Ou comment j'ai découvert une facette de ma nature plutôt ... coquine

Histoire vraie, à 33 ans plutôt timide et sans grande expérience avec les hommes. Une balade dans les bois vers Nancy pour y découvrir sa propre nature et à quel point on peut prendre son pied en donnant du plaisir :-)

Proposée le 2/08/2022 par Puss'n boots

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie

Ça s’est passé quand je voyageais de Saint-Dié-des-Vosges à Nancy fin du printemps début été vers 33 ans. J'avais eu une ou deux aventures avec des hommes dans le passé mais très peu, donc j'étais bien timide dans le domaine. J'avais entendu parlé de l’aire de repos Clairlieu côté sud-ouest de la route de contournement de Nancy qui était fréquentée par des hommes en manque de sexe ; moi-même célibataire et dans le besoin je me suis dit « Pourquoi pas ?»... Pour bien me situer, je suis un homme plutôt hétéro à tendance bi d’environ 1m75 et 75kg, un peu sportif (surtout à l’époque !) cheveux brun très courts, yeux couleurs noisette, le visage masculin mais doux et souriant, et on me dit plutôt mignon.

J'arrivais sur place avec ma petite Renault Modus, il y avait pas mal de voitures et quelques gros camions assez impressionnants mais personne dans les parages, ni sur le parking, ni même aux toilettes – ce que je pouvais comprendre vu leurs états... Un petit chemin de terre menait au bois à l’entrée de la forêt de Haye ; il faisait beau et je me suis dit qu'une petite ballade serrait bien agréable et avec un peu de chance plus peut-être... Je ne croyais pas si bien dire ! La promenade de 15 ou 20 minutes fût bien sympa car il faisait assez chaud ; l'ombre des arbres et un petit vent procuraient un juste milieu. Seul point un peu dommage, je n'avais rien vu de coquin ni quasi personne hormis quelques individus qui semblaient être juste là pour de vraies ballades, enfin sans arrière pensée :-)

Un peu déçu et même quelque peu frustré, je rentrai en direction de ma voiture. Au moment où j’arrivais à moins de dix mètres du parking, je croisais un homme un peu rond, la fin quarantaine, plus petit que moi de cinq à dix centimètres, mais avec une belle présence, quelqu’un assurément sûr de lui, beau visage, peu de cheveux et tout grisonants. Il me demanda assez directement comment j'allais et ce que je faisais là, le tout avec un petit sourire avec cet air un peu moqueur, du genre, "je connais bien la réponse, vient mordre à mon hameçon mon petit poisson". Je lui rendis son sourire et dis un peu timide que j'allais bien et que je me baladais, peut-être un peu seul. Alors, il me dit une phrase qui m'a marquée je dois dire "Tu as de la chance" et sans hésiter il me prit la main en ajoutant "Viens, on va faire connaissance". Sa main était chaude et ferme, et je l'ai un peu bêtement suivi. Je dois dire que j'étais d'un côté sous son charme et de l'autre un peu agacé par sa phrase, en me disant en moi-même "Après tout, c'est peut-être lui qui a eu de la chance de me rencontrer, grrrrr" ... ;-)

     On arrivait cinq minutes plus tard dans un endroit en effet discret où il y avait probablement eu des coquineries compte tenu d’un ou deux papiers. Bon, cela restait relativement propre tout de même. Il se plaça devant moi, me fixa du regard et me dit sur un ton doux mais assuré "Déshabille toi". Je réalisais que sans hésiter ni me poser la moindre question je commençais à ouvrir ma chemise… à peine arrivais-je au bouton du bas qu’il glissa en un geste habile sa main sur mon sein gauche ce qui me procura immédiatement des frissons. Du bout de ses doigts ronds, il me titilla puis pinça légèrement le téton, ... la sensation était si grande que je ne pus m'empêcher de retenir un petit gémissement. Après 30 secondes fortes agréables "Tu aimes ça qu'on te touche la poitrine ?" me dit-il. Ce que j'admis avec un oui timide de la tête. Il me prit alors assez fermement mais sans brutalité mes deux tétés en main avec un sourire malicieux ce qui me procurait des vagues de plaisir et d'envies ; je cambrais naturellement le dos et me sentais dès lors toute ma partie féminine -- ou tout du moins de soumis -- prendre le dessus.
Se rapprochant de moi tout en se baisant légèrement, il mit le téton droit en bouche, le suçant et le titilla de plus belle mais avec la langue cette fois ci. J'ai eu une onde de plaisir tout au long du dos jusqu'à la raie des fesses (vraiment !) et senti mon pénis bander et mouiller instantanément. Et au moment où il se releva tout près de mon visage en me fixant du regard l’air sérieux il me dit "Mmm tu es sensible ma belle" ; j'étais un peu choqué par ce terme au féminin mais quelque part, une partie de moi l'accueillait volontiers. Il me prit le visage entre les mains et m'embrassa sur les lèvres sans délicatesse. Sa grosse langue pénétra directement dans ma bouche ; il emportait et soumettait la mienne en jouant avec... A ce moment-là, le peu de personnalité que j’aurais pu lui opposer disparu : il me possédait déjà, j'étais à lui, il faisait ce qu'il voulait de mon corps et de mon âme. Il me serrait bien fort contre lui tout en me pelletant fermement les fesses. Après ce long baiser, il me dit de me déshabiller complétement. J’avais ôté mes chaussures et chaussettes assez rapidement, puis descendu mon pantalon et j’attendais là, assez gêné, presque complètement nu dans la forêt. Le regard un peu sévère il ajouta « le slip aussi », ce que je fis. Il me reprit par la nuque, attira ma tête vers ses lèvres pour mieux me rouler une nouvelle pelle en explorant de son épaisse langue chaque recoin de ma bouche. J'étais tout nu, les pieds sur un mélange d'herbes, de feuilles et de terre humides et chauffés par les l'ambiance de l'été qui arrivait ; mes fesses cambrées, avec un homme tout habillé qui m’envahissait de sa langue et de sa salive en me pétrissant le dernière de l'autre main et en frottant son bassin avec des mouvements de va-et-vient provocateurs... Ma âme de femelle était heureuse, soumise certes, mais avant tout si heureuse.

     Après peut être dix minutes, je sentis sa main alors sur ma nuque devenir plus ferme. Elle appuyait vers le bas et avec un regard plus dur et il me dit "allé, tu vas descendre maintenant, j'ai quelque chose qui va te faire plaisir". Je me mis à genoux devant son jeans en faisant tout de suite des petits bisous sur la bosse que formait son sexe gonflé sous le tissu tendu. "C'est bien... sort le maintenant, tu vas l'adorer", je ne me fis pas prier, baisant la braguette de cet inconnu un peu maladroitement, sortant son sexe déjà bien bandant. C'était étrange, je me sentais bien à ma place, vraiment heureux de faire de tels gestes que je n'aurais jamais cru si naturels à réaliser...

     Son phallus n'était pas long mais bien large et circoncis avec un gland épais très, mais alors très, beau ; si beau qu'il était même hypnotisant, je ne pouvais pas ôter mon regard de ce sexe qui bandait de plus en plus devant moi. Il sentait à la fois le savon de Marseille et le sexe d'homme viril. De la mouille coulait déjà de son méat et légèrement le long du frein. J'hésitais un peu mais sa main me tenait bien "Ouvre grand, je vais aller en toi ; tu en as envie, ça se voit, et ta bouche semble faite pour". Ses paroles crues ne m'ont pas offusquées, pire, je réalisais que ça m'excitait terriblement en fait. Je sortis ma langue pour lécher d'abord son précieux nectar, le goût m'ennivra encore plus, c'était siiii bon, ce goût fort sucré-salé d'homme... Sa main me ramenant maintenant plus vers lui, j'avais tout d'un coup tout son gland dans la bouche, surpris ; c'était tellement gros mais en même temps si bon d'être là, soumis et pénétré de la bouche. Il grogna de plaisir, cela me procurait tellement de bonheur de l'entendre. Pour me récompenser, il reprit dans ses mains mes petits seins et me procura des vagues de plaisir en faisant rouler mes tétés pointés avec ses doigts.

Je me suis mis alors à sucer et à lécher tout en gémissant de manière étouffé. Je l'ai sucé, léché, sucé, léché, sucé..., j’ai clairement vénéré ce pénis ; encore sucé, c'était si bon, encore lécher, j'étais aux anges. Le temps n’existait plus….

Le regardant d'en bas, je lui ai demandé s'il m'autorisait que je me touche, et il me dit toujours avec le même petit sourire vicieux "oui oui, branle toi en continuant à me sucer comme ça ; tu es vraiment faite pour faire des pipes". Et il avait raison, j'adorerais l'avoir en bouche et l'entendre de sa voix rauque et masculine me parler comme ça, au féminin. Il avait bien compris car j'étais loin d'être l'homme hétéro parfois un peu bi que je croyais être. À présent, j'étais un réceptacle accueillant un mâle, donc un objet partie femelle, toute heureuse de procuré du plaisir à ce mâle, à la merci de sa virilité, de ses gestes, de sa voix, de ses moindres désirs.

C'est alors qu'avec un long souffle de plaisir, je sentis un grand jet chaud et épais remplir ma bouche, salé et iodé... Je n'ai pas réfléchi, le goût était pourtant bien fort, la bouche pleine, naturellement je bus. "C'est bien avale tout. Ahhhhh !!!....." me dit-il en gémissant longuement. Instantanément, au septième ciel de satisfaire mon Homme, je me mis à jouir moi-même. Puis un autre jet me remplis, et un autre, et un autre et encore ; et je buvais, je buvais, encore et encore. La main ferme dernière la tête, "Et tu jouis ma salope ! Mmmmm, vas-y, vas-y, ahhh…. c’est boooonnnnnn, et savoure bien mon jus" me dit-il en me tenant fermement la nuque (même si je n'avais pas du tout l'intention de partir!!)... Je bus tout, tout, tout. Il y en avait beaucoup, impossible de tout prendre en même temps, je déglutinais, c’était tellement bien de recevoir toute cette semence… Certes, je ne l'avais jamais fait et ce jus d’homme avait un goût bien prononcé, mais j'ai tout de suite adoré ça. Baptisé ainsi, il me fallait me rendre à l'évidence, il avait raison, j’étais fait(e) pour ça. Il rajouta « aucun doute là-dessus, les Dieux ton pourvue d’une bouche à sperme ».
Toutes les bonnes choses ont une fin, la source se tarit, je cherchais malgré tout à en avoir encore un peu en faisant glissé mes doigts de bas en haut de la sainte tige : il restait heureusement quelques gouttes, les dernières, il me récompensa par un « oui, tu as eu ta récompense, alors nettoie bien maintenant ». Je léchais soigneusement ce magnifique service trois pièces qui m’avait procuré tant de joie et de bonheur. Ce fût comme dans un merveilleux rêve éveillé et je ne peux m'empêcher de me toucher quand je revis cette aventure en me relisant (comme maintenant).

Après l’avoir bien nettoyé, j'avais les jambes en coton, l’estomac plein de sperme, la bouche avec son goût et son odeur, j'étais fière d’avoir gagné mes premiers galons dans la catégorie, certes un peu vulgaire, de "belle salope buveuse de sperme".

Voilà, après s'être rhabillé (surtout moi en fait !), il dit « Donne-moi ton téléphone, j’aimerais bien un jour aller plus loin, enfin, plus en profondeur avec toi ». J’hésitais mais après un « Qu’est-ce que tu attends ? Les tapettes comme toi sont faites pour ça. Tu vas vite être en manque tu sais ; je t'ai rendu un service là, et je te l’avais bien dit tout à l’heure : tu as de la chance. » je lui donnais, j’étais sous son emprise.

Il avait raison ce salop, j'ai vite été en manque,... grrrrr ! ;-)


 

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