Histoire Erotique

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Des aveux... plus que charnels

Maxime n'arrêtait pas de me turlupiner pour savoir si oui ou non Gérald, le magasinier noir m'avait baisé. Je décidai de satisfaire sa curiosité, mais à ma façon...

Proposée le 18/05/2022 par Trixie

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Ce vendredi-là une forte canicule sévissait, je revêtis une robe légère. De grosses fleurs vertes et jaunes en parsemaient le fin tissu. Une mince bande d'étoffe passant autour de mon cou, laissait mes épaules nues, et retenait les pans du décolleté qui plongeait entre mes seins. L'échancrure dorsale descendait jusqu'à la naissance de mes fesses, laissant mon dos nu. La robe s'évasait ensuite en corolle pour s'arrêter à mi-cuisse. Avec un tel vêtement, il était hors de question de porter un soutien-gorge, mes seins étaient donc libres de toutes entraves. C'était une robe d'été faite pour les vacances… Et comme je pratiquais depuis le mois de juin le bronzage intégral, au bord de ma piscine aucune marque blanche disgracieuse ne venait couper le hâle parfait de ma peau. La chaleur était accablante, j'avais décidé de la porter aujourd'hui… en me moquant du qu'en dira-t-on !
Maxime, mon petit copain de l'informatique avec qui je baisais depuis pas mal de temps, savait que l'un de mes fantasmes était de me faire sauter par un noir bien membré… Il m'avait mise sur la piste de Gérald en me disant qu'il avait remarqué que je ne laissais pas le grand black indifférent. Ce qui c'était révélé exact. Maxime était persuadé que j'avais fait l'amour avec celui-ci, il me questionnait sans cesse pour que je lui donne les détails de mon coït avec Gérald. Bien que cela soit arrivé, je lui soutenais mordicus le contraire...
Depuis il boudait un peu. Il était persuadé que cela était allé beaucoup plus loin que ce que je voulais bien lui raconter, et qu'il aimerait bien que je lui fasse partager la suite…
Donc Maxime, n'arrêtait pas me taquiner pour que je lui avoue ce qui s'était réellement passé avec Gérald, le jour où il m'avait laissée dans mon bureau, la jupe relevée en l'attendant, pour voir si le grand black s'intéressait à moi… Il me disait qu'il se doutait qu'ensuite dans l'après-midi,lorsque je j'avais fait l'inventaire seule avec le grand magasinier noir, cela avait du être plus que « chaud », il avait du me sauter, personne ne pouvait résister à mes avances !
Pour mettre fin à cette bouderie, je décidai de tout lui raconter. Du moins mon aventure avec Gérald, pas encore les autres, celle avec le vieux fermier et avec le noir qui avait forcé ma porte un soir. J'avais un peu peur qu'il me prenne ensuite pour une « Marie-couche-toi-là », ce qui me semblait-il, s'avérait de plus en plus exact, mon mari m'avait aussi presque forcé à me faire baiser par son patron, et cela ne m'avait pas déplu.

Des aveux... plus que charnels Il y avait maintenant trois mois que l'inventaire n'avait pas été fait. Trois mois que Gérald ne m'avait plus touchée, je savais qu'il en avait une énorme envie, souvent il me l'avouait au téléphone.
Cela tombait bien, car moi aussi son énorme sexe noir me manquait et il fallait attaquer l'inventaire semestriel. Je l'appelai donc pour lui signaler que je pouvais me libérer de 15 heures à 16 heures 30 pour commencer l'inventaire. Je donnai rendez-vous à Maxime à 14 heures 45 au local de l'appareil à boisson. J'avais une idée perverse en tête !! Lui avouer ma relation avec Gérald, mais d'une certaine façon !
Juste avant de me rendre à mon premier rancard, je quittai mon string. J'étais nue sous le mince voile de ma robe. C'était vraiment osé, je me traitai de folle, mais ce petit jeu m'excita. En souriant je pénétrai dans le local, Maxime assit sur le banc, entouré de deux hommes buvait un café. Deux de mes copines étaient là et discutaient debout. J'entrai, le bas de ma robe froufroutant autour de mes jambes. Je m'approchai pour embrasser les filles, bien dans la lumière du soleil qui inondait la pièce d'une lumière crue par la porte grande ouverte.
Je sus pertinemment ce qui se passait, la conversation des mecs cessa d'un coup. Je les regardai leurs yeux se fixèrent sur mes fesses, le soleil perçant le mince tissu arachnéen, les dévoilait en transparence à leurs regards ébahis. Mes copines placées du mauvais côté ne pouvaient rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose. J'écartai un peu les jambes, s’apercevraient-ils que j'étais nue dessous ? Sûrement…
Les pointes de mes seins se tendirent, ma chatte devint moite. C'est plus qu'impudique me dis-je, mais tu n'es pas sensée t'apercevoir que la lumière du soleil donne une telle transparence à ta robe…
Les deux filles s'éclipsèrent pour retourner au boulot, je me retournai en souriant vers les garçons, présentant mon coté pile, leurs yeux s'écarquillèrent encore plus. La nitescence du soleil laissa transparaître les moindres détails de mon corps, ils durent même apercevoir juste au-dessus de la fente de ma chatte, mon petit bout de toison triangulaire épilé au plus ras. Je pensai que ces deux mecs, lorsqu'ils me croiseraient à nouveau, même habillée chaudement en hiver, avec ce qu'ils venaient de voir, banderaient comme des ânes. Ils n'eurent toutefois pas le loisir de mater bien plus longtemps, Maxime s'était levé, m'attrapant par un bras, il m'entraîna hors du rayon de soleil vers la machine à café.

— Ve…ve…vee..ux-tu un thé ? Me demanda-t-il.
— Oui, merci.

Les deux gars, un sourire en coin se levèrent et retournèrent travailler à regret, leur pause était terminée.

— Dis donc petite salope, tu le fais exprès ! Tu es complètement à poil la dessous… On a tous pu le voir, ta robe est complètement transparente au soleil. C'était vachement excitant… Touche… Je bande. Alors les deux autres !!
—- Elle te plaît ma robe ? Oui, je suis à poil dessous. Regarde.

Je dénudai lentement mon sein droit en faisant glisser le tissu vers la gauche, le fixant tendrement avec un regard un brin provocateur, lui laissant admirer mon téton érigé.

— Dis donc tes mamelons sont bien tendus, je suis sûr que tu mouilles. Ça t'excite ce petit jeu de faire bander les mecs !
— Oh oui… alors !! J'en raffole !

Et tandis que je me penchai pour prendre mon gobelet de thé, sa main passa sous ma robe entre mes cuisses et son index s'insinua dans ma chatte.

— Salope ! J'avais raison, tu n'as pas de string et tu mouilles.Tu es gonflée quand même, de te donner en spectacle ainsi !
— Tu es jaloux !! Oui, moi ça m'excite… de faire bander les mecs, lui dis-je avec un petit sourire.

C'était un peu ce que je cherchais, attiser sa jalousie. Pour que, lorsqu'il me baiserait, il le fasse avec un désir accru et un petit brin de vengeance. Je n'avais pas, loin de là, à me plaindre comme avec mon mari, de nos ébats sexuels. Mais un peu de piment supplémentaire, était toujours bon à prendre et comme il me questionnait beaucoup sur mes éventuelles relations avec Gérald, j'allais profiter de la situation.

— Ah, Ah…Maxime, est donc jaloux !
— Mais non, ça me plaît beaucoup de te voir faire bander les mecs, et tant mieux si ça t'excite ! Mais là ça frôle l'indécence. Au début j'ai cru que tu ne te rendais pas compte de la transparence de ta robe... Mais si ! c'était fait exprès, tu es une petite salope vraiment perverse !
— Bon, Tant mieux. Tu n'es pas jaloux ! Car je vais retrouver Gérald, au magasin en sous-sol ! Pour commencer l'inventaire. Et à cette heure-ci, le soleil y pénètre à flot par les vasistas !

Je retournai me mettre en pleine lumière.

— Tu crois qu'il va aimer ma tenue ?
— Tu vas vraiment y aller comme ça ? Tu es vraiment dévergondée...
— Ben oui, mais c'est pour le boulot. Je suis obligée. Lui répondis-je avec une petite moue navrée. Et puis c'est toi qui me dit de l'exciter !
— Tu sais qu'il a envie de te sauter !! S'il ne l'a pas déjà fait.
— Ben non, mais tu sais que j'en ai envie, de sa grosse bite noire. Tu es jaloux là !
— Mais non, je sais que tu en as vraiment envie et tu vas le faire !

Il me regarda avec un air légèrement contrit. Je ne lui avouai pas encore que cela était arrivé…
Mon stratagème avait l'air de marcher, je sentis poindre un peu de jalousie.

— Eh bien mon petit chéri… Tu es jaloux du grand noir ? C'est toi qui m'a dit qu'il avait une bite énorme… C'est toi qui m'a fais jouer à des jeux érotiques dans le local de la lingerie devant son bureau, c'est encore toi qui m'a dit de lui montrer ma chatte au bureau à la pause déjeuner, il est vrai que je t'ai dit que les noirs ne me laissaient pas indifférente et c'est la vérité… Allez, quelle heure est-il ? 15 heures ! C'est l'heure… Promis, dans une heure trente, je passe dans ton bureau… Je te raconterai, patience.
— Donc tu as envie de te faire baiser !!
— Qui sait… À toute à l'heure… Regarde, ma chatte coule.

Je soulevai le bas de ma robe pour lui montrer, bien qu'il l'ait déjà remarqué, que je ne portais aucun string, et lui envoyant un baiser du bout des lèvres, je tournai les talons
La porte du magasin était fermée à clef, un panneau indiquant « Fermé pour cause d'inventaire » y était apposé. L'accès est interdit pensai-je, en souriant, mais pas seulement pour cause d'inventaire !! Je toquai suivant le code établit. La porte s'ouvrit.

— Entre vite me dit Gérald en jetant un coup d'œil derrière moi pour voir si le couloir était désert.

La serrure cliqueta deux fois… nous étions seuls !

— Ça fait longtemps, la dernière fois me dit-il, en me faisant une bise appuyée, je crois que je me suis masturbé tous les jours en pensant à toi.

Je le regardai l'air amusé par ce qu'il venait de me dire, il était vêtu d'une blouse bleue genre trois-quarts qui ne descendait pas plus bas que le haut de ses cuisses. Il était nu dessous son énorme sexe pendait mollement, plus loin que la moitié de sa cuisse musclée. En pensant que ce mandrin noir gigantesque allait bientôt entrer en moi, une bouffée de chaleur, partit de ma chatte et se propagea jusqu'à la racine de mes cheveux.

— Il fait chaud, ici je me suis mis à l'aise, en t'attendant… Me dit-il, en souriant.

Je regardai les fenêtres accolées au plafond, qui s'ouvraient au ras du sol de la cour, de l'extérieur personne ne pouvait voir l'intérieur, par contre des puits de lumière étincelante entraient en oblique.
Je coupai l’électricité, ce fut comme si des projecteurs trouaient la pénombre. Perchée sur mes talons hauts, ondulant des fesses, je me dirigeai vers le premier. Face à la fenêtre, je levai les bras et m'offris à la caresse du soleil.

— Oooooh ! Magnifique, on dirait que tu es nue. On voit bien que tu n'as pas de soutien-gorge. Mais tu as un string, non ? La ficelle est entre tes fesses ? Non… Tu ne te balades pas ainsi, nue sous ta robe ?
— Et si ! Il y avait Maxime et deux de ses copains à l'appareil à boisson. Regarde ce qu'ils ont pu voir. Et ça m'a vachement excité.

Je me tournai vers lui. Il me sembla qu'ici dans la pénombre de la pièce, le soleil transperçait encore plus le mince tissu de ma robe. Je réalisai l'effet que cela avait du faire au deux hommes dans le local du distributeur à café. J'écartai les jambes pour qu'il puisse se délecter du spectacle.

— C'est vrai tu es à poil !! Et tu t'offres ainsi aux regards des mecs, tu es quand même une petite Salope... Putain, que tu es belle !

Il s'avança vers moi, mes yeux ne quittaient pas le balancement de sa queue, il bandait légèrement, le désir avait fait se rétracter son prépuce, et son gland mauve tranchant sur le noir de sa bite était à moitié découvert, excitant au possible.

— Regarde derrière toi ce que j'ai récupéré dans une salle de repos d'un atelier.

Je me retournai, un divan trônait dans un coin de la pièce.

— Baisse-toi, écarte les jambes, touche le sol avec tes mains… Tu as vraiment des jambes magnifiques.

J'obéis. Ma courte robe remonta sur mes fesses, découvrit la raie séparant mes deux globes bronzés, offrant mon vagin à ses regards. Je sentis perler une goutte de foutre au bord de ma chatte. La lumière solaire dut la faire scintiller.

—Tu mouilles ? Tu as l'air d'adorer te faire mater ainsi, dans cette tenue !! Putain ce que les mecs ont du bander ! Tu restes ainsi, tu ne bouges pas.

Il ralluma la lumière, entre mes jambes, je le regardai arriver. Il calottait et décalottait doucement sa grosse bite noire tendue à l'horizontale. Il allait me prendre ainsi. Je mouillai encore plus.
Arrivé derrière moi, il me passa le gland le long de ma fente, en entra un tout petit peu le bout dans mon vagin, puis il écarta mes fesses et le gland glissa jusqu'à mon trou intime. Il le promena tout autour de l'anus exerçant parfois une légère pression, mais il ne me pénétra pas. Ses mains se glissèrent de chaque côté de mes aisselles, et saisirent mes seins, qu'elles malaxèrent, tandis qu'il embrassait mon dos avec passion. Il me fit relever et me poussa gentiment vers le divan. Il m'y coucha dessus. Il se mit à genoux.

— Quitte-moi ma blouse.

Tandis que je déboutonnai les boutons, sa main passa entre mes cuisses, ma robe remonta plus haut que ma taille. Il se mit à embrasser et à lécher ma cuisse, ses doigts effleurèrent ma chatte.
Je réussis à lui quitter la blouse, et lui caressai doucement le dos, son torse noir brillait sous la lumière des néons. Je fis passer la lanière du haut de ma robe par-dessus ma tête et lui présentai mes deux seins, sa bouche avala aussitôt entièrement mon aréole droite, et ses lèvres tirèrent avec force sur le mamelon qui dardait, puis il s'occupa du sein gauche, mordilla le bout sensible, je gémis de plaisir. Ma robe était maintenant enroulée autour de ma taille.
Sa bouche descendit en un long baiser jusqu'à ma chatte, que la paume de sa main n'arrêtait pas de caresser. Sa langue s'attarda sur mon petit triangle de poils ras, je passai ma jambe droite par-dessus sa tête et la posai sur son dos ce qui m'écartela. Ses grosses lèvres lippues s'emparèrent de mon clitoris bien dégagé par ma position, et se mirent à le téter. Ses doigts le tinrent décapuchonné tandis que sa langue en titilla la base pour bien le faire durcir et gonfler. Sous cette caresse mon bassin se tortilla dans tous les sens. Sa langue partit de mon anus, et remonta le long de ma fente vaginale, puis redescendit comme pour humidifier mon petit trou rectal, qui se relâcha sous la légère pression et permit ainsi de petites incursions a la pointe de son muscle buccal.
Son index se mit à caresser mon petit trou rugueux, puis par petites pressions il l'enfonça doucement. Il entra et sortit lentement bientôt rejoint par son majeur, il ajouta son annulaire et les trois doigts s'enfoncèrent comme pour bien retourner mon ampoule rectale. Ce traitement ajouté aux pénétrations de sa langue dans mon vagin, à la succion de mon clitoris maintenant gonflé, à ses mains qui ne cessaient de malaxer mes seins, à ses doigts qui me trituraient, pinçaient les mamelons, me tirant des râles de plaisir, fit que dans un gémissement permanent, je lui demandai de ne pas cesser ses caresses. Ma tête tournait, je haletai. Ma main partit à la recherche de sa bite, je me mis à masturber fermement la monstrueuse hampe noire qui atteignit des proportions gigantesques.

— La dernière fois j'ai adoré défoncer ton petit cul, je sais, tu as aimé, me susurra-t-il. Je n'ai pas arrêté d'y penser pendant ces trois mois. Alors avant tout, je vais commencer par te sodomiser. Dis-moi que tu aimes, que tu es d'accord !

Ses grands doigts noirs entrèrent plus profondément en tournant dans mon anus. Je hoquetai.

— Ouu…. Ouiiiiii… J'ai… J'aime ta grosse bite noire…. Fais… Fais ce que tu veux…
— Redis le… Petite salope… Je veux t'entendre dire que tu aimes ma grosse bite noire !

Ses doigts fouillèrent mon vagin pour bien s'imprégner de mon foutre, puis il y cracha dessus pour bien humidifier mon anus, cela m'excita énormément. C'est vrai que la première fois, qu'il m'avait sodomisé, j'avais adoré, et il allait encore le faire. Il me fit mettre à genoux, il écarta avec sa main gauche ma fesse droite, le bout de son phallus dont le diamètre atteignait maintenant les sept centimètres, fermement tenu par son autre main, s'enfonça légèrement dans mon anus distendu.

— Tu es prête ?

Sans attendre la réponse, il commença à pousser, l'énorme sexe glissa lentement entre mes parois anales, il m'attrapa à la taille, pour m'attirer vers lui. Je devançai son désir en envoyant mon bassin en arrière. Le gros mandrin noir glissa doucement.

— Aaaahh… Salope, tu as entièrement fait entrer ma bite… Dans ton cul…
— Ouuuuiiiiiii, c'est… C'est bon…. Ta queue est merveilleuse...

Je commençai à jouer des hanches d'avant en arrière, je sentis ses couilles battre mon périnée, puis je lui laissai le contrôle des opérations. Il entra et sortit son phallus dans un premier temps doucement, puis il n'entra que la moitié de sa bite et d'un coup de rein brusque enfonça le reste en donnant de petits à coups, lorsque son pubis toucha mes fesses, il ne bougea plus pour bien me laisser sentir la grosseur de son pénis phénoménal ! Ma tête était enfouie dans le canapé, mes ongles griffaient le tissu, je hoquetai et râlai de plaisir.

— Oui, ouuuuuiiiiii, encore, encore, plus vite, enfonce bien, ouuuuiiii
— Je…. Je…. Vais… Jouuuuuuiiiiiir, cria-t-il au bout de dix minutes de ce délicieux supplice.

Il me saisit les seins, les serra et je sentis les soubresauts de sa queue déversant son sperme dans mon cul. Je ne pus me retenir plus longtemps, mon plaisir était au paroxysme, je ne le retins plus et j'explosai à mon tour dans une gerbe de jouissance. Je ne pensai pas que pendant ces trois mois, il ait fait abstinence sexuelle, mais la quantité de sperme qu'il éjacula fut extraordinaire. Il se retira, je me couchai sur le dos, il m'embrassa longuement sa langue se nouant avec la mienne. Puis, il parcourut mon corps avec de petits baisers.
Au diable le boulot. Personne ne viendra nous déranger. La porte était d'ailleurs fermée à double tour. Il s'assit à côté de moi, je me tournai sur le ventre et commençai à jouer avec sa bite qui maintenant était flasque et pendait sur sa cuisse. La conversation roula sur pas mal de sujets, je lui avouai que depuis mes 18 ans, je fantasmais sur les noirs, pas seulement parce qu'ils avaient en général un gros sexe. Mais aussi parce qu'il y avait dans notre société, tout au moins jusqu'à maintenant, un tabou sur le fait qu'une blanche puisse faire l'amour avec un noir, et que cela m'excitait de transgresser cet « interdit » ; surtout si en plus les bites étaient aussi grosses que la sienne. Il m'avoua lui aussi, en riant, que son rêve avait été de baiser une blanche, blonde si possible, ce qui chez un noir ne pouvait être plus basique, mais qu'il n'aurait jamais pensé pouvoir me baiser et que la réalité dépassait ses espérances. Il s'était souvent masturbé, après avoir maté mes jeux érotiques avec Maxime dans le local jouxtant son bureau, mais il n'avait jamais osé, entrer pour y participer, et qu'il avait faillit éjaculer lors de son doigter dans mon bureau.

Cela me remit en mémoire, le plan que j'avais ourdi. Il fallait que Gérald me baise à nouveau et qu'il éjacule dans ma chatte, l'heure tournait et je devais retrouver Maxime aux alentours de 16 heures 30 pour finaliser mon projet. En plus, c'était vendredi et la majorité du personnel aurait quitté la boîte pour partir en week-end. On devrait, là aussi, être tranquille !
Gérald était monté comme un étalon, et il récupérait aussi à une vitesse phénoménale ou alors il devait être fou de mon corps. Car un bon quart d'heure après, sa bite que je n'avais pas cessé de caresser pendant notre conversation, commença à reprendre du volume. Il se leva et frotta son membre noir autour de ma bouche.
Je regardai cet énorme mandrin avec un petit air gourmand, je tirai la langue, il y posa son gland, le bout de celle-ci parcouru lentement son frein jusqu'à son méat urinal. Je mordillai par à-coups son gland le fit entrer dans ma bouche. Il eut l'air d'apprécier mes mordillements, je renouvelai l'opération plusieurs fois, lui tirant des gémissements de plaisir.

Ma langue parcourut depuis les testicules l'énorme phallus pour l'imprégner de salive, je voulus en avaler le plus possible, mais vu la grosseur et la longueur, ce fut une tâche quasi désespérée que d'essayer d'en enfourner plus de la moitié dans ma cavité buccale. Mais je le suçai avec application frottant sa bite sur mes seins, essayant de faire entrer mes tétons dans son large méat.
Sa queue reprit des proportions colossales, et une dureté à toute épreuve. Il me fit coucher sur le dos, jambes largement ouvertes, et comme en physique ou les deux pôles opposés s'attirent le bout de son gros gland mauve, vint se plaquer sur mon orifice vaginal. Mon fluide magnétique devait être super puissant, car sans attendre le gros tuyau noir glissa lentement dans ma fente béante et humide. Il n'en fit pénétrer que la moitié.

—Tu aimes ma grosse queue noire?
— Oh oui... j'en suis folle... enfonce... enfonce...

Il appuya sur mes fosses poplités à l'arrière de mes genoux, pour bien écarter mes cuisses et donna de petits coups de reins, faisant attention de ne pas s'enfoncer plus avant. Il me regarda dans les yeux, avec le regard gourmand d'un chat qui joue avec sa proie.

— Alors petite Salope, tu réponds ? Tu veux que je te la mette toute ?
— Ouuuiiiiiii….oooouuuuuuiiiiii….continue….continue….
— Lààààà, tu la sens bien comme elle entre doucement, putain que c'est bon de te baiser !

Je me masturbai le clitoris, il enfonça d'un seul coup la totalité de son phallus, puis il commença d'aller et venir d'abord très lentement puis de plus en plus vite, je mouillai comme une folle. Parfois, lorsque sa queue était entrée entièrement, il s'arrêtait essayant ensuite de pousser comme pour l'enfoncer davantage, cela me faisait rugir de plaisir, je sentis ses testicules frotter mes fesses.
Il m'embrassa alors furieusement. Ma chatte était écartelée, défoncée par le diamètre de ce sexe noir, mais je raffolai de sentir la couronne de son gland frotter le long mes parois vaginales, je contractai mes muscles pour bien serrer le membre monstrueux.
Le plaisir monta rapidement, mais chaque fois que Gérald sentit que j'allai exploser, ralentissait ou stoppait ses pénétrations, pour me lécher les seins ou m'embrasser fougueusement.

— Attends, Attends-moi pour jouir. Je veux profiter au maximum de ta chatte. Ce n'est pas tous les jours que je peux profiter d'une sensationnelle petite blonde à qui je peux enfoncer la totalité de ma bite !

Ma réponse fut des râles de satisfaction et des gémissements d'extase.

— Je…je ne tiens plus…je…je vais …jouir…. je pars….

Je criai mon plaisir au bout de vingt minutes de ce traitement ininterrompu, et un terrible orgasme me submergea.

— Ouuuuuiiiiiiiiii, moi aussiiiiiiiiii…….

L'énorme bite noire enfoncée au tréfonds de mes entrailles cracha sa semence en longs jets tièdes.
Je crus défaillir de plaisir. Cette fois aussi, il y eut hyperspermie, vu le temps que dura son éjaculation, il dut déverser plus de six millilitres de sperme.
Je n'aurai pas pu rêver mieux ! Je pouvais passer à la seconde parti de mon plan, j'avais énormément joui, mais ma libido n'était pas entièrement satisfaite.
J'enfilai ma robe, après un dernier baiser à Gérald, je me dépêchai d'aller rejoindre Maxime.
En montant les escaliers menant à la cour, je sentis le sperme du grand noir commencer à couler sur mes cuisses.

Ma route traversait un petit jardin d'agrément ou poussaient des noisetiers. Je choisis une branche de coudrier fine et flexible d'environ un mètre de long et la coupai, puis je me hâtai vers ma destination finale. Je frappai à la porte du bureau de Maxime et entrai, il était seul, à cette heure-ci, les trois-quarts du personnel étaient partis. En pensant à ce que je voulais, ma vulve se contracta toute seule, mon foutre s'ajouta au sperme de Gérald qui s'écoulait de mes deux orifices. Je donnai un tour de clef, tout en le regardant avec un sourire malicieux. Il y eut une avalanche de questions.

— Tu as fini l'inventaire avec Gérald ? Il t'a baisée ? Que fais-tu avec cette badine ? Pourquoi tu te marres ?
— Ce que je fais avec la baguette ! Je crois que tu vas en avoir besoin !! Tiens prends là.

Je m'approchai et m'accoudai à son bureau à côté de lui, dos bien à plat, fesses tendues, jambes écartées…

— S' il m'a baisée ? Tu devrais vérifier… Touche…

Sa main se posa derrière mon genou et remonta lentement à l'intérieur de ma jambe, ses doigts rencontrèrent bientôt le sperme poisseux qui coulait sur le haut de ma cuisse.

— Salope…tu mouilles…ou alors…c'est... c'est du sperme…

Son majeur et son index entrèrent dans ma chatte, il les enfonça profondément faisant plusieurs allers et retours.

— Ta chatte est pleine ! C'est bien du sperme… petite garce il t'a baisée !
— Oui, mais pas que…

Son pouce se positionna sur mon ampoule rectale qui céda sous la légère pression et pénétra dans le conduit également bien lubrifié…

— Il…il t'a sodomisée aussi… ton cul est béant… et trempé !!
— Eh bien oui… Tu voulais savoir… Maintenant tu sais !
— Tu as aimé ? C'est vrai qu'il a une bite énorme de presque trente centimètres ?
— Ohhhhh ouuuiiii... tes potes ne t'ont pas menti... elle est vraiment énnnnooooorme !

Je me retournai, ôtai ma robe qui tomba à mes pieds, je lui pris la main et suçai ses doigts plein de mon foutre et du sperme de mon amant précédent.

— Putain, que son sperme est bon. Tu veux goûter ? Il y en a beaucoup et aux deux endroits ! Mais tu as l'air jaloux là, que la grand noir m'ait sauté ! Et tu sais ce n'est pas la première fois et oui, j'ai vachement aimé ! Le jour ou je lui ai montré ma chatte, il m'a fait un super doigter, j'ai failli jouir, je mouillai tellement que j'ai été obligé de changer ma jupe à midi ! L'après midi pendant l'inventaire il m'a baisé et ensuite sodomisé ! Tu ne crois pas que je mérite d'être punie ? La badine, c'est pour ça...

Je m'étais assise sur le bureau, le talon posé sur le dessus, jambe gauche ouverte ce qui entrebâillait largement ma chatte, du sperme coulait sur le dessus du meuble. Il s'approcha, tandis qu'il m'embrassait sauvagement, trois doigts de sa main droite fouillèrent avec vigueur mon conduit vaginal. Il avait l'air vraiment excité par mes aveux, moi aussi d'ailleurs, mon plan avait l'air de fonctionner. Je lui ôtai sa ceinture, et défis sa braguette, tandis que je déboutonnai sa chemise, il se débarrassa de son pantalon. Nous étions nus tous les deux, il bandait fermement.

— Attache moi au porte-manteau et punis moi, pour avoir baisé avec le grand noir et adoré qu'il éjacule dans ma chatte et dans mon cul !
— Salope !

Il entoura mes poignets avec la lanière de cuir et les attacha au-dessus de ma tête aux patères fixées au mur, ce qui fit cambrer ma poitrine. Je n'avais encore jamais fait l'expérience de la flagellation, mais inconsciemment, je sus que j'aimerai. Se saisissant de la cravache improvisée, il commença à me caresser les seins, fit le tour des aréoles, titilla les tétons qui réagirent aussitôt.

— Tu as aimé baiser avec Gérald ?
— Oui, je te l'ai dit ! J'ai adooooré son énorme sexe noir, qui c'est vrai mesure presque 30 cm, dur comme du fer, il est presque aussi gros que mon poignet !

Je le regardai avec un petit air défi. Il donna un coup sec à chacun de mes seins, je gémis sous le léger impact. Je remuai le torse de façon à faire danser ma poitrine dont les globes aux pointes tendues et gonflée, raffermis par les coups légers, frémirent en attendant le prochain choc.

— Tu as vraiment aimé sa grosse bite noire ?
— Ouuiiii…! Elle n'est pas que grosse, elle est extrêmement longue et il me l'a toute enfilée… au moins trente centimètres… Il m'a fait hurler de plaisir ! Elle est beaucoup plus grosse que la tienne.
—Tiens…salope…tiens…

Maxime excité par mes propos se mit à manier la baguette avec dextérité. Le mince stick glissa sur ma peau sans trop me faire mal, il se mit à taper les mamelons d'un côté puis de l'autre qui se gorgèrent de sang. Ma poitrine se tendit vers les coups. Cela commença à m'exciter sérieusement. Je gémis de plaisir à chaque coup. Arrogante, je me cambrai en avant, le provocant. Le bout du bâton descendit sur mon ventre comme une caresse, ma chatte était en feu, mon foutre coulait sur mes cuisses…

— C'est bon, tu aimes ça, comme tu as aimé sucer sa grosse queue noire…
— Oui, j'ai tout avalé son sperme, j'ai adoré... il est dé…délicieux…

Pan, un nouveau coup. Le bout de la cravache improvisée descendit jusqu'à mon sexe, écarta mes lèvres, il l'insinua dans ma fente, pénétra légèrement mon conduit vaginal, il le remonta jusqu'à mon clitoris érigé et dur comme un petit bouton de porcelaine.

— Putain ce qu'elle mouille, la demoiselle, dit-il en suçant l'extrémité luisante de foutre. Il te faisait autant mouiller salope ?
— Oui ma chatte était plus que trempée, complètement distendue par la grosseur de son gland.

Il se mit à titiller mon clitoris.

— Tu as aimé qu'il te caresse le clitoris ?
— Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pénétrait, et je me mis à miner une pénétration. Sa grosse queue noire, m'a fait jouiirrr…. j'ai adoré…. me faire défoncer…

A chaque tortillement de bassin, je reçus un léger coup. Il me fit tourner. Se mit à me caresser doucement le dos, avec la badine, puis lorsqu'il vit que des frissons qui me parcoururent, m'assena un coup. Je pris plaisir à ce traitement, il attaqua mes fesses, il les tapa doucement, mais elles s'échauffèrent.

— Tape plus fort, lui demandai, je…je…je le mérite, sa grosse bite noire m'a fait jouir deux fois comme une folle… Surtout quand il me sodomisait, j'aime quand tu me frappe, je suis une salope !
— oui une Salope...

Cela me tira des frissons depuis le bas-ventre, ils remontèrent le long de ma colonne vertébrale. Je frottai ma chatte et mes seins sur le mur granuleux. Une flaque de foutre poissa mon duvet et coula sur le sol. Au bout d'un moment, la flagellation devint un plaisir, elle stimula toutes mes zones érogènes, mes seins devinrent durs et gros, mes mamelons s'érigèrent en deux pics bruns, mes cuisses se frottèrent l'une contre l'autre, j'adorai !

— Tu te feras encore baiser par lui ?
— Oh oui…oh oui…sa queue noire est énorrrrrrmmmmme !
— Alors attends ! Je t'ai réservé quelque chose, pour le moment de tes aveux, je savais, que j'avais raison et qu'il t'avait baisé ! tu vas voir…

Il farfouilla dans un des tiroirs de son bureau, me remit face à lui, toujours attachée.

— Regarde ce à quoi tu vas avoir droit !

Il exhiba un godemiché noir d'environ, 25 cm et de 5 ou 6 cm de diamètre. Il approcha le fauteuil et sans me délier, me fit poser le pied dessus. Le phallus artificiel commença à glisser à l'intérieur de mon vagin, je hoquetai de plaisir, mon sexe dut s'inonder encore plus, mes muscles vaginaux enserrèrent la verge de plastique noir. Mes parois vaginales palpitèrent, tout mon intérieur frémit. Un brasier dévora mes entrailles, mon souffle se fit rauque.

— Tu ne vas pas jouir maintenant… petite salope… attends ! Elle est grosse, hein… comme celle de Gérald…
— Ooouuuuuiiiii. j'ai...j'aime…. Mais la queue de Gérald était plus grosse… plus… plus vite… fais moi le sucer, il doit être imprégnée de son sperme, il a éjaculé une quantité phénoménale… dans ma chatte et mon cul… je… je sais…. je suis une Salope !

J'exacerbai sa jalousie, sa queue était droite, raide, gonflée au paroxysme, il devait être prêt à éjaculer, mais je voulus encore ressentir la légère morsure de la mince badine sur mon corps. Tandis qu'il exauça mon désir de succion d'une main, son autre main s'activa à m'infliger de légers coups. Ma tête devint lourde, toute brûlante je frottai mes cuisses et ma vulve, avec des mouvements de va-et-vient, je plongeai dans un abîme de plaisir..

— Vi…viens maintenant… viens… baise moi…prends moi…défonce moi…éjacule en moi… mélange ton sperme avec celui de Gérald ! Éjacule dans ma chatte. Déverse-toi en moi, je veux te sentir éjaculer en moi mon chéri !

Il me prit plus que sauvagement, il s'enfonça en moi, ses ongles s'incrustèrent dans la chair de ma taille, il me martela avec une fougue à la limite du supportable. J'étais arrivée à mes fins. J'avais voulu une étreinte fougueuse, elle avait été plus que déchaînée. Un torrent de lave déferla dans mes veines. L'orgasme jusqu'à maintenant contenu s'abattit sur moi, une jouissance plus que diabolique me transperça le corps. Je sentis les soubresauts de sa bite que mes parois vaginales enserraient comme un étau et il éjacula. Je me tordis et me cambrai en hurlant pour enfoncer sa queue plus profondément. Je ne pus pas retenir mon cri de jouissance.
J'étais repue de sexe. Je venais de faire l'amour avec deux hommes différents dans l'après-midi et j'avais énormément joui trois fois. Maxime me regarda amoureusement.

— Tu es vraiment unique Trixie. D 'abord Gérald puis moi. Tu me mets dans des états presque second. Au fait maintenant que tu viens de m'avouer que tu baisais aussi avec Gérald, cela me plairait bien de te regarder faire l'amour avec lui, de le voir te faire jouir avec son immense sexe noir.
— Moi aussi, j'adorerai que tu regardes mon petit chéri, lui répondis je ! J'ai vraiement envie qu'il me fasse jouir devant toi avec son énorme bite noire !

Je remarquai que sa verge était encore gluante, je la pris dans ma bouche, et je la suçai langoureusement.

— J'aime énormément, le goût de ton sperme. Il est meilleur que celui de Gérald.

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Commentaires de l'histoire :

humeuriste06
Bonjour Trixie, c'est toujours bien écrit, cependant, la répétition de la couleur noire de l'un des protagonistes est, à la longue, un peu lassante...N'y vois aucune envie de ma part, quoique...peut-être (lol). Le candauliste que je suis apprécie grandement ton récit ! Didier
Posté le 10/12/2022

Anonyme
Bonjour, Je viens de transcrire deux chapitres des aventures de Trixie. J'espère que ces textes vous ont plut ! Si vous désirez connaître les chapitres suivants, tous plus coquins les uns que les autres, faites le moi savoir en m'encourageant par un petit commentaire a vous les proposer prochainement. Le chapitre 1 s'intitule ; Le vieux fermier
Posté le 18/05/2022


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