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Ma femme, accro de danse...et de sexe. 4

Valentine n'est pas tombée de la dernière pluie. L'inconnu lui plait et elle l'ivite dans leur chambre. Elle a vite fait de reconnaître en Ludovic l'homme de la vidéo que lui a montré Martial, celui qu'ele a surnommé, l'homme à la bite de cheval...et ce n'est pas pour lui déplaire.

Proposée le 12/05/2022 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Accro de danse…et de sexe… 4

Ma femme, accro de danse...et de sexe. 4 -Je l’ai invité à notre table. Il s’appelle Ludovic, comme danseur, il ne vaut pas tripette mais quand j’étais collée à lui, je lui ai fait tellement de l’effet qu’il s’est mis à bander comme un bouc. Je me suis demandé s’il avait mis un bout de bois dans son slip, j’ai jamais vu un pantalon déformé comme ça, surtout que le sien est assez collant. Il m’a tellement chauffée que si tu acceptes, je voudrais qu’on l’invite dans notre chambre, me supplie-t-elle. Je le veux !

Suite.
J’espère qu’elle a trouvé le bon numéro, ce serait con de se tromper. Je le vois arriver et s’asseoir à notre table après m’avoir salué. Valentine le dévore du regard et lui caresse sans vergogne le dos en me regardant et nous présente :
-Martial, je te présente Ludovic, Il m’a raconté qu’il s’est fait poser un lapin par une fille et qu’il était près à partir juste avant notre rencontre. Ludovic, je te présente Martial, mon mari. Comme toi, la danse n’est pas son point fort, il préfère les parties fines…

Elle y va fort, comment va-t-il réagir à une attaque aussi directe ? Du vrai rentre-dedans. Mais ça ne le déstabilise pas.
-Vous étiez à la chasse sur la piste de danse pour trouver le plus gros poisson ? J’espère que je fais la maille pour vous et que vous n’allez pas me remettre à l’eau. Mais elle réattaque aussitôt, encore plus fort, plus direct.
-Je ne fais pas du « No kill ». Quand je ferre un « gros poisson », je veux le cuisiner et le « mettre en bouche ».
L’allusion est on ne peut être plus claire. Ludovic vient de me faire un clin d’œil très appuyé, et lui répond :
-Je ne suis pas végétarien moi non plus, j’aime l’odeur de la marée, la cochonnaille, et même le « cheval ».
Avec cette allusion, il vient de me confirmer que Valentine a bien tiré le gros lot. A moi de prendre la parole.
-Enchanté Ludovic, j’espère que tu as remarqué, tu as dansé avec la plus mignonne cavalière de la soirée.
Nous buvons encore quelques verres et Valentine attaque tout de GO :
-Ludovic, tu as compris que tu me plais et si tu le veux bien, on prendra le dernier verre dans notre chambre.
-Je veux bien prendre ce verre, et autre chose…

Encore heureux que c’est moi qui ai organisé cette rencontre, sinon il risquait de se prendre mon poing dans la gueule.
On se retrouve donc dans notre chambre. Au bout d’un moment Valentine s’éclipse et revient en peignoir de bain et escarpins vernis noirs de 12cm comme à son habitude. Elle va vers Ludovic, se pend à son cou et l’embrasse à pleine bouche, ses yeux bleus grands ouverts, comme si chacun attend que l’autre les ferme en premier, si proches que leurs regards ne semblent faire qu’un. Elle mord et lèche le lobe et l’intérieur de son oreille pendant qu’il écarte les pans de sa robe de chambre, caressant ses seins et découvrant une lingerie noire, bas nylon Cervin car elle reçoit toujours ses amants habillée comme cela, bas noirs, lingerie transparente, jarretelle et escarpins vernis, ses ongles long et d’un rouge vif, avec son collier de perles et ses bracelets. Valentine pose la main sur la forme dure à travers l’obstacle du pantalon, promène ses doigts vers le bas, puis vers le haut.
Puis elle recule vers le lit, s’y allonge, les pieds trainant sur le plancher, les genoux pliés. Elle ouvre complètement sa robe de chambre. Ludovic s’avance vers le lit en retirant sa veste, déboutonnant aussi sa chemise. Au moment où il va pour se pencher sur elle, elle lève la jambe droite et bloque son approche d’un pied posé sur son plexus. Il en profite pour caresser son mollet, puis sa cheville, effleurant pareillement les orteils aux ongles vernis de ma femme. Sans le quitter des yeux, elle fait glisser son pied nu le long de son torse, entre les pans de la chemise ouverte, descend plus bas, franchissant l’obstacle de la boucle de ceinture et repose son pied sur le sexe gonflé, à travers l’étoffe du pantalon.
Valentine repose son pied à terre et il continue son approche interrompue. Elle s’est redressée et l’embrasse tout en défaisant sa ceinture, descendant la fermeture éclair.
Il ne reste pas inactif et prend un mamelon dans sa bouche après lui avoir retiré son soutien-gorge, glisse une main entre ses cuisses et découvre la chaleur du volcan qui couve. Elle est mouillée presque instantanément.
Elle lui caresse le sexe à travers le slip.
-J’ai envie de toi, ta queue est belle, c’est un beau cadeau, mais si elle était un peu plus dure…
- Ça t’empêche-pas de mouiller, lui rétorque-t-il en fouillant sa chatte. Tu as l’air d’en avoir envie en tout cas, rajoute-t-il.
-Dis lui que tu en as envie, je l’exhorte, tu sais quel effet ça produit sur un homme.
-Mmmhhhh, oui, j’ai envie de ta bite.
Valentine retire le dernier rempart et est enfin confrontée au sexe de Ludovic. Elle le prend en bouche pour une fellation mais se rend vite compte que la « bite pas assez dure » à son goût change de consistance. Je vois enfin ce sexe qui me fait fantasmer depuis quelques mois et au bout d’un moment j’entends la réaction de Valentine.
-Putain le chibre! C’est pas un homme, c’est un chev… Un Cheval ? Ah ça y est…je comprends. C’est un vrai coup monté, hein Martial… Je comprends maintenant l’allusion de Ludovic au cheval. Et pourquoi tu m’as fait regarder ces vidéos. Y a pas à dire, c’est assez rare de tomber sur un tel morceau. Tu me fais un sacré cadeau Martial, et je vais en profiter le plus possible…

Je dois avouer qu’avec mon sexe d’environ quinze centimètres, je suis un peu ridicule à côté de lui. Sa bite est tellement grosse et lourde qu’il la soulève à deux mains. Ludovic doit avoir une queue de plus de vingt centimètres, mais elle est si massive… Il n’y a que dans les films pornos qu’on voie un truc pareil. Il n’arrive même pas à en faire le tour avec sa grosse paluche. Et ça ne fait pas peur à Valentine qui s’imagine déjà se la prendre dans la chatte.
Je sens mes couilles gonfler et ma queue durcir en regardant le spectacle, je relâche la pression sur ma bite emprisonnée dans mon boxer en lui faisant prendre l’air.
Cela l’excite encore plus et elle a envie de se faire pénétrer tout de suite, mais Ludovic humecte ses doigts avec sa langue et lui doigte la chatte après lui avoir retiré son string noir. Elle gémit, se tortille dans le lit comme si elle voulait à la fois s’offrir davantage et se refuser devant cette poutre hors normes. Il la caresse un moment encore, puis la touche plus loin. Elle se tortille en émettant de longs feulements allant du rauque à l’aigu. Son sexe ruisselle sur les doigts de Ludo. Ils naviguent à travers le lit, perdant toute notion d’espace. Valentine tente à la fois d’échapper à ses caresses et les recherchant, se frottant sur la main entre ses cuisses, poussant ses doigts à l’intérieur puis s’écartant, essayant de l’attirer à elle pour qu’il la pénètre.
Ils changent de position et elle s’allonge sur lui, les seins contre son torse. Je m’approche d’elle pendant qu’elle déroule un préservatif adroitement sur cet épieu. Je l’encourage :
-Chérie, je veux le voir te la mettre, fais-toi plaisir !
-J’ai pas l’air de me faire plaisir, d’après toi… ? Grommelle-t-elle, en finissant de dérouler le condom.
-Embrasse-le, montre-lui comme tu as envie, j’insiste.

Ludovic sent la chaleur et l’humidité du pubis qui frotte tout contre le sien. Elle est étonnamment souple et légère. Il caresse ses seins quand elle se redresse pour le chevaucher, ses genoux bien campés dans les draps. Valentine descend une main sur la verge et la soupèse avec envie, et l’autre prend celle de Ludo pour la poser sur son torse.
-Caresse-les, embrasse mes seins, oui j’aime ça, j’aime ta bite, avoue-t-elle pendant qu’il lui triture le clitoris et qu’elle agite son ventre. Je l’encourage :
Je veux voir comment tu vas faire pour ta première fois avec une telle poutre.
Elle lui tend la langue et gémit dans un étouffement lorsqu’il plaque sa bouche sur la sienne et lui dévore les lèvres, passe la main entre ses cuisses puis sur son pubis. Valentine ondule du bassin, reprend sa main droite pour la passer sous sa verge recouverte d’un préservatif, et commence à trembler lorsqu’elle l’appuie sur son clitoris puis la dirige un peu plus bas pour qu’il fouille ses chairs.
Je n’en reviens pas avec quelle facilité ce bâton massif pénètre la moule de Valentine. Elle ne grimace même-pas, son visage est rayonnant et totalement détendu. Je constate avec quand même un petit pincement au cœur de jalousie qu’elle prend énormément de plaisir. Je me sers un doigt de whisky et m‘installe confortablement pour jouir du spectacle, un verre dans une main, ma bite dans l’autre.
Elle vient de jouir mais se remet déjà à gémir, je n’en reviens pas de l’effet qu’il lui fait, je ne l’ai jamais vu aussi chaude. Je me caresse le gland avec la paume de la main pendant que je continue à admirer cette très grosse bite aller et venir dans la grotte de ma compagne. Cerise sur le gâteau, il lui a mis deux doigts dans son cul. Elle lui ordonne:
-Continue de les faire tournoyer en moi, putain que c’est bon !!!

C’est maintenant une vraie furie qui fait du rodéo sur un « horse sauvage ». Elle presse plus étroitement son bassin contre le sien et dicte un rythme frénétique, je ne l’ai jamais vu comme ça. Ses ongles labourent les épaules et les flancs de Ludo. Elle lèche puis mordille son oreille faisant durcir encore plus son engin qui n’en a pas spécialement besoin. Elle lui mord vraiment l’oreille avec le regard noir du cow-boy qui veut dominer sa monture sauvage mais il se rebiffe.
Il la soulève pour l’allonger sur le lit et enfin prendre la main, si je puis dire... Il la plaque contre le matelas et s’enfonce en elle aussi profondément qu’il le peut. Lui aussi imprime un rythme furieux à son va-et-vient, accélérant même. Valentine plaque les mains sur ses fesses, cherchant son plaisir dans ce rythme presque trop rapide, exacerbant ses sensations, mais elle ne semble plus en mesure de se retenir jusqu’à l’orgasme qui la soulève et la cambre sur le lit, lui arrachant une longue plainte, dans les aigus, yeux clos, bouche crispée. Elle le repousse avec violence, les jambes ouvertes.
Valentine est une femme fontaine lorsqu'on la doigte comme il se doit, et encore plus quand elle est allongée sur le dos, légèrement sur le côté, les jambes bien écartée. Elle se doigte à une vitesse folle et un flot de cyprine s’écoule de sa chatte. Je ne l’ai jamais vu couler autant, c’est à peine croyable…
Ludovic en reçoit sa part mais ça ne le perturbe pas et il replonge dans ce cloaque complètement inondé. Les muqueuses de Valentine sont si sensibles qu’elle jute encore et encore, faisant briller le piston infatigable. Elle halète en suivant la cadence, la bouche grande ouverte, s’accroche à son dos d’un bras et le repousse d’un genou d’autre part, elle peut ainsi œuvrer dans les deux sens pour suivre les mouvements de va et vient.
-Oh oui putain ! Vas y, que c’est bon, je veux ta grosse queue, putain, baise-moi, baise-moi !

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Putain que j'aimerais que mon mari soit monté comme ce cheval comtois.
Posté le 12/05/2022


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