Histoire Erotique

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Sex tour au Congo

je reçus le mail du Directeur me demandant de venir dans son bureau. Il fallait, si j'étais d'accord mettre au point les modalités d' un voyage au Congo. Il y avait un projet de cultiver et de récolter des plantes médicinales. Monsieur N'Doumbé tenait à tout prix que j'accompagne le pharmacien...

Proposée le 17/10/2022 par Trixie

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Marion était avec moi lorsque je reçus le mail du Directeur me demandant de venir le rejoindre dans son bureau. Il fallait, si j'étais d'accord mettre au point les modalités de mon voyage au Congo. Il y avait en projet de cultiver et de récolter des plantes médicinales. Monsieur N'Doumbé tenait à tout prix qu'une secrétaire accompagne le pharmacien responsable et que ce soit moi. La mission devrait durer à peu près deux mois.

Sex tour au Congo — Youpiieeee... le Dirlo me demande si je veux aller au Congo, tu sais N'Doumbé, le pharmacien noir à la bite immense.
— Ah oui, celui qui il y a un an t'a baisée dans le sas..Putain oui quand tu m'a montré le film qu'avait tourné Boulier, j'ai été impressionnée, il a un sacré engin.
— Oui, et bien il ne veut que moi comme secrétaire, ici il fait froid, là-bas c'est l'été.
— Pour te baiser à nouveau.
— Sûrement, mais il y a le voyage, le dépaysement.
— Et surtout sa grosse queue noire !
— Oui, tu sais que je raffole de sexes noirs et monstrueux !

Je donnai mon accord avec enthousiasme, deux jours après, je reçus un e-mail de N'Doumbé.

« Chère Trixie, je te remercie de bien avoir voulu accepter mon invitation. C'est avec un plaisir immense que je te recevrai. Puis-je te demander une faveur ? Est-ce que tu pourrais apporter les habits que tu avais lors de ma visite ? La veste noire, la jupe fendue, tes bas et ton porte-jarretelles. Je fantasme tous les jours de pouvoir à nouveau te serrer dans mes bras dans cette tenue. 
Ton Luzollo qui pense bien à toi. »

Je souris, mais je ne pus pas lui refuser cette demande. Je pris l'avion avec monsieur Dumortier pharmacien responsable du labo de recherche. C'était un homme de taille moyenne, d'environ cinquante-cinq ans, les cheveux poivre et sel, une moustache assez fournie ornait sa lèvre supérieure, il portait des lunettes. Il m'expliqua au cours du vol, qu'on nous envoyait là-bas, pour étudier si un investissement dans ce domaine serait rentable.

Par exemple le thé Camellia sinensis, la Muscade- Myristica fragrans, l'Ananas- broméliacées, le Tamarindus indica, et bien d'autres encore qui avaient des vertus médicinales. La forêt tropicale humide s'étend en effet sur près des deux-tiers du territoire de la République du Congo. Pour l'instant, le site n'était qu'une ébauche, et la Direction générale attendait nos conclusions pour éventuellement débloquer des fonds. Mon travail consisterait à taper ses notes au propre et de le seconder dans diverses tâches.

L'avion se posa à Brazaville. N'Doumbé nous accueillit à l’aéroport, on aurait dit un enfant ayant hâte de déballer son cadeau de Noël. Le reste de la journée se passa en visite de leur usine de fabrication. N'Doumbé me prit à part.

— Vois-tu Trixie, le Directeur de la société est mon frère aîné Ephraim, il a un problème ! En effet, depuis que je lui ai montré la vidéo dans laquelle nous faisions l'amour dans le sas de déshabillage, il ne peut plus entrer en érection, tellement il a été subjugué par toi, ta beauté, le fait que je puisse t'enfiler entièrement ma bite monstrueuse. Il a consulté en Europe d’éminents spécialistes qui au niveau physique n'ont rien trouvé, tout est normal. Alors, en désespoir de cause, nous nous sommes tournés vers le marabout de notre village. Nous lui avons expliqué, il a visionné la vidéo, elle lui a bien plu. Il m'a énormément questionné sur toi, ton physique, sur les sensations que j'avais ressenti lorsque nous avions fait l'amour et a conclu que c'était toi qui l'avais envoûté. Alors il nous a demandé de te faire venir, pour qu'il puisse conjurer le sort. Il a dit que c'était indispensable que tu viennes avec les habits que tu portais ce jour-là ! Tu sais ici au cœur de l'Afrique équatoriale, ces croyances perdurent encore, bien que nous soyons au vingt et unième siècle. Il m'en a expliqué le déroulement. C'est une cérémonie rituelle, il n'y a rien de dangereux, ni de douloureux pour toi. Il te fera sûrement boire un élixir, fait de plantes médicinales, mais c'est inoffensif. Alors si tu es d'accord, nous pourrons y aller ce soir !

— Vraiment Luzollo, toi un scientifique, tu crois à ces balivernes.
— Euhhh, non pas tellement, mais c'est pour mon frère. Il serait tellement heureux de retrouver sa virilité. Tu sais, c'est de famille son sexe est aussi gros que le mien !
— Je suis septique, mais pour te faire plaisir si tu me garantis qu'il n'y a aucun risque, je veux bien te faire plaisir.

Le soir venu, habillée comme demandé par le sorcier, nous partîmes tous les trois en voiture, le trajet dura presque deux heures. A l'arrivée, N'Doumbé nous fit entrer dans une grande case. Un vieux noir, vêtu d'un pagne de raphia assez court et pas très épais qui ne lui cachait que le sexe et les fesses, semblait nous attendre. Il avait des plumes d'autruche multicolores sur la tête, des colliers d'ossements pendaient sur sa poitrine ridée, des bracelets de coquillages tintaient à ses poignets et à ses chevilles. Il y avait deux chaises en face d'une sorte de portique de bois qui trônait au centre de la pièce.Sans préambule, il fit asseoir Luzollo et Ephraim. Il m'examina des pieds à la tête, il écarta la fente de ma jupe pour découvrir l'attache de la jarretière, satisfait de son examen un large sourire découvrit sa bouche édentée. Il m'entraîna sous le portique. Pendant un moment, il se mit à tourner autour de moi psalmodia des incantations dans un dialecte local. Puis il versa une potion dans une coupelle et l'approcha de mes lèvres.

— Bois, me dit-il.

J'hésitai, regardai N'Doumbé d'un œil interrogateur. Je remarquai que son frère et lui avaient sortis leurs bites qui pendaient mollement.

— Tu peux boire sans crainte, ce n'est pas du poison, dit-il en riant.

J'avalai lentement le breuvage, c'était sucré, fortement alcoolisé et très bon au goût. Il recommença à tourner. Au bout de trois minutes, une douce sensation de bien-être m'envahit, une douce chaleur se propagea dans mes entrailles, ce fut vraiment agréable, ma tête tourna un peu. Il me sembla que mes sensations devenaient de plus en plus fortes. Il continua son rituel autour de moi pendant un moment, sûrement pour attendre que la potion fasse son effet. Mon sang s’échauffa, le désir apparut dans mon bas-ventre. C'était très agréable.
S’arrêtant devant moi, il plongea son regard dans le mien, et fit sauter le clip de ma veste. Il passa derrière moi et en écarta lentement les pans, offrit mes seins qui se durcirent sous le regard des trois hommes, les deux frères se dénudèrent aussitôt. Luzollo se masturba doucement, la queue de son frère pendait indolemment entre ses cuisses.
Je me doutai de ce qui allait suivre, mes mamelons durcirent et mes deux petits cônes bruns pointèrent fièrement malgré moi. Le marabout me quitta le vêtement, il était toujours derrière moi, ses mains fripées passèrent de chaque côté de mon corps, se saisirent de mes globes laiteux et commencèrent à me les pétrir, à me les caresser toujours en récitant ses litanies. Les doigts se saisirent de mes tétons, les tirèrent, les pincèrent, les firent rouler...

— Femme blanche, j'ai vu la vidéo, tu es habillée comme je désire ! J'ai vu Luzollo te baiser... Ma bite est encore plus grosse que la sienne... Je vais éjaculer ma semence en toi, tu vas aimer,tu vas jouir, tu vas crier de plaisir, me murmura-t-il dans un mauvais français. Mon sperme va chasser le démon !

Je commençai à ne plus être maître de mes émotions, sûrement la décoction. Et les sensations de plaisir que me donnèrent ses attouchements furent multipliées par dix, ses onomatopées lancinantes semblaient me tirer vers la luxure. Une boule de feu chauffa mon sexe, qui ne demandait qu'à s'embrasser. Ma respiration s'accéléra, ma chatte devint moite, mes seins durcirent sous ses douces palpations. Je compris lorsqu'il me leva un bras, à quoi servaient les deux cordelettes qui pendaient de la poutre transversale, dans un état second, je ne résistai pas lorsqu'il y lia mes deux poignets, chacun a une corde, je le désirai presque.
Toujours dans mon dos, il dégrafa ma jupe, qui se retrouva à mes pieds, il passa devant moi, mit deux doigts dans mon string et l'arracha d'un geste sec, en souriant de sa bouche édentée. Une décharge électrique me traversa le corps, un afflux de foutre inonda ma chatte, je ne fus plus vêtue que de mes bas et de mon porte-jarretelles noir, perchée sur mes talons aiguilles.
Il fit une espèce de danse faisant onduler ses hanches, à travers les brins de raphia son sexe, noir, énorme au gland mauve circoncis, commença à poindre lentement. Au plus, il minait une pénétration au plus, il grossissait, et montait à la verticale au travers des brins de raphia, il devint plus gros que celui de Luzollo.
Il se sépara du pagne, me laissa un moment admirer son squelette décharné, je me demandai comment un corps aussi émacié pouvait avoir un sexe aussi gros, long et aussi épais, il était circoncis. Il repassa dans mon dos, son phallus énorme et raide frotta mon pubis entre mes fesses, ses mains se plaquèrent au bas de l'intérieur de mes cuisses et suivant les lanières du porte-jarretelles firent une lente reptation vers ma chatte en feu.
Il écarta mes grandes lèvres, son majeur s'insinua dans mon vagin trempé, il fut bientôt suivi de deux autres doigts, longs et décharnés. Il frotta de plus en plus fort son membre démesuré dans la fente de mon cul. Ses doigts entamèrent dans ma chatte une valse, ils me tirèrent des gémissements de plaisir et des halètements saccadés.
— La femme blanche aime, les caresses du vieux noir, sa chatte est trempée. Attends que ma bite te pénètre.

Mon corps commença à onduler. Il lécha mon cou gracile récita ce qui devait être des formules magiques. Je fus de plus en plus excitée, mon cerveau ne commandait plus. Je fermai les yeux, me laissais couler un peu plus profondément dans la perversion. Lorsque je les ouvris, il était devant moi, nu, le sexe en totale érection son gland circoncis dépassant largement son nombril, une énorme paire de testicules pendait entre ses cuisses. Il tenait une sorte de chasse-mouche, fait d'un manche en bois sur lequel étaient fixées de nombreuses lanières de cuir.

— L'esprit malin qui se cache en toi, va être atteint par les lanières du Fimbu, puis il sera dilué par le sperme que je vais éjaculer dans ta chatte !

Toujours, psalmodiant, il caressa mes seins avec les fines courroies, ce fut très agréable, je tendis la poitrine en avant, il fit de nombreux passages excita mes mamelons, jusqu'à ce je gémisse de plaisir. Puis un rictus me montra à nouveau sa bouche édentée et un coup s'abattit sur mon sein droit, le gauche eu droit au même traitement, cela les rendit plus fermes et mes mamelons durcirent encore plus. Il flagella mes flancs, mon dos sans trop appuyer les coups, avec mes amants au boulot, avec le fermier et son fils, j'avais pratiqué cette expérience de flagellation et je ne détestais pas. Lorsque le martinet s'attaqua au haut de mes cuisses puis à mes fesses et à ma chatte, je râlai et hoquetai de plaisir. Le foutre coula sur mes cuisses le long de mes bas.

— Oui, oui, encore, encore fouette moi encore, mes seins mes tétons, lui criai-je.

Me tortillant avec volupté et tendant mon corps vers les coups qui pleuvaient.Dans un brouillard érotique, je regardai N'Doumbé, il branlait avec vigueur son énorme appendice noir, son frère par contre avait toujours le pénis qui pendait mollement entre ses jambes.Le sorcier délaissa son fouet en souriant, il s'avança vers moi. Il me prit une jambe avec son avant-bras décharné, la souleva et l'écarta largement. Avec son autre main, il positionna le gland de son phallus éléphantesque à l'entrée de mon vagin le pénétra un tout petit peu.

— Oui, oui, enfonce-moi ta bite noire... ouuiiii, vas-y, Je veux sentir ta queue au fond de ma chatte. -je, dans un brouillard érotique... pénètre moi ! Je veux sentir ta grosse queue ! Baise-moi viiiite ! Enfonce ta grosse queue noire, fais moi jouir !

La drogue, me sublimait le corps, l'emplissant d'un désir malsain, il fallait que cette bite me pénètre à tout prix, écarte mes parois vaginales et entre jusqu'à mon utérus, me fasse hurler de plaisir.
Sans se presser, il frotta son torse ridé sur mes tétons bourgeonnant, sa bouche s'en empara ensuite à tour de rôle, il les suça, les mordilla, puis elle délaissa les petits cônes bruns, se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Dans un état second, je lui rendis son baiser, une petite voix très loin dans ma tête me disait.

— Salope, salope, il est vieux, laid, fripé, décharné, sale, pas ragoûtant et il va te baiser, résiste, il va vider ses couilles en toi. Salope ! Mais pourquoi tu aimes ça, petite vicieuse ? Pourquoi ta chatte raffole de son énorme bite ? Et tu as vraiment envie de jouir avec ce vieux débris... Salope ! Tu attends avec impatience qu'il vide son sperme en toi et ça va te faire jouir, salope !

Mais lorsque sa bite monstrueuse écarta les grandes lèvres de ma chatte, puis les petites et glissa doucement dans mon conduit vaginal, les murmures de ma raison furent couverts par mes gémissements de plaisir. Il me pénétra au rythme de ses incantations, suivant les modulations, ce fut rapide ou lent. Ses couilles tressautaient et frottaient la peau nue au-dessus de mon bas. Une chose fut indéniable, son énorme bite me tira un plaisir fou. J'avais saisi les cordes et m'arc-boutais pourrecevoir ses assauts, plus rien ne compta que l'ivresse que me donna ce coït, avec ce membre démesuré et noir. Il me pénétra ainsi pendant ce qui me sembla une éternité, mais qui me parut trop courte lorsqu'un orgasme monumental déferla au travers de mon corps ! Je hurlai de jouissance quand il déversa une énorme quantité son sperme tiède au fond de ma chatte et qu'il se répandit en moi. Mon corps se cabra et resta tétanisé, puis la vague de volupté m'emporta voguer sur les nimbes du plaisir, une fois celle-ci passée, je m'écroulai tremblante de jouissance, retenue par les cordes de mes poignets, abasourdie par le plaisir.
Le sorcier ricana, il s'approcha et me murmura.

— Tu as bien joui ? On va se revoir bientôt, petite salope de blanche !

Luzollo vint me détacher, me soutenant, il m’emmena vers sa chaise, son monstrueux membre viril toujours en érection. Il me fit asseoir sur ses genoux me caressa les cheveux.

— Trixie, tu me rends fou, regardes comme je bande, c'est vraiment merveilleux de te voir faire l'amour, je crois que je ne vais pas tarder à éjaculer, puis-je le faire dans ta chatte ?

Le besoin de sexe ne m'avait pas tout à fait quitté, comme dans un rêve, sans réfléchir, sans un mot, je l'enjambai, m'empalai sur le membre noir turgescent, sa bouche se plaqua sur mes seins, quelques allers et retours et il déversa sa semence dans mes entrailles en m'embrassant comme un fou.
Après qu'il eut discuté longuement avec le marabout, car la queue de frère était toujours sans consistance, il fallut se rendre à l'évidence le désenvoûtement avait été un échec, nous reprîmes la route de Brazzaville.

— Eh bien, tu as vu,tu avais raison d'être septique, le désenvoûtement n'a pas fonctionné. A voir le sorcier te baiser ainsi, cela aurait du faire bander Ephraïm, autant que moi, mais ses incantations ont fait chou blanc ! Le marabout m'a indiqué un autre moyen... Il y a peut-être un remède, une potion... Enfin, je vais voir !

Le lendemain avec Dumortier, nous partîmes rejoindre le camp. Trois jours plus tard, un jour entier de navigation comprit, sur une rivière au cœur de la jungle, nous arrivâmes au débarcadère qui permit d'accéder à la zone de travail. On fut accueilli sur le quai par un noir à la carrure impressionnante, qui nous conduisit à travers la jungle jusqu'au campement. J'eus un hoquet, c'était vraiment une esquisse de cantonnement. Le camp se composait de paillotes plus ou moins grandes. L’électricité fournit par des groupes électrogènes.
Il y avait maintenant huit jours, que j'étais ici. J'étais arrivée au Congo avec des chemises résistantes, des pantalons longs que je pensais indispensables. Mais ces vêtements se sont vite avérés complètement inadaptés à la chaleur et à l'humidité étouffante et sont rapidement devenus humides. Sous la pluie presque constante, chaque chose était mouillée et restait spongieuse.
J'ai vite adopté les chemises légères et les shorts que le professeur Dumortier fit venir de Brazaville.
J'abandonnai vite le port de mon soutien-gorge, et même de mon string. En revanche, la plupart des travailleurs noirs locaux ne portaient que des pantalons assez fins, et la pluie moulait le tissu sur leur bas-ventre. Il s’avéra que pour moi, c'était une distraction quotidienne, d'admirer leurs corps musclés et durs pendant qu’ils travaillaient. D'accord, admirer n'est pas un mot juste. Cela avait peut-être du sens, les premiers jours, mais maintenant au bout d'une dizaine de jours, le mot convoitise était probablement plus approprié.
Être entouré toute la journée par des hommes à moitié nus, au corps ciselé, l'humidité faisant coller le tissu aux parties génitales, cela conduit aux fantasmes inévitables. Je m'imaginais souvent en train de travailler les seins nus, la douce pluie ruisselante, coulant sur ma poitrine tendue, chaque bouffée de brise rafraîchissante chatouillant mes mamelons durcis tandis que je travaillais assidûment sous le regard des travailleurs indigènes. Je me voyais ensuite enlevée par ces ouvriers aux corps musclés, qui déchiraient et ôtaient mon short. Il me semblait que tous les jours, je finissais par avoir les culottes mouillées, et pas seulement par les conditions environnementales naturelles. J'étais constamment en état d'excitation. Je me demandais, étant la seule femme, si le cuisinier ne mettait pas une quelconque drogue aphrodisiaque dans ma nourriture.
J'étais sûre, que le professeur Dumortier n'aurait pas été très heureux s'il avait pu savoir ce que je pensais la plus grande partie de la journée.
L'air était chaud et collait, empreint d'humidité. Je ne pouvais toujours pas m'habituer à cette chaleur et a cette humidité. Tout était toujours mouillé, humide de pluie et de sueur. J'avais fanfaronné avec Marion sur mon voyage, mais maintenant, je regrettais presque.


—Tu es une petite salope, pensais-je. Tu approches de la trentaine, les vieux gros et laids, les noirs te font toujours autant fantasmer. Tu aimes te faire baiser par leurs grosses bites qu'elles soient noires ou blanches, celle de Gérald te manque, celle de Luzolo aussi ! Vas-tu résister longtemps ?

Et bien sûr, en pensant à cela, j'aimais à espérer que j'étais assez sophistiqué dans le choix de mes partenaires surtout noirs, car Louis, le fermier et son fils Ludo ne faisaient pas partis du gratin, mais ils savaient malgré leur laideur, me faire grimper au septième ciel ! Enfin, me dis-je, de toute façon, tu es maintenant au Congo, pour bosser et tu as accepté ce contrat. Mais cette acclimatation avait eu un début lent et difficile pour moi. Nous étions isolés dans un camp à l'intérieur de la forêt tropicale, avec peu de contact avec le monde extérieur et uniquement pris en charge par les habitants des villages locaux, ce qui aurait dû me réjouir, car ils étaient tous noirs, mais mon moral était en berne.
Lorsque nous avions quitté Brazzaville, N'Doumbé m'avait promis de venir au camp dans 15 jours.
Au fil des jours, je sentais de plus en plus que les yeux des travailleurs erraient sur mon corps. J'essayai de me persuader du contraire. Mais c'était vraiment le cas et cela ne fit que nourrir ma convoitise croissante. Je me concentrai difficilement sur mon boulot, toute perception de la réalité était assombrie par un état d'éveil érotique et distrait.
À la fin de chaque journée, je ne pouvais pas attendre de terminer le dîner, il fallait que je prenne une douche et regagne ma hutte pour me masturber. Tous les soirs, j'étais terriblement excitée, j'étais de plus en plus persuadée que l'on me droguait.
Dans le confinement de ma case, l'air, était si moite qu'au bout de la première nuit, je dormis sur le dessus du lit, juste avec une petite culotte. Cela provoqua une nouvelle série de sensations érotiques. Avec le trou ouvert pour la fenêtre et juste un rideau pour la porte, le sentiment d’exposition et d’insécurité se transforma rapidement en fantasmes imaginaires pervers.
Des travailleurs noirs et musclés, aux bites énormes m'assaillaient avec une intention salace de profiter de ma féminité, et malgré moi, mon corps en sueur, se tordait de plaisir sous leurs mains rugueuses.
Cela devint une obsession nocturne récurrente, conduisant mon corps et mon esprit à une masturbation libératrice. Au fil des soirées cela évolua en rituel nocturne avant que je pus m'endormir. Je masturbai ma chatte avec vigueur, je pinçai, tirai mes mamelons durcis, enfonçant mes doigts dans mon vagin trempé pour me donner une jouissance démentielle.
Je gémis, haletante et tremblante. Je rêvai que des ouvriers imaginaires étaient autour de moi et me regardaient attendant leur tour, pour tous me baiser. Mon corps se balançait jusqu'à la poussée pénétrante d'un gros sexe noir et j'appréciai avidement chacune de leurs bites qui m'entouraient énormes et raides en prévision du travail qu'elles allaient faire dans ma chatte.
Après ma jouissance, je m'écroulais épuisée sur le matelas trempée de sueur et de foutre et dérivai dans un sommeil érotique, remplit de rêves plus salaces les uns que les autres.
Ces activités nocturnes me fatiguèrent et je me réveillais de plus en plus lasse chaque matin. Malgré mon épuisement, je m'éveillais avec un désir palpitant de sexe, mais je devais être active immédiatement, sauter hors du lit, m'habiller et sortir pour le petit-déjeuner.
Je savais que si j'essayais de m'allonger, je replongeais dans les bras de Morphée, mais mon esprit me trahissait, et mon corps voulait être assouvi à tout prix.
J'étais consciente que je devais me faire baiser, et me faire baiser bientôt. Je n'allais pas pouvoir tenir jusqu'à la fin de mon contrat et de mon retour à la maison. J’espérai ardemment la visite de N'Doumbé et de sa grosse bite.
Monsieur Dumortier se dirigea vers moi. Ma chemise était ouverte sur mes seins, et mes tétons se dessinaient en transparence sous le mince tissu.

— Ca va Trixie, en forme... Vous me semblez distraite ! Est-ce que cette chaleur vous accable ? Dit-il fixant ma poitrine dénudée.
— Non monsieur, je suis juste un peu fatiguée, je n'ai pas bien dormi la nuit dernière, mais ça ira.
— Je vais dans le lot 67 alors, mais prends bien soin de toi.

Je pense qu'il s'inquiétait pour moi. Il a regardé avec attention mes seins se dessinant sous ma chemise et puis il opina de la tête. Mes yeux se portèrent sur son bas-ventre, une légère bosse déformait son short.

— C'est bien ce qui s'est passé hier soir, je m'occupe bien de moi tous les jours, pensai-je en souriant.

Le pharmacien tourna les talons, pour réorganiser le travail d'un groupe qui apparemment avait prit du bon temps en me regardant. Décidément, j'étais une grande salope. Si le professeur Dumortier eut été plus attentif, il aurait vu que c'était moi qui les distrayais, ou plutôt que c'était moi qui les excitais, ce qui ne devait pas faire avancer bien vite leur travail.
Mais maintenant je ne pouvais plus m'en empêcher. Je savais que les travailleurs noirs me désiraient et je me montrais de plus en plus dévêtue, autant que possible !
Je me penchai pour offrir le spectacle mon cul, ou laissai par inadvertance ma chemise s'ouvrir et exhiber un sein ou parfois les deux. J'étais une putain terriblement excitée. Ces petits jeux me faisaient mouiller comme une folle. En regardant les gars, je fus prête à me laisser baiser sur-le-champ. Et lorsque je suis rentrée au camp aujourd’hui, j'étais tellement excitée qu'il fallait faire baisser la pression de ma libido de suite. Si la journée avait traîné beaucoup plus longtemps, je suis sûre que je me serai déshabillée et j'aurai laissé les ouvriers me baiser sur le site.
Dès que j'entrai dans ma hutte, je me mis nue et commençai à explorer ma chatte en sueur avec mes doigts avides.

— C'est si bon mais j'ai besoin de plus, beaucoup plus. Une grosse bite noire et dure.

J'ai joui avec rage. Pendant la nuit, un sentiment étrange me traversa, j’eus l'impression fugace d'être observé alors que je pétrissais lentement ma poitrine, mes doigts pinçant et roulant doucement mes mamelons de plus en plus durs.
Je ne pus pas vraiment comprendre d'où vint ce sentiment, mais il intensifia mon désir de jouir, je fermai les yeux et m'imaginai que je laissai des ouvriers me regarder nue, me tordant de désir sur le lit, les jambes grandes ouvertes caressant ma chatte sous leurs regards lubriques.
Alors que mon fantasme prenait une consistance de plus en plus pornographique, je m'allongeai et laissai mes doigts courir lentement sur mon corps, glissant à travers les ruisseaux et la sueur sur mon ventre et dans les replis de ma chatte. J'allai encore plus loin, écartai largement mes jambes pour plonger mes doigts entre mes lèvres engorgées de sang, avec mon pouce appuyai fort sur mon clitoris.
Je captai un léger mouvement au pied de mon lit à travers mes yeux mi-clos. J'essayai de fixer mon attention et puis je vis une silhouette. C'était un homme, il était grand, la lumière de la lune venant par la fenêtre, fit luire sa peau d'ébène, il était nu. Sa forme se précisa nettement quand il s'approcha de mon lit. J'aurai dû être terrifiée, j'aurai dû crier, mais j'étais trop loin sur la route de ma jouissance. Je m'entendis dire à haute voix.

— Hooooo putain quelle bite !! Elle est énorme ! Je vais jouir oh merde. Aaaaaaahhhhh je ne peux pas me retenir. Je jouiiiiiiis. Oh putain que c'est bon !!!

Que pouvais-je faire d'autres. Je continuai à haleter de plus en plus fort, mes doigts continuèrent à s'activer dans ma chatte avec une vitesse fulgurante. Voir ce gars qui me regardait, accéléra mon orgasme, qui me laissa dans une paralysie euphorique, je haletai et gémis très fort. Si j'avais été dans un état rationnel, je me serais inquiétée, j'aurais réveillé par mes cris le reste du camp, pas un son ne sortit de ma gorge à part des gémissements de plaisir.
Mon voyeur les traits obscurcis par l'ombre, se tint au-dessus de mon corps qui se tordait de plaisir, des cris de bonheur s'échappèrent de mes lèvres, la jouissance me traversa avec des flèches de plaisir fulgurantes faisant onduler mon corps en tous sens.
Je me relevai, cambrant le dos, mon bassin et ma chatte offerte s'élevèrent vers le voyeur.
Mon corps devint rigide avec mes doigts enfoncés au creux dans ma chatte convulsive, tandis que l'orgasme explosa à travers mon corps, puis la vague de plaisir passée, je m'effondrai sur mon lit comme une baudruche. Je respirai fort dans mon étourdissement post orgasmique en attendant qu'un semblant d'ordre se rétablisse dans ma tête. J'ouvris les yeux personne, pourtant, il était bien là, j'en étais sûre !
La raison revint, je devais trouver qui était cet homme, ce qu'il voulait. Je ne pouvais toujours pas distinguer ses traits, mais il devait être l'un ouvriers, je ne vis pas qui d'autre ce pouvait être.
J'essayai de me triturer le cerveau pour obtenir des réponses, je réalisai tout d'un coup que je caressai toujours ma chatte ouverte et palpitante.
J'étais encore très excitée, un mouvement, se mettant sur mon côté droit, mon observateur passa ses grandes mains sous moi et me retourna sur le ventre.
Avant même que je pus tourner la tête pour demander ce qu'il était en train de faire, il me saisit les hanches et me souleva sur les genoux. Au moins, une de mes questions obtint une réponse.
Maintenant, je sus pourquoi il était là. J'avais été dans cette position plusieurs fois auparavant et cela ne signifiait qu'une chose, une bite allait se glisser en moi !
Je regardai en arrière et je vis la silhouette de son pénis, putain, c'était un monstre, noir, épais, dressé et très grand. J'en restai la bouche grande ouverte. Il me tira vers le bord du lit, celui-ci n'était pas très haut. Le gros phallus noir glissa aussitôt de haut en bas entre mes fesses.
Mon corps réagit avec une nouvelle brûlure dans les reins et je ne pus pas m'empêcher de hausser mes hanches sur lui pour signaler mon envie.
J'essayai de me raisonner, je ne pus pas croire que je n'avais pas essayé d'arrêter ça, je n'avais pas dit un mot pour exprimer mon refus. L'ombre noire, avait-elle compris. ? Avant que je puisse répondre à cette pensée, je sentis sa grosse main sur le haut de mon dos et il poussa ma poitrine vers le bas, écrasa mes seins sur le matelas. Mes mamelons en érection durs comme du bois frottèrent sur le tissu de la literie ferme et ma poitrine glissa de tous côtés, envoyant des impulsions de plaisir perçant qui me parcoururent le corps.
Les dernières velléités de santé mentale qui me restaient, me crièrent de m'arrêter, de combattre ce que je subissais. Mais cela fut coupé et balayé lorsque son gland, puis sa queue glissèrent en moi, ma vanité fut vaincue et une vague accablante de plaisir me submergea. Je m'entendis crier.

— Ouiiiiii... S'il vous plaît, enfoncez votre bite, s'il vous plaît baisez-moi. Dou...doucement s'il vous plaît, vous êtes si gros. Mais oui baisez-moi, baisez moi ; s'il vous plaît. Enfoncez votre grosse queue, j'ai tellement envie de la sentit, ouiiiii c'est bon !

Mon bassin se releva, une pression sur mes fesses m'obligea à écarter les jambes, ma chatte fut enfin en train d'être comblée lentement par l'énorme piston noir. Mon vagin ne protesta pas et le frottement se transforma rapidement en un plaisir brûlant lorsque cette immense bite pénétra sans relâche dans ma chatte. Je criai et gémis de plus en plus sentant glisser son énorme sexe en moi. Mes hanches ronronnèrent d'extase, tout mon corps trembla tandis, qu'un autre orgasme commença à s'emparer de mes entrailles.
— Aaaaaahhhhh enfonce, enfonce plus profond, Oh merde, je vais jouir. Putain que ta bite est bonne.

Mon esprit refusa l'orgasme qui naissait dans mon ventre, il fallait que je retarde ce moment ! J'essayai de forcer pour enfoncer la bite le plus loin possible en moi. Il me tint fermement par les hanches, me pénétra avec de longues poussées tandis que ma chatte se convulsa prête à l'orgasme et se contracta de manière incontrôlable. Sans prévenir, je jouis, mon orgasme passa comme un flash, je me sentis tomber dans un gouffre, mais mon corps perfide, commença à se préparer pour un autre. Le géant noir me serra et de me pétrit le cul et il continua à me labourer la chatte avec sa queue lentement à mesure que je récupérai.

— Oooooohhhh putain baise moi encore et encore...

Lentement, il commença à augmenter le tempo et la profondeur de ses pénétrations. Je recommençai à repousser vers lui mon cul plus fortement, tandis qu'il continuait me pilonner avec une rapidité inouïe, jusqu'à ce que ses cuisses claquent dans mes fesses et que ses couilles giflent mon clitoris. Cela déclencha une autre série d'orgasmes qui déchirèrent mon corps, me laissa hagarde, accrochée à sa forte emprise sur mes hanches.
Le mystérieux visiteur n'avait toujours pas lâché un seul mot. Je n'avais toujours pas de réponse à mes questions !
Je baissai ma poitrine sur le matelas, ce fut clairement sa position préférée et je levai les fesses plus haut, attendant que son énorme baïonnette acérée me pénètre.
Il stoppa brusquement sa baise rapide, passa à des coups lents et profonds, des grognements brusques s'échappèrent de ses lèvres tandis que ses hanches me martelèrent le cul, il me sembla que sa queue prit des proportions gigantesques alors qu'il l'enfonça plus profondément dans mon vagin.
Ma chatte fut en constante contraction, étranglant sa queue jusqu'à ce que je la sente tendue, puis il déchargea son sperme au plus profond de moi avec un fort grognement guttural final. Je ressentis une sensation de ballonnement soudain qui déclencha un orgasme massif lorsque le liquide tiède et visqueux explosa dans ma chatte, remplit mon conduit vaginal pour couler le long de mes cuisses.
Il resta enfoncé fortement dans les profondeurs de ma chatte, jusqu'à ce que la dernière goutte de son éjaculation fut déposée, puis il se retira lentement.
Le vide laissé par sa bite vide fit palpiter ma vulve avec de délicieuses sensations, répliques post organique. Il relâcha mes hanches et mon corps s'effondra sur le lit.

— Que ton sperme est bon lui murmurai-je !

Quand le brouillard de ma tête se dissipa suffisamment pour regarder derrière moi mon mystérieux visiteur et pour obtenir des réponses, il était parti.
Je m'endormis d'un seul coup, au réveil le lendemain matin des écharpes de brume tournèrent dans mon cerveau, j'étais toujours allongée là où il en avait fini avec moi. Alors que je déplaçai lentement mes hanches et sentis à quel point, ma chatte était meurtrie.
J'ai aussi souillé de sperme que le matelas qui était en dessous de moi, il était énormément trempé, je me levai, du sperme s'écoula entre mes jambes.
J'enroulai une serviette autour de moi et me dirigeai vers la douche, les ouvriers étaient attablés à la table du mess. Je les regardai avec attention, en pure perte, pour essayer de voir si je pouvais identifier mon visiteur mystérieux. J'entrai dans la douche, les canisses qui étaient sensés isoler des regards, laissaient à désirer et n'étaient pas très hauts... La douche n'était pas très éloignée du réfectoire.

— Putain, est-ce que je pourrai me masturber ici devant eux ? Celui qui m'a baisé cette nuit sera peut-être à nouveau émoustillé ?

Me suis-je demandé en enfonçant mes doigts dans ma chatte. Au bord de la palissade délabrée, je commençai à me masturber, en les regardant. Mes gémissements de plaisir attirèrent vite leur attention, sans vergogne, ils sortirent leurs bites et se masturbèrent, l'acuité de leurs regards m'amena à l'orgasme, mon esprit était maintenant complètement embué par les événements de la nuit dernière. Je jouis assez fortement, mais aucun des hommes présents ne se manifesta, ils s'approchèrent et éjaculèrent, mais pas un n'essaya d'entrer dans la douche. Je fus déçue et après une longue douche, je sortis de la douche pour examiner les ouvriers. Je devais à tout prix découvrir qui m'avait baisé hier soir ! Je devais le savoir, je devais le faire revenir.
La journée s'éternisa, longue, monotone, je fis tout pour les exciter, pour qu'il se découvre, mes efforts restèrent vains.
Le soir, il était presque minuit, j’espérais son retour, lorsque le rideau se souleva, je me mis aussitôt à genoux sur le lit, levant mon bassin, lui offrit ma chatte, la magie opéra à nouveau. Cela continua pendant quatre nuits, j'avais cessé de chercher qui pouvait être, le prince noir qui me faisait autant jouir.
Le cinquième soir, au lieu de grimper sur le lit derrière moi, il se pencha sur moi, me souleva dans ses bras et me jeta par-dessus ses épaules. Je fus sur le point de crier, jusqu'à ce que je réalise les très larges épaules sur lesquelles j'étais enroulée, et je compris que mes appels ne serviraient à rien !
Je me mordis la langue en me demandant ce qui se passait, ce qui avait changé ?
Peut-être voulait-il me baiser ailleurs ? Il franchit le seuil de ma hutte et commença à me transporter hors du camp. Je réalisai d'un coup que j'étais complètement nue.
Je commençai à paniquer un peu, je lui demandai où il m’emmenait, il ne me répondit pas, mais un doigt de la grosse main qui me tenait par-dessus mes fesses s'insinua dans la fente de ma chatte grande ouverte. Cela me calma, comme si a nouveau je faisais une chute dans la luxure emplie de convoitise, je gémis de plaisir aux sensations que ses gros doigts produisirent alors qu’ils balayaient et sondaient ma chatte.

Au bout d'une interminable marche, au cours de laquelle je faillis jouir plusieurs fois, nous arrivâmes dans une sorte de caverne, il monta quelques marches et salua plusieurs hommes qui l'attendaient. Il me posa sur le sol, je pus voir que leurs yeux étaient collés à mes fesses et ma chatte qui laissait perler mon foutre.

— Merde, s'il touche à nouveau ma chatte, je vais jouir devant ces hommes ! Pensai-je.

Je regardai devant moi, il y avait une sorte d'autel. Un vieillard était couché sur un matelas, sa peau noire froissée ressemblait à un parchemin ridé de plusieurs siècles. Puis mes yeux se fixèrent sur une monstrueuse bite flasque qui reposait sur ses cuisses squelettiques et s'étalait sur son ventre.

Je plissai les yeux, ils remontèrent le long de son torse émacié, pour regarder de plus près et son visage... Je sentis mon estomac se soulever, je venais de le reconnaître, c'était le sorcier qui avait officié en présence de N'Doumbé. Était-il possible que le pharmacien soit ici ?
Mon regard embrassa les hommes présents, je n'avais pas fait attention, mais ils étaient tous nus, seul Dumortier présent lui aussi, était habillé. Leurs immenses bites pendaient flasques, entre leurs cuisses. Effectivement, Luzollo faisait parti de l'assistance, son frère Ephraïm était là lui aussi assis sur un fauteuil de bambous.
J'avais maintenant une assez bonne idée de ce que je devais faire ce soir et en regardant la bite énorme mais flasque pour l'instant du vieillard qui se tenait devant moi. Je compris alors les paroles que le sorcier m'avait murmurées à la fin de la première séance.

— "On se reverra bientôt !"

Il voulait me baiser à nouveau... La première fois n'avait été que l’apéritif ! Il avait ce stratagème, après avoir vu la vidéo de Luzollo me baiser dans le sas. Il n'avait jamais dû baiser une jeune et jolie blanche, blonde de surcroît, c'était l'occasion de sa vie !
Il était clair que ce vieil homme était un marabout important ici. A ses cotés se tenaient deux jeunes filles d'un noir d'ébène, elles étaient aussi nues que moi. Le vieil homme m'examina. Je vis et sentis ses yeux scruter de mon visage, parcourir mes seins et venir se poser sur ma chatte encore mouillée, il sourit béatement d'un air satisfait, il allait pouvoir me prendre à nouveau.
N'Doumbé s'approcha, il porta à mes lèvres un bol rempli d'un liquide ambré.

— Bois, tu en as déjà pris l'autre jour.

Le souvenir de ma jouissance, me revint en mémoire, j'obéis et avalai le nectar alcoolisé et sucré. Une des jeunes filles s'adressa au sorcier.

— Oh grand Nganga-Kisi, il faut vous préparer pour la jeune fille.

Avec sa main droite, elle puisa dans une coupelle une sorte d'onguent et elle commença à badigeonner la bite noire circoncise. L'autre souleva la tête du vieillard et lui fit boire une potion.
Comme la première fois, la drogue pénétra assez rapidement mon organisme.
Mes yeux s'écarquillèrent, au plus la jeune fille frottait la bite imposante du marabout au plus celle-ci prenait des proportions monstrueuses. Elle atteignit bientôt une érection indescriptible.
Pointa vers le plafond telle une stalagmite noire, elle devait mesurer largement plus de trente-cinq centimètres de long et presque huit de large. Son gland bistre formait un petit champignon.

— Je ne peux pas me faire baiser par cet engin. Elle est vraiment trop grosse. Et puis il y a trop de monde, criai-je.
Mais mon sexe se déconnectait de mon cerveau. N'Doumbé s'approcha, deux de ses doigts boudinés et noirs glissèrent dans ma chatte trempée.
— Vraiment Trixie ? Pourtant, tu me sembles terriblement prête pour quelqu'un qui dit qu'il n'a pas envie de ça, je trouve que ta chatte réclame avec force cette bite. Tu vas être étonnée de ce que tu peux prendre. Je sais que tu en es capable, et puis c'est le dernier espoir pour mon frère !

Il plaqua sa main, ses quatre doigts se faufilèrent dans mon vagin et commença des allers et retours, la drogue que j'avais ingurgité, avait complètement, fait son effet maintenant, j'étais très excitée, mon sexe réagit à sa caresse et un flot de foutre coula le long de mes cuisses.
Tout en fixant l'énorme queue immobile devant moi, mes hanches tremblèrent de façon incontrôlable, tandis que je poussai sur ses doigts pour les enfoncer plus profondément. Il retira ses doigts de ma chatte et se tint devant moi. Mon foutre épais coula de ses doigts.

— Je pense que tu es prête Trixie, notre Nganga-Kisi peut maintenant te pénétrer et éjaculer en toi.

Deux hommes me soulevèrent, j'agrippai leurs cous, ils me positionnèrent au-dessus de l'énorme bite tendue.
Je perdis de vue l'immense rouleau noir pendant que mon corps s'élevait au-dessus du vieil homme et je paniquais légèrement lorsque je réalisais que j'étais sur le point de m'empaler sur ce sexe démesuré. Je commençais à me tortiller, mais les grandes mains tinrent bon, elles me baissèrent lentement.

— Oh putain... Oh putain.... Oh merde... il va me déchirer, elle est trop grosse, noooonnnn !

La tête circoncise, effleura légèrement les lèvres de ma chatte distendues puis le monstrueux gland fut inexorablement poussé dans mon conduit vaginal. Ma chatte résista, protesta contre la taille qui voulait la pénétrer, mais céda soudainement, quand les deux hommes me descendirent avec force sur le pieux noir.
Ma vulve tendue, ouverte et trempée, ondula et glissa autour du gland gorgé de sang puis les nervures rugueuses de la bite envoyèrent des éclairs de feu au travers de mes reins. Je sentis mes parois vaginales s'écarter de plus en plus tandis que cette monstrueuse bite s'enfonçait inflexiblement en moi.
Puis je me mis à grogner, exprimant un mélange de plaisir et de légère douleur, je haletai, ne pouvant plus respirer, jusqu’à ce que je sente mes fesses se poser sur les cuisses du vieil homme. Elle était entrée entièrement en moi. J'étais franchement étonnée.
Oh, putain, mes parois vaginales serrèrent tellement sa monstrueuse bite que chaque contraction de ma chatte envoya des ondes de plaisir au travers de mon corps.
Je me sentis si pleine, je ne pus plus bouger, mes respirations devinrent brusques et aiguës tandis que mon corps essayait de s'adapter à la taille de l'engin qui me remplissait le vagin.
J'entendis au travers d'un brouillard des murmures s'extasiant sur la performance que je venais d'accomplir. Malgré moi, je commençai à bouger doucement sur l'immense bite plantée dans mes entrailles, le désir emplissait mon corps.

— Putain, qu'elle est grosse. Putain, elle me remplit entièrement. Putain, c'est bon., oui, oui,oui !

Marmonnai-je de manière incohérente. Une psalmodie lancinante s'éleva dans la grotte. Comme dans un rêve, je tendis mes cuisses et commençai à me soulever lentement, ma chatte se contracta durement lorsque le membre géant déchira mes parois vaginales en se retirant lentement.
J'arrivai presque au bout du gland, je respirai lentement, puis je recommençai à bouger avec de petits coups de rein, je me redressai et j'écartai avec deux doigts mon orifice vaginal pour qu'il puisse bien coulisser le long de la monstrueuse hampe noire.
Je fixai mes yeux sur le regard du vieil homme qui hochait la tête en souriant, puis commençai à faire lentement des allers et retours ma chatte de haut en bas sur sa bite monstrueuse. Je ne l’enfonçai pas en plein savourant chaque centimètre qui me pénétrait. J'étais guidée par les sons saccadés de la mélodie.
Ses yeux se fixèrent sur les pointes turgescentes de mes seins, ses doigts s'en emparèrent, il les fit rouler, les griffa, les étira me tirant des gémissements de plaisir.
Il m'attrapa derrière la nuque et me pencha la tête vers lui, sa bouche édentée se plaqua sur ma mienne sa langue se faufila entre mes lèvres, je lui rendis son baiser passionnément.
La musique s'emballa, c'est alors qu'il accéléra la cadence de ses pénétrations, je le sentis se dilater encore plus à l'intérieur de moi et je m'effondrai violemment sur son ventre. Il enfonça sa queue au fond de ma chatte, il me sembla que je chevauchai un cheval. Le temps s'estompa. Je n'étais qu'une boule de béatitude.
Je me débattis dans l'extase, roulai des hanches, la tête rejetée en arrière. Je hurlai pendant qu'orgasme après orgasme le plaisir me déchira le corps, fit exploser mon cerveau, me rendit folle de bonheur.
Je ne pus pas m'arrêter, je ne voulus pas m'arrêter, il ne fallait pas que ma jouissance cesse !
Je voulus m'effondrer sur le corps squelettique, mais le rouleau de viande en moi m'en empêcha.
Il m'attrapa aux hanches et m'enfonça son pieu le plus profondément possible. Il éjacula, et un autre orgasme me déchira à nouveau le corps. Je hurlai, mon cri couvrit les chants.
Mon vagin se contracta au moment où son sperme vint combler toutes les crevasses de l'espace restreint qui restait à l'intérieur de mon sexe, il éjacula longtemps et beaucoup avec de sourds grognements.
Il ressortit lentement son sexe monstrueux qui garda encore toute sa rigidité, puis satisfait, il se leva de la couche. Aussitôt, les deux jeunes noires me firent étendre. Mon regard embrassa le cercle d'hommes qui m'entouraient, ils se masturbaient avec vigueur. Bientôt, une quantité impressionnante de leurs semences chaudes et gluantes éclaboussa mon corps, seul N'Doumbé approcha son énorme bite noire de mes lèvres m'appuya sur le menton pour me faire ouvrir la bouche et y déchargea son sperme.

— Avale Trixie !

Complètement soumise, je déglutis le liquide épais et visqueux, qu'il avait éjaculé dans ma bouche.
Une des deux jeunes noires, étala consciencieusement le sperme sur mon corps, barbouilla mes seins, mon ventre, mes épaules, mon dos, mes jambes.
L'autre m'écarta les jambes et récupéra dans une coupelle, l'énorme quantité du sperme que le marabout avait éjaculé et qui mélangé à mon foutre s'écoulait de ma chatte. Elle prit une petite cuillère de bois et avec précaution récupéra entièrement la semence du vieil homme noir, mélangé à mon liquide séminal au fond de mon vagin. Une fois l'opération terminée, elle tendit le petit bol au vieux Nganga-Kisi, celui-ci versa un breuvage blanc, mélangea assez longtemps la mixture obtenue. Puis il s'approcha d'Ephraïm et en récitant des incantations lui fit boire le breuvage.
Un moment, plus tard, je sentis mon esprit se dissoudre dans le noir, et je perdis connaissance.
Le lendemain, je me réveillai nue, dans mon lit, dans ma hutte, complètement déboussolée. A ce moment N'Doumbé entra dans ma case.

— Bonjour Trixie, bien dormi ? Tu as été formidable hier au soir. Je crois que mon frère est guéri, grâce à toi. L’élixir du Nganga-Kisi a fait son effet. Ephraïm est retourné à Brazzaville, il t'invite avec monsieur Dumortier à prendre 3 jours de vacances dans la capitale. Il aimerait que tu lui permettes de vérifier avec toi, s'il a retrouvé toutes ses facultés sexuelles. Ce serait super que tu acceptes !
— Oh oui, je crois que vais accepter. Qui peut le plus, peut me moins pensai-je ! Et puis je commence a en avoir marre de ce pays ! Vivement le retour en France.
— Bon, l'hélicoptère nous attend. Dumortier est déjà au courant. Une dernière chose pour être bien sur, que le charme soit rompu, mon frangin voudrait que tu sois habillée comme lorsque nous avons fait l'amour dans le sas.
— Oui, Ok pas de problème dis-je avec lassitude.

Dans l'après-midi, nous étions Brazzaville. Le soir, je revêtis la tenue exigée une veste noire, portée à même la peau, qui n'était attachée que par un clip doré entre mon nombril et mes seins. Les bords de l'échancrure dévoilaient la moitié de mes seins et cachaient tout juste mes mamelons, et découvraient au moindre mouvement un peu brusque la moitié de mes aréoles. Si je me penchais, les pans s'écartaient et baillaient sur mes tétons. Une jupe noire ouverte sur le devant qui laissait apercevoir sur ma cuisse l'attache de mon porte-jarretelles et la lanière blanche qui soutenait mes bas noirs. Même droite, lorsque j'écartais les jambes, elle s'ouvrait jusqu'à la naissance de mon sexe et laissait deviner le début de ma fente, car je ne portais pas de string. J'avais relevé mes longs cheveux blonds en un savant chignon, qui laissait ma nuque libre.
Luzollo passa nous prendre en voiture vers 19 heures, pour nous emmener au restaurant. Nous bûmes l’apéritif avant de partir, le goût de mon verre me rappela une certaine boisson. Dans la voiture, je montai devant.

— Trixie, tu es parfaite... Tu ne portes pas de String... Fais moi voir !
— Oui, regarde, je t'ai obéi, mais Luzollo, ne fais pas comme l'autre fois en France.
— Putain oui, ta chatte rasée, me rend dingue ! Mais non, non n'aie crainte. Ce soir, je n'ai aucun droit sur toi, dit-il en souriant. Je vous emmène dans un resto un peu spécial, le ''Cannibale érotique''. Trixie, ne pourrait-on pas refaire, pendant le repas, le jeu que nous avions fait au resto en France. Nous allons manger du saka ou pondu, Du poulet à la Moambé, du fumbwa et bien sûr un dessert.

La tête commença à me tourner un peu, mon ventre s'échauffa.

— Oui, continua-t-il se serait bien que tu émoustilles le garçon pour mettre mon frère en condition !

Surtout, ce cannibale est vraiment érotique, il est nu sous son pagne.

— Tu es toujours aussi pervers, tu m'as encore fait boire de l'aphrodisiaque ! Alors pourquoi pas.
— Mon frère pourra ensuite vérifier si l'envoûtement est rompu ?
— Bien sûr !
— Et en quoi consiste ce jeu ? Demanda Dumortier.

Au restaurant, Luzollo nous amena dans une petite cour déserte, Ephraïm nous attendait, il discutait avec un gros noir pas très grand, effectivement vêtu d'un pagne de raphia qui ne lui cachait que le sexe et les fesses. Son ventre, couvert de peintures blanches, débordait par-dessus sa ceinture en trois bourrelets graisseux. En apercevant la magnifique blonde qui arrivait, il alluma quatre puissantes lampes autour de la table, puis il se précipita vers moi, ses yeux se fixèrent sur mes seins, il vit qu'ils étaient libres de toute entrave. Il se saisit de ma main droite et se mit à me la secouer, ma veste s'écarta et dévoila mon aréole, mon téton surgi à son tour.
Sa face bariolée s'éclaira d'un grand sourire, lorsqu'il me fit asseoir et que ma jupe s'ouvrit largement sur ma cuisse, dévoilant l'attache de mon porte-jarretelles, un rictus de contentement retroussa ses babines, puis il partit en cuisine.
Je m'assis à coté de D'Ephraïm, Luzollo passa derrière moi écarta le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles.
Il s'assit sur ma droite, aussitôt, sa main, écarta mes cuisses, il ouvrit les pans de ma jupe et les positionna pour bien dégager les bandes blanches du porte-jarretelles sur mes cuisses, son majeur inquisiteur s'engouffra dans ma chatte, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice. Il le remit, le ressortit.

— Elle mouille déjà, la coquine, tu veux goûter son nectar, frérot c'est délicieux.

Ephraïm suça le doigt tendu. Dumortier roula des yeux ronds.

— Parfait. Le serveur ne peut rien rater, ni en haut, ni en bas, il va pouvoir admirer ton anatomie, regarde mon frère, ses jambes, ne sont-elles pas magnifiques, on devine sa chatte, elle est complètement rasée. Ça t'excite ?
— Oui, je commence à bander !
— Bien, bien, Trixie veux-tu bien jouer le jeu. Jusqu'au bout ?
— Oui, ça m'excite, moi aussi ! Tu l'as vu en me faisant un doigter. Je suis une sale petite geunon excitée ! Ephraïm, aimerais-tu que je caresse ta grosse bite. Sors tes couilles ! Mets la sous ta serviette.
—Ah oui, je devine de quel jeu, il s'agit, balbutia Dumortier ! Excité par ce qu'il commençait à comprendre.

Le serveur arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu'il doit servir d'abord les dames. Il passa sur ma gauche, il eut un mouvement de surprise. Mais il fit comme si de rien n'était. Mais son regard revint toujours sur mon entre-jambe découvert, qui laissait deviner le début de ma fente. Il servit Luzolo, puis Ephraïm. Il faillit rater l'assiette de Dumortier tant, son regard ne quittait pas mes cuisses, une bosse était en train de se matérialiser sous le raphia à hauteur de son sexe, il repartit à regret. Son gros gland circoncis pointait le bout de son nez à travers les lamelles.

— Au prochain plat, il aura droit à un petit plus, dit Luzolo.
— Oui, quoi ? Demandais-je ?
— Au bout de ton téton, puis au plat suivant les deux tétons ensembles. ce n'est pas difficile. ils ne demandent qu'à jaillir. Puis à ta chatte complètement découverte et nous gardons le meilleur pour le dessert. Ça te plaît, Ephraïm ?
— Oh oui, oh oui, surtout que Trixie caresse ma queue divinement.
— Ce jeu est vraiment excitant dit Dumortier. Mais c'est quoi le meilleur ?

Cela se passa comme prévu, à chaque plat un coup d'épaule, mes mamelons et mes tétons tendus surgirent l'un après l'autre, Luzollo écarta largement mes jambes et les pans de ma jupe, il n'y avait pas de nappe, ma chatte lisse et trempée fut offerte à la vue de tous.
Le serveur ne chercha pas à cacher son érection sa grosse bite noire et dure, sortit entre les brins de raphia, il lorgna sans cesse mon sexe dénudé et glabre que j’exhibai sans vergogne. Il s'enhardit même, en servant à frôler mes tétons érigés, et à me frotter sa bite sur le bras.
Le dessert arriva. Le gros noir passa à nouveau sur ma gauche et s'immobilisa pour me servir.
Luzolo fit tomber sa serviette et celle de son frère, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je les masturbai doucement, calottai et décalottai leurs énormes sexes noirs. Le serveur figé n'en crut pas ses yeux. Il bandait comme un âne. Le vieux frère de Luzollo avança sa grande main noire vers ma chatte, j'écartai largement les jambes. Il caressa la peau nue au-dessus de mes bas, puis son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissa échapper un flot de foutre, je me renversai sur le dossier de la chaise. Mes deux seins jaillirent complètement hors de ma veste. N'Doumbé fit sauter le clip, écarta les pans et libéra mes deux nichons magnifiques aux pointes brunes érigées. On eut dit que le temps s'était arrêté, de longs soupirs sortirent de ma bouche. Entre mes yeux mi-clos, j'entrevis le serveur tétanisé la bite tendue, hésitant ne sachant pas s'il allait me caresser les seins. Il s'enhardit et sa main noire malaxa mes globes fermes. Il dégrafa son pagne qui tomba au sol.
Le plaisir montait, montait, mon corps fut pris d'un tremblement incontrôlable et je jouis. Avec un râle de plaisir, ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo, ma main gauche saisit
le sexe tendu du vieux garçon, fit quelques allers et retours, je le pressai plusieurs fois, je sentis les soubresauts de son éjaculation, son sperme chaud et gluant gicla sur mes seins.

— Putain ! Ça t'a plu, Trixie, ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer, prend, prend dans ta bouche, dit Luzollo.

Je me penchai pour recueillir le flot de sperme qui gicla de l'énorme phallus noir de N'Doumbé, et l'avalai avec délice.
Le serveur revint toujours nu, pour servir les desserts, je n'avais pas mis de l'ordre dans ma tenue. Mes seins étaient toujours dehors le sperme du serveur coulait sur et entre mes globes fermes aux tétons érigés et mes jambes grandes ouvertes, ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il continua à me fixer, sa queue était toujours grosse. En le regardant langoureusement, j'étalai sur mes aréoles le sperme qu'il avait éjaculé sur mes seins, j'en enduisis mes petits cônes bruns érigés au maximum.

— Sucez les maintenant lui dis-je en tendant ma poitrine vers lui.

Il s'empressa de les téter.

— Alors, lui demanda Luzolo, ça vous a plu ?
— Oh oui, Putain, Oh oui... Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse, il n'y a pas de mots pour qualifier sa beauté, j'en garderai le souvenir toute ma vie, je n'avais jamais vu une femme blanche dans une tenue aussi sexy, qui me permet autant de choses !
— Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire.
— Oui Monsieur, je veux bien.
— Tu veux la voir se faire baiser par le monsieur qui est assis là avec la queue énorme ?
— Oh oui, je veux bien, mais je ne sais pas si elle voudra faire ça devant moi.
— Mais si. Hein Trixie que tu vas faire l'amour avec mon frère devant Monsieur.
— Mais oui, bien sûr bégaye-je.
— Lève toi, s'il te plaît.

J'obéis, il défit l’agrafe de ma jupe qui tomba à mes pieds, puis il quitta ma veste. J'étais nue avec seulement mon porte-jarretelles blanc tranchant sur ma peau bronzée, mes bas et mes talons aiguilles. Luzullo me prit la main et me fit faire plusieurs voltes pour leur faire admirer mon anatomie.

— N'est-elle pas splendide notre Trixie, Avez-vous souvent vu une blonde aussi magnifique dans une lingerie aussi sexy. Regardez nos grosses bites noires la rendent folle de désir.

Il défit mon chignon, mes cheveux dégringolèrent comme une cascade blonde sur mes épaules. Sa main se plaqua sur mon sexe, deux doigts noirs et boudinés s'enfoncèrent dans ma chatte ruisselante, son pouce frotta mon clitoris. Il les ressortit poisseux de foutre.

— Voilà, Ephraïm elle est prête, vérifie si l’envoûtement a disparu.
— Tu sais, répondit-il, je n'ai plus bandé après que je t'ai vu la pénétrer. Dans le sas. Je viens de sentir à nouveau une certaine dureté dans ma bite. Notre Hôte, ne pourrait-il pas la baiser, si je peux bander pendant le coït, après je serai complètement rassuré ! Monsieur, je vois que vous bandez encore, pouvez-vous encore faire l'amour avec elle ? Seriez-vous d'accord pour la prendre avant moi ?
— Oh putain oui, oui, oui. Je n'ai jamais baisé de femme blanche, et celle-là me rend fou de désir, elle est superbe, il faut absolument que je vide mon sperme dans sa chatte ! Sa bouche, c'était bien. Mais sa chatte, le Paradis ! Et j'ai vraiment envie d'éjaculer en elle !

Je n'avais pas joui, il fallait que quelqu'un me baise à tout prix, mon ventre se tordait de désir, mes seins me faisaient mal, ma chatte ruisselait. L'aphrodisiaque faisait effet, et puis, il était laid, gros noir et il avait une bite assez conséquente, Il a tout pour te plaire pensai-je ironiquement.
Je me couchai sur une table libre, écartai les jambes, ouvris ma chatte avec deux doigts, je fus déchaînée, une vraie furie, mon corps n'était plus qu'un vagin qu'il fallait emplir.

— Bien sûr qu'il peut me baiser, allez vous approchez, enfilez moi votre pénis. Oui, ouiiiiiiii, voilà comme ça votre gland écarte bien mes lèvres, enfoncez le bien, ouiiiiiiiii, c'est bon, j'adore les grosses bites noires bien dures, plus vite, plus vite. Tu aimes baiser une blanche en porte-jarretelles, moi, j'adore les noirs obèses ! Allez fait, moi jouir, éjacule ta semence dans ma chatte de blondinette. Défonce-moi avec ta grosse bite, remplis moi chatte de ton sperme. Ouiiiiii, c'est bon, c'est bon !
Le gros noir, fut très excité par mes paroles, il s'activa en moi de plus en plus vite, son gros ventre tressautait, il soufflait bruyamment il éjacula avec un grand cri, ses hanches tressautèrent longtemps avant qu'il ne s'écroulât sur moi terrassé par le plaisir.

— Oh putain que c'était bon, Salope de blanche !
— Ehhhhhhh !!!! Tu aurais pu attendre encore un peu avant d'éjaculer et me faire jouir !

Je fus vraiment frustrée de ne pas avoir joui, mon ventre était toujours tenaillé par le désir. Ephraïm avait quitté son pantalon et s'était assis sur le fauteuil de rotin. Il bandait énormément.

— Je bande, je bande, tout va bien pour l'instant, Trixie, vient sur moi que je te baise !

Je regardai avec gourmandise son sexe noir tendu, je m'approchai, lentement, du sperme coula de ma chatte.

— D'accord, j'ai promis, mais toi fais moi une promesse maintenant !
— Oui, laquelle ?
— Fais moi jouir, car je crois que je vais devenir folle, si je ne satisfais pas mon envie !

Il m'empala sur son sexe raide et dur qui était aussi gros que celui de Luzollo. Il me caressa, me besogna pendant une bonne vingtaine de minutes. Fit monter mon plaisir. Il prit tout son temps, pour me faire grimper un à un les barreaux de l'échelle du plaisir. Je jouis au moment où il déversa sa semence avec un rugissement de triomphe.

— Ouf, dit-il. Merci, Trixie tout est redevenu comme avant. Tu peux prendre ton petit cadeau, pour m'avoir fait retrouver ma virilité.
Il sortit un étui de sa poche l'ouvrit et le posa sur la table. Les épices du repas et l'aphrodisiaque que les boissons devaient contenir, avaient déchaîné ma libido, en plus devant mes yeux dansait un écrin contenant un diamant. Je roulai des yeux ronds et le remerciai chaleureusement !
Ma soif de sexe tout juste apaisée, je me rhabillai, nous discutâmes de choses et d'autres. Nous prîmes congé. Une voiture de fonction de leur usine pharmaceutique me ramena à l’hôtel en compagnie de Dumortier. Assise sur la banquette arrière à côté du pharmacien, il me sembla que mon appétit sexuel n'était pas rassasié entièrement, j'avais ingurgité pas mal d'épices et d'excitants sexuels. La main de Dumortier se posa sur ma cuisse, délicatement, il commença à tirer le pan de ma jupe, le faisant glisser pour découvrir ma peau au-dessus du bas, je le laissai faire, intriguée, je voulais voir jusqu’où il pouvait aller.

— Trixie, me dit-il, cela fait deux jours que tu me rends fou, je perds la raison de te voir baiser par tous ces noirs aux bites démesurées.

Sa main se glissa sous la lanière blanche, ses doigts entamèrent une reptation vers le haut. Je ne la lui retirai pas.

— Tu as vu hier au soir à la cérémonie, j'ai été le seul homme à ne pas t'éjaculer dessus. Tu sais pourquoi ?
— Non, mais tu vas me le dire.

Sa main était à mi-chemin du pli de mon aine. Je ne la retirai pas. J'ouvris les jambes, ma jupe glissa découvrant ma chatte .

— D'abord, parce que j'étais le seul blanc, et bien que j'en avais une folle envie, je ne voulais pas sortir ma bite, elle n'est vraiment pas grosse ni très longue, il y aurait eu des sarcasmes, envers le petit blanc !

Son majeur, glissa, le long de ma fente chercha mon orifice vaginal. De son autre main, il chercha à dégrafer le clip de ma veste. Son aveu fit renaître une sorte de désir en moi, j’écartai un peu plus les jambes, son doigt frôla l'entrée de ma chatte.

— Mais tu sais, j'ai demandé au sorcier son breuvage et son onguent miracle, je lui ai expliqué que c'était pour l'analyser ! Il ne m'en a donné que pour une fois. Difficile à obtenir, m'a-t-il argué.

Le clip céda, il tira sur les pans de ma veste, mes seins furent libres et jaillirent. Le chauffeur s'en aperçut, il positionna son rétroviseur pour nous regarder. La voiture était une Audi de luxe dernier cri, les places arrières étaient éclairées par une lumière indirecte. La moitié du majeur de Dumortiert entra dans mon conduit vaginal encore humide du sperme d'Ephraïm.

— En fait, si je voulais cette mixture, c'était pour, si tu es d'accord, l'essayer avec toi.

Son index avait rejoignit son majeur, et il leur fit faire des allers et retours dans ma chatte, le chauffeur conduisait d'une main, il devait se branler avec l'autre, heureusement, il n'y avait pas de circulation, car il ne lâcha pas son rétroviseur des yeux.

— Je n'ai jamais fait l'amour avec une fille aussi jolie que toi, J'ai de l'espoir maintenant, car je vois que tu me laisses faire, et puis te faire baiser par deux noirs coup sur coup, tu as l'air d'aimer ça !

Sa main libre, il se mit à me caresser les seins. J'étais encore vraiment excitée, car sans réfléchir par l'intermédiaire de ma bouche, mon corps donna son accord. Je m'abandonnai complètement sur la banquette jambes grandes ouvertes, veste déboutonnée, poitrine à l'air. Ma respiration s'emballa. Les mouvements du poignet du chauffeur s’accélérèrent.

— Oh oui, je serais curieuse de voir encore une fois l'effet de cet onguent, tes doigts me plaisent bien, enfonce les encore, plus vite, la c'est bien, embrasse moi.

Il les activa plus rapidement dans ma chatte, il se pencha pour me lécher les seins et me mordilla les tétons. Il sortit sa bite de son pantalon. Il bandait, mais c'était vrai, elle était très petite.

— Branle moi, branle moi s'il te plaît !

Je me demande comment nous sommes arrivés à l'hôtel sans accident, les yeux du chauffeur furent rivés en permanence sur le rétroviseur pendant tout le reste du trajet, j'avais les jambes grandes ouvertes et les doigts du pharmacien accélèrent leurs mouvements dans ma chatte. Juste avant d'arriver, j'entendis notre conducteur grommeler.

— Salope de blanche !

Le chauffeur noir se raidit d'un coup.

— Il a dû éjaculer, pensai-je !

J'eus à peine le temps de reboutonner ma veste que presque au pas de charge Dumortier me conduisit dans sa chambre. A peine entré, il se mit derrière moi, d'une main fébrile, il fit sauter le clip de ma veste, ses deux mains se saisirent de mes seins, il les malaxa, les tritura, fit rouler mes tétons, les tira, griffa mes aréoles. Il me mit face à lui, sa bouche chercha la mienne et il fit glisser ma veste de mes épaules. Ses mains dézippèrent la fermeture de ma jupe, elle chut sur la moquette. Il se recula.

— Putain que tu es belle, tu me fais bander, regarde, mais ne rit pas ! Par rapport à celle des noirs qui t'ont baisée, la mienne est une micro-bite.

Il baissa son pantalon et quitta sa chemise. Effectivement, il bandait, son érection devait atteindre 10 centimètres au maximum. Je souris. Il s’avança et me poussa sur le lit.

— Reste ainsi avec tes bas ton porte-jarretelles ça m'excite. Putain que tu es belle ! Je ne me lasse pas de te regarder, et tu aimes te faire baiser par des noirs avec des queues immenses, petite Salope !

Il se mit à genoux entre mes cuisses et sa bouche se plaqua sur mon sexe, sa langue parcourue mon mont de vénus ou le sperme d'Ephraïm, avait laissé une pellicule qui restait accrochée à ma pilosité naissante.

— Attends, il y a assez longtemps que je ne me suis pas rasée. Aurais-tu un rasoir et de la crème, je voudrais que tu m’ôtes ce petit duvet.

Il fit un aller et retour éclair jusqu'à la salle de bain et revint avec les ustensiles demandé.

— Bien rase moi, ensuite tu pourras profiter d'une chatte lisse comme la peau d'un bébé !

Il badigeonna mon pubis de mousse, puis délicatement, il commença à raser, sa main trembla légèrement. Il s'appliqua.

— C'est la première fois que je fais ça, putain que c'est érotique, ça me plait, ça y est, j'ai fini, ta chatte est merveilleuse. Avec ses grandes lèvres en corolles. Attends,je vais bien la sécher. Il écarta mes lèvres. Putain, il y a encore du sperme des noirs qui t'ont baisé qui en coule.


Il entra deux doigts, les tourna, les retourna pour bien les imprégner du liquide poisseux, il me les présenta.

— Suce-les bien, tu as l'air d'adorer le sperme des noirs.
— Oui, j'adore.

Le regardant dans les yeux, je lui pris la main et suçai avec délice les doigts baveux. Il recommença l'opération jusqu'à ce qu'il eut épuisé le sperme.

— Putain que ta chatte est belle, j'en raffole, tes lèvres sont merveilleuses, dit-il en les écartant largement avec deux doigts.

Sa bouche se plaqua sur mon sexe, sa langue pénétra mon conduit vaginal, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, il mordilla doucement mon petit bouton qu'il tint pincé entre son pouce et son index. Il ne cessa ses attouchements buccaux que lorsqu'il m'entendit gémir. Il fouilla alors dans le tiroir de la table de nuit sortit, une petite fiole et une petite coupelle contenant le baume magique. Il s'étendit sur le lit.

— A toi d'officier maintenant enduit bien ma queue, je vais boire la potion.

J'étalai la pommade grisâtre au creux de ma main, je commençai à lui badigeonner la queue, de haut en bas, en le massant doucement, tirant son prépuce décalottant son gland pour lui faire subir le même sort. J’hésitai un peu, mais j'enduisis aussi ses testicules.

— Ouiii, ouiiiiii, c'est bon, frotte, frotte. Fais bien pénétrer, oh putain ouiiiiii. Ça vient, ça marche, elle grossit, elle grossit.

Il se mit à respirer rapidement. En effet, sa bite commença à s'épaissir, au plus, je le masturbai au plus, elle enflait, c'était hallucinant de la voir gonfler à vue d’œil. Elle ne devint pas aussi grosse et aussi longue que celle du marabout, mais elle arriva à plus de vingt-cinq centimètres de long et six centimètres de diamètre. Cette transformation m'excita. Émerveillé Dumortier regarda cette transformation les yeux écarquillés. Ses couilles doublèrent elles aussi de volume. Il la tint à la base et l’exhiba fièrement.

— Oh putain, tu as vu ma bite. Je n'ai plus de complexes pour te baiser Trixie..Elle est faite pour ta chatte, laisse moi l'essayer !
— OOOhhhhh oui, c'est vraiment étonnant.. Je n'en reviens pas !

Il souleva mes jambes et entra en moi avec une longue poussée, ma chatte trempée, habituée aux bites énormes s'étira facilement lors de la pénétration. Il commença à me baiser avec de longues et lentes poussées, s'enfonça profondément dans mon vagin avant de se retirer complètement. Mon corps essaya alors de s'empaler le plus loin possible sur la bite qui me martela sans cesse. Il continua à me baiser pendant mon premier orgasme, avec une lente poussée qui emplit complètement ma chatte palpitante, qui se contracta autour du membre phénoménal.
Je m'allongeai devant lui écartelée, les vagues de plaisir déferlèrent. À mesure que ma jouissance prenait fin, un autre orgasme commençait à naître dans mon ventre. Puis Dumortier s'arrêta, il me fixa en souriant.

— Dis donc petite Salope, cela fait plusieurs fois que tu jouis, ce soir, d'abord les noirs puis moi maintenant. Ta chatte est distendue, après la bite d'Ephraïm et la mienne. Je vais te sodomiser.
— Non, noooon ta queue est trop grosse !
— Ne t'inquiète pas Trixie, je vais y aller doucement et lentement, jusqu'à ce que tu sois prête pour que je la mette toute. Tu vas te régaler !

Je cédai. Il me fit lever me tourna face à la table, je me courbai sur le meuble, Dumortier glissa son énorme queue entre mes fesses en vue de me pénétrer. Il la frotta lentement le long de ma raie, il me sembla que sa bite prenait encore du volume et de la consistance. La tête du gland poussa contre mes sphincters. Au début, je me mis à les contracter, pour bloquer sa pénétration. Mais avec les paroles rassurantes du pharmacien, je me décontractai. Avec une pression croissante, le membre pénétra mon petit trou, il entra inexorablement en moi. Dumortier cracha sur sa bite.

— Oh putain que ta bite est grosse, entre lentement, voilà comme ça, tu viens de passer mon ampoule rectale, elle glisse !
— Oh c'est merveilleux de forcer pour faire pénétrer ma queue en toi, c'est la première fois que je ressens cela ! D'habitude, le vagin de mes partenaires avale sans coup férir ma petite bite. La c'est différent, j'ai un sentiment de puissance, de virilité. Je te remercie de m'avoir fait connaître cela.

Mais Dumortier obéit à mon injonction, il enfonça sa bite gigantesque, lentement et plus profondément à l'intérieur de ma chatte. Je fus bientôt capable de l'accueillir plus facilement et je commençai à osciller avec mon bassin, enfonçai de plus en plus son membre viril, jusqu'à ce que mes fesses soient collées a ses cuisses.

— Çà y est ! Ouaaaiii, je te l'ai enfoncé entièrement ! Cria-t-il avec fierté.
— Oh putain, c'est booonn, c'est booon vas-y baise moi, baise moi.

Il était maintenant à l'aise dans mon cul. Il commença à me pénétrer de plus en plus fortement et rapidement, ses couilles battirent ma chatte.

— Oh, merde, pensai-je, je ne vais pas tenir à ce rythme effréné, je réprimai le nouvel orgasme qui naissait en moi.

Le professeur s'activa de plus en plus vite entre mes fesses, il me saisit aux hanches, glissa ses pouces sous mon porte-jarretelles, ses mains sous les lanières, me tira fortement vers lui, enfonça sa bite démesurée au fond de mon cul, et vida longuement sa semence avec force dans mes entrailles. La sensation de ballonnement que cela me procura, déclencha en moi une jouissance aussi intense que la dernière, mon cœur fit des bonds dans ma poitrine.
Putain, cette pommade devait aussi avoir un effet sur la quantité de sperme éjaculé, je sentis des flots de liquide visqueux s'écouler de mon cul et couler sur mes bas, il avait éjaculé autant de sperme que le sorcier. Il se retira lentement, continuant à éjaculer.

— Suce ma queue, Salope. Suce, lèche mon sperme, avale, avale, je n'ai jamais éjaculé autant de sperme, putain, c'est bon, c'est bon. Merci, merci ma petite chérie, je suis aux anges !! Je n'ai jamais joui autant !

Je tombai à genoux devant lui, sa queue comme celle du Nganga-Kisi, bien qu'il se soit vidé de son sperme, bandait encore énormément. Je pris son gland dans ma bouche, le suçai plusieurs fois une contraction et une giclée tiède se répandit dans ma cavité buccale.

— Avale, avale, mon sperme ! Putain je jouis encore, dit-il le corps parcouru de tremblements. C'est extraordinaire ce truc !!

Il s'écroula sur le lit, sa bite se dégonfla comme une baudruche, à la fin elle dépassait tout juste de ses poils.. Rassasiée maintenant, repue de sexe, j'ouvris l'écrin et contemplai amoureusement Mon Diamant.

— Merde, grommela Dumortier, il n'y a plus d'onguent et la fiole et vide !

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Commentaires de l'histoire :

Guépiere
Bravo et félicitation pour cette histoire pleine charme pornographique. J'ai moi même fais un séjours en Afrique ou j'ai subi avec délices des relations presque aussi forte que celle de Trixie. Je m'appelle Marie moi aussi je suis une vraie salope et j'aime ça. vous pouvez lire quelques une de mes aventures (à peine romancée sur ce site) A tres bientot Bisous Marie
Posté le 21/10/2022

Pongodu21
J'ai beaucoup aimé cette histoire. C'est bien un fantasme car je vois mal une femme quellequ'elle soit pouvoir aimer tout ce qu'elle a subi en étant sous influence.
Posté le 18/10/2022


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