Arthur rencontre Damien et Sophie. 6

Arthur est déchainé. Non seulement il s'occupe des épouses mais il n'oublie pas les maris. l'un après l'autre, Damien et Serge ressentent ce que leur femme éprouve quand un étalon hyper membré les encule. Ce n'est pas tous les jours qu'on a à disposition un tel phénomène.

Proposée le 15/10/2022 par mlkjhg39

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

La bête de sexe rencontre Damien et Sophie. 6

Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne maintenant la parole à Sophie.

Nous éclatons tous de rire devant les superlatifs mais Serge continue de branler le manche de pioche d’Arthur et en embouche le gland pour en essorer la dernière goutte avant que « la bête » perde de sa superbe. Il réalise soudain que la verge qui avait perdu quelques instants de sa superbe reprend vie et il libère l’animal fièrement tendu comme une lance devant un hallebardier.
-Sainte Marie mère de Dieu ! Il en redemande déjà ! C’est une bite sur pattes ce mec ! Si votre rejeton est un mâle et qu’il a de tels chromosomes, faudra le surveiller à l’adolescence ! Et il replonge pour une exploration plus profonde.
-Eh ! Laisse-en pour les autres ! S’écrie sa femme, ne monopolise pas Arthur ! D’ailleurs, c’est la pause-café, il est venu pour ça, rappelez-vous !

Suite :
Un nouveau fou-rire commun. Tout le monde se relève et se dirige vers la table pour prendre le café et quelques liqueurs pour réchauffer encore les corps et les esprits. Un peu plus apaisés, nous sommes prêts à reprendre les joutes amoureuses. Arthur se dirige vers ses habits, on ne voit pas ce qu’il fabrique mais quand il se retourne, un anneau de caoutchouc enserre sa verge à la base entre le bas-ventre et ses bourses. Il nous annonce en montrant le cockring :
-Quand je débanderai suffisamment pour pouvoir le retirer, c’est que vous serez passé l’un après l’autre à la casserole, d’après ce que j’ai compris, Serge et Damien veulent savoir ce que j’ai fait subir à leurs épouses et si tel est leur désir, de le connaître eux aussi…

Cette gourmande de Karine suivie de son mari veut aussitôt voir l’effet que ce simple bout de caoutchouc peut avoir sur la verge au repos d’Arthur. Mais ce petit malin résiste le plus longtemps possible à la double stimulation de ce couple pervers. La croissante du pénis est lente mais irrésistible car la pression sanguine doit être plus forte pour gorger sa teub, et elle est encore plus monstrueuse que tout à l’heure. L’étranglement à la base de son chibre laisse passer plus difficilement le sang qui s’accumule dans les corps caverneux de la verge qui se dilate beaucoup plus que dans une érection naturelle. Les veines qui courent le long de la hampe majestueuse sont si apparentes qu’elles en déforment la teub. Rappelez-vous la bombe ménagère de 300ml…Maintenant son sexe en a les mêmes proportions délirantes qui contrastent avec le corps d’ado attardé de ce jeune homme. Il regarde Serge, un ancien demi de mêlée au rugby. Que doit-il en penser ? l’orgueil d’avoir à ses pieds un homme qui pèse pratiquement le double de son poids en extase devant ce jeune étalon blanc ou la peur de l’adolescent fragile qu’il était il y a encore quelques années devant les colères homériques de son père qui trompait ouvertement sa mère ? (relire les premiers épisodes de : Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe ).
Des couples ou des trios se forment et se défont. Une odeur de corps en chaleur et de stupre envahie la pièce. Ma chatte et ma bouche teste l’une après l’autre de la bite la plus Small à la plus Big. Pour l’un, deux doigts me suffisent pour la branler et ma main ne laissant dépasser à peine que le gland minuscule, pour une autre, ma main en enserre sans difficulté le tour, mon pouce couvrant mon index mais mes deux mains cachent en entier la colonne de chair. Pour le dernier, si je veux en faire le tour, une main ne suffit plus et les deux laissent encore une grosse prune violacée dépasser.
Un trio se forme sous mes yeux. Karine s’empale sur une verge pendant que les deux autres mâles donnent leur chibre à sucer. Celui de Serge, légèrement courbé pointe vers le ciel tout à côté de celui d’Arthur droit comme un i Majuscule. Le contraste est saisissant entre ses deux chibres qui se sont trompés de corps. Malgré sa stature de rugbyman, c’est Serge qui fait « petit garçon » quand sa femme prend dans chacune de ses mains les teubs si différentes, ayant une préférence marquée avec l’une des deux pour une fellation en règle Pendant que Damien couché sur le sol, la pine avec ardeur.
Je filme la scène et quand c’est au tour d’Arthur de s’étendre sur le parquet, elle s’en donne à cœur-joie, s’empalant le plus loin possible sur le sabre d’abordage après la dague et le canif de ses deux autres partenaires. Elle y va si fort qu’elle éjecte l’énorme chibre qui encombre son vagin pour pouvoir éjecter un flot de cyprine sous pression comme si elle pissait de plaisir avant de replonger à nouveau le jonc vigoureux dans ses entrailles. Serge puis Damien se sont vidé dans sa bouche, il ne reste plus qu’Arthur. Je viens en aide à Karine pour branler à quatre mains et à deux bouches avides ce pal infatigable. Il avoue enfin :
-Vous avez gagné les filles. Mais avec le cockring, le canon est trop chargé en poudre et risque d’exploser.

Nous n’avons pas le temps de décrypter ses allusions qu’une goutte de pré-sperme coule sur la peau fine du gland. Nous nous positionnons devant lui, la bouche grande ouverte, mais son liquide séminal accumulé derrière l’anneau en franchit enfin le barrage comme un lâcher d’eau en pleine crue. La puissance de son éjaculation est si monstrueuse que malgré la proximité de nos bouches, les jets qui se succèdent se perdent dans nos cheveux, sur nos paupières instinctivement baissées pour ne pas tout recevoir dans les yeux. Ce n’est qu’au quatrième jet que je sens sur la langue le sperme copieux de ce jeune coq qu’il partage aussi avec la bouche de Karine. Quand enfin la source est tarie, j’enlève d’un doigt le sperme qui s’est agglutiné sur mon œil droit et Karine et moi le délaissons pour une toilette commune de chattes en chaleur.
Quand enfin nous nous retournons pour remercier notre « étalon blanc », nous nous retrouvons nez à nez, ou plutôt devrais-je dire nez à bite devant son gros dard toujours congestionné par l’anneau qui l’étrangle à la base. Ce petit coq monté comme un âne s’adresse alors à Karine :
-Tu vas te faire enculer par Serge puis par Damien pour graisser et aléser ton fion, ensuite ce sera mon tour, et toi Sophie, pendant ce temps, tu veilleras à ce que je ne débande pas d’un centimètre, OK les filles ?
-OK.
-OK.

Nous nous activons à refaire bander nos époux puis les deux hommes s’étendent côte à côte sur le dos laissant toute latitude à Karine pour passer à l’étape suivante. Elle enjambe le corps de Serge puis s’assoie directement sur lui, lui tournant le dos, lui saisit sa carotte qu’elle fait disparaître sans aucune difficulté dans son trou du cul. Je n’obéis pas à Arthur et viens me placer à côté de Karine pour jouir du spectacle et attendant qu’elle change de « gabarit » en passant de Serge à Damien pour moi aussi participer à cette partie de chaises musicales, Arthur change ses plans.
Il force Karine à s’allonger sur le torse de son mari dont il écarte les cuisses pour mieux se positionner et comme si c’était naturel, guide d’une main son concombre qui glisse sur la carotte et occupe le trou resté libre sous les cris de Karine et les protestations de Serge qui ne peut plus bouger sous la charge.
-Aaarrrggghhh ! Oh Putain ! Oh putain ! Une double dont je me souviendrai ! Heureusement que Serge n’est pas monté comme toi !
-Eh vas-y doux mec ! Tu es en train de broyer ma pine tellement tu prends de place ! S’exclame Serge.

Mais Arthur n’en a cure et pilonne cette grotte déformée par les deux chibres, chacun dans son antre. Il se relève enfin et Karine en profite pour changer de partenaire. La verge de mon mari ne lui pose pas plus de difficulté, il faut dire que ce n’est pas la première fois que ces deux-là se rencontrent et le fion de ma copine avale jusqu’aux bourses l’organe masculin. J’ai pris sa place sur la teub de son mari et il faut bien reconnaître qu’un peu de déception pendant quelques secondes me submerge vu son allumette. Arthur, toujours attentif s’en est aperçu et vient me faire monter dans les tours en me faisant connaître la même évolution. La sensation est extraordinaire entre le manche noueux aux veines apparentes qui râcle et repousse la fine cloison à chaque coup de reins et comprime la queue de Serge.
Mais le bonheur est de courte durée car Arthur lorgne déjà sur la suite logique. Il nous quitte pour recommencer l’opération avec Karine empalée sur le défonce-cul de Damien. Il a plus de difficulté au début pour introduire son gland dans la chatte car la pression exercée dans le trou fripé par le chibre de mon mari en a réduit l’espace dans le vagin. Arthur s’aide une seconde de la main serrée à la base de son mandrin puis lui saisit les hanches et d’une seule poussée entre pratiquement la totalité de son pieu dans le fourreau détrempé de cyprine, écrasant sans vergogne les chairs de la femme et de l’homme.
-Ooouuuggghhh ! Bordel de merde ! C’est encore plus hot que tout à l’heure ! Y a pas… Rien ne vaut deux belles queues, surtout si l’une d’elles est… Outch, outch ! J’en pisse tellement c’est fort. C’est quand que tu déménages à côté de chez moi, Arthur ?

Il ne lui répond pas et quand il se redresse et demande à Karine de se relever, je m’empresse de prendre la place de ma copine sur le sexe de mon mari, attendant avec impatience de subir le même sort. Arthur attend deux minutes avant de me défoncer la chatte après une introduction de son gros dard hyper lente, me faisant ressentir dans tout mon être chaque centimètre qui laboure mon conduit et fait son chemin, ne tenant aucun compte de l’intrus dans la grotte attenante qu’il comprime sans complexe. Il prend son temps pour éviter d’atteindre le point de non-retour mais moi je coule comme une fontaine et mon jus trouve toujours un interstice le long de son pieu pour fuir et tremper la queue de mon homme.

A suivre…

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