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Mâle traité, partie 2

Une déchéance élevée en pulsions destructrices... dans ce trio impossible seule une virginité initiée pouvait satisfaire le désir exacerbé d'un amour avili. Fin de partie

Proposée le 22/07/2022 par Camille_Destrevelle

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Cette expérience changea notre rapport de manière radicale. Tu acceptas ma domination sans discuter. Accepter n’est peut-être pas le bon mot. Je crois que tu l’attendais, tu l’espérais depuis longtemps sans rien dire, tu souhaitais être soumis et plus que cela, mais n’osais rien demander. Mais je me trompais, nous nous trompions. Il apparut rapidement qu’Aline par sa virginité de débutante, était celle qui exercerait un pouvoir absolu sur toi. Tu l’exprimas confusément les jours suivants.

— Je ne ressens pas d’attirance pour elle. C’est étrange, j’ai juste envie d’être son jouet. Un jouet dont elle use et abuse à sa guise, sans aucune limite, sans les limites que se donnent les adultes. Qu’elle s’amuse de moi comme elle le ferait d’un jouet sur lequel elle passerait toutes ses colères, ses frustrations et qui comblerait toutes ses attentes et tous ses désirs.
— Qu’attends-tu de moi ? te demandai-je comprenant que je devrais être l’intermédiaire, au mieux l’initiatrice.
— Que tu sois comme hier, son guide.
Je saisis ton non-dit, ce que tu n’osais exprimer. Encore une fois.

Aline revint le surlendemain. Ce jour-là et les jours suivants, il ne fut pas question de leçon de musique. Après l’école, elle nous rendait visite pour des leçons bien différentes. Je lui appris à te dominer ou plutôt à laisser parler ses pulsions, à ne pas se réfréner, à être colérique, méchante, hargneuse, capricieuse, impulsive, vindicative, humiliante. Ce qui n’avait rien à voir avec la domination mais avec ce que toi tu souhaitais d’elle et que tu n’aurais pas supporté de moi. Tu devenais son jouet, un jouet nu, sans volonté autre que celle d’obéir et de satisfaire cette jeune Maîtresse que tu souhaitais toujours insatisfaite et fâchée pour te punir de son mécontentement.

À mesure que j’éduquais Aline pour que le dressage qu’elle t’imposait te transforme en objet malléable à souhait, tu t’éloignais de moi ; et mon désir pour toi augmentait autant que le nombre de traces que cette jeune harpie marquait sur ton corps. Car elle te battait, pour ton plaisir, pour ta jouissance autant que pour les siens. Je lui avais appris à se moquer de toi, de cette érection magnifique que ses mains graciles déclenchaient quand elles claquaient tes fesses. Elle avait rapidement appris à aimer ses séances d’humiliation lors desquelles tu te tenais à genoux mains sur la tête, la queue bien raide, où elle te faisait avouer ton goût pour les turpides les plus infâmes, ton désir d’être avili, ton besoin d’être châtié sévèrement et la nécessité d’être dressé brutalement et de vivre suivant ta vraie nature.

Ai-je besoin de préciser que tu étais nu ? Tu l’étais tout le temps. Aline ponctuait ces confessions de coups de ceinture sur tes fesses, car elle trouvait toujours un prétexte pour te fesser : « Pas assez vite, trop vite, pas assez de conviction, trop mou, recommence… » Je lui avais appris qu’une punition injuste infligée à un esclave par une Maîtresse de mauvaise foi est considérée par l’esclave comme une marque d’attention et d’intérêt. Mais toi-même, ne les attendais-tu pas impatiemment ces séances ? Ces actes de contritions pour des fautes avérées ou fantasmées où tu inventais le plus souvent des méprises, des erreurs, des bévues pour être rabaissé, insulté, châtié, puni… bref, d’être aimé d’un amour perverti.

Tu aimais avoir les fesses en feu sous les impacts du cuir, tu aimais avoir ta mâle fierté rabaissée par les remarques humiliantes de cette jeunette… tu aimais tellement ça ! Tu bandais si fort! Tu n’en pouvais plus ! Il t’arrivait de laisser échapper un peu de sperme au bout de cette queue arrogante, tout juste capable de couler comme une chatte échaudée de ne pouvoir éjaculer faute d’être branlée. Alors Aline te traitait de chienne et t’ordonnait de prendre la seule posture qui vaille pour le clébard que tu étais : « À quatre pattes, mon cleps ! » Elle verrouillait la laisse au collier que tu portais désormais en permanence autour du cou, seule discordance à ta perpétuelle nudité. « Lèche ta cochonnerie ! » Cet ordre, jeté de sa voix fluette, mais terriblement convaincante d’autorité, non seulement tu t’y pliais, mais tu t’y asservissais. Tu léchais le sol avec application, montrant le soin que tu apportais à cette tâche, levant un regard servile chaque fois que possible vers cette jeune dominatrice qui tendait ta laisse pour te rappeler à tout moment ta condition avilie. Tu bandais fort, tu bandais dur, c’était ta manière d’exprimer ta reconnaissance pour ce bonheur perverti. Je voyais ta bite tendue vers cette jeune femelle que je n’étais pas mais que j’éduquais à mon image et que j’initiais à ce que je savais de toi ; et je mouillais d’un désir intense pour toi, plus fort que je n’en avais jamais éprouvé auparavant. Cette queue je la voulais, je la voulais raide dans ma bouche, dure dans ma chatte, chaude dans mon cul. Je te voulais en moi. Toi, je te voulais tout à moi, soumis, rampant, esclave, larve ; je voulais que tu bouillonnes d’une ardeur insoutenable pour moi, que tu éjacules de désir pour moi lorsque je le permettrais, lorsque je le commanderais, lorsque je l’exigerais. Mais ce dard lourd et chargé de jouissance pointait pour cette adolescente à peine formée et j’en crevais de jalousie.

Lorsque ta jeune Maîtresse était satisfaite de toi, elle te permettait de l’aduler, c’est-à-dire de la vénérer avec ta langue. Aplati à ses pieds, tu commençais par lécher ses orteils, consciencieusement, avec toute la dévotion nécessaire. Peut-être était-ce volontaire de ta part, sûrement même, mais tu adoptais une position exagérément cambrée qui creusait tes reins et faisait jaillir ton cul, incitant à fouetter ce tas de chair aussi impudemment exposé. Je résistais difficilement à cette envie qui me titillait la vulve et me trempait la culotte. Je savais que cet appel était destiné à Aline. Elle ne cherchait pas à y résister. Elle attrapait un martinet et te flagellait le cul avec force tout en t’insultant d’abondance.
C’était le signal.

Elle t’autorisait à te redresser et à placer ta gueule de chiennasse entre ses cuisses pour brouter sa moule. Elle usait souvent d’un vocabulaire ordurier en plus de te promettre de te rouler dans la fange du cloaque dont tu n’étais même pas digne. Évidemment tu bandais, c’était le but recherché. Aline te fouettait le dos et les fesses sans relâche tandis que tu lui dévorais la chatte et lui léchais le cul, dardant ta langue profondément dans ses trous comme elle t’ordonnait de le faire. Il n’était pas rare qu’elle te pisse dessus. Je suis persuadée qu’elle adorait t’inonder la gueule – elle s’en vantait – pour te marquer de son odeur ce qui était une manière de jouissance pour elle. Je suis certaine que cette vierge atteignait un orgasme par tes coups de langue mais que cet orgasme n’aurait jamais eu la même force si elle ne t’avait pas fouetté et si tu n’avais pas éjaculé.

Car elle te fouettait aussi la queue, cette bite érigée en une provocation arrogante. Elle te frappait également les couilles que tu offrais complaisamment à la flagellation, les cuisses largement ouvertes dans une attitude dont l’obscénité tentatrice ne méritait pas moins que la rudesse des impacts des lanières de cuir. Il ne fallait pas longtemps avant que ta bite dégorge sa purée blanche. Je n’ai jamais vraiment su si ta queue offrait sa reddition pour que les coups cessent de pleuvoir ; j’ai préféré croire qu’elle remerciait sa tortionnaire de l’avoir martyrisée en versant son obole blanchâtre. Au bout du compte tu ne te révoltais jamais. Je ne vis jamais autre chose que du bonheur au fond de tes yeux, ce bonheur dont je jalousais Aline de ne pouvoir être l’auteure.

Ensuite, elle te traînait à quatre pattes, au bout de cette laisse de chien qui te convenait si bien, jusqu’à tes gamelles pour que tu puisses laper un peu d’eau et bâfrer un peu de ta pâtée. Je te regardais te restaurer comme le bon toutou que tu étais, et ce spectacle m’excitait. Tu étais toujours mon mari par une alliance et un bout de papier, mais tu ne l’étais plus, plus tout à fait, plus complètement, plus vraiment. J’avais fait de toi un chien, un esclave, un jouet que j’avais offert à une jeune gamine. Une gamine que j’avais éduquée suivant ton goût par amour pour toi. Je t’aimais toujours mais je ne t’aimais plus autant, plus vraiment. Pourtant j’avais toujours envie de te baiser, plus que jamais même, et sûrement avec plus de force et d’intensité que je n’en avais jamais éprouvée pour toi, pour ta bite, pour ton cul. Un désir si violent et brutal qu’il m’effrayait. J’avais toujours envie de te baiser, il n’y avait pas d’autre expression. Voilà… tu étais une chose que j’avais envie de prendre, une chose qui devait me faire jouir, dont je devais jouir. Une chose. Je ne pouvais plus te voir autrement car toi-même n’aspirais à rien d’autre et probablement à moins. Mais ce reste d’amour perverti me retenait…

***

J’achetai un gode-ceinture. Pas un de ces trucs délicats qui donnent l’impression de demander pardon en baissant leur tête de nœuds. Non, un machin bien gros, bien long, bien large et surtout bien dur et bien raide. Orgueilleusement dressé. Un morceau de latex qui montre que le sceptre a changé de reins en désignant fièrement son objectif. M’enfoncer en toi, profondément, totalement. Te poinçonner le cul pour valider définitivement la bascule. Après, après, je t’abandonnerais à ton nouveau choix. Mais auparavant j’avais ouvert la voie, je devais aller au bout.

Tu vis cet appendice gigantesque accroché sur mon ventre, ton sourire libidineux renforça ma détermination. Je saisis ta queue, elle était déjà gonflée de désir, raide et dure comme si tu devais m’empaler, et, à l’évidence, je mouillais d’abondance ; mes tétons eux-mêmes étaient tendus et dressés, prêts à être pincés, mordillés, sucés. Mais ce n’est pas ce qui allait se passer. Je pressai mon corps pourvu seulement de ce godemichet contre ton corps dépourvu du moindre vêtement. J’aimais l’idée que tu sois à ma disposition, que rien de toi ne s’oppose à ma volonté, ni vêtement, ni intention. J’écrasai un peu plus ta verge entre mes doigts. Tu ne protestas pas, tu étais habitué à être martyrisé par plaisir et à jouir dans la douleur. Au contraire, tu exhalas un soupir en fermant les yeux. Tu compris ce que je voulais : tu te retournas et, sous mon impulsion, tu basculas contre l’accoudoir d’un fauteuil. Ton cul m’était offert. Tu n’étais plus qu’un cul, un cul obscène, un cul magnifique, un cul à prendre, un cul à défoncer. Un cul à baiser.

Un cul. Un trou au milieu de ta chair concupiscente. Je présentai mon gland de latex plein de matière grasse à la frontière de cette indécente splendeur. Malgré la taille démesurée de cette poutre, le borgne débauché ne cligna pas. Je l’embrochai dans ton cri de douleur et de bonheur mélangés. Tu crias mais je ne m’en souciai pas, je m’enfonçais sans hésitation, sans pitié, sans remord, je ne connaissais plus que cette manière de te traiter. Tu gémissais, tu te tortillais, mais tu ne me repoussais pas, non tu te démenais pour m’accueillir. Plus je te pénétrais, plus ton acceptation devenait approbation : je sentais ton écartèlement se transformer en invitation. Bientôt mon bas-ventre frappa tes fesses dans un claquement de chairs qui excita mon imagination. Tu gémis encore quelques encouragements, soulignés par d’amples mouvements du bassin. Tu ondulais sous moi, je répondais à ta lascivité en coups de reins abrupts. Je sentais tes fesses s’encastrer sous mon ventre, frotter mes cuisses. Je les abandonnais un instant pour qu’elles me réclament à nouveau, qu’elles se tortillent langoureuses ou qu’elles s’exaspèrent irritées. Qu’elles quémandent une autre claque, un autre choc, encore et encore, sans cesse. Mon mandrin artificiel irradiait dans ton cul, enflammait tes sens, te rendait fou. J’agrippai ta bite. Elle était à peine gonflée, tu ne bandais pas. Je te branlais, avec la même énergie, la même fougue que je mettais à t’enculer. Tu m’encourageais par des onomatopées et des superlatifs, des « oui » et des « plus » mais tu restais inerte, désespérément flasque. Puis au bout de longues minutes de ce pilonnage intensif, ta queue se mit à couler, à relâcher des filets de sperme comme elle l’avait déjà fait : tu n’éjaculais pas, tu mouillais, comme une chienne en chaleur.

Embroché sur mon sceptre de latex, tu étais ma femelle soumise ! Un frisson me parcourut l’échine.

***

Aline venait à l’appartement tous les jours après l’école, elle restait une heure ou deux suivant son heure de sortie et les horaires de travail de ses parents. Le mercredi, elle passait tout l’après-midi avec nous. J’avais trouvé un boulot à temps partiel qui ne me laissait que les nuits de réelle intimité avec toi, le reste du temps je devais te partager avec Aline. Au début tu restais seul, nu et enchainé près de tes gamelles et d’un seau pour faire tes besoins, comme un animal. L’animal que tu te plaisais d’être. Mais tu n’avais pu résister à la tentation de te branler, et le soir venu, tu n’étais plus apte à subir ton dressage. Il n’y avait plus que deux solutions, soit t’attacher les mains derrière le dos, soit mettre ton sexe en cage. La moins chère était de t’attacher les mains dans le dos en les reliant à ton collier. Ce fut absolument hilarant de t’observer en train de tenter de pisser dans le seau alors que tu bandais comme un âne et que tu aspergeais comme un porc. Aline te contraignit à tout nettoyer. Bien sûr, tu n’avais que ta langue pour instrument, car il était hors de question de te libérer les mains.

Du fait de mon travail, Aline passait de plus en plus de temps seule avec toi. Depuis le début de cette étrange relation, je sentais que je te perdais, mais de ne pouvoir être présente, de ne pouvoir partager ces moments, d’imaginer ce qu’elle obtenait de toi, ne faisait qu’accroitre ma jalousie.

Le temps passant, Aline devenait non seulement plus sévère mais plus injuste. À vrai dire, elle ne souciait pas d’être juste ou équitable, seule comptait la jouissance, sa jouissance égoïste de jeune capricieuse que j’avais cultivée et mise en valeur pour ta propre satisfaction de mâle déclinant. Un instant, j’avais cru pouvoir renouer le fil de notre relation sur de nouvelles bases. Je pouvais être ta Maîtresse, tu pourrais être mon esclave, mon chien, ma femelle soumise… mais…

Mais même pour cela elle pouvait aller plus loin.

***

Un après-midi je rentrais de bonne heure. Ce ne fut pas une surprise de trouver Aline, je fus beaucoup plus étonnée par ce que je vis. Je ne peux décrire la scène sans user de mots vulgaires car je ne saurais faire autrement. Je ne suis pas prude et je ne fus pas révoltée, ni choquée, seulement médusée. Je ne m’attendais à pas à surprendre une adolescente en train de te fister le cul. Et tu l’encourageais à te forcer, à te défoncer, à être sans pitié. Aucune pitié. Je ne voyais d’ailleurs pas comment elle aurait pu en avoir à entendre de telles suppliques de ta part. Sa main avait quasiment franchi ta rondelle. Et, malgré la finesse de ses os, elle semblait devoir te déchirer le cul pour le posséder. Mais tu criais ta jouissance d’être perforé par cette pucelle que tu appelais souvent Maîtresse et qui te répondait par des « chiens » ou des « salopards » et d’autres mots qu’on ne s’attendrait pas à trouver dans la bouche d’une adolescente.

Dans un énorme « Han ! » et une grande poussée, sa main franchit la limite, tu poussas un râle conjuguant satisfaction de l’accomplissement et plaisir d’être possédé, d’être littéralement pris en main. Contrairement à ce que je pensais possible, tu te mis à bander, comme si cette main d’Aline qui s’enfonçait en toi refoulait tout ton sang vers ta queue. Son poignet disparut entre tes fesses.
À présent, vous râliez tous deux, toi de plaisir physique, elle de jouissance cérébrale. La moitié de son bras était en toi, et elle te branlait le cul, l’intestin, la prostate ou que sais-je, je ne connais rien à la biologie. Elle y mettait tout son cœur, une intensité sans pareille. Tu continuais à l’encourager, ce n’était jamais assez fort, jamais assez vif, jamais assez intense. Tu la suppliais de te prendre, tu l’implorais de te baiser, tu la conjurais de t’enculer jusqu’au trognon.

Elle te transperça un peu plus. Tu hurlas de plaisir ou de douleur, je ne sus pas faire la différence, mais je crois bien que tu ne faisais plus cette distinction depuis longtemps… et ta bite se tendit jusqu’à se coller contre ton ventre. Tu restas figé ainsi, un instant. Tu étais la marionnette d’Aline, son coude butait contre ton cul. Son avant-bras frappait tes fesses, et à chaque choc tu répétais : « Frappez-moi encore, Maîtresse ! » et tu la remerciais après chaque impact de cette main gracile qui paraissait plus rude à mesure que tes fesses rougissaient. Enfin, tu voulus qu’elle aille plus loin. Ce n’était pas assez ! Pas assez ? Elle devait te prendre absolument ! Tout ! son avant-bras et son bras, jusqu’à son épaule, tout devait te remplir. Tu étais fou ! Tu te branlais la bite comme si tu espérais, en lui faisant cracher son foutre, l’arracher à ton ventre et l’offrir à cette gamine en gage d’appartenance ultime.

Ce spectacle me révulsait, mais il me fascinait et m’hypnotisait tant que je ne pouvais m’en détacher. Malgré le tintamarre que vous faisiez, je devais faire des efforts pour contrôler ma respiration et ne pas révéler ma présence. Je compris que j’étais au bord de l’orgasme, que ma respiration n’était qu’une suite de halètements incontrôlables, que mes mains… mes mains s’égaraient sur mon corps à travers mes vêtements déboutonnés et ma culotte à moitié baissée.

Je ne parvins pas à jouir. Pourtant j’en éprouvais le besoin. Je restais au bord de ce gouffre qui m’attirait dans lequel je ne parvenais pas à plonger. Je réussis à me calmer malgré, les grognements, les gémissements, les cris, et les hurlements que vous poussiez. Je remis de l’ordre dans ma tenue et décidai de vous surprendre. Par méchanceté ou par jalousie, je ne sais pas, je désirais vous interdire l’apothéose, de vous couper le chemin de l’apogée. Mais ma présence vous indifféra. Pire même, elle vous excita, elle renforça votre ardeur. Je vis une lueur dans les yeux d’Aline, un éclat diabolique. Son bras te burinait les entrailles, elle s’emballait comme le piston dans la chemise d’un moteur en folie et tu hurlais à chaque accélération. De sa main libre accrochée à tes cheveux, elle te cornaquait et te guidait jusqu’à l’orgasme. Car ta bite était entièrement tendue vers ce but que ma présence ne fit que rapprocher. Lorsque tu m’aperçus, tu me crias : « Pardonne-moi, je suis sa salope ! » et tu éjaculas une rasade de sperme, puis une seconde, tout en gémissant que tu n’étais qu’une salope soumise à la volonté d’une adolescente. Tu éjaculas une dernière fois, puis ta queue baissa pavillon.

Je sortis, c’était plus que je ne pouvais en supporter. Je revins très tard dans la nuit. Il n’y avait plus personne dans l’appartement.
Un simple mot qui disait en substance qu’elle t’appelait “Joujou” comme jouet, comme jouissance. Pour elle, tu étais juste un objet, une chose. Une chose à prendre, à user, et à jeter.
Rien.
Et tu ne souhaitais pas plus.


Et je ne pouvais pas descendre aussi bas.

FIN

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