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Première sodomie

Voici l'histoire de ma première sodomie et premier rapport sexuel alors que j'avais mes règles. La sodomie était aussi courante avec cet ex que la pipe pour d'autres couples.

Proposée le 13/09/2022 par Diane87

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Dans le RER pour la Plaine Saint Denis, je songe au travail qui m’attends. Le cabinet de recrutement m’a contacté il y a une semaine pour une mission d’un mois. Hôtesse d’accueil dans un centre de formation. C’est pas un boulot de ouf mais à 22 ans, c’est toujours une expérience de plus dans mon CV.

Arrivée sur place, je me présente à un homme à l’accueil. 30 ans environ. Peut-être moins. Plutôt mignon. De beaux yeux et un sourire magnifique. Il prend le téléphone et appelle quelqu’un.
Quelques secondes plus tard, un des deux ascenseurs en face de l’accueil s’ouvre et en sort une dame d’une quarantaine d’année.
- Bonjour. Diane c’est ça ? Nathalie.
- Bonjour, dis-je.
- Je te présente Giovanni. Il remplace Antoine pendant encore deux semaines. Il s’occupe de la permanence de nuit et prend le relais le soir à ton départ. Il va t’expliquer ce que tu dois faire. Je suis joignable sur le poste 12. Bonne journée.
Et sur ces brèves paroles, elle s’en va et m’en laisse en compagnie de l’italien.

Alors qu’il m’explique le poste et le peu de chose que j’aurais à faire, je songe que je le trouve séduisant et que je sors d’un plan cul de quelques mois avec un italien qui c’est plutôt mal fini, sachant que j’avais fini par tomber amoureuse de lui. Mais il faut dire qu’au lit ensemble, on était plutôt bon. Il m’avait fait découvrir mon point G.
- Je te passe mon numéro.
- Ok. Dis-je en sortant de mes pensées.
- Si jamais ton train est en retard ou si je suis à la bourre, on se tient au courant. Mais si j’arrive plus tôt tu peux partir prendre ton train. Je sais que c’est galère parfois.
- Super, merci.
- Bonne journée.
Il part avec un sourire et me laisse à ma tâche.

Le travail n’est pas passionnant. Nathalie m’autorise à m’occuper comme je veux. Un livre, le 20 Minutes, Facebook. J’ai carte blanche. Je demande cependant de temps en temps si je peux aider et elle me confie la préparation de la salle de formation.
Mon seul bonheur de la journée c’est les quelques minutes que je partage avec Giovanni le matin ou le soir. Je crois qu’il remarque mon sourire quand il sort de l’ascenseur.

Deux semaines se sont écoulées. C’est le dernier soir de Giovanni. Je dois tenter quelque chose…
- Dernière nuit c’est ça ?
- Oui. Lundi matin tu rencontreras mon pote Antoine. Tu verras il est sympa.
- Cool. Bon je file mais si tu veux, garde mon numéro. On sait jamais. Dis-je en m’approchant pour lui faire la bise, mais la dernière volontairement posé sur sa joue, proche de sa bouche.
Il ne dit mot et je pars dans un sourire.

Le soir, je reçois un sms de sa part, me proposant de le voir demain dans l’après-midi, sans me proposer d’heure. Je lui réponds tout de suite, disant que je serais au Palais Bercy vers 16 heures.

Le lendemain, tandis que je me prépare, mes règles débarquent. Quelle joie !
Vers 16 heures, je suis sur les marches à attendre. J’attends, pendant une heure et enfin il arrive avec des excuses. Panne de batterie de téléphone.

Nous discutons et commençons vraiment à faire connaissance dans sa voiture.
- Je suis désolé, on va pas chez moi. C’est pas… présentable. On va aller chez ma mère mais je te rassure elle n’est pas là, elle est en vacances en Italie.
Arrivé chez sa mère, on discute un peu avec un verre puis il se met à la cuisine.

Une fois le repas passé, nous nous posons dans le canapé pour regarder Dracula de Coppola. Puis pendant le film, il se rapproche de moi puis passe un bras derrière moi.
Lentement, nous tournons chacun la tête l’un vers l’autre. Tandis que nos nez se frôlent et nous électrisent, il attrape mon visage et m’embrasse fougueusement, sa langue venant chercher la mienne.

Il m’allonge sur le canapé et se retrouve sur moi, à frotter son sexe contre le miens. Il a l’air d’être sacrément bien gaulé.
- Giovanni, je peux pas, dis-je entre deux baisé. Je suis indis…
Il me mets un doigt sur la bouche.
- C’est rien ça.
Puis il m’embrasse de nouveau et va glisser sa main sur mon string pour titiller mon clitoris.

Alors que mon tampon se remplit à la fois de sang et d’excitation, ça me fait presque mal à la chatte. J’ai terriblement envie qu’il me baise !

Puis il me regarde et dans un sourire, il enlève mon jean et mon string et vient lécher mon clitoris et sans un mot, vient glisser un doigt dans mon anus.
Je n’ai jamais vécu ça mais comme ça semble bon.
- Enlève ton t-shirt.
- Ok mais toi aussi, je veux voir tes seins.
Je m’exécute et lui aussi.
- J’ai jamais vu des seins aussi beau.
Tandis que je rougis, mêle si je suis plutôt fière de ma poitrine généreuse et naturels, il retourne à mon entrejambe puis rapidement m’attrape pour me retourner sur le ventre. Alors qu’il continue de titiller mon anus avec un doigt, sa langue vient lécher mon sphincter.
Automatiquement, je me cambre en relevant mes fesses pour m’offrir encore plus à lui.

Quelques minutes plus tard, après avoir finalement inséré plusieurs doigts en moi, il enfile une capote et vient me dépuceler du cul avec pour seul lubrifiant sa salive.
Je gémis, surprise de prendre mon pied.
Le sexe devient de plus en plus brutale, il trouve mon clito pour le stimuler en même temps.
Puis dans un râle, jouis, essoufflé.

Tous les deux en sous-vêtement sur le canapé de sa mère, je lui confie que c’était ma première sodomie.
- J’aurais pas cru, t’as kiffé visiblement.
- Oui, dis-je gênée.
- Enlève ton tampon et vient.
Je vais aux toilettes puis le rejoins dans la chambre de sa mère, où il met une serviette sur le lit.
Face à moi, déjà nu et sa queue splendide au garde à vue, il me fait coucher sur le lit en m’écartant les cuisses.
Tandis qu’il m’embrasse, il vient insérer quelques doigts puis quasiment sa main dans ma chatte trempée de mouille et de sang.
- Viens, je souffle en deux gémissements.
Le temps d’enfiler une capote et il vient me lever les jambes pour venir limer ma chatte à coup de reins, ses couilles tapant mon cul à chaque va et vient, et j’aime quand ça claque comme ça. Ça m’excite encore plus.
Je parviens à replacer mes jambes à côtés des siennes et lui attrape le cul pour le guider dans ses mouvements de bassins.
Puis il se retire, enlève la capote et m’attrape la main.
- Branle-moi. Je veux jouir sur tes seins.
Je m’exécute en y ajoutant quelques sucions avec ma bouche. Il ne tarde pas à répandre son sperme chaud sur mon 90C et mon ventre.

Je sors de la chambre me rincer et remettre un tampon puis le rejoins. Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

Dans la nuit, je suis réveillée par des caresses. J’ouvre les yeux, et regarde l’heure, il est déjà 7 heures et il bande en caressant mon ventre et l’intérieur de mes cuisses.

Voyant que je suis réveillée, il vient prendre un de mes tétons en bouche pour le sucer comme un bébé, avec quelques mordillements au passage.
- Tu veux que je te prenne comme sur le canapé ?
- Oui, dis-je timidement.
Il me retourne sauvagement, enlève mon string et vient à pleine langue sur mon anus encore un peu dilaté par sa pénétration.
- T’es encore toute ouverte ma puce. Viens là.
Il m’attrape les hanches pour que je me cambre et s’insère de nouveau en moi.
- Merde ! J’ai pas mis de capote.
- C’est pas grave, défonce moi Gio !
J’accorde mes mouvements avec les siens pour qu’il me pénètre profondément. Je finis par me redresser pour coller mon buste au siens.
J’attrape une de ses mains pour la guider vers mon clitoris et la seconde vers un de mes seins.
- Baise moi ! dis-je dans un souffle.

Au bout de quelques minutes, il me demande l’autorisation de jouir dans mon cul. À peine ai-je dis oui que je sens un liquide chaud se répandre en moi.

Sous la douche, alors que nous nous lavons mutuellement, prétexte pour moi pour voir son manche grandir dans ma main :
- Ça va être sympa lundi au boulot quand je vais rencontrer ton pote Antoine !
Il rigole avant de retrouver ma bouche et mes lèvres trempée d’excitation.

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