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Cuckolding patronal

Le début d’un long et patient asservissement patronal, qu’Annie, ma femme de trente-deux ans et moi Hervé, son mari de trente-six ans, vivons au quotidien depuis deux ans.

Proposée le 13/10/2022 par joieultime

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


J’ai vingt-deux ans et ma future tout juste dix-huit lors d’une première rencontre qui marquera à jamais nos vies.
Rencontrer par hasard dans une boite de nuit, Hamed, le meilleur ami que je me suis fait au lycée, me présente Annie, immédiatement subjugué par la bandante beauté de la douce et timide fille, je décide, par jeu, de la faire mienne pour la nuit.
Je fais partie de ses grands blonds chanceux, aux épaules carrées qui n’ont qu’à claquer des doigts pour se faire pomper durement la bite deux fois par soirée, alors que mon pote Hamed à du mal à se faire une fille une fois l’an.
Je vois bien qu’il en pince littéralement pour la fille qui l’accompagne, mais que m’importe, quand j’ai jeté mon dévolu sur une gazelle, je plante les crocs et ne lâche plus ma proie avant de lui avoir longuement labouré et remplit copieusement la conduite à bébé.
C’est donc sans l’ombre d’un remord et sûr de moi que je détaille, un poil égrillard, l’ange aux yeux bleu azure qu’il vient de me présenter comme étant la fille d’un des clients de son père.
La bonasse de grande brune d’un bon mètre soixante-quinze, à la taille fine et croupe chevaline, aux deux beaux gros seins planté droit, fait de l’effet à tous les garçons de notre tablé.
Je note illico qu’Hamed, ne se pensant pas de taille, a déjà baissé les bras en laissant Annie s’installer entre moi et un autre rigollot qui pense pouvoir me battre sur ce coup de drague.
Plus baratineur, je prends vite le dessus et deux verres de punch plus tard l’entraine sur la piste pour lui faire danser un slow.
Elle se laisse si aisément enlacer et peloter sein et cul que je présume immédiatement qu’elle est certainement un de ses trous sur patte des villes qui régalent tous les types d’une soirée sans broncher.
Sa veule attitude, de trop douce femme fatale, me faisant bander comme un taureau, c’est sans équivoque que je frotte le bout de mon dard sur son mont de vénus.
Une putain de fente que j’imagine doter de grosse et grande babine volumineuse, fendue, large et haut, lorsque que mon gland, compressé par mon fin pantalon de lin, se fraie sans gêne un passage jusqu’à la dure tigette de cette salope qui, elle, ne fait rien pour m’évincer.
En rut, je l’entraine derrière moi jusqu’au fond du parking, lui grogne d’enlever son string, ce qu'elle fait aussitôt, ne faisant n’y une n’y deux, je l’allonge à plat ventre sur le premier capot de voiture qui se trouve à porter, avec pour unique objectif de fourbir méchamment la pantoufle joufflue qui serre de chatte à la jeune pute en herbe.
Je prends ma canne en main, humidifie mon gland en utilisant le petit torrent de mouille qui s’écoule déjà de son orifice vaginal, et alors que j’encoche ma bite, prête à la prendre durement jusqu’aux couilles, j’entends.

 Cuckolding patronal   - Fait...fait doucement...s’il te pait...c’est...c’est la première fois.

Légèrement décontenancé, mais bien trop excité pour prendre des pincettes, je plonge sèchement ma queue dans sa connasse et ironise quand, sans grand mal, mon gland, littéralement aspiré bute sur l'utérus de la coquine.

- C’est ça, fillette, et moi suis un roi du pétrole. ! ! ! Ceci dit, si tu m'as bien dit la vérité, vaux toujours mieux se faire bourrer radicalement la fente pour une première.

Puis sans plus me préoccupé de ces envies, je régale les miennes et tout en la burinant odieusement, sans prendre de gant, je commence à la traiter de tous les noms d’oiseaux de mon répertoire.
C’est à "salope" ou peut-être à "pute" qu’elle commence à geindre de plaisir, c’est alors que, débordant d’imagination, je lui dis méprisant "Tu es vraiment une bonne décharge à foutre ma belle" qu’elle se met à gicler du con sans retenue.
Cette première soirée, je me viderais trois fois les couilles dans son con de pucelle en la traitant de tous les noms sans qu’elle ne rechigne à me satisfaire.
Le pantalon en lin blanc plein de son miellat et teinté de sang, je la renvoie seule chercher nos affaires dans la boite, honteuse à souhait, elle m’avouera plus tard, qu’Hamed, sourire méprisant aux lèvres, avait lorgné sa chatte au travers de sa robe devenue presque transparente en se gorgeant de cyprine.
J’apprends en la ramenant que son dur maçon de père ne l’avait jamais laissé sortir avant cette première soirée qui était celle de l’anniversaire de ses dix huit ans.
Nous sortons ensemble depuis deux mois quand, elle m’apprend être enceinte, s’ensuivra un mariage rapide et une union qui rayonnera sous la dominance sexuelle que je fais subir en permanence à ma jeunette de femme.
Je l’éduque peu à peu à des jeux sexuels de plus en plus pervers, dont un qui me tient vraiment à cœur, exhiber son cul sur le net, photos, vidéos et webcam ou regardé par de gros pervers qui, ne pouvant voir son visage, me demande fielleux de faire subir les pires humiliations à ses orifices en directe live.
C’est ainsi que chaque soir, mater en Cam par nombre d'internaute, je travaille, méticuleux et patient, à la dilatation de ma douce qui, elle, cède à tous mes caprices aux vues et sus de tous sans jamais se plaindre.
Entre temps, je me fais embaucher comme cariste par le père d’Hamed, alors qu'Annie quitte aussitôt le sien après notre union pour ce fait engager comme secrétaire dans une petite agence immobilière.
Le beau-père ne nous adressera plus jamais la parole et sept ans passeront ainsi avant qu’Hamed, mon rancunier de soi-disant meilleur ami, qui vient de prendre les reines de la boite, ne me fasse la proposition qui fera bientôt de nous le jouet de ses tordus phantasmes.

Chapitre 2 : Le piège.

Je ne chercherai pas à excuser les écarts de conduite faits dans ma prime jeunesse, je me contenterai juste de, vous expliquer le pourquoi de mon attitude un brin machiste dominant envers les femmes.
Peut-être est-ce dut à l’attitude de mon dominant de père qui ne s'est jamais gêné pour baiser ma mère à toutes heures sans trop se cacher, comme un chien monterait ça chienne, ou alors, ai-je été dépucelé trop tôt par une perverse de tante qui avait plus de trois fois mon âge. ?
Toujours est-il que j’ai toujours eu du mal à canaliser mes pulsions sexuelles et plus encore le fameux soir où mon imprudent ami me présente Annie sans me parler de l'amour qu'il ressentait pour une fille qui, pour ma part, n'était sur l'instant qu'un coup de plus à inscrire à mon tableau de chasse.
Début d’une histoire d’amour qui commença, pour mon ami, à la maternelle et ce, dès lors qu’il rencontra Annie pour la toute première fois.
De classe en classe et d’année en année, leurs amitiés, les ont conduits à se découvrir en jouant à touche pipi régulièrement, sans jamais qu’Hamed n’ose lui avouer des sentiments amoureux qui n’étaient de toute façon pas partagée, malgré les doigtés et branles auquel, les deux coquins de préado s’adonnèrent régulièrement.
Séparés par leurs études, collège privé et mortel ennui pour Hamed, alors que là, toujours très malléable, Annie, en restant dans la publique, découvrait les joies du branle collectif, dans le vestiaire de l’équipe de basket qu’elle intégra dès sa première rentrée collégiale.
Plus grande que ses coéquipières d’une bonne douzaine de centimètres avec déjà de vrai sein planté haut, Annie devint très vite le pivot de l’équipe sur le terrain de basket et sa grosse chatte dodue plaqué dans ses shorts trop petit, le centre d’intérêt de toutes les coquines de l’équipe quand elles prenaient sa douche d'après match.
Les jeux de main, jeux de vilain, qu’acceptera de subir sans se défendre la trop timorée Annie, se transformera malgré son peu d’intérêt pour les filles, en jeux de bouche et aspiration de tigette que lui imposera très vite d’accomplir la meneuse de jeu, avec pour obligation de rester à genoux dans les douches, et pour consigne, de sucer toutes les filles qui aurait envie de relâcher la pression d’après match en se faisant bouffer la chagatte.
Trois années de dur labeur buccal ou les mauvaises notes en s'accumulant, libère enfin Annie de son harcèlement.
Elle quitte le collège pour intégrer une filière privé, malheureusement payer par l'entreprise d'un paternel qui veut en faire, dans un premier temps sa secrétaire puis, pourquoi pas, lui céder contre monnaie sonnante et trébuchante.
Annie réussit son diplôme haut la main, mais ses rêves de liberté se brise dès lors que son père lui annonce son envie de la former pour reprendre la boite de TP.
Elle refuse avec si peu de conviction qu’elle commence le travail dès la semaine suivante, c’est ainsi qu’elle reprend contact avec Hamed qui lui aussi travail maintenant pour son père.
Il se fréquenterons assidûment les six mois suivant sans jamais sauter la pas et encore moins le reste.
Toujours aussi maladroit avec les femmes, Hamed loupe le coche et c’est moi qui encoche le con de son amoureuse le fameux soir où je croise le couple en boite.
Triste et bien banale histoire qui aurait dû s’arrêter là si le trop jaloux et revanchard Hamed n’avait pas été aussi profondément blessé.
A peine deux mois après sa nomination à la tête de l'entreprise, Hamed me convoque au bureau pour m’informer, jovial au possible, que son bras droit de secrétaire prenant ça retraite, il a pensé à prendre Annie à son service.
Petit jeu de mot qui ne m'a pourtant pas mit la puce à l'oreille.
L’offre d’emploi est vraiment tentante avec un salaire quasiment doublé et une couverture social à toute épreuve, d’autant que son dernier argument tien lui aussi la route, puisqu’en faisant les trajets en couple avec un véhicule de la boite, nous ferions encore plus d’économie.
Je reste évasif, mais promet d'aborder le sujet avec ma femme le soir même, ce que je fais et qui soulage aussitôt Annie d’un énorme poids, qui m’avoue aussitôt avoir appris, quelques semaines plus tôt, la fermeture définitive de sa succursale.
Un rendez-vous est pris pour la fin de semaine, l’offre réitérée est accepté dans la foulée, Annie signe son contrat d’embauche sans que nous nous doutions un instant que nous venons de vendre nos âmes au diable.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Ça semble plus original que les récits de cuckold de base, bien ! J'attends la suite avec curiosité, j'avoue.
Posté le 3/04/2023

Anonyme
J'ai adoré la vulgarité dans ce genre de récit. Plus de mots crus aurait été encore mieux à mon goût.
Posté le 16/02/2023


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