Histoire Erotique

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Daniel, Consultant - Chapitre 3

Deux ans que je suis avec Alessia et que je file le parfait amour. Mais voilà que ma curiosité va me mener à télécharger une application de rencontre et découvrir Coraline... dont l'identité ne restera pas secrète bien longtemps.

Proposée le 14/05/2022 par Imagine69

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Roman


Cela faisait maintenant deux ans que j’étais avec Alessia. Après mon anniversaire, nous avions continué d’explorer les plaisirs de la sodomie sans pour autant les privilégier aux autres. Tout était question d’équilibre ! Les vidéos et autres photographies ne cessaient de s’accumuler et certaines étaient partagées sur des forums ou des sites érotiques. Bien évidemment, nous cultivions le secret sur notre identité. Le fait de savoir que d’autres personnes nous regardaient faire l’amour nous excitait. Les commentaires et les idées venant des internautes nous ravissaient tout autant. Certains couples ou célibataires nous avaient même proposé d’être inclus dans nos moments intimes mais nous l’avions toujours refusé. Peut-être par pudeur ou tout simplement pour garder l’exclusivité de l’autre. Nous ne cessions de nous redécouvrir au travers de nouvelles pratiques telles que le bondage ou les jeux de rôle. Alessia avait l’esprit tout aussi ouvert que le mien, sinon plus. Pour respecter l’égalité homme-femme, elle m’avait même convaincu d’essayer la sodomie. Après tout, pourquoi fallait-il que cela ne se pratique que dans un sens ! Armée d’un gode ceinture elle m’avait dépucelé avec soin. Alliée à une bonne masturbation, cela s’était révélé redoutable et il ne m’avait fallu que quelques minutes pour jouir. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas par amour !

Pour son anniversaire, je lui avait offert une semaine en amoureux aux Seychelles. Au programme, bronzage plus ou moins nus, séances de massage, découverte de la culture locale et bien entendu, sexe. Sur la plage de sable blanc, dans la chambre, la piscine, la forêt ou l’avion : tout y passait ! Les internautes avaient autant adoré notre voyage que nous. Notre échappée belle au ski l’hivers suivant avait été tout autant érotique : fellation sur les remontées mécaniques, léger exhibitionnisme sur les pistes, amour passionné au coin du feu et sodomie endiablée dans le sauna. Tout cela, sans parler du quotidien bien rempli et propice à de nouvelles découvertes ! Côté travail, tout fonctionnait pour le mieux. Alessia avait été promue, tout comme moi. Ludovic et Luc comptaient toujours parmi mes amis, Christiane aussi. Malgré ce qu’il s’était passé dans la salle des archives, nous avions continué de nous parler. Alessia lui avait même demandé la marque de son rouge à lèvres avant que je n’informe la belle rousse que ma copine était au courant de notre écart. Elle lui avait présenté ses excuses, que l’italienne avait accepté. Depuis, tout était clair comme de l’eau de roche.

Ludovic et Katia étaient toujours en couple. La lithuanienne avait déménagé chez lui et ils filaient le parfait amour. Ma relation avec elle s’était normalisée. Elle m’avait confirmé avoir entendu les mots d’Alessia ainsi que les miens dans les toilettes du bar à mon anniversaire. Après discussion, nous conclûmes que cela n’avait été dit que dans un contexte particulier, un jeu de séduction. Nous sortions souvent au restaurant ou au cinéma avec le couple. Nous pratiquions le tennis en double et le sport en salle deux fois par semaine. Alessia savait que les courbes et les habits souvent moulants ou trop amples de la belle blonde étaient de nature à attirer mon regard. Elle m’avait même déjà confié qu’elle la trouvait sexy, que si elle était lesbienne elle aurait couché avec. Cela nous avait mené vers une nouvelle phase de discussion sur notre sexualité. Une phase bien courte car chacun voulant toujours l’exclusivité de l’autre ou ayant tout simplement peur de froisser l’autre.

Quant à Luc, le jeune consultant était devenu la « légende » du groupe. Le métier lui avait inculqué stoïcisme et confiance en soi. Grâce à son application de rencontre, il multipliait les conquêtes, d’abord féminines puis aussi masculines. Je lui reconnaissais une bonne dose de courage pour ne pas s’en cacher mais au final, c’était des gens comme lui qui faisaient bouger les lignes. Après tout, nous étions au XXIe siècle ! D’abord méfiant à l’égard de son application, j’étais par la suite devenu curieux. Curieux de voir comment cela fonctionnait, curieux de savoir si mon profil pouvait intéresser quelqu’un. Dans le plus grand secret, je me retrouvais donc, en ce premier jour d’été, à télécharger le logiciel, à entrer un faux nom ainsi qu’une photographie sans visage ni signe distinctif. A ma grande surprise, il ne fallut pas beaucoup de temps pour que des femmes ou des hommes me contactent. Flatté, je me prenais au jeu et conversais avec eux sans réelle intention. Après tout, j’avais vraiment tout ce qu’il me fallait chez moi ! Puis un jour, je vis le profil d’une jeune femme s’afficher. Pas de visage, juste un cliché de trois-quarts, une lingerie fine dans la pénombre, une suggestion d’érotisme sur un soupçon de sensualité :

- Bonjour belle étrangère, tapais-je en sortant de réunion.
- Bonjour, répondit-elle cinq minutes plus tard. Désolée je suis nouvelle ici, j’apprends.
- Aucun problème, je ne suis pas un aficionado non plus…

Bizarrement, le courant passa bien avec Coraline. Aucun doute qu’il s’agissait d’un faux nom, après tout, je m’appelais Etienne ici. Je lui demandais ce qu’elle faisait sur cette plateforme:

- Honnêtement, je ne sais pas. Je suis en couple et j’aime mon homme, peut-être une erreur.
- Qui sait ? répondis-je. Est-ce que tu es comblée avec ton homme ?
- Oui, nous faisons l’amour régulièrement et je veux qu’il soit le père de mes enfants…
- Mais ? demandais-je à tout hasard en regardant autour de moi.
- Je ne sais pas… Je n’ai pas toujours était la femme sage que j’ai envie d’être avec le père de mes enfants. Je n’ai pas envie qu’il me voit comme une nympho mais en même temps… j’ai des envies, des souvenirs, des besoins.
- Tu n’en as jamais parlé avec lui ? Peut-être qu’il ne le prendrait pas mal, répondis-je.
- Assez parlé de moi, rétorqua-t-elle sèchement. Que fais-tu ici ?
- Je ne le sais pas plus que toi. Ma femme est parfaite sur tous les plans. Je pense que je suis là par simple curiosité, je ne sais pas trop.
- Intéressant ! Nous sommes donc deux à ne pas savoir ce qu’on fait là.
- Certainement les deux seuls. Je vais rentrer chez moi. A bientôt Coraline.
- A bientôt Etienne, et bonne soirée avec ta femme, conclut-elle.

Je souriais en regardant mon écran et Ludovic me toisa : « Encore Alessia qui t’envoie des photographies ? ». Je fermais l’application : « Oui, encore une bêtise ». Je rentrais en fin d’après-midi, pendais ma veste de costume sur le porte-manteau de l’entrée et rejoignais ma copine qui buvait un verre de vin blanc sur le balcon. Elle était sublime avec son teint mâte et sa robe estivale : « Bonjour mon amour, tu as passé une bonne journée ? ». Elle acquiesça et nous nous embrassâmes passionnément. Ma main glissa dans son décolleté et pétrit son sein : « Le fils des voisins va être jaloux ! ». Je regardais vers la fenêtre en face, à la recherche de l’adolescent qui aimait épier ma femme à ses heures perdues : « Il te mate toujours ? Tu veux que j’aille voir ses parents ? ». Alessia rigola et m’assit sur la table, face à elle : « Tu sais que j’aime quand tu es protecteur ? Mais je préfère que tu restes là ». Son sourire s’illumina et ses doigts ouvrirent méticuleusement mon pantalon : « Tu es sûre ? ». L’instant d’après, elle prit mon sexe droit en bouche et entama une fellation à la vue de tous. C’était la première fois qu’elle le faisait sur le balcon. Voulait-elle être épiée par le voisin ?

Un rapide coup d’œil à la fenêtre du voisin me confirma qu’il était là, caché derrière le rideau de sa chambre. Plutôt que de nous cacher, je prenais une gorgée de vin et baissais le haut de la robe d’Alessia pour dévoiler ses seins. Je les malaxais puis ramenais ses cheveux vers l’arrière, pour que le voyeuriste ne loupe rien de la scène. La brune allait et venait en lubrifiant amplement ma hampe. Elle se retira et lécha mon sexe dans la longueur en regardant vers la fenêtre : « Il nous regarde ? ». Je confirmais. Elle recula un peu sur sa chaise : « Baise ma bouche et éjacule sur mon visage ». Je la questionnais avec perplexité : « Baise ma bou… ». Je m’avançais vers elle, resserrais mon étreinte sur ses cheveux et enfonçais mon sexe entre ses lèvres ouvertes. J’adorais ses envies obscènes, son regard de braise planté dans le mien, ses gloussements incontrôlés et la bave qui coulait sur son menton.

J’enchainais les coups de reins puis me retirais pour la laisser respirer : « Encore ». Je reprenais les pénétrations qu’elle semblait encaisser avec envie : « Encore ». Mon sexe limait ses lèvres et forçait sa glotte : « Encore ». Je me laissais prendre au jeu et m’aventurais dans sa gorge. Alessia hoqueta. Elle avait du mal à me prendre entièrement mais aujourd’hui, elle tenait le coup. Était-ce l’excitation ? Elle s’empala un peu plus, resta immobile puis se retira : « Tu aimes ça ? ». Ma main libre s’empara de mon sexe trempé et le masturba face à son visage : « Oui, éjacu… ». Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une première giclée de sperme s’étala sur son nez et son front. Je jouissais à moitié sur elle et à moitié dans sa bouche : « Je crois que le père du voisin nous regarde aussi depuis la cuisine ». Mon amante lutta pour ne pas tourner la tête. Elle avala ma semence : « Tu penses qu’il va nous dire quelque chose ? Du genre : « Pas mal votre femme, est-ce que je peux finir sur elle aussi ? ».

Je pouffais, me rhabillais puis m’asseyais en face : « Qu’il ose ! En tout cas, demain, je te prends ici, à la vue de tous ». Alessia sourit, le visage souillé et les seins à l’air libre. Je ne pus m’empêcher de prendre une photographie d’elle et de son regard de tigresse : « Demain ? ». Elle se leva, fit tomber sa robe sur le sol et vint s’assoir sur la table devant moi, les cuisses écartées. Je me mordais la lèvre en contemplant son sexe magnifique. Elle se pencha en arrière et je fondais sur elle pour la lécher. Sa main se posa derrière ma tête et des gémissements non dissimulés s’échappèrent de sa gorge. J’adorais lui faire des cunnilingus, redécouvrir son intimité, gouter à son excitation. Je taquinais son clitoris, faisais quelques allers retours dans sa fente humide. Au bout de quelques minutes, elle m’invita à la prendre sur la table, ce que je fis, sans vergogne, avant qu’elle ne vienne me chevaucher sur la chaise, devant nos spectateurs. Elle atteignit l’orgasme. Son visage souillé luisait au soleil et ses lèvres se posèrent sur les miennes : « Maintenant, imagine-moi dans la cuisine du voisin, nue… ».

Elle me raconta sa fiction érotique dans les moindres détails. Son bassin se déhanchait, mon sexe se contractait en l’imaginant faire plaisir à l’homme puis se faire prendre. Ses phrases finirent par se raccourcir. La tension monta : « Tu nous regarde depuis le balcon. Il me besogne vigoureusement, comme une salope. Je le supplie de ne pas jouir en moi. Que c’est trop risqué. Mais il s’en fiche. Il accélère, me donne une fessée, me dit que je suis à lui. Je sens sa semence jaillir dans mon intimité. Je le supplie maintenant de me remplir devant toi… Ah ». J’éjaculais en elle et me délectais de son rire espiègle : « Hum, on dirait que ça t’excite ! ». Je ne pouvais pas me l’avouer. Nous échangeâmes un rire, un baiser puis rentrâmes prendre une douche. Le lendemain, je partais au travail, ouvrais l’application et voyais un message de Coraline : « Bonjour Etienne, tu as passé une bonne soirée ? ».

Je répondais en sentant mon rythme cardiaque s’accélérer : « Très bonne, on a fait l’amour sur le balcon devant les voisins ». Moins de trente secondes plus tard, elle me répondait : « Ah bon ? Comment ça ? ». Elle était avide de détails. Intéressant ! Je prenais le temps de lui raconter la première phase, celle de la fellation : « Ta femme a l’air superbe… et très dévergondée ! Ca ne te dérange pas de lui faire ça ? Je veux dire, ça ne va pas nuire à l’équilibre de votre couple ou à la façon dont tu la perçois ? ». Je répondais : « Absolument pas ! Je la trouve toujours magnifique, encore plus quand elle s’assume. Attends, je te raconte la suite ». A nouveau, je tapotais sur mon clavier et détaillais notre partie de jambes en l’air : « Hum elle est joueuse. Tu m’émoustilles avec tes histoires. Je reviens. ».

Je souriais en regardant mon portable. Qu’allait faire cette Coraline ? La réponse arriva une dizaine de minutes plus tard : « De retour ». J’écrivais : « Je peux savoir ce que tu faisais ? ». Elle me répondit : « Ce que les femmes font quand elles sont excitées et au bureau. Tu t’es déjà masturbé au travail ? ». Je confirmais : « Plus d’une fois, oui ». Marc, mon directeur, passa derrière moi et je fis mine de travailler avant de reprendre mon téléphone : « A quoi tu penses quand tu te masturbes ? A ta femme ? ». Je réfléchissais puis pianotais : « En grande partie, mais pas que ! A mon tour de te poser des questions. Est-ce que tu es attirée par d’autres hommes que le tien ? ». Les minutes passèrent puis un message s’afficha : « Je repense souvent à un de mes ex mais que pour le sexe. Sinon, il y a bien un ami de mon homme qui m’excite énormément mais il est en couple. PS : je ne suis pas lesbienne mais sa copine est aussi une bombe ». Je réfléchissais un instant :

- Qu’est ce qui te manque de ton ex ? Je veux dire, d’un point de vue sexe ?
- Monsieur est curieux, répondit-t-elle avec un smiley.
- C’est une grande qualité, rétorquais-je avec un clin d’œil.
- Si on ne parle que de sexe (et pas d’amour), j’aime beaucoup de choses, de choses sauvages, commença-t-elle. Selon mon homme, je suis une très bonne fellatrice. Avant lui, j’avalais mais tu sais… j’essaye de garder une bonne réputation. Comme toutes les femmes, j’aime les cunnilingus bien faits, les petites attentions. J’ai un léger penchant pour la soumission. Pour ce qui est de la sodomie, je n’ai jamais essayé, je ne sais pas quoi en penser. Et maintenant, grâce à toi, j’ai envie de me faire prendre devant mes voisins. Merci beaucoup Etienne !
- Je t’en prie, écrivais-je en rigolant. Par ton homme ou un simple inconnu ? la questionnais-je.
- Tu veux dire un inconnu rencontré sur une application de rencontre ? demanda-t-elle.

Je sentais mon érection s’amplifier dans mon costume. Coraline commençait à me chauffer.

- Par exemple, oui ! répondais-je avec un sourire.
- Hum… il faudrait que j’en sache plus sur lui avant, sur comment il est bâtit, sur ce qu’il aime…
- Dans ce cas, ce ne serait plus vraiment un inconnu, rétorquais-je en rigolant.
- Tu as de la répartie ! dit-elle. J’ai un voyage d’affaire dans les Alpes dans deux semaines. Pas vraiment de voisins à l’horizon, mais peut-être un inconnu.

Mon cœur s’emballait. C’était la première fois qu’une personne sous-entendait de passer à la vitesse supérieure sur cette application. Mes doigts s’activèrent machinalement :

- Est-ce une invitation ? demandais-je en sentant ma respiration s’accélérer.
- Juste un partage d’information, répondit-elle avec un clin d’œil.
Je regardais mon emploi du temps dans deux semaines, réfléchissais puis tapotais :
- Ça tombe bien, moi aussi j’ai prévu un voyage dans les Alpes à ce moment-là.
- La hasard fait bien les choses, répondit-elle en souriant. A toute fin utile, voici les informations.

Elle me donna les dates de son voyage et le nom de son hôtel. Dans quoi m’embarquais-je ? Les jours suivants, nous continuâmes de flirter, de partager nos expériences et envies : lieux publics, rôles, gadgets, lingerie, vidéos, pratiques, positions. Était-ce le fait de parler à une étrangère via un écran qui ne me faisait pas éprouver de remord ? J’avais prévenu Alessia que je serai en déplacement pendant deux jours. Elle ne m’avait pas posé de question. En attendant le jour fatidique, la vie continuait son cours et nos parties de jambes en l’air s’accumulaient. Était-ce l’idée de faire l’amour à une autre qui m’excitait tant ? Le jour avant mon départ, nous retrouvâmes Ludovic et Katia pour une partie de tennis. J’aimais voir ma femme avec son haut moulant, ses longues jambes et son string qui dépassait de son short. Quand nous changeâmes les équipes et que je me retrouvais avec la lithuanienne, la vue était tout aussi ravissante. Plus petite qu’Alessia, son polo collait parfaitement à sa poitrine ferme et plus imposante. La jupe qu’elle portait laissait deviner les prémisses de ses rondeurs. Au détour d’un smash, sa petite culotte blanche, légèrement remontée entre ses fesses, s’offrit à mon regard.

Sur le chemin du retour, je m’attaquais à l’italienne pendant qu’elle conduisait. Je l’embrassais dans le cou, palpais ses seins et malaxais son sexe au travers de son sous-vêtement. Elle s’arrêta sur le bas-côté et nous fîmes l’amour à l’avant, à l’extérieur puis à l’arrière de l’habitacle. Le reste de la soirée fut plus sage et reposant. Le lendemain matin, après un ultime baiser, je prenais la voiture en direction des Alpes. Mon cœur battait la chamade, mes muscles étaient fébriles. Après tout, peut-être que rien n’allait se passer. Mon téléphone vibra au bout d’une heure : « Bonjour bel inconnu. Si tu es en route, sache qu’à l’aire de repos avant la sortie de l’autoroute, il y a un trou entre deux cabines, dans les toilettes des femmes ». Je m’arrêtais sur le bas-côté et attendais qu’elle explicite sa pensée : « J’aimerais voir comment tu es bâti, avant de potentiellement aller plus loin. Si tu es d’accord, j’aimerais ensuite que tu me laisses partir et que tu attendes mon message de confirmation avant de me rejoindre ». Je rigolais tout seul : « Sacré processus, je suis partant ! ».

Quarante minutes plus tard, je m’arrêtais à ladite aire de repos où plusieurs véhicules étaient garés. Lequel était le sien ? J’éteignais le moteur, sortais de ma voiture. Mon rythme cardiaque s’accéléra et mes jambes manquèrent de se dérober sous mon poids. Je regardais les alentours, puis entrais dans les toilettes des femmes. Trois cabines s’offraient à moi et celle du milieu était utilisée. Je savais que Coraline était derrière la porte. Je brûlais d’envie de la voir. Nous n’avions jamais été aussi proches l’un de l’autre. A quoi pouvait-elle ressembler ? Je me dirigeais vers celle de droite. Aucun trou. Je changeais pour celle de gauche et remarquais un scotch collé contre la parois. Je fermais la porte, prenais une grande inspiration. J’hésitais, mais la curiosité l’emporta. Je sortais mon sexe, qui n'en menait pas large, enlevais le film qui recouvrait un trou circulaire. Lentement, je glissais mon intimité dans le trou, ainsi que mes bourses. J’étais collé à la parois blanche. Que se disait-elle de moi ? Les secondes passèrent puis des doigts soulevèrent délicatement mon membre à l’horizontal.

Une douce chaleur enroba mon gland décalotté, une chaleur qui s’étendit à ma hampe. Je comprenais rapidement que Coraline était passée à l’étape supérieure et mon érection prit de l’ampleur. Elle était douce, presque timide. Pourquoi ne ressentais-je aucun remord ? Était-ce parce que je ne la voyais pas vraiment ? Que j’avais du mal à le croire ? Je brûlais d’envie de découvrir son visage, d’échanger un regard avec elle. Je sentais sa langue effectuer des mouvements circulaires autour de mon gland avant de le coller à l’intérieur de sa joue. Une chose était sûr, c’est qu’elle savait y faire ! Et si ce n’était pas une « elle » mais un « il » ? L’idée de me faire sucer par un homme me traversa l’esprit. Je n’étais pas homosexuel, mais du moment que le plaisir était là pour nous deux, je n’avais pas d’a priori. La bouche accéléra la cadence et la main étala le surplus de bave jusqu’à mon pubis. Que c’était bon ! Soudain, chaleur se répandit à l’ensemble de mon mât. Je rêvais ou elle me faisait une gorge profonde ?

Non je ne rêvais pas ! Elle exécuta le mouvements à plusieurs reprises et je pu entendre les bruits gutturaux s’échapper de l’autre côté. Au moment où je me disais que je n’allais pas durer longtemps, j’entendis Coraline embrasser mon sexe une dernière fois puis se lever et sortir de la cabine. J’avais envie d’ouvrir la porte, de la voir. Je retirais mon sexe trempé du trou, remettais mon pantalon. Ma main se posa sur la poignée puis se retira : j’allais jouer le jeu. Je m’installais contre le mur et ouvrais l’application : « Je rejoins complètement ton homme sur le fait que tu es une très bonne fellatrice. J’espère ne pas t’avoir déçu ». Les minutes passèrent. Une demi-heure plus tard, mon portable vibra : « Viens vite, je t’attends chambre 402. Prends-moi sans préservatif mais n’éjacule pas dans mon sexe ». Ni une ni deux, je sortais des toilettes et croisais une vieille dame qui entrait : « Désolé, mauvaise porte ». Je montais dans ma voiture et filais vers l’hôtel. Je ressentais l’excitation d’un adolescent avant sa première fois. Une trentaine de minutes plus tard, j’arrivais sur le parking de l’hôtel quatre étoiles. J’entrais dans le hall, me dirigeais vers la réception :

- Bonjour, une femme m’attend à la chambre 402, a-t-elle laissé une clé ? demandais-je.
L’homme me toisa avec un petit sourire en coin puis saisit un badge et le posa sur le comptoir.
- Elle est jolie ? me hasardais-je en comprenant qu’il savait à quel type de client il avait affaire.
- Très jolie, confirma-t-il. L’ascenseur est juste à droite. Bon séjour.

Je le remerciais puis montais dans l’ascenseur, direction le quatrième étage. Arrivé devant la porte, un sentiment de panique m’immobilisa. Qu’es-tu en train de faire Daniel ? Que vas-tu découvrir à l’intérieur ? Fais demi-tour tant qu’il est encore temps ! Le badge passa et un bip confirma l’ouverture de la porte. J’entrais dans la chambre, plongée dans la quasi pénombre. Mes yeux s’habituèrent progressivement et je la vis, en tout cas, une partie d’elle. Coraline était penchée en avant sur le lit, les fesses tendues et le haut du corps recouvert par la couverture. Elle voulait encore maintenir l’anonymat ! Je me rapprochais discrètement, contemplais ses pieds, posés sur le sol, emprisonnés dans des talons aiguilles. Elle avait de belles jambes et un sublime postérieur. Elle portait une sorte de body, mais sans aucun tissu. Il était uniquement formé de fils qui s’entrecroisaient et reliaient des anneaux couleur or. Deux ficelles partaient d’une boucle, située entre ses reins, jusqu’entre ses jambes. Je me positionnais derrière elle, effleurais ses fesses en la faisant tressaillir puis écartais les deux fils pour révéler ses parties intimes. Mon regard scruta ensuite le reste de la chambre.

Elle avait positionné un téléphone sur un trépied pour nous filmer de trois-quarts. La vidéo avait déjà débuté. Je commençais à beaucoup apprécier ses initiatives ! Je me déshabillais en prenant mon temps et en contemplant les formes de mon amante. Une fois nu, je me rapprochais d’elle et calais mon sexe dur dans le sillon de ses fesses. Je massais son dos puis ramenais ses bras pliés sur le lit vers l’arrière. A l’aide de ma cravate, je liais ses poignets sans qu’elle ne réagisse. Son penchant pour la soumission allait être comblé ! Je reculais un peu puis m’accroupissais derrière elle pour observer son entrejambe : œillet serré et lèvres vaginales luisantes à souhait. J’écartais bien les deux ficelles puis plongeais ma langue dans la fente. Un gémissement pudique s’éleva sous la couverture. Le goût de son intimité était plaisant. Je découvrais son clitoris gonflé et le léchais sensuellement. J’ouvrais les portes de son sexe avec mes doigts puis en investiguais chaque recoin avant de revenir vers sa zone érogène. Je n’en revenais pas ! J’étais en train de tromper Alessia.

Mes mains remontèrent vers les siennes et s’agrippèrent mutuellement, presque amoureusement. Je la dégustais de longues minutes, prenais quelques pauses, écoutais ses complaintes étouffées, embrassais ses fesses puis m’aventurais vers son anus. Après un coup de langue test et aucune réprimande, je l’hydratais et le pénétrais doucement. Coraline semblait ne pas détester cette sensation, ce qui était un bon point. Je me relevais. J’avais envie de la masturber, mais le besoin de lui faire l’amour était plus fort. Un regard vers le téléphone me confirma que la vidéo tournait toujours. Je saisissais mon sexe, frottais mon gland à son clitoris avant de le présenter à l’entrée de son orifice. Nous étions au point de non-retour. Guidé par mes désirs, j’enfonçais lentement mon membre en elle. Ses mains liées se crispèrent et ses doigts se plantèrent dans ses magnifiques fesses. Son vagin se dilata et mon pubis se retrouva vite collé à elle. Sachant que mon amante n’était pas là pour faire l’amour, j’entamais les hostilités avec des coups de reins francs. Elle cria sous la couverture.

Coraline avait ce qu’elle voulait : se faire sauter sauvagement par un étranger. De mon côté, je vivais une nouvelle expérience. Certes guère mieux que celle avec Alessia, mais juste différente. Je prenais appui sur son corps et m’y donnais à cœur joie, telle une machine se nourrissant des gémissements de la jeune femme. Afin de tenir, je me retirais et posais les genoux complètement écartés de mon amante sur le lit. Je me baissais à nouveau, dégustais son intimité ruisselante et son anus avec entrain. Je me relevais et la pénétrais ardemment pendant cinq minutes. Je m’agrippais à ses cuisses repliées et tambourinais ses fesses comme un dément. Coraline ne cessait de s’égosiller sous le linge de lit. Son homme ne serait pas fier d’elle ! Il était temps de la faire jouir comme jamais. Mon pouce se posa sur son anus et força son sphincter. En moins de dix secondes, elle atteignit l’orgasme.
Je me retirais, me positionnais sur le côté pour laisser la caméra immortaliser la scène puis masturbais frénétiquement son clitoris.

Coraline éjacula copieusement sur la moquette en criant. Son corps convulsait de plaisir, ses mains se tortillaient sans parvenir à se libérer. Elle était exquise ! A peine l’orgasme terminé, je la retournais sur le matelas, sans dévoiler son visage mais en découvrant sa poitrine généreuse, dur et ronde, autour de laquelle passaient les ficelles de sa lingerie. Je contemplais son ventre plat et son pubis imberbe vers lequel je fondais. Une fois de plus, je lui procurais un cunnilingus torride et avalais sa cyprine chaude. Mon amante ondulait son bassin, les jambes pleinement écartées. Elle adorait mon œuvre et je n’en était pas peu fier ! Je me relevais, plantais mon sexe en elle et la besognais en supportant ses jambes avec mes bras. Sa poitrine montait et descendait avec sa respiration haletante, rebondissait à chacun de mes coups de reins.

Coraline râlait longuement sous le tissu. Cela devait faire longtemps qu’elle ne s’était pas faite prendre de la sorte ! Je rapprochais ses jambes de son torse en testant sa flexibilité, puis cajolais virilement ses seins. Ils étaient vraiment parfaits pour une branlette espagnole ! Voyant qu’elle voulait passer ses mains liées vers l’avant, je me retirais et elle les ramena vers le creux de ses genoux. J’enfonçais mon sexe en elle, me retirais, le plantais à nouveau, l’enlevais, tapotais son clitoris puis l’engouffrais dans son trou béant pour le limer encore un peu plus. J’étais brûlant, mon cœur battait la chamade et ma peau était trempée de sueur. La sentant à nouveau proche de l’orgasme, je me retirais et posais mon gland sur son œillet en le pressant doucement. En parallèle je malaxais son clitoris et faisais progressivement monter son plaisir. Les muscles de mon amante étaient parcourus de spasmes. Elle m’excitait terriblement ! Mon gland força son sphincter naturellement et poursuivit son chemin sur quelques centimètres avant de se faire compresser par le muscle.

Coraline atteignait un orgasme encore plus puissant que le précédent et sa cyprine atterrit sur mon pubis. Elle tremblait et jouissait sans aucune timidité. Elle allait signer ma fin ! Je me retirais de son anus désormais dépucelé puis finissais de passer ses mains liées à l’avant de son corps. Je m’installais à califourchon sur elle et collais mon sexe entre ses seins. Je me masturbais avec sa poitrine généreuse, les tapotais avec mon membre. J’étirais ensuite ses bras au-dessus de sa tête, plaquais ses mains sur le lit. La couverture remonta un peu plus pour découvrir une mèche blonde ainsi que des lèvres pulpeuses et ouvertes. Sans y aller par quatre chemins, j’introduisais mon gland dans sa bouche et Coraline entama des vas et viens envieux et amples. Elle en voulait ! Prenant appui sur mes genoux écartés et sur ses mains liées, j’entamais à mon tour des oscillations qui complétèrent les siennes. La jeune femme était insatiable et elle me prit une nouvelle fois dans sa gorge.

Elle ne sourcillait pas, en redemandait toujours plus. Sans m’en rendre compte, mes coups de reins devinrent plus autoritaires. Mes bourses frappaient son menton, de la bave coulait de ses joues et son cou grossissait rapidement. Je relevais la tête vers le plafond, m’abandonnais totalement jusqu’à atteindre l’orgasme. Mon pubis collé à son nez, j’éjaculais au plus profond de ses entrailles et la sentais déglutir avec difficulté. Quel gougeât je faisais ! Je me retirais, emportais avec moi de longs filets de baves qui coulèrent sur son visage. La jeune femme respirait bruyamment, tentait de retrouver ses esprits. Je descendais à son niveau, contemplais le bas de son visage souillé. Sans mot dire, je l’embrassais une première fois. Ses mains liées vinrent se poser derrière ma tête et nos lèvres se retrouvèrent avant que nos langues ne se découvrent et n’entament une valse tendre. C’était bizarre d’embrasser une autre femme que la sienne, d’en avoir même un frisson. Elle ramena ses mains vers le bord de la couverture et l’enleva doucement. Son visage se dévoila :

- Katia ? m’exclamais-je le souffle coupé.
- Daniel ? rétorqua-t-elle les yeux grand ouverts.
- Mais… mais… Qu’est-ce que… balbutiais-je sans trouver les mots, en reculant.
- Je… ce n’est pas possible, lâcha-t-elle en se redressant, apeurée. Libère-moi !

Je m’exécutais et déliais ses poignets en tremblant. Mon érection retomba. Elle essuya ses lèvres, partit éteindre la vidéo et prendre son portable. Nous nous fîmes face, plus gênés que jamais.

- Ludovic ne doit jamais l’apprendre, lâcha-t-elle en cachant ses parties intimes pudiquement.
- Je suis d’accord… Katia, confirmais-je en faisant de même avec mon sexe.
- J’ai besoin d’être seule, dit-elle en partant dans la salle de bain et fermant la porte.

J’expirais puis inspirais profondément. J’enfilais mon boxer et m’affalais sur un siège en cogitant. Comment cela pouvait être possible ? Katia était Coraline. Je ne comprenais pas. Elle était pourtant si douce, si pudique. Bien sûr elle avait fait le premier pas vers Ludovic, mais quand même. Je repassais nos messages sur l’application. Elle n’était décidément pas celle que je croyais. Et l’ami de son homme qui l’excitait et qui était en couple, était-ce moi ? Quelle galère ! Le bruit de la douche raisonna depuis la salle de bain pendant une bonne dizaine de minutes. Puis plus rien. La porte s’ouvrit, et Katia sortit, enroulée dans une serviette, les cheveux mouillés. Elle s’assit sur le lit.

- Je suis perdue, souffla-t-elle au bout d’un moment. Je ne sais pas quoi faire.
- On peut partir, laisser tout ça derrière nous, suggérais-je avec un regard compatissant.
- Je ne pourrais pas faire comme si de rien n’était, Daniel. Je ne sais pas quoi penser de tout ça… j’ai pris beaucoup de plaisir à t’écrire et… j’ai jouis comme jamais auparavant, ajouta-t-elle. Je m’en veux, je ne me reconnais pas, je…
- Katia, tu n’as pas à t’en vouloir, la réconfortais-je en m’asseyant à côté d’elle sur le lit.
- Mais j’ai trompé Ludovic et pas avec n’importe qui, poursuivit-elle. J’ai besoin de réfléchir.
- Bien, je vais prendre une douche. Je suis là pour toi Katia, tu n’es pas seule.

Elle opina du chef et j’allais dans la salle de bain. Dans quoi m’étais-je fourré ? Je me regardais dans le miroir, moi non plus je ne me reconnaissais pas. Je me déshabillais, prenais une douche fraiche pour reprendre mes esprits, me séchais et enfilais mon boxer. Je rejoignais la chambre. Katia se tenait debout. Elle avait troqué sa lingerie par une robe moulante, assez courte et plutôt très décolletée : « Désolée, je n’avais rien prévu d’autre pour m’habiller… ». Sans réfléchir, je répondais : « Tu es sublime ». Elle rougit : « Je me disais que peut-être on pourrait diner… Je meurs de faim ». J’acquiesçais, un peu perplexe puis enfilais chemise, costume et chaussures : « Est-ce que tu veux ta cravate ? ». J’échangeais un long regard avec Katia, puis soudainement nous pouffâmes. Était-ce par complicité ou nervosité ? Nous nous jaugeâmes du regard. Pourquoi avais-je envie de l’embrasser ?

- On… devrait y aller, dit-elle avec un sourire timide.

J’acquiesçais et elle ouvrit la marche. Mes yeux détaillèrent sa jolie chute de reins. Nous sortîmes de la chambre et entrâmes dans l’ascenseur. Les étages défilèrent et nous ne nous quittâmes pas du regard. Elle était très sensuelle, voir un peu malicieuse. La porte s’ouvrit : « Après toi, Coraline ». Elle rigola : « Merci Etienne ». Nous marchâmes vers le restaurant de l’hôtel. L’homme de la réception s’occupait maintenant du service. Une lueur espiègle traversa ses pupilles. Il nous installa à une table donnant sur le somptueux paysage. Face à moi, Katia était silencieuse, fébrile : « Alors comme ça tu n’avais jamais jouis comme ça auparavant ? ». Ses joues s’empourprèrent et ses doigts tripotèrent les couverts : « Etais-je la seule ? ». J’hésitais, désarçonné : « Tu ne l’étais pas ». Le serveur nous apporta les menus, que nous consultâmes en silence. L’homme revint, prit notre commande et repartit.

- Pour tout te dire, commençais-je, j’ai même… adoré. Tes messages, ton examen à l’aire de repos, ta lingerie, ton corps nu, ton expérience… que je ne soupçonnais pas.
- Est-ce que tu en garderas un souvenir ? me demanda-t-elle, flattée par mes compliments.
- Ne faudrait-il pas ? rétorquais-je doucement. Je peux essayer d’oublier si tu le souhaites…
- Non… trancha-t-elle. Je veux dire… j’ai hésité à supprimer les vidéos …
- « Les » vidéos ? la coupais-je. Je pensais qu’il n’y en avait qu’une.

Elle mordilla sa lèvre, regarda aux alentours puis ouvrit son portable, pianota et me le donna. Mes yeux scrutèrent l’écran sur lequel je voyais mon sexe, passé au travers de la paroi dans l’aire de repos, puis son visage s’approcher et sa bouche faire son œuvre. Je la trouvais terriblement excitante et photogénique. Mon érection revint de plus belle en voyant la passion qu’elle mettait dans la fellation. Quand la vidéo se termina, je redonnais le portable à la jeune femme pas peu fière.

- Tu es vraiment douée et…, commençais-je en sentant une vague de chaleur me submerger.
- J’ai adoré moi aussi. J’ai adoré ton sexe et j’ai adoré le sucer. J’ai adoré l’anonymat, être attachée et utilisée. J’ai adoré tes caresses, ta langue. J’ai adoré te sentir en moi, la vigueur avec laquelle tu m’as prise et… j’ai adoré la fin, conclut-elle.

Un pied nu se colla à mon mollet puis remonta lentement ma jambe. Katia souriait fiévreusement. J’écartais les cuisses et la laissais accéder à mon sexe dur qu’elle pressa doucement sous la table. Le serveur arriva avec les plats et les verres de vin. La lithuanienne ne se retira pas. Nous trinquâmes : « A nous ». Son pied se contracta sous l’effet de ses mots : « A nous ». Nous bûmes et commençâmes à diner : « Est-ce que c’était moi, l’ami de ton homme qui t’excite ? ». Elle hésita, puis opine du chef : « Et du coup tu trouves qu’Alessia est aussi une bombe ? ». Elle rigola : « Mais j’ai dit que je n’étais pas lesbienne ! A ton anniversaire, quand tu lui as dit que je t’avais fait bandé en me trémoussant contre toi… je savais que tu ne mentais pas, j’avais senti ton sexe contre mes fesses et ça a réveillé en moi une certaine excitation qui n’est jamais vraiment partie ». Je buvais une gorgée de vin : « Je me souviens de ta robe, de ton joli décolleté et de ton déhancher… comment ne pas bander ? ».

Katia sourit : « Je ne savais pas que ça te ferait cet effet-là ». Je riais à son mensonge puis contemplais sa poitrine. Je jetais un coup d’œil autour de nous, repoussais un peu son pied et me levais au-dessus de la table : « Je peux ? ». Ne sachant pas à quoi s’attendre, elle hésita puis opina du chef. Ma main s’avança vers elle, plongea délicatement dans son décolleté et caressa son sein rond, ferme et nu. Je sentais son cœur battre, sa respiration s’arrêter. Je la plotais un instant puis ramenais le tissu de sa robe de chaque côté de ses seins pour dévoiler ses tétons durs. Je me rasseyais et ramenais son pied sur mon sexe. Katia me questionna du regard : « J’aime avoir une jolie vue quand je dîne ». Nous ne parlâmes plus, nous contentâmes de nous lorgner envieusement. Quand le serveur vint reprendre les plats, Katia ne broncha pas. Je décidais de jouer un peu :

- Que pensez-vous de mon amante ? demandais-je à l’homme qui la regarda succinctement.
- Elle est ravissante. Monsieur a de la chance, répondit-il en souriant. Désirez-vous un dessert ?
- Non merci, répliqua la blonde. Je ne peux plus rien mettre dans ma bouche ce soir… à part le sexe de Monsieur.
- Excellent choix, commenta le serveur. Si vous souhaitez prendre l’air, sachez que nous avons un très joli jardin avec… très peu de monde.

Katia le remercia d’un signe de la tête. J’étais épaté par son comportement, excité par ses envies. Elle retira son pied de mon entrejambe et se rechaussa : « Ça te dit une petite balade ? ». Sans attendre, je me levais et lui tendais ma main. Elle la saisit en souriant et nous traversâmes le restaurant au pas de course pour sortir par une baie vitrée. Nous marchâmes quelques mètres dans le jardin avant que je ne la plaque contre le premier arbre venu. Nos lèvres et nos langues se retrouvèrent dans un baiser fougueux et érotique : « J’ai envie de toi ! ». Je remontais sa cuisse contre ma hanche et la caressais avant d’entamer ma descente. Je dénudais complètement ses seins et suçotais ses tétons durs avant de m’accroupir et relever le bas de sa robe jusqu’à ses reins : « Très bon choix de sous-vêtement ».

Elle ne portait tout bonnement rien depuis le début. Je m’attaquais à son intimité et léchais docilement son clitoris : « J’adore ton sexe ! J’ai toujours eu envie de te lécher ! ». Katia gémissait, sa main passa derrière ma tête pour m’encourager : « J’ai toujours eu envie que tu le fasses ». Je caressais l’intérieur de sa cuisse puis enfonçais mon majeur dans son intimité chaude pour compléter mon cunnilingus. Quelques pénétrations plus tard, la blonde souffla : « Tu ne veux pas… doigter… ». Elle ne termina pas sa phrase, peut-être par honte, mais je compris le message. Je retirais mes phalanges lubrifiées de son vagin puis les enfonçais précautionneusement dans son anus : « Oui ! ». Ma main libre vint palper son sein découvert et la cyprine de mon amante coula abondamment dans ma bouche : « Tu vas me faire jouir, remonte ». A contre cœur, je stoppais mon œuvre et me relevais : « Il y a un salon de jardin là-bas, on y va ? ». Je jetais un coup d’œil aux fauteuils d’extérieur puis portais mon amante et l’y emmenais : « Assieds-toi ». Je prenais place sur le canapé.

Penchée sur moi, Katia m’embrassa et mes mains remontèrent vers ses fesses nues : « Je veux mon dessert ». Je suçotais sa lèvre : « Est-ce que je peux l’immortaliser ». Elle opina et je sortais mon portable. Elle s’agenouilla sur le gazon et je lançais la vidéo. Ses doigts ouvrirent mon pantalon et en extirpèrent mon sexe gonflé. Le regard pointé vers l’objectif, elle commença à gober mes bourses, lécher ma hampe et embrasser mon gland : « Très gros dessert ». Elle sourit puis initia une fellation cadencée : « Tu suces vraiment bien tu sais ? ». Elle gémit de plaisir en me prenant profondément et me faisant grogner. Je rassemblais ses cheveux à l’arrière de sa tête et suivais ses mouvements. Elle se redressa pour respirer et taquiner mon gland avec sa langue : « J’adore ta queue ». Et moi, j’adorais son indécence exposée au grand jour, face caméra. Elle poursuivit jusqu’à me prendre en gorge.

La copine de mon meilleur ami me dévorait comme personne. Elle poursuivit quelques instants sans faillir : « Tu sais à quoi j’ai pensé la première fois ou je t’ai vu dans ta robe ? ». Elle hocha de la tête mais semblait impatiente de connaitre la réponse : « J’ai pensé à mon sexe entre ses jolis seins ». Elle se redressa en souriant : « C’est pas bien de penser à ça… ». Elle laissa couler un filer de bave sur sa poitrine puis blottit mon sexe entre ses rondeurs et commença à monter et descendre : « Comme ça ? ». J’acquiesçais en filmant la scène de plusieurs angles. Elle était terriblement excitante et mon sexe ne cessait de se contracter : « Viens ! ». Elle remonta sur moi en une poignée de secondes et s’empala sur mon sexe : « Madame est pressée ? ». Ses dents emprisonnèrent ma lèvres et elle gémit en me chevauchant: « Oui ! Baise-moi encore ! ». J’adorais son obscénité.

Elle se redressa, me laissa admirer sa poitrine. Elle guida mon doigt vers son anus et j’introduisais deux phalanges qui la firent décoller. Son bassin s’agita frénétiquement contre le mien et elle atteignit les cieux : « Oui ! Oui ! ». Sa cyprine coula sur mes bourses. Je nous relevais et continuais les pénétrations debout, en utilisant mes muscles pour la faire aller et venir contre moi : « Tu me défonces Daniel ». Cela ressemblait fortement à un compliment. En tout cas je le prenais comme tel et continuais mon œuvre avant de poser mon amante sur l’accoudoir du canapé. Je me retirais, me baissais et léchais son entrejambe trempé avec passion. Je me redressais ensuite et la pénétrais. Elle grimaçait, se plotait, écartait les lèvres de son intimité : « Tu m’excites Katia ! ». Je redoublais d’intensité.

L’orgasme approchait à grands pas : « Où veux-tu que je jouisse ? ». Elle haleta : « Imagine qu’on est sur un balcon, devant Alessia et ton voisin… ». Elle n’eut pas besoin de finir sa phrase. Comme je l’avais fait avec l’italienne, et comme je le lui avais raconté, je me retirais, me masturbais face à son visage et finissais dessus en râlant. Katia se laissa faire puis me suça lascivement : « Tu me rend folle Daniel ». Je caressais sa joue : « Toi aussi Katia ! Est-ce que tu veux un mouchoir ? ». Elle rigola : « Est-ce que tu veux que j’essuie tes méfaits ? ». Sans me laisser répondre, elle se releva, ajusta sa robe pendant que je refermais mon pantalon et m’attira derrière elle vers l’hôtel. Nous passâmes devant le serveur et elle s’arrêta pour qu’il contemple son visage souillé : « Somptueuse, Madame ». Il me fit un clin d’œil puis nous partîmes vers la chambre, vers une nuit torride.

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