Histoire Erotique

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Un lieu en dehors de l'espace et du temps

Une histoire bien plus récente. Une nuit sous la neige, isolé dans un EHPAD loin de toute civilisation. Des gens qui se laissent aller et réchauffent cœurs et corps pour oublier que la tempête fait rage dehors.

Proposée le 5/08/2022 par Korn

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Après avoir démissionné de mon poste au SSR où j’avais fait la connaissance de Valentine, Diane et trois autres femmes (tiens, cela fera quelques histoires à vous conter), je repris une activité libérale à temps plein avec un gars de ma promo dont la collègue voulait quitter la région. Ma patientèle incluait un grand EHPAD perdu au milieu de nulle part, deux passages de trois heures par semaine. Bien que la structure fusse immense, j’y pris rapidement mes marques et sympathisai avec quelques soignants et résidents.

Au moment des faits, j’avais bien entamé ma trente-cinquième année. Les mesures barrières contre la COVID étaient doucement levées, mais nous devions garder le masque au sein de l’établissement.

La journée touchait à sa fin. Nous étions au mois de janvier et la nuit était tombée depuis longtemps, les résidents s’apprêtaient à passer à table et moi à rentrer à la maison retrouver femme et enfants. J’accompagnais ma dernière patiente du jour à la salle à manger en échangeant de petites piques avec elle. C’était notre petit jeu : je la corrigeais sur la démarche, elle se plaignait de moi avec un grand sourire et je prenais un air outré ou menaçant ; puis nous nous esclaffions et je lui faisais remarquer qu’elle devait quand même écouter mes consignes.

Je saluai une dernière fois les résidents et me dirigeai vers le bureau de l’ergothérapeute pour rédiger mes transmissions avant de partir en week-end. Sur le chemin, je croisai la cadre de santé, Mélanie, un bloc-notes à la main et les sourcils froncés. C’était une grande femme de presque 1m75, de trois ans ma cadette, aux longs cheveux châtains méchés de blond toujours noués en chignon, à la silhouette mince et athlétique, sans vraiment de formes. Elle était très jolie, avec un visage long et anguleux, aux pommettes hautes et saillantes et une fossette prononcée au menton. On avait rapidement sympathisé car sous des dehors très stricts se cachait un humour noir et acéré assez semblable au mien.

— Ah t’es là ! lança-t-elle avec soulagement. Ça fait une heure que je te cherche partout !

— Désolé de travailler hein, répliquai-je.

Elle replaça rageusement une mèche derrière son oreille.

— Faut que tu me dises si tu restes cette nuit.

— Bah évidemment que non… Attends, pourquoi tu me demandes ça ? Il s’est passé un truc ?

Elle inclina légèrement la tête sur le côté, je devinai sa moue dubitative sous son masque. Puis un éclair dans son regard.

— Attends, t’as pas regardé dehors ?

— Non, je suis plus concentré sur les jambes des résidents. Y a quoi dehors ?

— Va voir.

— Putain mais tu peux pas me dire ?

— Va. Voir.

Honnêtement, je détestais quand elle agissait comme ça. Tout en maugréant, je me dirigeai vers la fenêtre la plus proche. Malgré la nuit, les lumières de l’EHPAD suffisaient à éclairer l’affligeant spectacle.

D’énormes flocons, en quantité phénoménale, balayés par un vent glacial. Du blanc à perte de vue.

— Oh merde, jurai-je entre mes dents.

— Du coup tu rentres chez toi ou tu restes ? Faut que je sache pour te commander un repas et te préparer une chambre.

— Bah évidemment que je reste, tu veux ma mort ou quoi ?

— Peut-être pas jusque-là, mais quelques fractures ça nous ferait des vacances.

Je la foudroyai du regard.

— Désolée, concéda-t-elle, c’était pas le soir.

— C’est rien.

Je lui souris sous mon masque en lui adressant un clin d’œil.

— Je te promets pas de pas me venger cela dit.

— Je t’attends, ricana-t-elle.

Une heure et demie plus tard, nous nous trouvions dans son bureau, petite pièce exiguë occupée essentiellement par le grand meuble où s’entassaient ordinateur, dossiers, formulaires et post-it. Mélanie enchaînait mails et appels pour trouver du personnel pour la nuit et le week-end, je jouais tranquillement sur mon téléphone en attendant d’être assez fatigué pour aller me coucher.

Au bout d’un moment, je m’étirai et me levai pour me dégourdir les jambes. Je fis quelques pas jusqu’à la fenêtre.

— Tu devrais venir voir, dis-je.

— Hum ?

— Viens. Voir.

Grommelant, Mélanie me rejoignis. Devant nous s’étendait le toit terrasse, blanc, immaculé, éclairé par les lumières extérieures de l’EHPAD. La neige tombait toujours et on pouvait presque entendre le silence éthéré à travers le double vitrage. Tout semblait soudain paisible et onirique.

— C’est beau, concéda Mélanie.

— Oui, on se croirait presque en dehors du temps et de l’espace.

Nos épaules se touchaient, elle m’en donna un petit coup.

— Voilà qu’il devient poète, railla-t-elle.

— Ouaip, fis-je en me grattant l’oreille. Et toi, t’es tendue comme un string.

Elle poussa un long soupir.

— Il n’y a pas d’infirmière pour cette nuit, je vais devoir m’en occuper.

— Je suis désolé pour toi.

Elle regarda sa montre, soupira de nouveau.

— Dans trente minutes je vais devoir faire le tour et je n’ai encore personne pour demain. Ça me déprime d’avance.

Dans un élan de sympathie, je passai un bras autour de ses épaules. Après une seconde d’hésitation, elle posa la tête au creux de la mienne. Son parfum, très floral, me parvint nettement. Nous restâmes ainsi une longue minute, sans parler, contemplant la neige par la fenêtre.

— Merci, souffla finalement Mélanie, ça fait du bien un peu de douceur.

— De rien, répondis-je sur le même ton. Tu as besoin de lâcher un peu de pression et d’oublier le boulot quelques minutes avant de t’y remettre.

Elle acquiesça silencieusement, s’installa un peu plus confortablement contre moi.

— Profiter d’un moment en dehors de l’espace-temps ?

— Du temps et de l’espace. Mais oui, c’est l’idée. C’est paisible là tout de suite, faut en profiter.

Elle hocha de nouveau la tête.

— Tu as raison, on se croirait dans un autre monde.

— Oui…

Sans réfléchir, je laissai ma main descendre, enlacer sa taille.

— Tu fais quoi ? demanda-t-elle sans bouger, d’une voix qui disait qu’elle connaissait déjà la réponse.

— Je t’offre un peu de douceur et de détente.

— Enlève ta main, on pourrait nous voir et je suis mariée.

— C’est vrai qu’on pourrait nous voir.

Je tendis mon bras libre, appuyai sur le bouton du volet électrique. Nous contemplâmes une dernière fois l’étendue immaculée qui disparaissait progressivement à notre vue, j’en profitai pour attirer Mélanie un peu plus contre moi. Une fois encore, elle ne se déroba pas, j’aurais voulu rester comme ça encore longtemps. Hélas son temps était compté, alors je la fis pivoter et me plaçai face à elle, les deux mains sur ses hanches. Il y eut un nouvel instant de flottement, puis je fis sauter d’un seul coup tous les boutons de sa blouse, sous laquelle elle portait un t-shirt noir à manches longues et col roulé. Elle ne dit rien et ne bougea pas lorsque je m’avançai mais son regard brûlant valait consentement.

Je soulevai alors le tissu noir sur son ventre, dévoilant de beaux abdominaux sur lesquels, me courbant, je posai les lèvres. Je me mis à genoux devant Mélanie, embrassant sa peau, descendant à chaque baiser. Au quatrième, elle posa les deux mains sur mes épaules pour m’arrêter.

— Attends, murmura-t-elle. Tu veux faire quoi là ?

— Je te l’ai dit, je t’offre un peu de douceur et de détente. Rien de plus.

— Je suis mariée, me rappela-t-elle.

— Et nous sommes en dehors du temps et de l’espace.

— Je ne te rendrai pas la pareille, ajouta-t-elle.

— Je ne te l’ai pas demandé.

Ses mains passèrent de mes épaules à ma nuque, signe de son assentiment, je plaçai les miennes dans son dos pour l’une, sur ses fesses pour l’autre et repris mes embrassades et ma lente descente. A mesure que j’approchais de sa ceinture, sa respiration se faisait plus lourde. Lorsque j’arrivai enfin à son pantalon d’hôpital, je passais les doigts sous l’élastique et le descendit d’un seul coup sur les genoux de Mélanie.

Je posai les lèvres sur son pubis à travers son string blanc, ma main droite quitta ses fesses, remplacée par la gauche, et vint devant. Tout à mes baisers, je fis courir un doigt sur la fente de Mélanie qui avança le bassin pour mieux s’offrir à mes attentions ; derrière une épaisseur de tissu, je sentis les grandes lèvres s’ouvrir pour accueillir le coït, la chaleur du jus qui s’en échappait et allait bientôt imprégner le coton. Je fis encore quelques allers-retours le long de sa vulve, puis j’écartais le dessous et plongeai deux doigts en elle, lui arrachant un gémissement de surprise et de plaisir mêlés. Presque aussitôt, ma langue s’empara de son petit clitoris que je m’empressai de lécher.

Mélanie était à présent totalement offerte à la bouche qui dévorait son bouton et aux doigts qui fouillaient son vagin aussi brûlant que serré, ondulant des hanches pour accompagner la pénétration tout en me maintenant des deux mains la tête contre son intimité.

Au bout d’un moment, je croisai les bras sous ses fesses et me relevait brusquement, la soulevant du sol sans effort tant elle était légère. Je n’eus que trois pas à faire pour la déposer sur son bureau. Aussitôt, elle se bascula en arrière tout en faisant sauter ses Converses d’un mouvement élégant des jambes. Je fis subir le même sort au pantalon et au string avant de retourner entre ses cuisses m’occuper d’elle. Ses doigts plongeaient dans mon cuir chevelu, tandis qu’elle me caressait le dos du bout de son pied encore enchaussetté.

Doucement, je la fis monter vers l’orgasme, alternant douceur et frénésie. Elle finit par jouir la tête renversée dans le vide, les mains et les jambes m’enserrant, le vagin palpitant autour de mes doigts. Lorsqu’elle relâcha son étreinte, je me redressai non sans déposer un dernier baiser sur sa petite chatte trempée. Mélanie était toute rouge et transpirante, les cheveux en désordre, mais le regard toujours brillant.

— Il ne s’est rien passé, dit-elle d’un ton tranchant.

— Tu exagères, répondis-je en lui tendant pantalon et string. Tu pourrais reconnaître que mon humour ravageur t’a détendue.

Elle pouffa en se rhabillant.

— Tu vois ? Le rire, c’est le meilleur remède, même si je reconnais que c’est un peu la honte d’avouer rire de mes blagues.

Elle fit claquer l’élastique de son pantalon et s’étira en soupirant d’aise.

— Hum oui, je dois avouer que ton « humour » m’a bien détendue.

— Prête à affronter une nuit de travail ?

— Non, mais toujours plus qu’il y a quelques minutes.

— Tu m’en vois ravi.

Elle jeta un œil à sa montre.

— Allez, je vais m’y mettre. Merci pour la « rigolade. »

— A ton service très chère.

Je remis mon masque en sortant du bureau de Mélanie. Aussitôt, l’odeur de son jus, imprégnée dans ma barbe, m’emplit les narines. C’est donc tout guilleret, avec le sens du devoir accompli, que je me dirigeai vers la chambre qui m’avait été attribuée. Après tout, quoi de mieux pour terminer cette journée merdique que de lécher la chatte d’une cadre de santé aussi jolie que stricte ?




Trois heures plus tard, je me tournais et retournais sur mon matelas en mousse visco-élastique, dans une petite chambre d’un coin désert de l’EHPAD, cherchant le sommeil. La COVID ayant prélevé son dû, beaucoup de lits restaient encore à pourvoir et certaines ailes étaient presque désaffectées.

Je fus soudain tiré de la torpeur qui précède l’endormissement par des pas précipités dans le couloir. Ma porte s’ouvrit à la volée, deux secondes plus tard la vive lumière du plafond m’éblouissait. Le temps de m’habituer, elles entouraient mon lit. Trois aides-soignantes en tenue de nuit, empestant l’alcool, ne constituent à dire vrai pas une vision très rassurante.

La première se pencha vers moi, les mains posées sur le matelas. Elle s’appelait Mélissa, trente-neuf ans si mes souvenirs sont bons, un compagnon et deux enfants. De taille moyenne et mince, le visage anguleux avec un regard vert sombre et de petites lunettes rondes qu’elle ne portait pas à ce moment, le cheveux noir méché de platine qui lui arrivait aux épaules et que je voyais lâché pour la première fois. Dans sa position, son débardeur rose foncé baillait et me permettait de voir nettement ses petits seins aux larges aréoles sombres et aux tétons pointés. Pour tout autre vêtement, elle ne portait qu’un shorty violet très sexy un peu transparent devant, assez pour distinguer un ticket de métro sombre.

— Bon, Ludo, fit-elle, on parlait avec les filles et on a une question pour toi.

Je me redressai péniblement dans le lit, avec un peu de mal à ne pas la regarder dans les seins. La deuxième s’assit directement sur le matelas, face à Mélissa. C’était Hélène, trente-deux ans, grande et large, le visage ovale avec de beaux yeux noisette et de belles joues, le cheveu noir lui arrivant au bas des omoplates. Le genre de femme à qui les kilos en trop vont particulièrement bien, lui donnant d’énormes fesses et une forte poitrine certes en partie masquée par son embonpoint. Elle portait un simple t-shirt Star Wars et une culotte à motifs.

— On parlait, on parlait mais on arrive pas à se mettre d’accord, dit-elle.

Je commençais à me sentir légèrement mal à l’aise, mais je pris sur moi pour n’en rien montrer.

— Dites toujours, lâchai-je.

Mélissa se pencha encore plus vers moi. Elle puait le vin, mais le joli petit lot qui se balançait sous mes yeux attirait mon regard. Bien malgré moi, je sentis le sang se déplacer vers ma verge.

— T’es plutôt épilation ou toison ?

— Moi je dis qu’il s’épile, fit Hélène.

— Aucun risque que je vous réponde les filles, ça vous regarde pas.

— On s’en doutait, répliqua Mélissa. Du coup, méthode forte.

La troisième du groupe, Émilie, entra en scène. C’était une blonde, petite et grasse, avec de longs cheveux et une frange, un visage poupin aux lèvres très charnues qui lui donnaient une petite moue permanente et de très très gros seins qui distendaient toujours sa blouse. En l’occurrence, elle portait un t-shirt à manches longues rose bonbon et son pantalon d’hôpital. Avant que j’aie eu le temps de réagir, elle tira les deux couvertures sous lesquelles je m’étais réfugié.

S’ensuivit une brève bataille que je finis par perdre. Après tout, j’étais seul contre trois et je ne pouvais pas décemment lutter car je ne voulais pas leur faire mal pour une bêtise pareille. Elles parvinrent donc à baisser suffisamment mon boxer pour libérer mon sexe et mes bourses, rasés du matin.

— T’as perdu Mel, exulta Hélène qui me maintenait fermement les poignets.

— Ouais, mais au moins je sais que c’est carrément plus esthétique que les grosses couilles poilues de mon mec.

— C’est vrai, confessa Hélène en jetant un coup d’œil.

J’avais la très désagréable impression d’être un animal au zoo, livré au regard scrutateur de ces trois visiteuses. Soudain, les doigts de la jolie Mélissa se refermèrent sur mes bourses, qu’elle massa délicatement.

— Eh ! Tu fais quoi ? m’insurgeai-je.

— Je vérifie si le toucher est aussi agréable que la vue. Ah ouais, c’est carrément mieux en fait.

A mon grand dam, je sentis des frissons de plaisir me remonter le long de l’échine. Je suis extrêmement sensible des testicules, ma femme est d’ailleurs passée experte dans l’air de me faire jouir juste en les stimulant ; mais ce n’était ni lieu ni le moment.

— Viens tester Hélène, continua Mélissa qui ne remarquait pas que ma verge commençait à prendre de l’ampleur.

La jolie brune maintint sa prise d’une seule main et tendit l’autre pour flatter mes couilles.

— C’est vrai que c’est plus doux. Faut que je dise à mon mari de faire pareil.

Elle partit soudain d’un grand rire.

— Mais c’est qu’il bande ce cochon ! railla-t-elle.

— C’est mécanique, me défendis-je, vous être en train de me tripoter évidemment que ça fait une réaction !

— Vraiment ? ricana Mélissa. C’est pas d’avoir trois bombes dans ton lit ?

— Vraiment, mentis-je.

— On va voir ça.

Elle empoigna alors mon sexe à moitié dur et donna deux rapides coups de poignet. L’effet se fit immédiatement sentir, je gagnai aussitôt en raideur en même temps qu’une décharge de plaisir me parcourait la colonne.

— Arrête, demandai-je.

C’était ma dernière chance de les empêcher de faire une bêtise. Comprenez-moi bien : ma femme et moi sommes libertins, et pas à moitié ; si vous lisez mes histoires, vous le savez déjà. Mais je ne voulais pas reproduire mes erreurs d’avec Valentine et pousser des femmes à l’infidélité.

Mélissa, elle, était trop ivre pour se poser ce genre de dilemmes. Elle ne voyait que la queue qui grossissait entre ses doigts.

— Arrête, répétai-je.

— Chuut, susurra la belle femme, si tu veux que ça s’arrête tu as juste à dire « stop ». Tout le reste, c’est pour ta conscience.

Alors qu’il en soit ainsi, songeai-je. Je me laissai aller sur l’oreiller, profitant des caresses de Mélissa. Hélène relâcha mes poignets, qu’elle ne tenait de toute façon pas vraiment. Elle souleva un pan de son t-shirt pour libérer un de ses lourds seins et me le donna à téter. Je ne me privai pas de lécher abondamment le petit téton dressé au milieu de cette énorme masse de chair. Je profitai alors de ma liberté de mouvement retrouvée pour passer une main derrière elle pour flatter ses fesses qui dévoraient sa culotte et une autre sous l’étoffe noire pour pétrir sa mamelle libre. Apparemment satisfaite de ma reddition, Mélissa donnait à présent vigoureusement de la main pour me faire dresser au plus tôt.

Cela ne prit pas longtemps mais devait davantage au corps particulièrement excitant d’Hélène qu’à la masturbation forcenée de Mélanie.

— C’est le point de non-retour mon p’tit Ludovic, fit la branleuse. Soit tu nous baises, soit on va se coucher.

— Si vous êtes sûres de votre coup, moi ça me va, répondis-je avant de retourner dévorer le gros sein d’Hélène.

— Je te branle pas pour en rester là…

— Pas pour moi, dit Émilie, j’ai un mec. Je regarde juste.

— Moi j’ai très envie, conclut Hélène. Regarde.

Elle prit la main sur sa poitrine, la descendit jusqu’à son entrejambe. Sa culotte était poisseuse. A travers le tissu humide, je commençais à masser ses grandes lèvres qui m’apparaissaient particulièrement charnues.

— Tu vois ? J’ai très très très envie de sexe.

— Je vais t’en donner alors, répondis-je.

J’écartais sa culotte pour masser directement son abricot auréolé d’une touffe de poils noirs assez longs mais entretenus.

— Embrasse-moi et doigte-moi, me supplia-t-elle en se penchant pour me tendre ses lèvres.

Je m’assis dans le lit, arrachant un grognement de frustration à Mélissa quand ma queue lui échappa des mains. Ma bouche s’empara de celle d’Hélène, je savourai la douceur de ses lèvres épaisses et la volupté de sa langue frottant contre la mienne ; dans la foulée, j’enfonçais deux doigts dans son vagin dégoulinant et Mélanie se lançait dans une douce fellation. Pour un temps, la pièce s’emplit du bruit des gémissements, pénétrations et succions. Comme je me sentais venir aux bons soins des deux coquines, je lâchai enfin les lèvres d’Hélène pour prendre les commandes.

— Foutez-vous à poil toutes les deux, ordonnai-je.

Hélène mit un peu de temps à s’arracher à mes caresses, aussi Mélissa fut-elle la première nue. Je me levai à mon tour, l’attrapai par la taille et la collai à moi pour l’embrasser à pleine bouche tout en pétrissant ses fesses. Ma queue trempée de salive frottait contre sa fente humide de cyprine, je n’en pouvais plus, j’ai une monstrueuse envie d’elle. Alors je la retournai et la penchai sur le lit. Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, j’avais guidé mon sexe dur comme du bois en elle, ses chairs s’écartant facilement pour me céder le passage.

Tandis qu’elle m’encourageait à grands cris, son amie me rejoignit, me retira mon t-shirt et couvrit mes pectoraux, mon cou et ma bouche de baisers et de caresses. Je le lui rendis en libérant ma main droite pour la placer sur sa minette et la doigter tout en massant son clitoris du pouce. Malheureusement la pause avait été de trop courte durée et je sentis rapidement que j’allais gicler dans la chatte juteuse de Mélissa. Je me retirai alors et me tournai vers Hélène, passai un bras sous sa jambe que je soulevai, et la pénétrai sans hésiter. Son vagin était un régal absolu, brûlant et trempé, très doux, ni trop serré ni trop lâche. Je fis quelques allers-retours avant de m’arrêter et de lui arracher un gémissement de frustration à la hauteur de ceux de bonheur que ce bref rapport lui avait fait émettre.

— Asseyez-vous sur le lit, commandai-je.

Les filles obtempérèrent. Je me plaçai debout entre elles et m’emparai de la télécommande pour monter le lit médicalisé à bonne hauteur. Ensuite, je fis entrer mes mains dans la danse, doigtant mes deux amantes tout en frottant leur clitoris du pouce. Elles se laissèrent rapidement aller au plaisir qui montait en elles, se concentrant uniquement sur les sensations que je leur procurais, sur le bien que je leur faisais. Pendant que je masturbais ses collègues, Émilie s’était assise sur une chais et, la main dans le pantalon, se touchait doucement.

Ce jeu dura un long moment, je ne ménageais pas les deux beautés qui poussaient gémissements et petits cris pour manifester leur contentement. Mélanie craqua la première.

— Arrête, me supplia-t-elle, je vais jouir si tu continues.

— Jouis alors, ordonnai-je.

— Non, gémit-elle, je veux jouir avec ta bite en moi.

Je retirai mes doigts du vagin d’Hélène et les fourrai dans la bouche de Mélissa qui les lécha goulûment.

— Tu aimes le goût de la chatte de ta pote ?

— Oui, oui, pitié, prends-moi.

Entre chaque mot, elle s’étouffait à moitié tant elle suçait mes doigts comme s’ils étaient la meilleure des queues. Elle aurait dit n’importe quoi pour que je la baise, mais je ne doutais pas une seconde qu’elle aimait sentir mes appendices au fond de sa gorge.

— Jouis, salope ! crachai-je en enfonçant encore plus mes doigts dans ses deux orifices. Jouis, jouis, jouis.

Elle lutta un temps mais les digues finirent par rompre et elle s’abandonna, se laissa submerger par un puissant orgasme. Je me tournai alors vers Hélène qui avait pris le relais sur son minou et lui réservait le même traitement, les doigts dans la gorge en moins. Pendant tout le temps que je la masturbai, l’insatiable Mélissa me suça comme si sa vie en dépendait. Tandis que la belle brune se remettait d’une jouissance dévastatrice, je rejoignis sa comparse sur le lit pour la prendre en levrette comme elle le voulait tant. Ma partenaire m’accompagnait en donnant de violents coups de reins. Cris de plaisirs et claquements de chair envahirent la pièce.

Bien vite remise de ses émotions, Hélène prit place à genoux à mes côtés, me caressant et m’embrassant. Sa peau était douce, ses gestes tendres, elle dénotait particulièrement avec la bestialité de Mélissa qui gueulait des insanités sous mes assauts. Je passai une main autour de la grande brune, l’attirai davantage à moi, appréciai la chaleur de sa peau contre la mienne. De sa taille, je passai à ses fesses puis après une minute laissai mes doigts glisser dans sa raie. Je trouvai sa petite rondelle, la titillai, jouai avec. Comme la belle ne se rebiffai pas, j’enfonçai un doigt dans le trou interdit. Ce gros cul, réalisai-je, j’avais tellement envie de le prendre ! Mais je n’avais pas de préservatifs sur moi et mes notions d’hygiène m’interdisaient une sodomie non préparée avec une inconnue.

Je finis par extraire ma queue gonflée comme rarement de la chatte de Mélanie et la présentai à Hélène.

— Tu la veux ? proposai-je.

Elle hocha la tête en se mordant la lèvre inférieure. Je la trouvai particulièrement craquante et cela ne fit que renforcer l’envie que j’avais d’elle, de son corps de rêve. Tout en m’embrassant passionnément, Hélène me fit asseoir sur le matelas, s’installa sur moi et guida mon sexe en elle. Mes mains reprirent possession de ses fesses, mes doigts de son trou du cul. Ma langue frottait contre la sienne. Elle donnait de violents coups de bassin, d’avant en arrière, tout en se cramponnant à ma nuque et à mes épaules et en me gémissant dans la bouche. Je me régalais : en plus d’être canon, c’était une formidable amante.

Tout à mon extase, je jetai un œil à Mélissa. Assise au fond du lit, les jambes généreusement écartées, elle caressait doucement son sexe d’une main et ses petits seins pointus de l’autre. Je ne voulais pas mettre fin à cet instant de bonheur, mais il fallait bien que je m’occupe d’elle aussi. Je repoussai donc gentiment Hélène et rampai vers sa collègue qui ouvrit encore davantage ses belles jambes.

J’attrapai les cuisses de Mélissa, la tirai à moi. Elle finit le travail en empoignant mon sexe pour le guider dans son vagin dégoulinant de mouille. Je me mis immédiatement à l’ouvrage, la déboîtant littéralement sous ses encouragements plus que sonores. Le contraste entre Hélène, qui avait repris sa place caressante à mon côté, et Mélissa, qui me hurlait de la défoncer tout en maltraitant son clitoris, était saisissant.

Comme je commençais à comprendre ce qu’aimait ma partenaire, je ne me gênai pas pour écraser sa petite poitrine et sa gorge. Elle adorait ça, être malmenée, avoir mal. C’était comme ça qu’elle prenait son pied. Et quel pied ! Les jambes dressées vers le ciel, le visage rouge et crispé, le buste plié pour regarder la queue qui la prenait violemment, elle tremblait de plaisir tout en donnant des coups de bassin pour accompagner les allers et retours de ma bite dans sa chatte.

Je me retirai à nouveau et installai Hélène à quatre pattes de l’autre côté du lit pour la prendre en levrette. Elle m’accompagna en ondulant farouchement les hanches, ses grosses fesses tremblaient à chaque coup de boutoir. Pendant un temps, j’alternai ainsi entre les deux chattes offertes, savourant autant celle chaude et juteuse d’Hélène que celle plus serrée et dégoulinante de Mélissa.

— T’arrêtes pas, me supplia cette dernière après un moment, ça va plus tarder.

Au risque de la rejoindre dans la jouissance, j’accélérai encore le rythme si tant est que ce fut possible, pressai davantage sa chair sous mes doigts. Ses ongles me griffaient le pubis à chaque coup de rein, nous y allions tous deux comme des bourrins. Et la délivrance, un orgasme d’une violence inouïe. Son corps se trouva si agité de spasmes et de soubresauts qu’on se serait cru dans l’Exorciste et que j’eus un instant peur qu’elle ne tourne de l’œil.

Je me retirai finalement, tout mon corps me faisait mal et en particulier mon sexe plus gonflé et violacé que jamais. Mélissa se roula en boule au fond du lit et ferma les yeux.

— Merci, chuchota-t-elle, c’était une super partie de jambes en l’air.

Puis elle bailla et sombra presque aussitôt dans les bras de Morphée, vaincue par l’alcool, une journée de travail et deux puissants orgasmes.

Je me tournai alors vers Hélène qui n’avait cessé de caresser mon torse et mes épaules.

— Toujours partante ? demandai-je. On peut arrêter là si tu préfères.

Elle saisit ma queue, la masturba doucement.

— Pas question que tu finisses pas, susurra-t-elle. J’ai pas besoin de jouir encore, mais je te laisse pas comme ça.

— Ça me va. Tu veux faire ça comment ?

— Comme tu veux, c’est toi qui va prendre ton pied. On peut baiser ou faire l’amour. Je peux te sucer si tu veux. Ou le faire avec mes seins, mon mari adore ça. Oh…

Elle réalisa soudain ce qu’elle était en train de faire. Elle lâcha mon sexe, les yeux soudain plein d’horreur, et porta la main à sa bouche.

— Mon dieu, mais qu’est-ce que j’ai fait ?

Je passai gentiment une main dans ses cheveux.

— Hey, ça va, la rassurai-je un peu maladroitement. Entre le stress de la neige, l’alcool et l’effet de groupe, t’as rien à te reprocher.

Elle se rassit sur son magnifique séant.

— Putain, continua-t-elle comme si je n’avais rien dit, je viens de tromper mon mari… Mais quelle conne.

Je répétai la même phrase, cette fois-ci elle m’entendit et hocha la tête.

— Tu as raison, concéda-t-elle.

Elle baissa les yeux vers mon sexe toujours aussi dur.

— En plus, j’en ai vraiment envie et le mal est déjà fait alors… Autant terminer.

— Si c’est ce que tu veux, je suis d’accord. Mais je ne veux vraiment pas que tu penses me devoir quelque chose parce qu’on a commencé ou que tu te forces.

Elle secoua ses longues mèches brunes.

— Non, j’ai vraiment envie. Je te demande juste de ne pas finir en moi. Sur moi, dans ma bouche, dans un mouchoir, sur Émilie (« Hey ! »), mais pas dedans.

— Je te le promets, répondis-je en me penchant pour l’embrasser.

Tout me rendant un langoureux baiser, Hélène me fit basculer sur elle et me guida en elle. On fit l’amour un moment, tendrement, échangeant nombre de caresses et de baisers sur tout le corps, mais la courte pause accompagnée de la baisse d’excitation et d’un rythme plus lent m’avaient donné beaucoup trop d’endurance. Si je prenais énormément de plaisir à m’accoupler avec la belle brune, l’orgasme lui ne semblait pas poindre le bout de son nez.

— Vous êtes longs putain, lança soudain la voix mutine d’Émilie.

— Désolé, dis-je en lâchant la bouche de mon amante. Tu peux nous rejoindre si tu veux que ça aille plus vite.

— Non merci. En plus j’ai déjà joui trois fois, ça me suffit largement.

— Comme tu veux.

Puis, me retournant vers Hélène :

— Désolé, je crois que ça veut pas venir.

Elle me repoussa doucement, je me retirai.

— Assieds-toi au bord du lit, je vais te finir.

— T’es pas obligée.

— Si.

Je m’exécutai. Hélène s’agenouilla devant moi et me prit en bouche. Le moins qu’on pouvait dire, c’est qu’elle s’y connaissait en fellation, jouant habilement de la main, de la bouche et de la langue sur ma hampe tandis que ses doigts flattaient mes bourses. Si j’avais tiré une croix sur le fait d’avoir un orgasme ce soir, elle me donna bien vite tort : en un rien de temps, je sentis la jouissance monter. Les tressaillements de ma queue n’échappèrent pas à la belle, elle passa un bras sous sa poitrine pour la gonfler et m’astiqua vigoureusement au-dessus de ses seins.

Avec un grand râle, je jouis enfin et aspergeai copieusement ma partenaire de longs jets de foutre chaud, à la mesure des heures de retenue. Hélène reçut une véritable douche de sperme, créant des coulées laiteuses sur ses amples mamelles et ses épaules, sur son ventre et ses cuisses, sur son bras et même sur le bas de son visage.

— Eh ben… fit-elle une fois la source tarie. Tu étais très excité.

— Un peu, oui, répondis-je sans pouvoir retenir un rire. Désolé.

— T’inquiètes, je suis contente de t’avoir fait autant d’effet.

Hélène se releva et se rendit à la salle de bain pour se nettoyer. Je fus ensuite témoin des compétences des deux filles qui rhabillèrent Mélissa, laquelle ne se réveilla pas durant tout le processus. Après quelques salutations, Hélène et Émilie s’en furent en soutenant leur collègue qui marchait plus que péniblement et je pus enfin m’allonger et sombrer dans un profond sommeil.

Je me réveillai en milieu de matinée, avec d’étranges images en tête, brumeux souvenirs ou rêve à moitié oublié. Des images dans lesquelles j’étais tiré des bras de Morphée par quelqu’un qui retirai mes couvertures et passai une main dans mon boxer. Dans mon semi-éveil, j’identifiai Mélanie, qui me branlait frénétiquement pour faire dresser ma queue, puis retirai pantalon et string et m’enjambait pour, enfin, s’empaler sur moi. Je gardai le souvenir d’une chevauchée sauvage, rapide et intense, d’un orgasme brutal et de la jeune femme remettant ses vêtements avant de partir comme elle était venue, sans un mot. Avais-je rêvé ?

Je me rendis immédiatement à son bureau, la gueule encore enfarinée, pour lui poser la question. Je la trouvai là, particulièrement cernée.

— Salut, ça va ? Demandai-je.

— Fatiguée, mais c’est allé… J’ai réussi à trouver du monde pour le week-end.

— Super !

Je me dandinai un peu, puis finis par poser la question qui fâche :

— Dis, tu es venue dans ma chambre cette nuit ?

Elle me fixa froidement, je sentis un frisson glacé remonter le long de mon échine.

— J’ai fait mon tour et préparé les piluliers, articula-t-elle lentement. Il ne s’est rien passé d’autre.

— D’accord, d’accord. Désolé, c’était bizarre comme question mais j’ai fait un drôle de rêve et j’arrivais pas à savoir si c’était réel ou pas.

— Tu as dû rêver…

— Très bien.

Vers midi, la neige avait suffisamment fondu pour que je puisse enfin rentrer chez moi. Un défilé de voitures quitta l’EHPAD.

Au cours des semaines qui suivirent, les rumeurs se répandirent. Rien ne concernant l’écart entre Mélanie et moi dans son bureau mais beaucoup de récits sur mes frasques avec certaines aides-soignants. Je finis par arrêter de venir et laissai cette manne à mon collègue, il est difficile de travailler lorsque tout le monde vous regarde bizarrement… Je ne regrette rien, après tout je ne peux m’en prendre qu’à moi.

Je ne sus jamais si j’avais couché avec Mélanie ou si mon imagination m’avait joué des tours. J’aime à penser que ce n’était pas un rêve et qu’elle m’a bel et bien rendu visite mais je n’en aurai jamais la certitude.

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Pour ceux qui me suivent depuis longtemps, rassurez-vous : la suite et fin de mes aventures de jeunesse arrive bientôt. Je tenais à vous livrer cette histoire plus récente pour vous faire patienter.
Merci encore pour vos commentaires toujours positifs qui me vont droit au cœur.

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