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Le Princass

Eléanor, une fan de sodomie, et ses trois amis font la tournée des bars. Elles s'interrogent sur le secret de l'un d'entre eux, le Princass. Un secret qui pourrait bien les amener à se faire ramoner.

Proposée le 26/09/2022 par Fantalice

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FF
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Comme tous les jeudis soirs, et une bonne partie de la semaine finalement, mes copines et moi allons nous détendre et nous amuser dans les bars de la ville, aux alentours de la fac. Le rituel est simple : on commence par l’Opéra-corner et ses rhums arrangés avant de se diriger vers l’un des deux établissements voisins selon notre humeur et de terminer au Princass, la "brasserie de minuit".
Presque tous les soirs, nous suivons cette tradition qui fait souffrir nos foies et nos portefeuilles, mais qui réchauffe nos coeurs et nos esprits.

Nous sommes un groupe de quatre : Hélène, une blonde souriante et extravertie, Marie, une petite brune un peu réservée mais très gentille et espiègle avec ceux qui la fréquentent et dont la magnifique peau métisse est aussi lisse que les tables vernies sur lesquelles les serveurs charismatiques et sexy déposent nos verres, Annabelle, une autre blonde souriante et extravertie, et enfin, moi, Eléanor, une petite brune légèrement timide mais inarrêtable une fois que je suis à l’aise.

Nous sommes toutes les quatre dans la même classe de socio et avons fêté nos 20 ans il y a quelques semaines. Avec seulement trois jours d’écart entre les naissances de chacune d’entre nous, on aime à penser que c’est le destin qui nous a réunies.

Ce soir, une fois de plus, nous n’échappons pas à la tradition. Il est 20 heures et nous sortons de la bibliothèque pour aller directement à l’Opéra-corner. Aujourd’hui, autour de nos rhum-myrtilles, la discussion tourne autour du nom des bars que l’on fréquente régulièrement. Pour celui qui vient de nous servir, ça paraît assez évident, il est au coin de la rue de l’Opéra.

Nous finissons nos verres et allons dans l’établissement situé à droite de celui dont nous sortons à peine : l’Orchidée. Ici aussi la solution est plutôt simple, la patronne est fan de ces fleurs. Il y en a partout, jusque dans les gravures qui ornent le centre des tables.

Nous décidons de sortir après avoir vidé nos verres pour nous diriger vers notre paradis, le Princass. Marie et moi devons empêcher Hélène et Annabelle de piéger dans leurs filets un énième mec pur et innocent avec la promesse d’une torride nuit à trois.

On les a déjà vues faire. Elles nous abandonnent à nous-mêmes en partant avec leur proie avant de revenir une petite heure plus tard en se plaignant des performances de leur amant et en ayant brisé le coeur du malheureux qui pensait se marier avec l’une et baiser régulièrement avec l’autre dans l’accord de la première.
Le comble c’est qu’elles ont du succès ces deux-là. Il faut dire qu’avec leurs poitrines imposantes et les heures qu’elles passent à squatter à la salle plutôt qu’à étudier en cours, elles retiennent les regards et font se dresser les pantalons.

Marie et moi sommes célibataires, et si nous avons déjà eu un certain nombre d’aventures, notre timidité et notre réserve nous tiennent à l’écart des rencontres d’une nuit, ou d’une vie. Au grand damn de nos comparses d’ailleurs, qui n’ont de cesse de nous pousser vers des garçons même quand on devient plus rouges que le stick à lèvres d’Hélène.

«— Léa, me murmure Annabelle, y en a un qui te mate depuis tout à l’heure. Si tu veux tenter un truc avant qu’on parte y a aucune chance que ça foire.
— Haha, ouais trop bien, je vais voir ce que je peux faire, je lui réponds en ouvrant la porte de la sortie.
— Pfff, si t’en veux pas, moi j’y vais.
— Anna…, commence Marie.
— Je plaisante ma belle, t’en fais pas. On y va avant que je ne puisse pas refuser l’invitation qu’il va forcément me proposer ? »

Annabelle est sûre d’elle et consciente de l’impact qu’elle a sur les autres, surtout sur les mecs. C’est ça qu’on apprécie chez elle.
Hélène sourit et nous fait signe de sortir en nous tenant la porte. Elle me claque les fesses quand je passe devant elle, et évidemment Marie ne peut pas s’empêcher de suivre en agrippant ma fesse gauche.

Alors que nous entrons dans le Princass les serveurs nous sourient et le plus proche de l’entrée, Vincent (alias Vince pour les intimes) nous gratifie d’un :
«— Bonsoir mesdemoiselles, encore une soirée de détente et de débauche après une dure journée assises sur les bancs de la fac ?
— Seulement de détente, Marie et Léa nous interdisent la débauche, lui répond Hélène faussement indignée.
— Vous n’êtes pas au bon endroit alors, lance Vincent en riant, qu’est ce que je vous sers ?
— Des pintes de brunes, pour décoincer nos amies.
— Je suis pas coincée, rétorque Marie avec un sourire malicieux, je suis raisonnable. Anna et toi ne pensez qu’avec vos culs c’est tout. »

Elle part s’asseoir à notre table habituelle en riant, suivie de nos deux amies qui font semblant de la réprimander pour garder la face vis-à-vis de ceux qui auraient potentiellement entendu l’échange. Mais nous savons toutes les quatre que la petite brune espiègle n’a pas tort.
Je jette un clin d’oeil à Vince qui me le rend en souriant alors qu’il commence à remplir les pintes et je suis mes trois camarades de beuverie au fond de la salle.

Une fois assises, Annabelle à ma gauche, Marie en face de moi et Hélène à ma droite, la discussion revient sur le nom des bars. Pour celui-ci, la réponse est bien plus dure à cerner que pour les deux premiers. D’autant que, a priori, Princass, ça ne veut rien dire. Nous tombons d’accord pour dire que ce doit être un mot d’une langue étrangère et essayons d’en deviner la traduction. Annabelle triche en cherchant sur internet mais sans aucun succès. A court de solution, et bien sûr après s’petre gentiment moquées d’elle, nous nous résolvons à poser la question au serveur qui nous apporte nos bières.

«— Dis-moi Vince, je lui demande, pourquoi la brasserie s’appelle "Princass" ?

— Haha, parce que ça sonnait mieux que Prinfesses, me répond-il en riant. »

Nous le regardons partir, dubitatives.
« — Prinfesses ? demande Annabelle.

— Fesses ? répond Marie.

— T’as un esprit encore plus mal placé que celui d’Hélène, lui dis-je pour la taquiner.

— N’importe quoi, rétorque la blonde, je suis la reine de l’esprit mal placé. »
Elle appuie ses paroles en renversant "maladroitement" quelques gouttes du verre d’eau qu’on nous sert toujours en même temps que nos bières sur son chemisier, le plaquant ainsi sur ses seins et laissant apparaître ses mamelons dénués de soutien-gorge. Je n’ai jamais compris comment elle faisait. Mes seins à moi sont plus petits et pourtant rien que descendre les escaliers est douloureux si je n’en ai pas.

Nous rions à sa blague et Annabelle s’amuse des regards qui se tournent vers sa partenaire de jeux.
Comme à leur habitude, et à mon grand désespoir, mes trois amies orientent la discussion sur ma vie sexuelle.

«— Alors Léa, toujours aussi célib’ depuis mardi soir ? Me demande la blonde à ma gauche.

— Ho ça va, si j’ai pas envie j’ai pas envie. Pourquoi vous demandez pas à Marie ? Elle a pas eu de mec depuis plus longtemps que moi.

— Parce que Marie est super copine avec Adrien, du cours de monsieur Henri (La jolie métisse baisse la tête pour cacher le rose qui lui monte aux joues). Toi c’est pas que tu veux pas, c’est que tu n’oses pas. A croire que tu ne veux pas de mec entre tes jambes.

— Evidemment, reprend celle à ma droite, tu sais que notre Léa les préfère derrière elle.

— C’est vrai ça ! reprend l’autre, notre Eléanor préfère qu’on lui écarte la rondelle plutôt que la chatte.

— C’est pas vrai ! je m’offusque, il y a beaucoup plus de plaisir dans une pénétration vaginale, c’est pas comparable ! C’est juste que...la sensation d’avoir un mec dans le cul...c’est surtout psychologique et pas vraiment physique mais c’est kiffant, dis-je en murmurant presque, rêveuse.

— Ha tu vois, je te l’avais dit Anna !

— Ho ça va ! Vous vous aimez bien ça quand vous êtes toutes les deux et on dit rien.

— Mais on n’a rien dit, fais-toi péter le cul quand tu veux ma belle, ajoute celle à ma gauche.

— Ce que tu peux être vulgaire, je grommelle en roulant des yeux. »

Mes comparses rient et Annabelle me caresse le dos pour me faire signe de ne pas bouder. Mais au fond de moi, cette parenthèse sexuelle a allumé un feu dans mon ventre. Une excitation qui grandit, alimentée par les allusions de mes amies et les regards que certains me lancent.

Le bar ne se remplit qu’aux alentours de minuit et ferme à 2 heures du matin. C’est pour ça que notre table est toujours libre. Et comme d’habitude, dès minuit et demie, nous assistons à un curieux manège. Des garçons viennent parler à des filles quelques minutes, elles les prennent par la main et ils sortent ensemble. Parfois elles reviennent au bout d’une heure ou deux, parfois elles ne reviennent pas. Mais à chaque fois, les couples qui se forment ne se connaissaient pas il y a une dizaine de minutes à peine.

C’est le grand mystère du Princass : où vont-ils tous, tous les soirs ?

Nous terminons nos bières et sortons. Nous nous embrassons chaleureusement et nous disons à demain et rentrons chez nous chacune de notre côté, sauf Hélène et Annabelle qui sont colocataires.
Quelques stations de métro, cinq minutes de marche, et me voilà devant mon immeuble. Eméchée, je monte difficilement les marches qui mènent à mon appartement et peine à glisser la clef dans la serrure. Une fois à l’intérieur je me déshabille en laissant tomber mes vêtements par terre, ne gardant que ma culotte, et monte dans ma mezzanine pour m’allonger sur mon lit.

Le feu toujours brûlant dans mon ventre, je me glisse sur le ventre et ouvre le tiroir du bas de ma table de nuit. J’en sors un sextoy cylindrique, lisse et transparent, ainsi qu’un tube de lubrifiant. J’en badigeonne le gode, et, lentement, je l’approche de la source de ce feu qui me dévore. Doucement, je le dirige vers mon entrejambe...

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