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Les aventures de Trixie : chapitre 9 - Le godemichet

Je réfrénai mes ardeurs. Son bureau était assez isolé des autres, mais des bruits de pas dans le couloir. Maxime lâcha le godemiché dont il avait inséré les 26 cm. Je me redressai rapidement, le manche de silicone noir enfoncé en moi. On toqua la porte s'ouvrit, Boulier, le chef de Marion entra...

Proposée le 1/07/2022 par Trixie

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Maintenant, que j'avais confessé à Maxime ma relation avec Gérald, et qu' il n'y avait pas eu de problème, je retournai au boulot avec joie et bonne humeur, avide de savoir ce que la journée allait m'apporter. Le travail m'appela dans le bureau de Maxime. Nous étions en train de résoudre un épineux problème informatique de facture, ayant trait à des fournitures pour le service de la mécanique.

Les aventures de Trixie : chapitre 9 - Le godemichet — Eh, dis donc Trixie, cela fait maintenant au moins six mois que tu n'as pas fait d'inventaire avec Gérald, non ?
— Oui, à peu près. Nous n'avons pas eu bien le temps...
— Tu vois, ou ça te mènes de ne plus faire l'inventaire avec lui. C'est plein d'erreurs ! Et puis, sa grosse bite noire ne te manque pas trop ?
— Oui, un peu, beaucoup, même !
— Te rappelles-tu, lorsque que pour la première fois, je t'ai dit qu'il s'intéressait à toi et que je t'ai préparée pour qu'il tente quelque chose, car tu doutais qu'il veuille te baiser !
— Oui, et tu avais raison, Heureusement que tu as fait ça !
— Tu peux quitter ton string ? Oui... garde ta jupe levée, j'adore voir ta chatte rasée, elle est splendide !

Je ne pus rien lui refuser, un nouveau petit jeu érotique allait sûrement avoir lieu. Le petit triangle de tissu glissa le long de mes cuisses, le bas de ma jupe resta levé, découvrit largement les attaches du porte-jarretelles, qui aujourd'hui était blanc.

— Oui, parfait ! Assied-toi, met ton pied sur la barre fauteuil. C'est ainsi que tu étais ? il a commencé à poser sa main où ? Ici sur ton genou, et il l'a lentement remontée, comme ça en caressant ta cuisse, le long de la lanière, découvrant peu à peu ta peau ? Oui, je vois petite salope. Tu écartais les jambes au fur et à mesure, comme maintenant !
— Je fantasme encore au souvenir de cette main noire glissant sur ma peau blanche. Aaaaahhhhh...
— Tu as fini comme çà, jambes complètement écartées, chatte ouverte ?
— Oui... et j'avais relevé ma jupe comme ça, alors il a inséré d'abord son majeur, ouuiiiii comme tu fais. Puis son index... Oui, oui... Regarde, regarde tes doigts. Rien que d'y penser, je mouille. Il a des doigts longs, mais longs. Il m'a presque fait jouir ce jour-là !! Ouuuiiii continue, caresse mon clitoris.
— S'il ne t'a pas fait jouir ce jour-là, il s'est bien rattrapé par la suite ! Les inventaires au sous-sol ou tu as pu profiter pleinement de son énorme bite !
— Haaaa, haaaaaa, huuuummm c'est bon, tes doigts !
— Tiens mon annulaire. Je sais, mes trois doigts ne valent pas l'énorme queue de Gérald. Elle ne te manque pas ?
— Si, si... Mais continue... oouuuiiii... J'adore son énorme phallus noir !
— Bon, je crois que je vais pouvoir apporter un palliatif à cette absence !

Des bruits de pas derrière la porte nous firent cesser à toute allure notre petit jeu. Deux jours après, Maxime m'appela, me demanda de passer le voir à son bureau, il me précisa qu'il me voulait sans culotte et si possible avec une jupe ou une robe ample...

— Regarde ce que j'ai trouvé, me dit Max. L'autre jour u m'as dit que le gode que j'avais était beaucoup plus petit que la bite de Géraild alors j'ai...
— Je suis curieuse, allez montre moi, vite !

Il déballa, la boîte. C'était un godemiché noir, avec un prépuce amovible. Il était légèrement arqué. C'était la réplique fidèle d'un sexe.

— Tiens prends le et dis moi ce que tu en penses. C'est toi l'experte !

Ce gode offrait une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prépuce, qui allait et venait au fur et à mesure de la pénétration, était telle qu'on avait l'impression qu'il s'agissait d'une peau véritable. Les veines, avec les creux et les bosses ajoutaient du piquant. Il faisait 29 cm de long et 6 cm de diamètre. La partie insérable devait faire vingt-six centimètres.

— Admirable, ton truc ! Cela ne remplacera jamais la queue de Gérald ! Mais manié avec dextérité, je crois que je vais prendre du plaisir !
— On va l'essayer, si tu veux. Viens ici, appuie toi sur le bureau ; penche-toi en avant. Attends, je vais l'enduire de lubrifiant. Tu ne mouilles quand même pas encore. Tu veux bien écarter les jambes que je mette un peu de gel dans ta chatte. il est vraiment gros ce gode.

Ses deux doigts dégoulinant d'un lubrifiant soyeux, badigeonnèrent mon orifice vaginal. Je frissonnai pensant à ce qui allait suivre. Cela me tira un gémissement. lorsqu'il posa le gland humide, de l'énorme engin sur ma peau nue juste au-dessus de l'attache arrière de la lanière de mon porte-jarretelles. Il le remonta très lentement en direction de ma chatte, qui malgré moi commença à palpiter et à s'humidifier. La jupe ample facilita cette approche. Après ce qui me sembla une éternité, le gros bout noir écarta mes petites lèvres, il glissa en forçant un peu, deux centimètres du gland dans ma vulve. J'eus un sursaut de plaisir, attendit la suite de la pénétration, mais il retira le phallus factice et se mit à me caresser la fente de bas en haut, titillant mon clitoris. Il fit semblant de me pénétrer, et sentit que je ne désirai que cela, il ne l'enfonça pas plus que de 3 ou 4 centimètres, et recommença ses caresses. Ce petit jeu m'excita et n'énerva de plus en plus. J'avais les deux mains appuyées sur le bureau, le bassin en arrière, j'avais mis un soutien-gorge seins nus, mes mamelons pointaient comme deux petits dards sous mon chemisier presque transparent qui moulait les globes fermes de mes seins.

— Enfonce... Enfonce-le-moi, s'il te plaît... oouuuuiiiii, s'il te plaît !!

Je réussis à attraper sa main, et à diriger le gros gland noir vers le trou béant de ma chatte, mes parois vaginales s'écartèrent, dix centimètres entrèrent dans le conduit bien lubrifié. Maxime commença alors des allers et retours, gagnant deux centimètres à chaque pénétration. Effectivement, le prépuce allait et venait comme l'aurait fait celui d'une vraie bite, c'était délicieux.

— Ooooouuuuuiii, c'est bon, c'est bon... plus vite, enfonce... Enfonce... Aaaahhhhh...
— Ah tu aimes, petite Salope, c'est aussi bon que la bite de Gérald.
— Ouiii, ouiiii ne t'arrête pas, continue, plus vite, ouiiiii.

J'essayai de refréner mes ardeurs, de ne pas parler trop fort. Son bureau était assez isolé des autres, mais... des bruits de pas dans le couloir. Maxime lâcha le godemiché dont il avait inséré les vingt-six centimètres. Je me redressai rapidement, le manche de silicone noir enfoncé en moi.
On toqua, la porte s'ouvrit, Boulier, le nouveau chef de Marion entra.

— Bonjour...

Ses yeux se fixèrent sur les tâches sombres des petits pics que dessinaient mes tétons, sous le mince tissu de mon tee-shirt blanc qui collait à mes seins comme une deuxième peau. J'étais sure que l'on pouvait aussi deviner mes aréoles gonflées et parsemées de chair de poule. D'autant qu'il passait pour '' un chaud lapin ''. Il dut s'apercevoir de notre gène, se doutant que son intrusion avait dû interrompre quelque chose.

— J'ai un problème sur mon PC, dit-il, en s'approchant du bureau, les yeux rivés sur ma poitrine.

Son regard ne quitta pas mes seins tandis qu'il expliquait ce qui clochait dans son PC. Il me sembla que son regard était doté de rayons X qui traversèrent mon sweater, j'en ressentis la chaleur sur mes tétons.

— Vous avez un tee-shirt sensationnel Trixie, dit-il en pointant son doigt sur mes seins, il met admirablement votre poitrine en valeur ! Rajouta-t-il.

Je baissai les yeux sur mes seins, le thélotisme, conséquence d'une stimulation érotique, avait projeté mes tétons en avant, ils pointaient d'au moins deux centimètres moulés par le tissus presque transparent, qui laissait transparaître mes glandes de Morgagni, les petites papules naturellement présentes sur l'aréole entourant le mamelon. Une bouffée de chaleur m'envahit, il me sembla que je devenait écarlate.
Cela n'était pas fait pour atténuer l'émoi sensuel qui était en train de m'envahir. En effet, l'incongruité de cette situation commença à m'exciter. Je n'osai pas trop bouger, mais des ondes de chaleurs partirent de ma chatte et montèrent dans mon ventre, de légers frissons me parcoururent, en pensant au gros tuyau noir qui emplissait ma vulve. C'était très émoustillant de se retrouver ainsi, j'aurai désiré que Maxime repasse sa main sous ma robe et recommence ses pénétrations avec le gigantesque pénis noir en présence de l'intrus. Mon foutre coula sur ma jambe au-dessus de mon bas. J'avais envie de frotter mes cuisses l'une contre l'autre. Je regardai le chef de Marion avec un petit air de défi et je tendis ma poitrine vers l'avant pour mieux imprimer en relief le bout de mes tétons à travers le mince tissu transparent qui les enveloppait. Son index était toujours pointé sur mon seins droit.

— S'il me touche, je joui pensai-je !

Insidieusement le plaisir m'envahit, un léger orgasme traversa mon corps. Comme dans un rêve, j'entendis Maxime lui promettre de passer voir le problème du PC, il s'éclipsa enfin. En tremblant, j'ôtai le godemiché, il ruisselait de mon foutre. J'étais pantelante !

— Eh...eh bien, j'ai cru que j'allais jouir ! Enfin j'ai eu un petit orgasme ! Nous l'avons échappé belle, nous aurions pu donner un tour de clef !!
— Ouf, c'est vrai, mais tu viens de me dire que tu as failli jouir !!
— Oui, pendant qu'il te parlait, et qu'il me complimentait sur ma poitrine ! Cette situation m'excitait au plus haut point ! C'est vraiment merveilleux ton nouveau jouet. J'ai joui un peu, touche comme suis mouillée ! Ce soir, mon mari rentre vraiment tard. Si tu veux, on pourra recommencer cela tranquillement chez moi après le boulot vers 18 heures !
— Mais tu es vraiment sûre de toi ? Et si jamais il est là ?
— Tu sais, il n'y a plus grand chose entre nous. Je t'ai raconté comment il a réussi à avoir son avancement, en me faisant baiser par son patron et les clients de celui-ci, alors !!

Le soir, à l'heure convenue, Maxime arriva chez moi.

— Tout à l'heure, je n'ai pas eu le temps de vérifier, mais est-ce que cela te fait bander de me masturber avec cet énorme engin noir ? Lui dis-je en avançant ma main vers sa queue.
— Ben oui, mais c'est le fait de voir comme tu prends ton pied qui m'excite !!

En disant cela, il m'avait attrapée par la taille, plaquée contre lui, sa langue partit à la conquête de ma bouche, ses mains à celle de mes seins. Je ne sus pas comment, je me retrouvai couchée, à côté de mon string qui fit une petite tâche noire sur la moquette du salon. Mon pull moulant remonté au-dessus de ma poitrine, la jupe enroulée au-dessus de mon porte-jarretelles. Les lèvres de Maxime butinèrent mes mamelons, ses dents mordillèrent juste la pointe, à la sortie des canaux galactophores, il savait que je raffolais que l'on s'occupe de mes seins. Avec ces attouchements, les glandes apocrines situées dans l'aréole des mamelons produisirent des hormones qui augmentèrent de manière subliminale l'attraction de mon partenaire. La libération d'endorphines, d'ocytocine, de prolactine et de testostérone entraînèrent une vague d'excitation sexuelle qui firent augmenter la taille de mes seins de plus de 25 % et accélérèrent mon flux sanguin vers mon clitoris et les zones de mon vagin. J'avais constaté que la stimulation de mes mamelons me détendait, mon stress et mon anxiété disparaissaient comme par enchantement.

— Merde, j'ai oublié le gel lubrifiant...
— Tu crois que je vais en avoir besoin ? Lèche un peu ma chatte, elle coule !

Il continua à pincer, et à prendre mes tétons entre le pouce et l'index en les pressant doucement et en tenant la pression. Si je donnais des manifestations de plaisir en gémissant d'extase, il augmentait le pincement par palier, mais doucement pour que le plaisir ne se transforme pas en douleur. La pression poussait alors le sang hors du mamelon, il relâchait, le sang revenait, créant une sensation intense de plaisir. Il était le seul à me faire ce genre de ''Truc'' ! Il arrivait presque a me faire jouir ainsi. Sa langue s'activa dans mon vagin trempé, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, ses caresses me rendirent folle.

— Vas-y, mets moi le gode, défonce-moi avec cet engin... ouiiiiii... c'est ça... Ça ressemble énormément à la queue de Gérald aussi grosse et aussi longue. Aaaahhhhhh, encore plus loin.

Maxime, maniant avec dextérité l'énorme phallus factice, me fit grimper une à une les marches du plaisir, je perdis la notion du temps. Je me retrouvai au bord du précipice de la jouissance, j'allai plonger dans l’abîme du plaisir.

— Non, non mets moi ta queue ! Je veux ta queue pour jouir, sentir ton sperme couler en moi.
— J'allais te l'enfiler, tiens voilà, c'est fait !

Patatras... la sonnette retentit ! De la rue, la voix de mon mari m'appelait.

— Trixie... Peux-tu venir nous ouvrir, j'ai oublié mes clefs, je suis avec un collègue en route pour le resto, mais avant je veux lui offrir l'apéritif.

Dans le salon, ce fut le branle-bas de combat, j'enfilai mon string en toute hâte, abaissai mon pull, Maxime fit disparaître le gode dans la poche intérieure de sa veste, il se réajusta à toute vitesse. Heureusement que mes cheveux tombaient sur mes épaules, je n'étais pas trop décoiffée. Le cœur battant chacun examina l'autre rapidement, le test était assez concluant, j'allai ouvrir.
Mon mari accompagné d'un d'un de ses jeune collègue patientait devant le portillon. Il avait l'air d'avoir assez bu.

— Nous venons d'une réception de la boîte, nous sommes en route pour le restaurant, mais avant je voulais que David vienne boire un coup à la maison et fasse la connaissance de ma femme, qui parait-il est un super canon ! Tiens !! Mais que fait ici ton pote Maxime ?
— Il... il est venu... pour... Pour regarder le micro qui avait des problèmes, il a fini...nous... Il... il allait partir !
— Oui, ce n'était pas bien grave, c'est réparé maintenant. Allez, je me sauve, dit Max.
— Bon, David, viens au salon ! Trixie, sers-nous l'apéro s'il te plaît !
— Bonjour madame me dit le jeune homme, ne vous inquiétez pas, c'est moi qui conduit, me dit-il en souriant.

Ce jeune homme d'environ vingt-cinq ans, que je ne connaissais pas était beau comme un Apollon, assez grand, blond, les yeux bleus, un corps d'athlète qui emplissait un costume de grande marque. Mon mari me jetait des regards suspicieux, pas persuadé que Maxime était là seulement pour le PC.
Effectivement, mes mamelons, après les caresses qui leur avaient été prodiguées, semblaient vouloir transpercer le mince tissu de mon pull moulant. La fine étoffe collait à ma peau sculptait le moindre détail de mes aréoles, c' était vraiment érotique, le jeune homme, comme Boulier semblait s'en être aperçu. mon mari aussi !!
Ils avaient pris place, autour de la table basse au salon, David sur le divan, mon époux sur un fauteuil. Je passai devant lui pour servir les boissons, ses deux mains se faufilèrent sous ma jupe, d'un coup sec de sa main gauche, il tira sur mon string, qui céda. Sans ménagement et avant que je ne puisse esquisser un geste de défense, deux doigts de sa main droite s'insinuèrent dans ma chatte.
Éberlué le jeune homme regarda la scène d'un air vraiment gêné.

— Salope, salope, j'en étais sûr ! Tu mouilles comme une pucelle, qui vient d'avoir son premier doigter !! Ton copain était en train de te baiser !! David regarde mes doigts, ils coulent de son foutre et sa culotte et moite. ! Salope ! C'est la longueur de tes tétons qui m'a mis la puce à l'oreille !! Attends, petite traînée puisque tu aimes tellement te faire baiser. Tu vas y avoir droit !!
Il tira fortement ma jupe vers le bas, avec un peu de résistance, elle glissa le long de mes jambes, rapidement ne me laissant pas le temps de réagir, il fut debout et saisissant mon sweat-shirt, il le fit passer par-dessus ma tête.
Je me retrouvai en porte-jarretelles et soutien-gorge seins nus face aux deux hommes. Le doigter sauvage de mon époux devant son collègue relança les sensations qui ne m'avaient pas quittées depuis les caresses de Maxime. Je fus comme paralysée. Je culpabilisai de m'être fait surprendre avec Maxime. Il dégrafa mon mini soutien-gorge qui tomba à mes pieds. Mais ce déshabillage brutal devant ce jeune homme beau comme un Dieu, qui n'en revenait pas, commença à m'exciter. Ma vulve gardait encore le souvenir du gigantesque gode noir que Maxime m'avait inséré. Mon excitation n'était pas retombée, preuve en était la moiteur de ma chatte. Le collègue de mon mari regardait ce qui se passait avec de grands yeux ronds, il s'était levé. Une bosse assez conséquente se profilait à hauteur de son sexe.

— Je... je crois que je ferai mieux de partir, dit le jeune homme ne sachant plus ou regarder.
— NOOOON... David... noooon dit mon mari en bredouillant, je ne sais pas si c'est l'alcool ou elle qui me fait cet effet mais je n'arrive pas à bander ! Regarde.

Il déboucla son pantalon, son sexe pendouillait, mou comme une limace.

— Alors... alors tu... tu sais quoi... non ? Eh bien, tu vas la baiser cette salope...p... pour la punir...
— Non, mais, je ne peux pas faire ça...
— Si tu peux, c'est moi ton chef non ? Alors tu vas le faire... sinon...

Il commença à s'énerver, le jeune me regarda avec des yeux contrits, je lui souris, pourquoi ne pas profiter de la situation avec ce jeune éphèbe ?

— Il a vraiment bu hein ? Il ne va pas falloir le contrarier ! Je ne vous plais pas ?
— Si, si madame, vous êtes vraiment très belle... mais...
— Mais quoi ? Je vois que je te fais de l'effet, dis-je en lui montrant l'énorme bosse de son pantalon. Alors puisqu'il t'a donné un ordre. Obéis-lui !
— Effectivement vous êtes merveilleuse ainsi vêtue, et vous me faite bander ! Mais... Vous... vous croyez...que...
— Ou... oui... écoute la, cette salope... Baise-la de … devant moi... pour la pu... punir.

Souriante, je m'approchai et lui caressai le sexe à travers l'étoffe de son pantalon. Il gémit.

— Pas mal, lui dis-je, elle a l'air vraiment ferme, grosse et longue, fais voir.
— C'est de vous voir nue seulement avec vos bas et votre porte-jarretelles, ça m'excite. Vous êtes très jolie ! Je bande comme un âne. Je... je peux vous caresser les seins ?
— Mais bien sûr, tu ne veux pas sucer mes téton ? Regarde comme ils sont durs et longs, ils n'attendent que ta bouche. Allez déshabille toi, j'ai hâte de te voir tout nu ! Touche ma chatte, rien que d'y penser, je mouille.
— Vous croyez, vous êtes tellement belle ! Je ne comprends pas son attitude envers vous.

Il se déshabilla à toute allure, sa main partit à la rencontre de mon sexe, il jeta un regard à mon mari qui était maintenant avachi sur le fauteuil et nous regardait béatement. Encouragé par l'apathie de celui-ci et mes encouragements, il s'enhardit. Tandis que deux de ses doigts se faufilèrent dans mon vagin, il m'attrapa derrière la nuque, et me prodigua un baiser plus que passionné.
Sa bouche descendit ensuite le long de mon cou, lécha à tour de rôle mes seins, mordilla mes tétons, aspira mes aréoles... au bout d'un moment, la lente descente reprit. Il suivit le pourtour du porte-jarretelles, lécha ma peau nue le long des lanières, remonta le long de ma fente pour s'insinuer dans mon conduit vaginal, les caresses prodiguées et le va-et-vient de son muscle buccal, me donnèrent des frissons et me tirèrent des gémissements. Mes épaules eurent des spasmes lorsque ses mains attrapèrent mes seins et les malaxèrent doucement et qu'au même instant sa bouche aspira mon clitoris et se mit à le sucer... Un cri de plaisir sortit de ma gorge, cela eut l'air de tirer mon époux de sa somnolence.

— Oui, c... c'est bien... Continues... tu vas la faire jouir cette salope...
— Non David ne t'occupes pas de ce qu'il baragouine... Baise-moi... Enfile-moi ta queue... maintenant... lui intimai-je !

Il me fit basculer sur le canapé, écarta mes jambes mettant un genou à terre entra sa verge qu'il ne cessait de masturber comme pour la faire encore grossir. Elle était de bonne taille, mais loin d'être aussi grosse et longue que le godemiché de Maxime ou la queue de Gérald. Mais j'étais tellement excitée par tout cela, et pour l'instant, je n'avais à aucun moment pu aller au bout de ma jouissance lors de la séance avec Maxime. J'accueillis sa verge comme une délivrance. Elle glissa facilement dans mon fourreau bien lubrifié. Il posa un de mes mollets sur son épaule et me martela sans relâche enfonça son sexe jusqu'à la garde. Je l'encourageai, lui disant que sa bite me rendait folle, en poussant des cris de plaisir. C'était vrai, le plaisir montait. Cette fois, je n'allais pas rater le grand plongeon dans l’abîme de la volupté.

— Oooooohhhhhh, ooouuuuuiiiiii....putain que c'est bon... ouiiiii, ouuiiiiiii.... roucoulai-je.

Je tombai... La chute à travers les flashes, sembla durer une éternité... Mon orgasme refoulé depuis assez longtemps fut assez impressionnant. Je perçus vaguement que David me demandait s'il pouvait éjaculer en moi.

— Ou.... Ouiiiii.... éja... éjacule dans sa chaattteeee... à cette sa...salope...

Je refermai mes jambes autour des reins de David, il se cambra d'un seul coup et je sentis les soubresauts de son pénis, bien enfoncé dans mon vagin, déverser son sperme chaud. Je hurlai à nouveau...ma jouissance.
David eut l'air paniqué et tourna la tête vers mon époux, il fut aussitôt rassuré, celui-ci dormait profondément sur le canapé. Je me dirigeai vers lui, le secouai, c'est tout juste si j'obtins un léger grognement.

— Bon, laissons le cuver... As-tu prévu quelque chose pour ce soir David ?
— Non, nous devions aller au restaurant et après il avait prévu d'aller en boîte.
— Je crois que là, il est parti pour sa nuit, je te propose de rester dîner avec moi et ensuite on pourrait remettre ça !

David ne me quitta qu'à l'heure ou les noctambules rentrent de discothèque.

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