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Le retour de Cécile

Un soir de solitude et de frustration, une impulsion me fait envoyer un sms à Cécile, mon ex dont vous avez déjà beaucoup entendu parler. J'étais loin de me douter de la tournure que prendraient les événements.

Proposée le 19/11/2022 par Korn

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Lorsque l’on est célibataire depuis un moment et en manque de sexe, on finit souvent par faire des bêtises. Dans ces moments, la pire idée que l’on puisse avoir est probablement de recontacter son ex avec laquelle les choses se sont très mal passées. Mais il arrive parfois que l’issue en soit plaisante et c’est cette histoire que je vais vous raconter.

Notre récit commence un soir de juin, dans la solitude de mon appartement. Un soir d’ennui après une journée de travail. Une soirée passée sur Facebook à faire défiler mon fil et à regarder les photos des copines. Au milieu de tous ces clichés, un retint mon attention. Parmi un groupe de potes, on y voyait Cécile en bikini.

En observant l’image vieille de plus de 3 ans, je me rendis compte que j’avais oublié à quel point elle était jolie avant que la haine et la rage ne me la rendent affreuse. Maintenant que la détestation l’avait cédé à l’indifférence, je pouvais à nouveau apprécier son visage rond au menton légèrement pointu, ses grands yeux noisettes, ses boucles blondes, sa petite bouche aux lèvres charnues, véritable appel au baiser, et ses nombreux grains de beauté.

J’avais aussi oublié à quel point elle avait un corps bien proportionné, avec des hanches très larges, une taille de guêpe et de belles épaules. Plus que tout, j’avais oublié à quel point elle avait de gros seins. Sur la photo, on les voyait clairement déborder du haut de maillot, comme s’ils cherchaient à se montrer dans leur glorieuse, et quelque peu flasque, immensité. Ils n’étaient certes pas aussi massifs que ceux de Florence, de Sabrina ou encore d’Ilhem, mais après des mois à pratiquer Adeline ils me paraissaient cyclopéens.

A force de fixer mon regard sur cette poitrine, je sentis un trouble m’envahir. Souffle court, picotement dans l’entre-jambe, un début d’excitation sexuelle pointait le bout de son nez.

J’aurais probablement dû me rappeler les 3 années de missionnaire fade, mais 4 mois d’abstinence me remirent en mémoire nos derniers ébats. La sodomie acharnée sous la douche, la douce étreinte de ses mamelles autour de ma queue, la fellation forcenée, les jets de sperme sur sa peau laiteuse…

J’étais déjà bien échauffé lorsque je tapai le nom de Cécile dans la barre de recherche de Facebook. Sous mes yeux s’affichait sa métamorphose. Elle avait perdu beaucoup de poids, retrouvé la silhouette de rêve de notre rencontre. Sur chaque cliché, la pudique Cécile s’affichait en maillot de bain, en robes courtes et décolletées, en débardeur…

Je bandais tout à fait lorsque je rédigeai un premier message d’une affligeante banalité.

« Bonsoir Cécile. Ça fait un bail, du coup je viens un peu aux nouvelles. Bonne soirée, Ludo. »

Je passais les 45 minutes à guetter sa réponse tout en reluquant son profil. Enfin, je vis qu’elle écrivait, je sentis un froid mordant envahir mon poitrine.

« Bonsoir Ludovic. Tout va bien pour moi, merci. »

Je n’aurais pas pu envisager réponse plus glaciale. Ce qui n’avait rien d’étonnant compte de comment je l’avais quittée. Mais au moins ne m’avait-elle pas insulté. Je tentais une relance :

« Moi : Cool :) Tu deviens quoi ?
Cécile : Je viens de valider mon master.
M : Oh, félicitations !
C : Merci.
C : Pourquoi t’es venu me parler ?
M : Pour rien. Je pensais à toi, je me demandais ce que tu devenais, c’est tout.
C : Du coup tu sais.
M : Oui ^^
M : Bon, je comprends que tu veuilles pas me parler, c’est déjà gentil d’avoir répondu:)
C : Non, je m’en cogne en fait.
M : C’est à dire ?
C : J’ai ni envie ni pas envie de te parler. Tu fais plus partie de ma vie, c’est tout.
M : C’est un fait. D’ailleurs je pense que je te dois des excuses pour la façon dont je t’ai larguée.
C : Et moi pour à quel point j’ai pu être chiante pendant 3 ans.
M : Alors disons 1 partout, balle au centre ?
C : Ça me va.

Je regardai rapidement l’heure. 19H30, il y avait peut-être un coup à jouer…

M : Du coup je te paye un verre pour papoter un peu ?
C : T’es toujours aussi culotté.
M : Certaines choses ne changent jamais :)
C : Je vois ça…
M : On peut parler sur Messenger aussi, mais je trouve ça plus sympa en vrai.
C : Je trouve aussi.

Je sentis mon cœur s’emballer. Elle semblait mordre à l’hameçon.

C : On dit 21h au pub ? Faudra pas que je rentre trop tard par contre.
M : Pourquoi ?
C : J’ai toujours pas le permis.
M : Au pire je te dépose, c’est pas un souci.
C : On verra. Du coup 21h ?
M : Ça me va.
C : Je vais me préparer du coup, t’as changé de numéro ?
M : Non.
C : Super, à tout à l’heure alors.
M : A tout de suite.

Je pris une douche rapide, me coiffai, tondis ma barbe, enfilai ma plus belle chemise, ajoutai une touche de parfum. J’étais tellement en manque que même pour Cécile je pouvais faire tous les efforts du monde ce soir-là.

Mon appartement se situait tout près du pub et j’arrivai très en avance. Je patientai à une table, attendant l’arrivée de Cécile devant une pinte fraîche. Fidèle à sa légendaire ponctualité, la jeune femme arriva une dizaine de minute en retard en faisant se retourner la moitié du bar sur son passage. Elle avait revêtu une robe d’été qui lui arrivait à mi-cuisses et lui faisait un décolleté plongeant mettant en avant son imposante gorge. Elle me vit, me fit un petit signe de la main et, après un détour par le comptoir, s’assit sur la banquette face à moi avec une pinte de Guinness.

— Tu bois toujours cette horreur ?

Elle me renvoya un rictus.

— C’est toujours meilleur que tes blondes.

— Que veux-tu, j’ai un goût pour les blondes.

Elle ne releva pas le sous-entendu.

— Alors, tu deviens quoi ? Toujours kiné ?

— Oui, je me suis pas recyclé en un an, rigolai-je.

— T’as fini par abandonner le public ?

— Non, je fais toujours mi-temps hôpital et mi-temps libéral.

— C’est pas comme ça que tu deviendras riche.

— C’est suffisant pour un célibataire.

A son regard, je vis que cette fois elle mordait à l’hameçon.

— Ça fait combien de temps ? demanda-t-elle innocemment en sirotant sa bière.

— Quatre mois. Et toi ?

— Deux.

— De couple ?

— De célibat.

« Intéressant » songeai-je.

On continua de parler de tout et de rien, à se raconter ce qu’on avait fait cette année. Ses voyages, les livres qu’on avait lu, les films qu’on avait vu. Ses études, mon boulot. La première pinte céda la place à une deuxième, la deuxième à une troisième. Cécile commençait à avoir les joues rouges et moi à voir légèrement flou, nos voix se firent légèrement pâteuses. La conversation dériva vers ses amis que je ne portais toujours pas dans mon cœur.

— Non, mais tu verrais Sabrina… Depuis qu’elle est avec son copain, c’est devenu une petite fille sage et fidèle.

— Sérieux ?

La Sabrina que j’avais connue était plutôt adepte du libertinage et des partouzes que de la monogamie. Mais cela expliquait pourquoi elle ne m’avait jamais répondu.

— Ouais… Heureusement que j’ai couché avec elle avant.

Je manquais de m’étrangler avec ma bière.

— Quoi ? T’as couché avec Sabrina ?

Cécile haussa les épaules avec un grand sourire.

— Oui, je voulais tester avec une fille et elle est bonne. Du coup maintenant je sais que c’est pas mon truc de brouter des minous.

— Ah ?

— Oui, je préfère sucer des queues en fait.

J’eus un rictus. Ça ne ressemblait tellement pas à la Cécile que j’avais connu.

— Tu t’es lâchée on dirait, relevai-je.

— Si tu savais…

— Bah raconte.

Elle leva les mains, se mit à compter théâtralement sur ses doigts.

— Alooooors… J’ai fait un plan à trois avec Laura et Hugo, un autre avec Mathieu et Hélène. D’ailleurs Mathieu a une bite énorme, t’es un petit joueur à côté.

— Merci du compliment, grimaçai-je.

— Un plan à quatre avec Thibault, Mike et Will…

— Sérieux ?

— Oh oui. C’est rigolo d’avoir une queue dans chaque trou, mais eux c’étaient pas des coups terribles.

A cet instant je réalisai qu’elle était complètement bourrée. Mais moi aussi, parce que ses confessions me donnaient la trique.

— Parce que t’as testé en dehors aussi ?

— Avec tous, dit-elle en riant. Mais c’était vraiment pas fou.

— T’as été bien occupée…

— Et j’ai eu deux copains entre-temps. Le dernier avait une espèce de fétiche pour mes fesses, il me prenait le cul tous les jours.

— Tu as fini par aimer ça on dirait.

— Pas avec lui en tout cas. Mais t’as réussi à m’y donner goût, ça c’est sûr.

Elle regarda sa chope vide.

— Du coup, demanda-t-elle, on va chez toi ou chez moi ?

— Comment ça ?

— Ça va, j’suis pas aussi conne. Tu m’as pas écrit pour faire la conversation, t’avais juste envie de baiser.

Je grimaçai. Piégé.

— Disons que c’était une option.

— Bah dis-toi que si j’ai répondu, c’est parce que ça m’arrange et que j’ai très envie de me faire sauter. Donc chez toi ou chez moi ?

— T’es si pressée ?

— J’ai plus de bière et j’ai la chatte en feu à te parler de tout ça.

— J’habite plus près. On est d’accord que c’est juste pour du sexe ?

— Oui, oui.

— On y va ?

On se leva et j’allai payer nos consommations. J’habitais à quatre rues du pub, dans un vieil immeuble refait à neuf à l’exception de l’ascenseur antédiluvien : mon appartement se situant au 8e et dernier étage, l’ascension durait presque 5 minutes.

Lorsque les portes s’ouvrirent, le string de Cécile était baissé à mi-cuisses, les bretelles de sa robe reposaient sur ses hanches, son soutien-gorge sur sa taille et mes doigts fourrageaient son abricot juteux, tandis que ma bouche dévorait ses mamelles et qu’elle branlait ma queue. On ne prit même pas la peine de se rhabiller avant de se ruer vers mon chez-moi, Cécile préféra même retirer directement son dessous.

Aucune subtilité, aucune retenue, on fonça directement dans ma chambre. En quelques secondes nous étions nus et je chevauchais Cécile qui me rendait chaque coup de reins. Après des mois à me masturber sur des pornos, c’était tellement bon de me sentir à nouveau enfoncé dans un vagin chaud et dégoulinant de plaisir. Comme je me sentais proche de la délivrance, je la fis asseoir sur moi pour ralentir un peu le rythme tout en bouffant ses seins. Cela me fit redescendre assez pour pouvoir ensuite la prendre en levrette.

— Je peux jouir sur toi ? haletai-je au bord de l’orgasme.

— Si tu veux, répondit-elle en gémissant.

Cécile se mit à genoux, me présenta son joli minois que j’aspergeai copieusement. Toute dégoulinante de mes 2 mois de frustration, la blonde se rejeta en arrière et s’étira sur le lit en feulant.

— Huuuum, ça fait du bien de baiser.

— C’est clair, ça fait tellement de bien, renchéris-je en lui tendant une boite de mouchoirs.

Elle s’essuya, me regarda.

— M’en veux pas, faut que je dorme.

— Pas de souci, bonne nuit.

Cécile se retourna sur le côté et s’assoupit presque instantanément. Je réalisai que dans notre frénésie de jouissance, nous ne nous étions même pas embrassés et que cela me convenait parfaitement.

Je fus réveillé par ma partenaire qui s’étirait. Je tournai la tête vers elle, ses grands yeux me fixaient avec convoitise, ses tétons pointaient au milieu de ses larges aréoles. Et moi, je bandais comme un taureau.

— Bonjour beau gosse, me dit-elle.

— Salut, bien dormi ?

— Très bien, j’ai le sommeil lourd après le sexe.

— Je te propose une partie de jambes en l’air matinale ?

— Haha, j’aimerais bien… Mais j’ai un entretien Skype pour mon doctorat, faut que je file.

Je grimaçai.

— Au pire tu peux utiliser mon PC portable, non ? Comme ça on a tout le temps de s’amuser.

— D’accord alors ! Mais à une condition.

— Laquelle ?

— On prend le temps et tu jouis en moi.

— Je peux te demander pourquoi ?

— Bah j’ai envie de prendre le maximum de plaisir, donc de faire durer. Et j’ai envie de sentir ton foutre dégouliner de ma chatte. C’est tout.

— Ok alors, fis-je en me jetant sur elle.

Je ne m’embarrassais pas de fioriture, descendis directement à son fourreau brûlant de désir. Loin de me repousser, la belle me prit la tête à deux mains pour la coller à son intimité que je m’empressais de dévorer.

— Hum, han oui, ça c’est bon… Allez, bouffe-moi la chatte. Huuuum oui comme ça, lèche bien mon clito !

Son enthousiasme me galvanisait, je fis entrer mes mains dans la danse.

— Oooh oui ! Vas-y doigte-moi fort mon salop ! Vas-y fort putain, défonce ma petite chatte ! Oui, oui, oui, comme ça, vas-y, mets plus de doigts !! Hum, c’est trop bon, oh je jouiiiiis !!

Elle poussa un cri étranglé en serrant mes cheveux entre ses dix doigts. Aussitôt libéré de son étreinte, je me dressai sur les genoux et tirai sur sa crinière pour l’attirer jusqu’à ma verge au garde-à-vous.

— Allez, suce-moi salope.

— Oh oui, répondit-elle avec enthousiasme, je suis une petite pute qui aime sucer des grosses queues !

Ce fut avec ardeur qu’elle me prit en bouche.

— Hum, commentai-je, c’est que t’as fait des progrès et que tu sais te servir de ta langue maintenant !

Elle fit « oui » de la tête. Puis, en guise de démonstration, entreprit de lécher mes bourses avec application, m’envoyant des décharges de plaisir à travers toute colonne vertébrale.

— Je vais tellement te baiser toi !

— Ben vas-y, j’attends que ça.

Je l’attrapai par les fesses, l’aidai à grimper sur moi. D’une main, elle guida ma queue en elle et écrasa son pubis sur le mien. De l’autre, elle me fit basculer pour mieux me chevaucher. Et quelle chevauchée, un véritable rodéo où elle alternait horizontal et vertical, où tantôt elle frottait son clitoris sur ma peau, tantôt elle écrasait son gros cul sur mes cuisses.

Au bout d’un moment, je pris le relai, la pilonnai accroupie sur moi. Ses lourdes mamelles pendaient juste au-dessus de ma tête, je me redressai un peu pour les téter. De là, je nous fis basculer sur le côté, me campai entre ses cuisses pour mieux marteler son intimité. Comme elle ne criait pas assez fort son plaisir à mon goût, j’appuyai le pouce sur son clitoris déjà fort enflé, le massai sans vergogne ni délicatesse.

Les halètements se muèrent en gémissements, les gémissements en cris, les cris en un ultime râle étranglé. Et alors que les spasmes d’un violent orgasme se dissipaient, j’éjaculai au fond de ses entrailles, les remplis d’une semence que je devinais aussi épaisse qu’abondante.

Vidé, je m’effondrai à côté de Cécile, qui partit d’un grand rire.

— Qu’est-ce qu’il y a ? demandai-je à moitié vexé.

— Rien, t’étais tellement gros et excité que j’ai tout senti.

— Comment ça ?

— Toutes les contractions et les jets de foutre.

Elle pouffa encore, s’enfonça deux doigts dans la chatte. Ils ressortirent couverts de cyprine et de sperme, elle les lécha goulûment.

— Ça va couler pendant des heures, j’adore.

— Salope, commentai-je en souriant.

— Oh que oui. Tu devrais pas te plaindre, t’as l’air d’avoir bien aimé baiser une salope.

Je m’étirai en acquiesçant.

— C’est clair, c’était top. Je regrette juste de pas t’avoir prise par derrière.

— Tant qu’on est célib’, rien n’empêche de se revoir.

Elle se lova contre moi, frotta sa vulve dégoulinante contre ma cuisse.

— Promis, si on recommence tu me pètes le cul comme l’an dernier.

— C’est pas de refus ma belle… Petit-dej’ ?

— Grave, je crève la dalle.

Je me levai, enfilai quelques vêtements tandis que Cécile partait à la recherche de ses fringues étalées dans l’entrée. Mes pulsions évacuées, il ne me restait que la désagréable sensation d’avoir fait une bêtise. Et si Cécile tentait de revenir ? J’avais déjà eu du mal à m’en débarrasser une fois, alors une deuxième…

Je fus cependant rapidement rassuré, car la jolie blonde ne fit pas la moindre remarque sexuelle pendant qu’elle petit-déjeunait, n’eut pas le moindre geste d’affection. Je pus donc me repaître du spectacle de ses gros seins, offert généreusement par sa robe toujours aussi décolletée et son soutien-gorge non-moins pigeonnant.

Après son petit-déjeuner, Cécile me demanda mon ordinateur portable et mon casque, comme convenu, puis fila s’installer sur mon lit. J’en profitai pour faire la vaisselle et un peu de rangement. Lorsque je poussais la porte de la chambre, je constatai que mon ex était sur le ventre, les jambes ramenées sous elle, ce qui m’offrait une vue incroyable sur son énorme fessier que le fin tissu de la robe moulait à la perfection. Je repensai soudain aux mots prononcés moins d’une heure plus tôt.

« Promis, si on recommence tu me pètes le cul. »

Le signal de la webcam était éteint, une idée me vint soudain. Je rejoignis Cécile sur le lit, elle me lança un regard mi-interrogateur, mi-réprobateur. Je passai une main sous son vêtement, lui caressai les fesses. Puis je descendis, massai sa vulve à travers le string, savourai la chaleur moite de son sexe qui transpirait de l’étoffe. Cécile me foudroya du regard mais, tout à son entretien, ne put rien dire ni faire. Et comme elle ne protestait pas, je relevai sa robe, écartai son dessous pour la doigter.

A l’étroit dans mon pantalon, je l’ouvris pour laisser un peu de place à mon début d’érection, avant de descendre le string de Cécile sur ses cuisses épaisses (pas de raisons que je sois le seul avec le sexe à l’air) et de retourner à mon ouvrage. La blonde faisait des efforts visibles pour rester parfaitement professionnelle sur Skype, mais mon entreprise commençait à porter ses fruits : les joues rosées, elle se mit à avancer et reculer légèrement pour m’accompagner.

Je fis donc entrer sa rosette dans la danse, créai un ballet de luxure : quand mon index et mon majeur allaient dans son vagin, mon pouce venait de son anus ; quand mon pouce allait dans son derrière, mon index et mon majeur venaient de son devant.

Je bandais à présent tout à fait et Cécile avait de plus en plus de mal à donner le change. Je me campai derrière elle, crachai sur sa cheminée de derrière dans laquelle j’introduisis de plus mes doigts chargés de la cyprine et du foutre qui coulaient de sa chatte. En un rien de temps, le petit orifice devint béant et j’y poussai ma queue déjà bien dure. Je pris ma partenaire par la taille pour la sodomiser brutalement, sans la moindre subtilité. Elle laissa échapper un petit cri de surprise, de douleur et de plaisir mêlés.

— Excusez-moi, ma chatte vient de me sauter dessus, se justifia-t-elle au micro.

Cécile changea de fenêtre Skype pour écrire à une certaine « Analisa. »

C : Meuf, tu sais que j’ai dormi chez mon ex ?
A : Oui, c’était bien ?
C : Super, on a baisé comme des malades:D
A : Contente pour toi:)
A : Mais t’avais pas un entretien ce matin ?
C : Si, j’suis en train de le passer.
A : T’as pu rentrer à l’heure alors ?
C : Non, je suis toujours chez lui.
A : Ah lol… Il est sympa de te laisser faire ça chez lui.
C : Ouais enfin c’était surtout pour pouvoir me sauter ce matin.
C : Et m’enculer.
A : Ah lol
A : Toujours sympa la sodo du réveil :)
C : Pas du réveil, non.
A : Hein ?
C : Il m’encule.
A : Genre maintenant ?
C : Oui :D
A : Mais t’es en entretien Oo
C : C’est ça qui est bon :D

— Je préfère me concentrer sur mon travail et éviter les distractions quand je suis sur un sujet, disait-elle à son interlocuteur pendant ce temps.

« Quelle menteuse » songeai-je en faisant claquer mes hanches contre ses fesses, mes bourses contre sa vulve. Je me désintéressai finalement de tout cela et me concentrai sur mes mains qui enserraient sa taille, mon sexe qui pilonnait son gros derrière. La situation m’avait excité au plus haut point, le matraquage de l’anus béant de Cécile fit le reste et je vins rapidement.

Je quittai la douce hospitalité de cet orifice si accueillant pour contourner sa propriétaire et lui éjaculer abondamment au visage, dont je couvris la moitié gauche de grosses tâches laiteuses, épaisses et visqueuses. Fier de mon œuvre et un peu taquin, j’essuyai mon sexe sur une de ses fesses et la laissai terminer son entretien, robe toujours relevée jusqu’à ses côtes et string toujours baissé.

Cécile me rejoignit une dizaine de minutes plus tard, toujours souillée. Un filet de sperme pendait à son menton et on ne pouvait pas manquer la longue traînée de foutre à l’intérieur de ses cuisses. Sans un mot, elle me dépassa, prit plusieurs feuilles d'essui-tout et s’essuya méthodiquement.

— T’es vraiment le pire plan cul de l’histoire… lâcha-t-elle finalement.

Je m’adossai au frigo, croisai les bras.

— Ça a pas eu l’air de te déranger pourtant.

— C’est pas comme si je pouvais protester.

— Et du coup accompagner le doigtage puis la sodomie, c’était une protestation ?

Elle fit la grimace.

— Ok, t’as gagné, c’était pour rire. J’ai pris un sacré pied.

— Moi aussi comme tu te doutes.

— Et… j’imagine qu’un dernier round n’est pas envisageable ? Ça m’a donné très envie tout ça.

— Non, désolé, je pourrai pas repartir.

Ce qui, si vous suivez mes histoires, n’était pas exactement vrai. Mais il aurait fallu une femme aussi excitante que Florence, ou Sabrina (ou Valentine que, contrairement à vous, je ne connaissais pas encore) pour que je revienne au garde-à-vous, une femme dégageant une telle puissance sexuelle que j’aurais pu continuer jusqu’au lendemain. Cécile n’était pas de ces femmes-là.

— Bon ben je vais y aller alors, dit-elle avec un air dépité.

— Comme tu veux. Tiens-moi au courant pour ton entretien.

— Oui, pas de souci. A bientôt ?

Je lui fis un clin d’œil et passai ma main sous sa robe.

— Yep.

Sitôt Cécile partie, j’eus la curiosité de regarder mon PC portable. Elle n’avait pas déconnecté sa section Skype et je pus lire l’intégralité de sa conversation avec Analisa.

Je fus flatté de constater les propos dithyrambiques de mon ex sur mes compétences au lit et fort intéressé de découvrir qu’elle comptait bien recommencer autant que possible. Je déconnectai son compte et saisis mon portable pour lui envoyer un sms :

« Salut. Passe demain soir si tu veux te faire enculer. »

La réponse ne se fit pas attendre :

« J’apporte le lubrifiant. »

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