Histoire Erotique

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Pas de deux au dîner avec Maya

Maya rentre tard de sa répétition de danse alors que son compagnon Noah prépare le dîner en l'attendant. La danseuse semble affamée, mais pas de ce que le jeune homme a cuisiné. La soirée va brusquement prendre une direction beaucoup plus sensuelle que prévu.

Proposée le 11/11/2022 par pascallarc

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Maya m’envoie un texto :

– J’arrive je suis dans le métro.

Après son cours de danse, elle me rejoint à l’appartement. Elle est en général épuisée ces soirs-là. Je prépare un dîner simple en l’attendant. Quelques minutes plus tard j’entends une clé dans la serrure et la porte s’ouvre. Je quitte un instant mes fourneaux pour l’accueillir. Maya entre en repoussant le lourd lampas noir de vignes au motif cachemire du rideau de porte, laisse tomber son sac et se jette dans mes bras. Ses cheveux habituellement longs et flottant sont coiffés en un chignon qui me laisse admirer son joli cou fin. Ses yeux de chat se ferment quand elle m’embrasse avec fougue. Le parfum de son habituel savon pour le corps, à l’huile d’argan, envahit mes narines. Elle porte un legging noir, flattant la finesse de ses jambes et un tee-shirt à manches longues. Alors qu’elle finit de m’embrasser, ses narines frétillent un instant.

– Ça sent bon, t’as fait à manger ?
– Oui, et justement, il faut que je retourne surveiller ma tambouille. C’était bien la danse ?
– Intense, je suis crevée.

Nous quittons l’entrée pour nous diriger vers la cuisine et je me replace devant les plaques de cuisson. D’un geste de la main, je lui indique une bouteille de vin ouverte, un élégant Beaune encore jeune, déjà généreux.

– J’ai pris un verre en t’attendant, sers-toi, je finis de préparer le plat.

Soulevant le couvercle de la marmite, j’hume les légumes qui fondent peu à peu, mêlés à l’huile d’olive et aux herbes sèches, thym, laurier. Maya, adossée au plan de travail en granit volcanique du Zimbabwe, m’inspecte de ses beaux yeux fatigués. Je soutiens son regard un instant. Elle est belle, grande, fine et musclée, capable d’une force insoupçonnée. En contrepartie pour récupérer après un entraînement ou un concert, elle dort des heures entières collée à moi dans le canapé. Ce soir-là, je suis en tee-shirt et pantalon à pince italien, tous deux protégés par un tablier blanc de cuisine, immaculé. Je lui demande :

– J’ai fait une espèce de ratatouille, t’as faim ?
– Pas trop pour l’instant en fait.

Je suis surpris, elle semblait intéressée en rentrant.

– Ah ? Barbouillée ?

Maya arbore un petit sourire en coin, se rapproche de moi en deux pas élégants. Ses joues fines ont rougi, peut-être sous l’effet du vin de Bourgogne. Elle et moi faisons presque la même taille. Sa bouche vient chuchoter à mon oreille d’un souffle chaud :

– J’ai envie que tu me suces. Que tu me lèches, là, en bas.

Sans quitter la marmite des yeux, je la questionne, d’une voix faussement indifférente :

– Que je te lèche la chatte ? Là, maintenant ?
– Oui, c’est ça, que tu me suces. Maintenant maintenant.

Je repose le couvercle sur la marmite et éteins la plaque à induction. Maya semble revigorée, me prend par la main, se dirige vers le salon. Elle me précède, s’assied au centre du large canapé en cuir pleine fleur. La jeune femme me toise un instant, menton relevé, écarte insolemment les cuisses. Je devine le foyer de son impatience, encore dissimulée par l’entre-jambe de son legging. Avant de la rejoindre, je retire ma Jaeger-Lecoultre que je dépose sur la table basse, de verre et d’acier brossé. Puis je viens à elle, m’agenouille à ses pieds. Mes mains caressent d’abord ses flancs puis glissent rapidement à ses hanches. Attrapant legging et tanga d’un même geste, je la déculotte, extirpe le tout vers le haut, dévoilant brusquement son cul, sa vulve aux petites lèvres courtes et ses fines cuisses musclées. Maya est souple et prend garde de ne pas me heurter en redescendant les jambes. Dans le même geste elle écarte de nouveau largement ses cuisses, qu’elle maintient levées, sans effort apparent, puis positionne ses fesses en bout d’assise. Je rejette plus loin ses vêtements avec également tablier et tee-shirt que je viens d’ôter, exposant à ses yeux gourmands pectoraux et abdominaux. Dos enfoncé dans le canapé, la jeune femme me regarde intensément. Je sais quelle partie de mon corps elle fixe en cet instant, qu’elle adore le tigre féroce bariolé de fauve et noir, crocs acérés, grondant, tatoué depuis le haut de ma poitrine qui s’étend le long de mon épaule droite jusqu’à l’avant-bras. Je pose mes mains sur ses mollets fins puis remonte doucement jusqu’à ses cuisses. Largement exposée, sa vulve glabre est fendue, offerte. Les grandes lèvres sont encore pâles, les petites déjà roses d’envie. Sa couleur ainsi que ses effluves sont aphrodisiaques.

Ma bouche s’approche, vient d’abord embrasser chastement son clitoris encore sage. La jeune femme émet vite des soupirs de contentement. Après l’avoir habituée à la chaleur de mon souffle, je m’attelle bientôt à humecter ses chairs. Le nez entre ses cuisses qu’elle resserre par instant, une odeur chaude vanillée envahit mes narines. Ma langue gourmande sollicite ses petites lèvres l’une après l’autre, par de petites touches habiles. Maya ne reste pas inactive, je sens ses doigts se perdre dans mes cheveux blonds. Des râles qu’elle émet à intervalles réguliers expriment son désir grandissant. Je persévère. Ma langue s’enfonce davantage, d’abord entre ses petites lèvres désormais gonflées de sang, remonte ensuite jusqu’à son clitoris dressé, avant de redescendre brusquement plus bas pour lécher les pourtours de sa fente creusée par l’excitation. Pendant que je l’honore, ma salive se mêle à sa mouille désormais abondante. La belle souffle :

– C’est bon… C’est bon comme ça… C’est bon ce que tu me fais…

Ses mains s’agitent, vont de ma tête au canapé qu’elle malmène, attrapent mon cou, impatiemment. Je sens le bracelet d’ivoire qu’elle porte toujours au poignet cogner mes épaules, mes bras. Ma langue s’aventure dans son orifice vaginal, la lape bientôt de l’intérieur. J’avale tout. Mon nez s’enfonce dans sa fente tiède et délicieuse. La jeune femme me saisit brusquement la tête, glisse de nouveau ses longs doigts fins dans mes cheveux et, perturbée par mes caresses, me masse maladroitement la nuque et le cuir chevelu. Ses cuisses sont prises de contractions, traversées de continus frissons. Afin de pousser davantage en elle, j’agrippe ses hanches et la tire contre moi. Encore quelques lampées prises le visage immergé entre ses petites lèvres puis je remonte lui lécher le clitoris, l’aspire, l’excite du bout de mon nez taquin. Maya ahane, crie par moment, lâche des « Putain… Oh putain… » alors que le rythme des cercles décrits par ma langue autour de son sexe s’accélère. Ses cris m’électrisent, m’excitent au plus haut point. Me redressant un peu, je lui soulève davantage le bassin. Ses cuisses ouvertes exhibent sa vulve béante et dégoulinante. Je la lèche, la déguste, pousse ma langue aussi loin que possible. Ses abdominaux se contractent violemment. La cyprine qu’elle perd imprègne mon visage, mes lèvres, mes joues. Ses sécrétions et ma salive mêlées coulent du bas de sa fente jusqu’à son cul. Le cuir du canapé en est souillé, témoin de cette fièvre. Maya perd le contrôle, m’agrippe les avant-bras, les épaules, revient serrer mon visage davantage contre sa chatte fiévreuse, me griffe le dos. Quelques minutes encore à ce rythme et elle finit par m’interrompre :

– Attends… Attends… On peut… On continue dans la chambre ?

Sans dire un mot, sourire aux lèvres, j’aide à se relever la jeune femme, que nos préliminaires ont rendu fébrile. Ramassant mon tee-shirt abandonné à proximité du canapé, je me débarbouille le visage avec le vêtement tout en suivant la belle, à laquelle la perspective de ce qui l’attend dans la chambre a rapidement redonné des forces. Adorable et sensuelle, elle me précède, marche gracieusement quelques pas devant moi. Alors qu’elle passe devant la monstrueuse carpe rouge sang du triptyque d’estampes de Kuniyoshi décorant le salon, Maya ôte une broche de son chignon qui libère de lisses cheveux noir de jais, lesquels s’éparpillent sur ses épaules et son dos. La danseuse fait un élégant tour sur elle-même, par jeu et pour le plus grand plaisir de mes yeux. Mon regard revient prestement à ses fesses fermes et musclées, promesse délicieuse attisant ma convoitise.

La belle entre dans la chambre la première. Elle grimpe sur le lit taille royale et impatiente, se positionne à quatre pattes sur la housse de couette en lin, le cul tourné vers moi. Je la rejoins, déboutonnant en chemin mon pantalon qui glisse sur l’épaisse moquette de la chambre. Ma folle érection déforme mon boxer que je décide de conserver pour l’instant. Je m’assieds sur le bord du lit, derrière elle, lui embrasse directement les fesses pendant que la pulpe de mes doigts effleure la peau de sa croupe jusqu’au bas de ses cuisses. Maya frissonne, puis tourne sa tête vers moi et souffle :

– J’aimerais aussi que tu me lèches le cul…

J’enregistre sa demande licencieuse et sans un mot, me positionne entre ses jambes. J’aime qu’elle me sollicite, osant réclamer les plus intimes pratiques. Une fois en place, je saisis fermement ses belles fesses musclées. Maya frémit par anticipation. J’approche mon visage et dans le même temps de la main droite je caresse sa belle vulve ouverte et trempée. Mon pouce excite un moment son clitoris, puis remonte, traçant le contour de ses petites lèvres rougies. La respiration de la jeune femme s’accélère. Ma langue parcourt son sillon interfessier, puis s’attarde sur la tendre muqueuse rose et brune. Profitant de sa ferme douceur, ma langue pénètre le muscle puissant, s’y glisse insolemment. Maya grogne, m’encourage à continuer. Quelques intrusions plus tard, j’imbibe mon doigt de sa mouille abondante plus bas et l’essuie sur son anus avant de sur-le-champ lécher le tout. Le bout de ma langue est bientôt de retour dans son orifice anal, s’insinue effrontément malgré la puissance de l’anneau de muscle pourtant déjà franchi de nombreuses fois.

Je profite de la douceur de sa peau en lui malaxant la fesse gauche. Ses muscles fessiers effilés par la danse roulent tendus sous mes doigts. Cambrée, cuisse ouvertes, de translucides gouttes de mouille perlent depuis ses petites lèvres épilées. Sentir la chatte trempée de Maya couler autant m’enflamme. Il s’exhale en effet de son intimité une odeur caractéristique d’appétit charnel. J’abandonne son derrière pour revenir à sa vulve si désirable en cet instant… Je dois résister à l’irrépressible envie de l’empaler de ma longue queue, brusquement. Dessinant à petits coups de langue le chemin entre son anus et le bas de sa fente, je replonge en elle, cette fois dans son vagin, la bois et l’avale à grande lampée. Maya, offerte, savoure les caresses obscènes que je lui prodigue, laissant échapper des bredouillements inintelligibles.

Alors que je continue à la lécher, j’aventure mon index vers sa vulve, le lubrifie au passage de ses épaisses pertes charriées à l’entrée. J’entreprends de lui introduire un doigt dans le vagin qui ne rencontre quasiment aucune résistance. Ses chairs chaudes et enflées semblent s’écarter pour l’accueillir. Alors que ma langue se rappelle à son cul, je glisse également le majeur dans sa fente béante. Je la pénètre ainsi langoureusement, sur un rythme lent et régulier. Les cuisses de Maya sont prises de tremblements. Elle lâche des petits cris excitants, attestant de son goût pour les caresses qui lui sont prodiguées. Même en poussant au maximum ma main au contact de sa vulve trempée, je sens qu’il va être difficile de la combler avec si peu. Et en effet la jeune femme, impatiente, pousse son bassin contre ma main tout en grognant. Tout indique dans son envie fiévreuse qu’elle souhaite passer à plus sérieux. Elle exige d’être prise avec force, elle veut ma queue.

Je me relève et, debout sur le bord du lit, sans retirer mes doigts toujours en elle, j’ôte mon boxer d’une main et le jette près de son visage, par jeu. Elle feint de l’ignorer, mais ses cuisses tremblent d’excitation. Mon sexe est énorme, tuméfié, gland violacé à l’excès. Extirpant finalement mes doigts, je colle ma queue à son sexe inondé. Sa peau à cet endroit est d’une douceur effarante. L’effet produit par nos deux sexes couplés est indicible. Mais alors que mon prépuce s’est aventuré entre ses lèvres, Maya pousse son bassin contre moi, précipitant la pénétration de ma bite raide et enflée en elle. La jeune femme s’est embrochée sans attendre sur ma queue, criant à la fois de surprise et de soulagement. Excitée au plus haut point, elle m’offre un vagin long et accueillant. Je pousse, lui enfonce ma queue dans le ventre, aussi loin que faire se peut. Je la saisis par le cul puis par les hanches tandis que mes coups de boutoir vont bon train. Mes doigts malaxent ses cuisses musclées à l’extrême, à la peau si veloutée. Me baissant davantage sur elle, je saisis ses petits seins, joue avec ses tétons très durs que je roule sous mes doigts. Pendant l’effort la jeune femme, parcourue de frissons, bredouille sans cesse mon nom.

Et je l’empale fort, glisse mes mains sous ses cuisses, varie les angles de pénétration. J’écarte son cul pour jouir de la vue de son anus rose que je viens de lécher. Un de mes pieds monté sur le matelas, je la travaille au point que ma queue semble lécher le fond de son vagin. La belle encaisse, cambre davantage encore son dos. Ses avant-bras glissent vers le matelas. Devant cet abandon, mon pouce lubrifié de pertes vaginales s’immisce à travers son auréole brune, plonge dans son anus chaud et accueillant. C’en est trop pour Maya qui vient d’un coup, perd pied, haletante, le corps secoué par un orgasme violent. Doublement pénétrée, encore secouée, la jeune femme porte la main à son sexe, tend le bras entre ses cuisses pour effleurer des doigts le membre nerveux qui la poignarde encore. Ce dernier contact inattendu, ses caresses accompagnant ma verge pendant plusieurs va-et-vient suffisent à me faire exploser et je jouis aussi, brusquement, le regard perdu, comme un fou. Tous mes muscles se tendent et j’expulse mon sperme chaud et visqueux dans son ventre, par de longs jets incontrôlés. Maya m’a senti venir, m’encourage à jouir. Des vagues de jouissance me secouent le corps et je beugle son nom, planté en elle, rivé à son cul.

Alors que nous finissons de jouir, vidés, je reste encore quelques instants prostré derrière ma danseuse, mon sexe au chaud dans son ventre adorable ensemencé. Maya s’affaisse, sans un mot, heureuse, visiblement épuisée, le bas des fesses barbouillé de pertes blanches, mouille et sperme mêlés. La rejoignant sur le lit, je constate qu’elle s’endort. De ma position, couché à ses côtés, il me suffit de tendre le bras vers l’interrupteur mural pour éteindre la lumière. Repliant le drap sur nous, collé l’un à l’autre, la belle dans mes bras, je n’ai qu’à compter jusqu’à trois pour m’endormir, le goût de Maya encore en bouche, ses cheveux en désordres collés à mon nez, parfum de félicité.

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