Marion femme modéle 1

Le mari de Marion a des absences prolongées du domicile conjugale, l très volage lorsqu'il rentre, c'est pour faire une scène. Il tente de se dédouaner en faisant à sa femme des reproches injustifiés voir mensongers.

Proposée le 7/10/2022 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Le mari de Marion, déserte le domicile conjugale de plus en plus souvent, les fois qu'il rentre, c'est pour lui faire une scène. Pour se dédouaner, l'homme volage, il lui fait de reproches injustifiés voir mensongers. Elle, si douce, si prévenante, sa seule défonce, ce sont les larmes. Le menteur, claque la porte et s'enfuit comme un lâche.

Thomas, son fils, entre de la fac, il trouve sa maman assise sur le canapé les yeux pleins de larmes. Il s'assied à côté et lui prend la main en lui demandant :

-Mais qu'est qui ce passe maman !

Sa maman déglutie bruyamment en restant muette, Thomas insiste. Elle finit par lui avouer avec des trémolos dans la voix ses déboires conjugaux qui durent depuis des mois. Thomas regarde sa maman en faisant une moue :

Marion avant la scène était prête à faire le ménage, elle avait enfilée sa blousse comme elle le faisait chaque fois pour faire les tâches ménagères. Les pans de sa blouse, légèrement ouverts, laissent voir une partie de ses cuisses magnifiques. Thomas regarde discrètement ce trésor au galbe parfait. Il embrasse la main de sa maman et lui dit :

-Je vais te verser un bon verre, tu verras, cela ira mieux ensuite !

Marion lui sourit, s'essuie les yeux et répond :

-Merci mon chéri, toi au moins, tu es gentil !

Ils trinquent, Thomas plaisante pour lui changer les idées. Enfin, la maman reprend ses esprits. Elle reprend son chiffon, et monte sur une chaise. En équilibre sur la pointe des pieds, elle essuie tant bien que mal le haut du vaisselier. Dans l'effort, la blouse lui remonte à mi-cuisses. Thomas Sourit et s'approche de sa maman, délicatement, il lui caresse les jambes en disant :

-Tu sais que tu as de jolies jambes maman !

Marion répond, amusée :

Cesse de faire l'idiot mon chéri, tu vas me faire tomber, vas plutôt mettre dans le four le plat que j'ai préparé, nous n'allons pas tarder à diner !

Obéissant Thomas s'exécute. Le repas se passe très bien, sa maman semble reprendre du poil de la bête, les deux se parlent tendrement en se souriant souvent. L'heure tourne, Marion monte dans sa chambre. Thomas lui traine un peu devant la télé, avant de monter, il prend sa douche et monte, rejoindre sa chambre, il ne porte un boxer. Il passe devant la chambre de sa maman, la porte est entrouverte, la lumière allumée. Il pousse la porte, sa maman est étendue sur son lit latéralement, une jambe relevée à l'équerre. La nuisette qu'elle porte est remontée sur le haut de sa cuisse. Thomas aperçoit une partie de la culotte et le début d'un lobe fessier. Il dit tendrement :

-Tu vas bien maman, je peux faire quelque chose pour toi ?

-Non mon chéri ça va merci !

Il la regarde, il sait qu'elle ne va pas bien, il s'étend à côté d'elle, il se plaque contre elle et il l'enlace du mieux qu'il peut. Son bas-ventre et contre les fesses de sa maman, le coquin se frotte doucement contre elles. Marion recule, mais Thomas avance, un moment, elle en peut plus reculer. Thomas lui donne des baisers sur le cou, sur la nuque. Marion est touchée par l'attention que lui porte son fils. Mais les ondulations de son bassin contre les lobes charnus provoque chez lui une érection. Marion pousse, un soupir profond et dit :

-Mon chéri, il est temps que tu ailles te coucher, tu as une crampe !

-Il lui donne un baiser appuyé, sur la nuque et répond :

-C'est une crampe merveilleuse maman, je t'assure !

-Aller file dans ta chambre, tu sais, je ne suis pas d'humeur à plaisanter aujourd'hui mon chéri !

Déçu, il rejoint sa chambre, se jette sur son lit et extirpe de son boxer sa verge dure comme du bois. Il se masturbe sauvagement en grognant comme une bête, rapidement, il explose son sperme gicle sur son ventre, ses doigts et son boxer. Apaisé, il s'endort. Marion ne trouve pas le sommeil, elle se tourne et retourne sur sa couche. Elle ressent encore contre ses fesses la verge tendue de son fils. Sa main s'égare sous sa nuisette et glisse sur sa culotte, ses doigts caresse sa fente à travers la culotte. Elle sent, sous le fin tissu, la proéminence que forme le clitoris. Elle caresse la boule sensible jusqu'à la puissance.

Le lendemain matin, elle sort de sa douche, enroulée dans une serviette de bain nouée juste au-dessus de ses seins et qui lui arrive à mi-cuisses. Elle croise son fils, elle remarque les taches sur son boxer, elle s'arrête et lui en fronçant les sourcils :

-Qu'est que c'est, toutes ses traces !

Thomas lui sourit et dit avec une pointe d'ironie :

-C'est à cause de toi, je me suis branlé !

Marion hausse les épaules et répond :

-cesse de dire des bêtises, prends ta douche et change-toi mon chéri !

S'il savait que, elle aussi, a jouée de ses doigts sur sa vulve, cela simplifierait bien des choses. Thomas ressort de sa douche, il est nu, il monte à l'étage pour s'habiller dans sa chambre, il passe devant celle de sa maman, il pousse la porte. Marion brosse ses chevaux devant sa coiffeuse, dans le miroir, elle ne voit que le torse de son fils. Il s'approche et pose ses mains sur ses épaules, il les masse doucement, et donne des baisers brulant sur ses épaules dénudées.

- Alors en brosse sa chevelure flamboyante ma petite maman?!

Soudain, il passe tendrement ses mains devant et tente de les faire passer sous la serviette. Marion se cabre et lui dit et lui saisissant les poignets :

-Mais qu'est qui te prend mon chéri, tu deviens fou !

Il répond :

-c'est toi qui me rends comme ça regarde, je bande comme un cheval !

Marion se retourne brusquement et sursaute, elle voit la verge de son fils, dressée comme un mât de cocagne, elle bègue en ne quittant pas des yeux le mandrin raide :

-Mais tu es fou, je suis ta maman, sors de ma chambre immédiatement et vas t'habiller !

Il tente de l'enlacer, mais elle le repousse fermement. Déçu, il rejoint sa chambre. Sa maman reprend le brossage de sa chevelure en tremblant. Elle ne cesse de déglutir bruyamment, puis éclate en sanglot.

À suivre

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