Histoire Erotique

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Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 13, 14, 15 et 16 (FIN)

Mai 1997. Etat de Louisiane, USA. Mélodie est une jeune fille rousse de 18 ans qui vit à la campagne, dans une ferme de Louisiane près de Slidell. Sa vie va etre renverse quand elle part aider l ami de son pere dans son magasin.

Proposée le 2/05/2022 par amdsoo

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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


13. Sylvia
Pendant tout ce temps, Sylvia enfermée dans le sous-sol avait perdu le sens du temps. Habituée depuis des semaines à recevoir les créditeurs de la ferme, elle payait avec humiliation les dettes. Xavier l’utilisait fréquemment, et tous les jours se succédaient un grand nombre d’hommes qui ne résistaient pas à l’offre si juteuse. Certains exigeaient des punitions plus importantes et le corps de Sylvia attestait de cette violence gratuite.
Elle ne comptait plus les séances de bondage, ou elle recevait sur ses jolis seins de coups de cannes, de fouets, et a certaines occasions, juste des gifles puissantes qui la griffaient. Ses seins rougissaient, et lui faisaient mal, mais elle avait appris à encaisser le pire. Xavier finissait souvent les séances par une sodomie profonde et elle se prêtait à son jeu. Sa soumission la surprenait, mais Xavier avait réussi là où elle avait échoué. La ferme ne serait pas vendue, et ils avaient maintenant du cash pour moderniser.

Sa soumission progressive puis totale, lui avait permis d’améliorer au bout d’un mois son confort, elle dormait au pied du lit de Xavier, sur un matelas qu’il lui avait installé. En journée, elle devait constamment être nue sous sa robe courte, pas de culotte, et pas de soutien-gorge. A tout moment, elle pouvait recevoir une fessée sur ses belles fesses rondes, et Xavier ne s’en privait pas. Un doigt dans sa chatte, pour vérifier son humidité.
Xavier lui faisait aussi porter un gode anal pendant la journée, pour bien dilater son anus, et cela accélérait les séances de sodomie que beaucoup de visiteurs souhaitaient.
Sylvia ne souffrait plus du tout de ces enculages, elle les appréciait même quelques fois quand l’homme savait s’y prendre, et la ramonait gentiment par derrière, en la tenant fermement par ses seins.

Avant de s’endormir, Xavier exigeait une pipe, lentement, pour faire monter son plaisir, ensuite il la prenait soit dans le cul, soit dans la chatte, évitant les parties trop utilisées pendant la journée. Elle lui donnait le plaisir maximum, changeant complètement son comportement sexuel par rapport à sa vie « d avant ». Elle pratiquait son énéma régulièrement pour éviter les déboires rencontrés lors des premières journées de soumission. Son colon était tout propre, et régulièrement bien lubrifie, elle utilisait une huile naturelle qui sentait très bon. Cette pratique avait largement diminué l’horrible sensation d’humiliation quand elle avait dû nettoyer des queues sales après des sodomies mal préparées.

Il était 14h00 le vendredi, quand Xavier lui demanda de se préparer, il lui demanda de s’habiller comme une « dame du sud », grande robe blanche, chapeau de paille, talons hauts, et sous-vêtements, Pour une fois elle ne serait pas nue sous sa robe.

Ils partirent de la ferme en voiture, Xavier lui dit que la situation avec les ouvriers était critique car il avait refusé de leur payer le dernier mois de salaire. Xavier cherchait toujours un moyen d’économiser et il était fin négociateur. Le mécontentement était si fort que Xavier avait pensé logiquement à Sylvia pour atténuer la pression des ouvriers. Quoi de mieux qu’une dame si élégante, rousse et ravissante à baiser quand on est un ouvrier noir ? Peut-être un fille plus jeune, sexy et rousse ? mais c’est une autre histoire…
« Mais Xavier ces hommes sont tous noirs «
« Oui je sais mais tu as déjà touche une bite noire et tu semblais apprécier, n’est-ce pas ? »
Sylvia ne se rappelait pas de la visite du semencier, elle était vaguement droguée ce jour-là. Elle sentit un tressaillement dans tout son corps la traverser, la perspective d être au contact de ces ouvriers la terrifiait. Depuis son enfance, son père lui avait toujours interdit d approcher les baraques, car la jeune demoiselle ressemblait beaucoup à Mélodie maintenant, et les hommes auraient eu du mal à se contenir.

Quand ils arrivèrent devant les baraques, une dizaine d’ouvriers chômaient au lieu de travailler dans les champs.
Sylvia avait du mal à marcher sur les graviers, et maladroitement faillit tomber, Xavier la soutenait sur son côté gauche. Cette gaucherie fit sourire certains des ouvriers, et la rendit encore plus sexy. Ils étaient très muscles, relativement jeunes, et regardaient avec appétit cette femme si sophistiquée. Xavier les salua d’un geste et poussa Sylvia gentiment à l’intérieur de la première baraque, la plus grande.
La ferme comptait près de 250 ouvriers à son maximum mais certains d’entre eux faute de revenus avaient déserté, il y avait aussi trois femmes qui faisaient la cuisine, le ménage et qui servaient souvent le soir de défouloir pour ces hommes seuls. Quand l’une suçait des bites pour 1$, l’autre se laissait enculer pour 5$. Le transfert d’argent était minime et tous vivaient dans une grande misère sociale et humaine. Le moindre $ de plus ou de moins était vital, et les hommes essayaient toujours de négocier le service de ces femmes, mal habillées, sales pour la plupart mais qui avaient gardé leur dignité. Elles pouvaient partir quand bon leur semblait, mais elles ne le faisaient pas, par peur de perdre le peu qu’elles avaient acquis si durement.

Quand Sylvia regarda autour d’elle, elle vit deux de ces femmes qui suçaient deux hommes, et d’autres hommes étaient nus, leurs sexes noirs et longs pendant entre leurs cuisses. La cabane sentait la pisse, la sueur, et le sperme.
« Comme prévenu, je vous ai amené ma femme Sylvia, en paiement de la dette du mois d’avant » dit Xavier.
Les hommes regardaient la beauté rousse, des cheveux bien laves, une peau de rêve qui sentait bon et qui contrastait tant avec les deux vilaines femmes qui suçaient avidement les queues dressées devant elles. Sylvia compta 20 hommes dans la cabane, mais elle savait que plus de 120 hommes seraient intéressé par prendre possession de son corps et l utiliseraient comme ils le voulaient.
« Donc je passerais la prendre à la fin du week-end, Dimanche soir » concluait il
« Mais Xavier ces hommes sont trop nombreux ! » réclama Sylvia, soudainement réalisant l’ampleur de la tache devant elle. Elle recula d’un pas, et butant dans un homme grand et muscle, qui l entoura d’un bras.
« On va prendre soin de toi ma belle, ce sera pour toi comme un voyage, comme pour nous » lançât-il.

Les hommes rirent et Xavier prit conges, laissant Sylvia au milieu d’eux. Sa robe si légère autour d’elle, et sur ses talons hauts, elle semblait les dominer.

Les hommes se mirent à déshabiller lentement Sylvia, appréciant chaque centimètre de peau qui se dévoilait sous leurs yeux. Des mains souillées et brutes du travail des champs la parcouraient, ses seins, ses hanches, et un autre s’était accroupi pour lui toucher ses jambes longues et fines. Leur niveau d’excitation grandissait à chaque seconde et quand sa robe tomba à ses pieds, elle fit un pas pour dégager ses pieds, écartant ses jambes légèrement, et dévoilant un slip délicieux et immaculé. Le slip glissa le long de ses cuisses, tire par l’homme derrière elle, dont elle saisit le membre immense et qui se redressait rapidement. Nue, sur ses talons hauts, elle représentait tous ce qu’ils voulaient avoir : cette pureté, la couleur si pale de sa peau paraissait paradoxale au milieu de leurs corps noirs et luisant. Elle s’accroupit comme pour se mettre à sucer mais l’homme devant elle lui dit
« On t enfiler d’abord, laisses les deux autres s’occuper de ça ». L’homme derrière elle, lui écarta les cuisses et elle sentit son énorme gland fouiner sa chatte, comme pour trouver le meilleur angle d’attaque. Elle commençait à mouiller. Elle avait une queue dans chaque main, et par derrière l’homme la pénétra brutalement, sa bite était énorme. Sylvia crut s’évanouir, la chaleur dans la baraque n aidant pas. D’un côté de la pièce, les deux femmes s’activaient en cercle, passant d’un homme a un autre, et préparant les bites à envahir le vagin de Sylvia.
Le premier noir gicla sa semence sans prévenir au bout de 5mn, ils étaient habitués à aller vite en besogne. Elle resta les jambes écartées, debout, et un deuxième vint se placer au même endroit, trouvant vite le chemin de son vagin dilaté et souillé. Au bout de quelques minutes il éjacula à son tour, le sperme en abondance, dégoulinant entre ses cuisses.
« Mettez la a quatre pattes » ordonna l’un deux. Sur le sol, Sylvia prit position, en remontant son fessier le plus haut possible, le spectacle de cette vulve luisante fit éjaculer plusieurs hommes. Ils s épanchèrent sur elle, et sur son dos. Elle sentait le liquide chaud, glisser le long de ses reins. Un homme plus vieux lui enfourna sa bite dans la bouche sans la ménager et Sylvia entreprit un sucement apprécié. Quel spectacle, de voir cette jeune mère se faire embrocher par l’arrière et prise par l’avant par ces hommes noirs, entourée d’une foule masculine se bousculant pour être le prochain. Jeune, vieux, tous avaient une bite respectable et bien érigée grâce au travail des deux autres femmes.
« Et voilà une bite bien dure pour la châtelaine » dit la plus jeune des femmes, contente de son travail et pour une fois heureuse de ne pas avoir à subir ce que cette pauvre Sylvia allait subir.
Bite après bite, Sylvia encaissait les coups de piston sévères, rien n’aurait pu l’avoir préparé à ça, ils étaient 20, puis 30, puis 40 à attendre leur tour.
« Mets la sur toi Joe » dit une grande baraque, arborant une queue de taureau. Joe s’était allongée a cote de Sylvia et la déplaça en se glissant entre ses jambes. Sa queue bien dressée il prit sa chatte totalement ouverte et laissée libre quelques instants. Sans lâcher la bite dans sa bouche, Sylvia s enfourna la bite noire de Joe dans le vagin, aux lèvres rougies et distendues.
« Ommmhhhss » maugréât elle, La bite était si longue.
Puis l’homme derrière elle qui s’appelait Tom prit un peu de foutre des cuisses de Sylvia et lui remplit l’anus, poussant avec son gros doigt à l’intérieur du colon serré. Il poussa alors d’un coup sec le gros gland et le col de son anus céda, Sylvia serra ses cuisses, mais sa position lui interdisait tout mouvement, elle était à la merci de cette foule acharnée. Tom poussa encore, et son anus se distendit encore, sa bite était large et longue, le cauchemar. Joe continua, perdant patience, et se régalant de voir le corps de Sylvia se tortiller de mal, et de plaisir. Car Sylvia éprouvait à la fois de la douleur et du plaisir, un tel mélange érotique et elle ne pouvait que s’étonner de mouiller autant. Les deux hommes la laminaient littéralement, Sylvia glissant entre les deux bites noires, les cuisses écartelées par l’homme du dessous. Joe lui claquait ses belles fesses blanches et pleins de taches de rousseur.
« Alors madame, on apprécie le voyage ? » dit Tom en souriant.
Les deux déchargèrent leur foutre bien profondément, et quand Tom se retira son anus était distendu et faisait des bulles, sa chatte en dessus béante et coulante, Sylvia souffla un peu. Mais deux autres hommes s embrochèrent presque immédiatement et leurs bites étaient aussi bien tendues, usant et utilisant les deux orifices de la belle châtelaine comme ils le voulaient.

Matt avait entendu parler de l’arrivée de Sylvia par Maria, et souffrant de ne plus avoir vu la belle Mélodie dont il était tombé amoureux, il était très angoissé pour la mère de sa chérie. Qu’allait-il pouvoir faire pour la sortir de la ?. Par curiosité, quand il avait entendu des rires et des cris dans la grande baraque, il s’était rapproché. Les hommes faisaient un cercle autour de belle Maman, à quatre pattes, elle suçait une grosse bite mais c’était surtout les deux autres bites qui la défonçaient en rythme. Les « frères » ouvriers n’avaient pas ce type de femme tous les jours. Matt les comprenait un peu.
La couleur de sa peau, ses seins même si plus gros et plus développés, ses cheveux roux, lui rappelèrent la pâleur de sa belle Mélodie. La nuit souvent il se masturbait en pensant à elle, et même s’il utilisait la bouche ou la chatte d’une des femmes des baraques de temps a autre, son cœur était pour Mélodie.

Il était si près de Sylvia maintenant, qu’il tendit la main et lui toucha un de ses seins qui pendait. Sylvia était occupé à extraire le jus d’une grosse queue veinée. Matt sentit sa verge durcir, il avait honte, c’était la mère de sa chérie !! Les cris et halètements de Sylvia, et le fait de caresser ses seins, eurent raison de Matt. Il extirpa sa queue pour se branler en la touchant, c’était un peu comme de toucher Mélodie. Quand l’homme se retira de son cul après avoir joui, Matt poussa celui qui allait prendre sa place, et se positionna au-dessus de Sylvia. Elle avait toujours une bite dans la chatte qui la ramonait, c’était excitant, car elle ressemblait tant à Mélodie et il avait rêvé de ce moment où il la pénètrerait. N’hésitant plus il plongea sa très grosse bite dans le cul trempe et visqueux devant lui. Sylvia crut mourir tant cette bite était énorme et énergique, ses entrailles s’ouvrirent encore plus pour laisser cette queue prendre pleinement possession d’elle.
« Désolé madame mais je ferais vite » Dit Matt comme pour s’excuser. Sylvia ne releva pas. Matt la pénétrait comme il l’avait voulu pour Mélodie même si le cul de Sylvia était déjà entrainé a ça, il faudrait faire plus attention avec la jeune femme. Sa bite de 23cm coulissait sans heurt dans le colon de la belle trentenaire. Elle encaissait parfaitement ses coups de butoir. Il lui saisit les deux seins et les pinça légèrement, il sentit que cela faisait rétrécir son colon, étranglant son pénis dans l’action. La sensation était renforcée et il entreprit de la pistonner avec une belle énergie, sa bite entrant complètement dans son cul, jusqu’ au poil de son pubis. Ses grosses bourses venaient taper la bite de l’homme en dessous.
« Arrggg ahhhh » faisait Sylvia
« Je vais venir dans votre cul madame… ! » dit Matt, et ne se retenant plus, giclant de toutes ses forces son sperme de jeune adulte dans le cul de sa belle-mère.
« Aohhhhhhhhhahhh » fit elle, elle aussi prise d’un orgasme inattendu. Matt lui caressa une dernière fois les fesses, elles étaient si jolies…

Pendant 5 H ils se relayèrent dans différentes positions, et la remplirent de foutre, cul, chatte et bouche. Elle se sentait au centre d’un ouragan dont elle était la cause et la raison.

Epuisée et salie, les deux autres femmes l aidèrent à aller dans les douches communes car elle avait du mal à marcher, nue, elle avait aussi perdu ces chaussures. Un homme était assis sur les toilettes et déféquait tranquillement, l’odeur était immonde, de pisse et d excrément.
Sylvia s’assit sur le WC et un demi litre de sperme tomba dans les toilettes, à la fois de son cul béant, et de sa chatte ouverte et qui la piquait un peu. Ils l’avaient traite moindre que les deux autres femmes, elle était à leur merci. Son clitoris avait été battu et pincé, ses seins tordus et fouettés, par des dizaines d’hommes, certes elle n’avait joui qu’une seule fois quand ce jeune étalon l’avait chevauché, mais le plaisir avait été finalement au rendez-vous.

L’homme qui avait fini de déféquer vint se placer devant elle, et lui tournant le dos il se courba en avant
« Nettoies moi le cul, pute de blanche, je ne vais pas utiliser de papier quand même, ta jolie langue rose fera l’affaire » Dit-il, d’autres hommes étaient là aussi, la queue a la main, se masturbant. Aucune échappatoire possible.
Sylvia léchât le cul poilu et sale de l’homme, il avait de la merdre sur les bords de son anus, faute de s’être essuyé, c’était révoltant, par moment, elle avalait sa propre salive de couleur marron, faillit vomir plusieurs fois. Quand l’anus de l’homme fut propre, il se masturba devant elle, et crachat son sperme sur ses seins.
« A partir de maintenant, tu es notre papier toilette jusqu’à demain matin » dit-il.

Toute la soirée, Sylvia resta à genoux dans les toilettes, léchant les culs sales et merdeux qui se présentaient, suçant des bites pleines d’urine. Elle avala près de cinquante éjaculations, et certains l enculerent pendant de longues minutes.

Au petit matin, elle mangea un peu de pain, et dormit recroquevillée quelques heures sur le sol des toilettes. On était samedi matin, le week-end démarrait.

14. Highway 59
3 jours après la nuit d orgie avec Gérard et les garçons, son vagin lui faisait toujours un peu mal, les gars l’avaient vraiment déglinguée. Elle avait aussi du mal à écarter les cuisses, elle avait des courbatures, ils l’avaient écartelé pendant des heures et l’avaient ramoné et pistonné comme des malades. D’autre part, elle n’avait plus de nouvelles de sa mère, et les appels à la ferme n’aboutissaient plus. Il était grand temps de rentrer.

Vers 4h du mat, elle s habilla à la hâte, un jean et un t-shirt et son vieux sweat, et ramassa ses maigres affaires, laissa ses habits de « travail » sur la chaise et discrètement quitta la ferme. Sur la route peu de véhicules à cette heure-là, mais après 45minutes un vieux paysan la prit en stop. Il la déposa sur la highway 59-South, elle chercherait une voiture pour la ramener à Sidrell de là. Il était 8h du mat, et elle craignait que Theo la pourchasse mais il devait toujours dormir ce gros enfoire.

Elle se dirigea vers la station d’autoroute, beaucoup de camionneurs à cette heure qui avaient passe la nuit dans leur bahut. Certains prenaient des douches, d’autres buvaient un café, un milieu d’hommes, et Mélodie se sentit observe. Elle avait 50$ et l offrirait pour payer sa course.
« Tu cherches un ride ma belle » lui dit un gars un peu obese, tout en la reluquant
« Highway 59 South, Sidrell «
« Pas ma direction mais le truck la bas va partir vers New Orléans » et il la pointa vers un gros semi.
Mélodie tenta sa chance et le type lui parut sympa, il voyageait avec un autre chauffeur car ils traversaient les USA Coast to Coast. Le driver s’appelait Mitch et son collègue Roger. Elle leur tendit les 50$ mais ils refusèrent. Elle prit place sur le siège passager situe entre les deux hommes. Le camion partit vers 9h dans un grand soulagement, elle retournait vers Sidrell, vers Matt.

Les 200 premiers kilomètres furent amusants car les deux chauffeurs se relayaient et Mélodie se sentit en confiance, ils lui racontèrent qu’ils étaient sur la route depuis 6 mois, loin de leur famille. Elle racontât sa propre histoire en omettant les détails trop graveleux mais en incriminant Theo. Puis elle enleva son sweat shirt, et ses beaux seins ballottaient sous son t-shirt. Mélodie se dit que ses deux hommes loin de leur foyer, devaient être en manque de sexe. Roger était au volant, et Mitch dormait sur sa droite.
« Je peux ? » dit-elle, en mettant sa main sur sa cuisse.
« .. Heu bien sûr. » dit Roger, un peu surpris mais pas fâché de voir les seins de Mélodie sans son sweat.
Elle le caressa et remonta sa main sur son short, il avait une bite en érection qui cherchait à sortir de son short.
Elle lui baissa la braguette et extirpa un joli mandrin, qu’elle commença à branler lentement, tout en regardant la route.
« Oh c’est trop bon .. Hmmm » dit Roger
Mélodie sentait sa verge se durcir et du liquide transparent perlait à l’extrémité du gland. Forte de son expérience, elle savait anticiper. Elle se courba et s allongea et prit le beau sexe dans sa bouche.

Mitch ne dormait pas et regardait la belle rousse tailler une pipe très érotique a son ami. Sans bruit, elle le suçait délicatement de haut en bas, enroulant sa belle langue autour du gland rouge vif de Roger, le pauvre tiendrait pas longtemps. Quand Roger lâcha son sperme, Mélodie continuât de le pomper et aspira tout son foutre. Elle n’avait fait aucun bruit.
Mitch l attira alors à lui, Mélodie lui sourit, elle se doutait bien qu’elle aurait une deuxième queue à astiquer. Mitch le lui enleva son t-shirt et ses seins dansèrent dans la cabine. Il les pesa, les embrassa, et ouvrit sa braguette. Mais Mélodie fit descendre son jean rapidement sur ses pieds et libera ses longues jambes. Son slip tomba aussi rapidement, Mitch la regardait et Roger aussi qui bandait à nouveau. Le camion avançait toujours, et un autre camion était à son niveau, le passager se rinçait l’œil lui aussi.

Alors Mélodie se leva et s’assit sur la plage avant du camion, face à eux. Elle était totalement nue, elle écarta les jambes et commença à toucher et tourner son clitoris. Mitch regardait fixement son vagin, ses lèvres, son pubis rase, une merveille. Mélodie remarqua le levier de vitesse du camion, un long levier qui se terminait par une poignée épaisse, et qui vibrait aux rythmes du camion tout entier. Alors elle écarta les lèvres de son vagin, et son orifice rose apparut, elle n’avait plus mal du tout. Elle ne pensait plus qu’à son plaisir et à celui de ces deux hommes, ses bienfaiteurs. Elle s empala lentement sur la poignée qui disparut dans son vagin, la vibration était exquise. Elle descendait et remontait, s’immolant lentement sur ce levier qui semblait lui aussi être très excite. Du liquide coulait de son vagin, et arrosait le sol du camion.
Mitch lui fit signe de venir a elle…
Les derniers 200 km passèrent vite, Mélodie offrit son corps a ses deux hommes qui prenaient leur relais toutes les 30 minutes, asse pour recharger leurs bourses de sperme, ravis de voir une fille si belle se jeter dans leurs bras. Elle les suça, avala leur sperme, et ils la pénétrèrent plusieurs fois. Quand le panneau Sidrell apparut il était 19h00, un samedi. Les deux comparses lui demandèrent ou elle voulait être déposé, ils firent le détour et ils se dirent adieu à 100 mètres des baraques de ouvriers.

Mélodie devait retrouver Matt avant tout puis sa mère.

15. Retrouvailles particulières
Sylvia passa son samedi matin dans d’autres baraques, elle était nue car de toute façon les hommes voulaient profiter de la vue magique sur son cul, ses seins et son corps de femme blanche de 38 ans. L’un la prenait en levrette, un autre lui remplissait la bouche de foutre, puis deux autres hommes venaient et la rotation recommençait. Son anus était tellement dilaté que certains hommes s’étaient mis à deux dans son cul. Sa chatte aussi avait tellement servi qu’elle pissait des fois sans pouvoir se retenir. Parfois même, pendant qu’un homme la sodomisait, elle s entait un filet de d’urine descendre le long de ses cuisses. Son corps était pris d’assaut par une meute constamment régénérée.

Vers la fin de journée, ils l amenèrent prendre une douche chaude dans les latrines et elle y resta 30 minutes. Faire couler de l’eau chaude sur son corps usage la réconforta, mais elle prenait sa tâche à bras le corps. Puis un des hommes lui dit que Big Leon voulait la voir, il avait une baraque à lui tout seul, c’était le plus anciens de la ferme, il avait connu le père de Sylvia, et avait toujours connu Sylvia, jeune petite rousse que son père interdisait de trop s’approcher seule des baraques En secret il s’était masturbe souvent en pensant à son corps de pucelle blanche.

Sylvia entra dans la baraque, et Big Leon était sur son lit, avachi, ses 175kg de graisse autour de lui. Elle ne l’avait pas vu depuis des années, et il avait pris beaucoup de poids.
« Voilà ma belle Sylvia, et nue en plus », il avait une énorme queue dans sa main et se branlait lentement. Sylvia remarqua la taille démesurée de l’engin. Ce n’était donc pas un mythe, Maria lui en avait parle plusieurs fois.
Elle s’approchât et il écartât les jambes, ses gros testicules reposaient sur le matelas. Elle comprit le geste et avançât à quatre pattes pour venir le sucer, elle était entre ses jambes. Elle prit l’énorme bite et commençât la fellation. Il sentait fort comme un taureau, et cela la dégoutait mais aussi l excitait.
Il lui caressait le dos, les seins avec ses mains énormes, des patasses de 15kg. Il lui ordonna de venir s’asseoir sur sa bite, elle écarta ses lèvres meurtries et sans hésiter s empala sur le mandrin noir de 28cm.

Mélodie fit irruption dans la baraque principale, elle cherchait Matt des yeux, et les hommes la regardèrent, se demandant si c’était sa mère qui aurait subitement rajeunie. Elle était littéralement scannée de la tête aux pieds, certains hommes sortaient de leurs douches, nus, et immédiatement montrèrent leur érection a la jeune femme. Elle ne rougit pas, habitue de voir autant de bites, elle n’en était plus à ça.
« Qu’est-ce que tu fais la ? tu veux aussi te faire ramoner ta jolie chatte rousse ? » dit l’un d’entre eux
« Je cherche Matt, je suis son amie »
« Il est chez Big Leon. » dit-il, sans lâcher son regard sur les jambes de la jeune femme.
« Et c est où ? »
« Je vais t accompagner, mais ils sont occupés. Avec ta mère » dit un autre.
« Ma mère ?? »

Ils sortirent et traversèrent une sorte de cour moche, avec des vieux camions rouilles qui ne marchaient plus depuis longtemps. Quand la porte s’ouvrit Sylvia était à quatre pattes, empale sur la bite de Big Leon et Matt l’enculait. Les deux hommes étaient en pleine action, le corps de sa mère vibrait sous les assauts de Matt, et elle rebondissait sur la graisse du ventre de Big Leon. Leon était si large que Sylvia était presque en grand écart.
« Matt mon chéri. » dit Mélodie choquée de voir sa mère.
« Mon dieu Mel ! » dit Matt en se retournant. Il se retira de l’anus de Sylvia, Sa bite était énorme, comme dans les souvenirs de Mélodie.
« Ma chérie !! » Lançât Sylvia, à la vue de sa fille, honteuse dans cette position, le cul éclaté, et la chatte déchirée et qui dégoulinait sur la bite de Leon…
« Mélodie et Sylvia, finissez le travail et vous pourrez vous enfuir, je vous le promets » dit Leon
« C’est sur ? » dit Matt
« Oui je te donne ma parole » affirma Big Leon.
Alors Mélodie n écouta que son courage et se dévêtit, elle était ravissante et Matt la regardait avec une telle envie. Il lui écarta les jambes et se mit à lui lécher le minou, cette chatte qu’il avait autant espéré revoir, et qui le gardait éveillé la nuit. Sylvia mit plus d’ardeur et coulissait le long de la bite de Leon, elle haletait, son plaisir venait et même si honteuse d’être en présence de sa fille, elle était heureuse de l’avoir retrouvé.
Leon se cambra et sa queue explosa dans le vagin de Sylvia, 6, 7 et 8 traits de foutre qui réchauffèrent Sylvia soudainement.
« Attends avant de te retirer, viens ici Mélodie, tu vas venir lécher tout ça » Dit Leon
Mélodie qui était sur la matelas en train de se faire lécher par Matt, se redressa et entreprit délicatement d’aider sa mère à se retirer de cette énorme bite noire. Du foutre tomba sur les cuisses de Sylvia, et Mélodie se mit à lécher avec ardeur toute trace. La chatte de sa mère était béante, sans poils, et les dernières 24h elle avait subi les assauts de 120 hommes. Elle lui lécha les lèvres, l’entrée du vagin, le haut des cuisses. Sylvia tenait la tête de sa fille touchant sa chevelure rousse. Matt caressait les fesses de Mélodie pendant ce temps, et prit de sa salive et commença à humecter son anus.
« Oh mon chéri, je suis vierge par ici, ta queue est trop grosse. » Susurrât-elle
« Je vais te prendre tout en douceur » et il se mit à lui lécher le trou du cul, son anus était délicieux. Sa chatte coulait d’un peu de sperme.
« Tu t’es fait baise aujourd’hui ? » demandât il
« Heu Oui… je suis désolé, ces hommes m’ont ramené jusqu’ à toi. »
« Ce n’est rien mon amour ». Et il continuât à la dilater progressivement, son anus s’ouvrait et sa langue avançait dans son cul, la petite rousse coulait de plus en plus, elle voulait sa bite.
Sylvia et Leon se reposaient en regardant le beau couple faire l’amour. Sa grosse queue sur son ventre pendait. Sylvia la caressait de temps à autre dans l’espoir de la raviver. Elle aimait être traitée comme une chienne, et avait adore la queue de Matt, sa fille avait beaucoup de chance.

Matt pénétra Mélodie, elle pleurait presque, mais quand sa bite fut pleinement introduite, et que Matt commençât à la ramoner, un plaisir immense montant en elle, elle était au paradis. Pendant près de 30 minutes il avança lentement dans son colon, elle jouissait souvent, son clitoris était en feu.

Leon avait retrouva son érection, et demanda à Matt d’amener Mélodie sur lui. Sylvia aida le couple qui était connecté par la bite de Matt, et Mélodie s empala sur la bite tendue de l’obese. Ses petites lèvres se déchirèrent presque mais elle parvint à faire passer le gros gland turgescent, puis elle laissa glisser son corps lentement le long de cette barre de fer qui lui traversait la chatte. Ses belles jambes rousses pendaient de chaque cote de Leon, comme écartelées. Enfin en place, Matt poussat son sexe au fond du cul de Mélodie. Prises par les deux bites géantes, scotomisée par son amant, Mélodie eut un premier orgasme, sa mère en pleurait presque, elle lui caressait les seins, la chair de sa chair. Ils la ramonèrent ainsi de longues minutes et Matt préféra éjaculer dans la bouche de Sylvia. Elle nettoya bien son sexe, et se mit ensuite à lécher les testicules du géant Leon qui perforait le vagin de Mélodie. Elle était au bord de l’effondrement, puis il éjacula au fond d’elle, épuisé.

La nuit du samedi continuât, et Mélodie et Sylvia se succédèrent pour vider les couilles de Big Leon, Il avait un appétit sexuel débordant, très excite par ces deux superbes femmes blanches. Sylvia aimait aussi profiter de Mélodie, elle lui léchait la chatte par moment pour la réconforter, et Mélodie lui rendait en lui léchant le cul, mais elle était assez effrayée de voir autant de dilatation. Il faut dire que Matt avait une telle queue.

Au matin, Ils prirent tous les trois conges de Leon et il leur souhaita sincèrement une vie heureuse a tous les trois.

Ils allèrent à la ferme une dernière fois et ne rencontrèrent pas Xavier, Sylvia voulait récupérer des affaires personnelles, et surtout des papiers très importants.

Leur sort était maintenant lie.


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16. Matt, Mélodie, Sylvia : épilogue

6 mois plus tard… quelque part dans en Floride, Golfe du Mexique.

Sylvia avait vendu la ferme, avec un bilan financier très positif, grâce aux vidéos compromettantes des banquiers qu’ils avaient récupéré de la ferme. Ces derniers avaient fait le « nécessaire » pour l’aider à vendre au bon prix.

Elle avait la tête posée sur le ventre de Matt. Ses longues jambes allongées sur la chaise longue et devant elle l’océan. Matt caressait le ventre de Mélodie, gonflé et tout rond, dans 3 mois elle accoucherait, qui serait le père n’était pas dans leur préoccupation.

Elle était nue, et tripotait le gros sexe de Matt, il dormait a moitie. Leur vie a trois était harmonieuse et simple, Matt faisait l’amour à ces deux superbes femmes qui l’aimaient tellement. Ils n’avaient qu’un grand lit pour trois, cela jasait dans le coin, mais ils s’en foutaient. Ils passaient de longues heures à se toucher et faire l’amour.

Mélodie était devenu experte pour faire jouir sa mère, elle adorait lui lécher le clitoris quand Matt l enculait. C’était leur position favorite désormais.

Leur vie serait sensuelle, pleine et riche.

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