son lit, le sexe totalement en érection. Je ne suis pas contre une petite branlette matinale.

A ma grande surprise, Marion s'assoit à côté de moi et me caresse les couilles. Elle commence à me branler maladroitement et je sens le plaisir monter. Elle n’attendait que ça. Elle devait préparer son plan depuis des jours. Me filmer à mon insu puis se masturber devant la vidéo.

Je suis désolée pour la salle de bain, je voulais juste te voir nu. C’était l’occasion rêvée. Tu m’as toujours excitée.
Alors profite-en.

Marion continue de me branler puis s’agenouille devant moi. Ses yeux pétillent de désir devant ma bite dressée à dix centimètres de son visage. Elle me lèche timidement la verge avant de la prendre pleine bouche. Je gémis de plaisir. Elle fait de longs va et vient tout en jouant avec sa langue. Puis elle commence à lecher mes couilles pleines. Je suis au bord de la jouissance. Ma cousine s’y prend parfaitement et elle à l’air d’adorer ma bite fraîchement savonnée. Après dix minutes d'une savoureuse fellation, je lui ordonne de se relever. Je suis toujours assis sur le bord du lit tandis qu’elle se tient debout devant moi. Je détache les boutons de son chemisier pour lui retirer complètement et dévoiler ses seins. Ils sont encore mieux que dans mes fantasmes. Deux belles pêches qui tiennent en main. Je m’amuse à les presser légèrement.

Ils sont magnifiques, dis-je en lui suçant les tétons.

Je baisse ensuite son mini-short jusqu’à ses chevilles pour me retrouver face à sa chatte. L’épilation récente a laissé survivre quelques poils clairs. Je dépose un baiser sur son sexe tout en empoignant ses deux fesses. Elle respire de plus en plus fort alors que je roule des pelles à sa chatte. Je la fais basculer sur le lit et nous nous allongeons tous les deux totalement nus et excités.

Est-ce que c’est bien ce qu’on fait ? s’inquiète-elle.
Profite. On réfléchira après.

Je lui lève les deux jambes en chandelles et m’allonge sur le ventre pour avoir la meilleure vue sur sa chatte et son beau cul. Je commence à lui lecher ses petites lèvres humides tout en jouant avec son clito. Elle ne peut plus retenir son plaisir qu’elle exprime à grands bruits.

Elle est bonne ta chatte.

Je prends tout mon temps pour faire durer le bonheur. Ma bite est sur le point d’exploser. J’ai envie de la prendre en levrette et dans tous les sens. La baiser jusqu’à n’en plus pouvoir mais c’est la limite à ne pas franchir. Pas de pénétration.
Je m’allonge ensuite sur le dos tandis qu’elle se place au-dessus de moi en position six neuf. Elle me suce longuement pendant que je lui mange la chatte tout en claquant son cul bien ferme. La maison est silencieuse, seuls nos gémissements se font entendre pendant de longues minutes.

Je vais jouir ! m’annonce Marion.

Je retire ma langue de son sexe mouillé de plaisir pour y placer deux doigts. Elle se cambre et crie de plus en plus fort. L’orgasme est puissant. Elle est secouée de spasme. Je décide de profiter pleinement de cette image. La chatte et l’anus de ma cousine plaqués contre mon visage.
Elle se couche sur le dos et tente de reprendre sa respiration.

Et toi, tu as jouis ? me demande-t-elle.
Non, pas encore.

Bite en main, je me place au-dessus d’elle. J’ai envie de me finir sur ses seins. Je me branle pendant que son regard est planté dans le mien. Elle me chatouille légèrement les couilles pour les vider plus vite. Je sens l’orgasme arriver et explose d’un plaisir intense. Je jouis bruyamment tandis que des jets de sperme atterrissent sur les seins de Marion. Elle en reçoit aussi sur la joue. Une fois terminée, je m’écroule à côté d’elle.

C’est à moi de prendre une douche, annonce-t-elle en riant.

Je la regarde quitter la chambre à poil tout en suivant son petit cul des yeux avec l’envie folle de le croquer encore et encore.


Les parents sont rentrés à la maison sur le coup des seize heures. Marion et moi les avons accueillis comme si de rien n’était. Nos regards complices n’ont pas arrêté de s’’attraper durant tout le reste de la journée. Le week-end touche à sa fin et nous sommes sur le départ. Marion est montée dans sa chambre après m’avoir subtilement fait comprendre que je devais la rejoindre. Ce que je fais. Lorsque j’arrive, elle est adossée au bureau avec un air un peu étrange.

Est-ce que cela va se reproduire ? demande-elle.
Non, il ne vaut mieux pas. C’était un moment d’égarement.
Tu n’as pas aimé ?
Si, j’ai adoré mais il vaut mieux qu’on s’arrête là. Il ne faut pas qu’on oublie que l’on est cousin, cousine.
Oui… tu as raison, avoue elle un peu déçue.
Je n’ai pas supprimé la vidéo de ton téléphone. Tu pourras toujours la regarder de temps en temps.
Avec plaisir, s’exclame-elle avec un sourire.
J’aimerais bien un petit souvenir moi aussi, dis-je en sortant mon téléphone.
Qu’est ce que tu veux dire ?
Une photo. Sans ton visage, ne t’inquiète pas.

Marion hésite mais devant mon insistance, elle finit par abdiquer. Elle baisse son pantalon et sa culotte jusqu’aux chevilles puis remonte son débardeur au-dessus de sa magnifique poitrine. Je me mets à bander en prenant en photo ses magnifiques attributs.

Retourne-toi.

Une nouvelle fois, ma cousine hésite avant d'obéir. Elle me tourne le dos et se cambre sur le bureau. Je prends en photo ses belles fesses nues. Je dois me battre contre l’envie folle de la prendre en levrette avant de partir. Je me contente d’avancer pour lui embrasser la joue et lui mettre une bonne claque sur la fesse droite.

A bientôt Marion. On se voit à Noël.

Je suis dans mon lit lorsque je reçois un message de ma cousine.
“J’adore la vidéo !” écrit-elle.
Je souris. Lorsque j’ai repéré son téléphone dans la salle de bain, j'en ai profité pour me masturber devant la caméra puis j’ai enregistré la vidéo. Marion a dû être agréablement surprise. Je l’imagine en train de se toucher en regardant les images. Je vais instantanément regarder celles que j’ai prises avant de partir. Je zoome sur sa petite chatte que j’ai tant aimé lecher. Je ferme les yeux et commence à me branler. Je m’imagine la prendre sur son bureau.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Pongodu21
Bien excitant. Merci à l'auteur
Posté le 23/11/2022


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