Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Sabrina, début d'excitation avec ma meilleure amie (3)

Après avoir passé plusieurs années à lui raconter mes histoires de cul, j'ai décidé qu'il était temps que Sabrina en devienne une actrice. Et c'est qu'elle a l'air de vraiment aimer ça... moi aussi.

Proposée le 29/03/2022 par Locas

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


(Contrairement aux deux premières parties tirées de la réalité, celle-ci mélange fiction et histoire vraie. À vous de découvrir ce qui relève du fantasme. Et ce n'est peut-être pas ce que vous croyez...)

Sabrina, 20 ans, un large sourire, des lèvres pulpeuses qui donnent bien des idées et cheveux longs bouclés qui lui arrivent à la hauteur des épaules. Un roux lumineux, du plus bel effet lorsqu’il prend toute la lumière. Un cul assez plat, mais qu’elle sait mettre en valeur avec des jeans slim qui offrent à ses fesses un rond plus ferme. Alors que pour la poitrine, elle n’a besoin de rien. Un 90C avec lequel elle joue assidûment, sachant qu’il en fait bander plus d’un. Après cette aventure au café du centre, qui a offert à notre relation un piquant inattendu, il aura fallût quelques jours avant que nous nous croisions de nouveau.

Cette aventure c’est produit un mercredi, mais je passe mes jeudi, vendredi, samedi et dimanche dans une ville voisine où je travail en temps qu’employé municipal. Dit comme ça, ça ne vend pas du rêve, mais ça demeure un travail à mi-temps dans mon domaine de prédilection : la culture urbaine. Dans un centre communautaire, je passe du temps avec des personnes en voie de réintégration, qui cherchent à se divertir, à trouver de nouvelles passions. Danse, peinture, photographie, cinéma, architecture… tout y passe et on passe de beaux moments. Une chose demeure dans ma tête, mais également dans mon téléphone : la vision de Sabrina qui engloutie la queue de son copain alors que j’étais dans les toilettes à seulement quelques mètres d’eux. Rien que d’y penser me fait bander. Si je n’ai pas eu l’occasion de recroiser Sabrina depuis cette aventure, on a quand même pris le temps d’échanger par messages… et plus encore.

Alors que je n’avais pas eu de nouvelles de la journée, le jeudi, je pris le temps de lui envoyer une photo de moi à la sortie de la douche. Le miroir plein de buée, j’essuie rapidement ce dernier. Juste de quoi permettre de me voir au travers. Une serviette autour de la taille, je fais quelques pompes rapidement afin de paraître en forme et fais attention à ce que la serviette soit bien serrée afin de laisser apparaître la forme de mon sexe. Légèrement de profil, je prend la photo et lui envoi sans aucun mot. Actuellement chez mon oncle et ma tante, maison où je réside sur mes jours de travail, je ne tiens pas à sortir de la salle de bain habillé de même. Jean, t-shirt et sweat rapidement enfilés, je sors de la salle de bain dans l’espoir de recevoir rapidement une réponse. Les minutes passent… aucune nouvelle. Je me met en route pour le travail. La journée passe relativement vite, je n’ai pas le temps d’y penser jusqu’à mon retour du travail.

Mon oncle et ma tante sont au cinéma, j’en profite pour me mettre à l’aise. En jogging dans le salon, je laisse la télévision sur le premier film qui passe et armé de mon téléphone, je rattrape la journée et scroll mes réseaux sociaux. J’échange avec des amis, on parle de tout et de rien, jusqu’à l’affichage d’une notification. Enfin une réponse. Visiblement aucun texte, il n’en faut pas plus pour que mon sexe devienne plus en plus vigoureux et déforme mon jogging seconde après seconde. La photo s’affiche, elle me rend la pareille. Un selfie, elle face à un miroir, visiblement au restaurant ou dans un bar. Elle s’est habillée classique, mais tout de même sexy. Cheveux attachés, un haut blanc col roulé qui moule admirablement bien sa poitrine et un jean bleu clair qui fait honneur à ses fesses. Fidèle à ses habitudes. Légèrement de profil, elle sait comment se mettre en valeur. Je trouve tout de même cette photo un peu timide, comparé à ce que j’ai pu lui envoyer. Je ne me fait pas attendre et récidive avec des mots cette fois :

« C’est tout ? (Ne me répond qu’avec des photos, il t’es interdit d’utiliser des mots) »
Je la sait maintenant joueuse, jouons.

Même si je suis un peu déçu de la photo, il m’en faut pas plus pour commencer à être excité. L’espoir d’en voir plus me tient en haleine, en espérant qu’elle ne fasse pas sa prude. Ce serait mal la connaître. Il faut croire qu’elle avait déjà prévue la suite. À peine mon message envoyé, qu’une seconde photo fait son apparition. Un autre selfie, cette fois le jeans baissé au niveau des genoux. Légèrement de profil, la courbure laisse apparaître un string en dentelle noire qui lui passe entre les fesses. Jamais j’aurais cru que son cul était aussi rebondi. Celui que je pensais plat me donne maintenant envie de l’embrasser et de le claquer afin d’y laisser mon emprunte. Mon jogging laisse apparaître une bosse de plus en plus importante. Je la frôle de ma main droite, pendant que je tiens mon téléphone avec la gauche. À mon tour d’envoyer une nouvelle photo.

Assis dans le canapé je fais face à une petite table basse. Mon diner sur la table à côté de mes jambes allongées sur la table avec la télévision en fond. Je place le téléphone de manière à montrer tout ça avec dans le côté gauche de l’image, mon jogging qui laisse apparaître mon excitation. J’envoi. Les minutes passent à nouveau, pas encore de réponse. Je reste dans mon état d’excitation en me demandant si elle ne jouerait pas avec moi tel que je le fait avec elle. Plus rien d’intéressant à la télévision, le diner terminé et quelque peu fatigué, je débarrasse le salon, direction la chambre. Le timing est bon à peine quelques minutes après m’être installé sur le lit avec mon téléphone, mon oncle et ma tante rentre de leur séance, plus tardivement que je ne l’aurais pensé. À en entendre leur conversation et les nombreux rires, ils sont rester boire quelques verres au bar du cinéma. Du haut de leur début quarantaine, ils forment un couple fringuant.

Bien habillés, élégants en toutes situations sans chercher à attirer l’attention. Ma tante quand à elle l’attire sans le vouloir. Une vraiment belle femme. Environ 1m70, cheveux brun assez longs, des jambes qui n’en finissent pas et une paire de sein qui attirent tous les regards. 85E je dirais au vu de sa fine silhouette. Plus gros que ceux de Sabrina, même si certainement moins ferme à cause de l’âge. Peu importe, elle reste magnifique. Mes premières masturbations viennent de là, elle m’a toujours fait fantasmé sans que je n’ose quoique ce soit. Depuis ma chambre je les entends rire. Surtout elle, à gorge déployée. Les portes claquent.

D’un côté le bruit de ce qui semble être leur chambre, à l’étage, alors que semble s’activer l’eau de la douche. Curieux, j’ouvre ma porte de chambre, simplement vêtu de mon jogging. Ma chambre fait face à la cuisine alors que la salle de bain se trouve sur la droite. Je fais semblant d’avoir soif et me dirige vers le frigidaire. Je me verse un verre d’eau. Personne à l’horizon, je remonte le couloir vers la salle de bain. Leur chambre est à l’étage, plus aucun bruit n’en vient. Je remonte le couloir, attirer par un faisceau de lumière qui en sort et éclaire le mur face à la porte.

Verre à la main, je profite de cette maigre ouverture pour voir qui s’y trouve. Assez grande, la salle de bain comporte une douche et une baignoire. Cette dernière étant en face de la porte, alors que la douche est à gauche lorsqu’on y entre. Je n’y vois pas grand chose à mon grand désarroi et un bruit de pas venant de l’étage me pousse à regagner ma chambre. Je ne ferme pas ma porte, je regarde pour voir qui était sous la douche. Apparaît ma tante, en dessous en dentelle blanche, qui entre dans la salle de bain. C’était donc mon oncle sous la douche, je n’ai rien loupé. La porte de la salle de bain claque, avant que ne s’en suive quelques murmures, quelques bruits, il ne m’en faut pas plus pour y retourner.

Je m’approche de la porte pour écouter. Des gémissements se font de plus en plus forts. Gémissements, des murmures, des claques mêmes ! Ma tante se fait pilonner sous la douche, à n’en pas douter. Un claquement résonne encore plus fort ! Je l’imagine se faire prendre en levrette, les fesses bien rouges et les seins ballottant alors que s’écoule l’eau de la douche sur son corps de déesse. Mon jogging se déforme à nouveau, je retourne furtivement dans ma chambre. Je récupère mon téléphone et y retourne rapidement. J’ouvre l’enregistreur du téléphone et enregistre tout ça.

Ce n’est pas clair, mais on devine aisément les gémissements, mais j’ai bien envie d’avoir une vraie preuve. Tout doucement, j’ouvre la porte et passe mon téléphone par le payement de la porte, la caméra vers la gauche. Quelques secondes passent, je retire mon téléphone. Bien bandé excité par la situation, je regarde la vidéo. Malgré la condensation, la situation est claire, la porte de la douche en partie ouverte. Mon oncle debout, met de gros coup de reins à ma tante qui ne fait qu’en redemander, les mains sur le mur qui lui fait fasse alors que mon oncle la tire par les cheveux d’une main et la tient par les hanches de l’autre.

Le sexe bien raide, je reprend le chemin de ma chambre. J’en profite pour rattraper mes notifications quand je vois un message de Sabina. Une nouvelle photo. Maintenant dans ma chambre, je libère mon sexe du jogging et ouvre ce message. Je reconnais sa chambre. Assise face à un miroir plein pied, les cheveux détachés. Elle est nue face à ce dernier. Assise en tailleur et légèrement penchée vers l’avant, ce qui cache son sexe. Les seins cachés par son bras gauche, tenant son téléphone de la main droite, elle regarde dans le miroir.

Tellement excitante, elle ne s’arrêtera jamais de me surprendre. Elle me fait bander comme jamais. En réponse, sans réfléchir je lui envoi la vidéo de mon oncle et de ma tante. Hâte de voir sa réaction. En attendant, je m’allonge sur le lit, la queue bien droite. Je me caresse délicatement, décalotte délicatement, laissant apparaître un gland qui ne m’a jamais paru aussi gros. Cette photo suffit à mon bonheur. Tellement excité, il me traverse l’esprit d’aller rejoindre mon oncle et ma tante. Il me travers même pas l’esprit que ça serait étrange ou pourrait les effrayer. Je pense avoir rarement été aussi excité.

Complètement nu, je frôle ma queue de la main droite, m’imaginant la main de Sabrina. Passent quelques minutes. Plus aucun bruit ne semble venir de l’extérieur. La porte de la salle de bain claque à nouveau. J’ouvre ma porte et regarde sur la droite. Un faisceau de lumière éclaire le couloir. Il doit rester quelque’un dans la salle de bain, mais qui ? Est-ce ma tante ? La queue raide comme une barre à mine, je prend ma serviette de bain encore au sol dans ma chambre et la met autour de ma taille. Impossible de cacher mon état d’excitation, je sors en serviette dans le couloir téléphone dans la main. J’ai bien des idées pour continuer à exciter Sabrina.

J’arrive devant la porte, je la pousse légèrement et voit ma tante face au lavabo à droite de la salle de bain. Brosse à dent dans la bouche, elle ne regarde pas dans ma direction. Elle me semble encore plus belle, là, accessible. Aucune réflexion, j’ose. J’ouvre la porte, je rentre et la referme derrière moi. Elle est nue, face à moi. Elle retire sa brosse à dent et crache dans l’évier.

« Qu’est-ce que tu fais ? T’as pas vu que j’étais là ? »

Je reste figé, elle est encore plus belle que ce que j’imaginait. De beaux seins, vraiment gros, mais également des tétons qui pointent et des auréoles larges qui ne demandent qu’à être pris en bouche. Rasée de près, un pubis qui semble ne pas avoir d’âge, même pas de livres qui pendent. Figé, je ne lui répond pas et laisse tomber ma serviette. Elle se fige à son tour, fixe mon membre tendu.

« Je… je ne sais pas ce que tu as en tête, mais ce n’est pas une bonne idée mon chat. »

Son regard ne quitte pas mon sexe. Je pose mon téléphone sur le comptoir, me dirige vers elle et sans attendre je me met à genou face à elle. J’agrippe fermement ses fesses de mes deux mains. Comme figée, elle ne me repousse pas, j’embrasse son sexe à pleine bouche, je passe un coup de langue entre ses cuisse. Le sexe encore humide, je m’applique. Un grand coup de langue puis j’enfonce ma langue entre ses lèvres. Et je recommence encore une fois.

« Ohhhhhhh qu’est-ce que tu… »

Elle prend ma tête entre ses mains, j’agrippe ses fesses avec mes mains encore plus fort et enfonce encore plus loin ma langue.

« Continu. »

J’écarte ses jambes un peu plus, la pousse contre le comptoir et continu de lui mettre de gros coups de langue. Je relâche la presse sur ses fesses. Je prend sa jambe gauche et la passe sur mon épaule. J’aspire son clitoris et alterne avec ses lèvres une par une. Ses mains sur ma tête, elle me passe la main dans les cheveux avec de plus en plus de vigueur suivant mes coups de langue. Son excitation se fait de plus en plus intense, elle sert ses cuisses sur ma tête pendant que j’enfonce deux doigts en elle et que j’aspire son clitoris. Hummm que c’est bon. Je regarde dans sa direction, la jambe gauche sur mon épaule. Elle se cambre d’excitation, regarde en l’air pendant que je la doigte de plus en plus vite et profond. Trois doigts au fond de son sexe, je les bouge à l’intérieur, je gratte les bonnes parois qui la font vibrer. Je met ma bouche par dessus et met des coups de langue à l’entrée de sa chatte. J’aspire son clitoris et la lèche à l’intérieur aussi loin que ma langue puisse aller. Une dernière fois.

Je me lève, les doigts en elle. Je la doigte de plus en plus vite, l’agrippe par le sexe mes doigts en elle pendant que je l’embrasse à pleine bouche.

« J’ai toujours voulu te baiser. » lui dis-je

Je suis dans un état second, la queue bien raide. Nos langues se mêlent, nos bouches ne forment qu’une. Avec moins de vigueur, je commence à la pénétrer avec mes doigts pendant que ma bouche s’active sur ses seins. Des tétons bien dure que j’aspire l’un après l’autre. De ma main gauche je lui agrippe le sein et aspire son téton. Quelques coups de langue et je change de sein. Je pourrais faire ça toute la nuit. Je la regarde, aucun mot. J’appuie sur ses épaules pour qu’elle se mette à genoux. Elle me regarde, un sourire se dessine sur son visage. Elle prend ma queue de sa main droite et se met un coup sur la joue gauche avec. Puis la droite et continue comme ça.

« Avale là. » lui dis-je

« Oui mon chat. »

Les yeux dans les yeux, elle ouvre la bouche et enfourne mon membre aux veines exposées. Mmmm. Elle la sort de sa bouche, passe sa langue sur tout le long, joue avec le gland qu’elle suçotte puis l’enfonce à nouveau au plus qu’elle peu la prendre. Quelques coups de bassin pour l’aider, mais elle semble ne vraiment pas en avoir besoin. Je la redécouvre. De plus en plus vite, elle gobe toute ma queue. Elle la sort, salive dessus et la lèche avant de la gober de nouveau. Elle la laisse bien au fond puis la sort et recommence. Une déesse.

Après un gros râle de plaisir de ma part, je tend mon bras droit pour prendre mon téléphone. Je le déverrouille, ouvre WhatsApp et appel Sabrina en Visio. Il est maintenant plus de 23h30, pas certain qu’elle réponde. Elle répond. Elle semble couchée, légèrement éclairée par une lampe de chevet, visiblement un t-shirt comme haut. Aucun mot, je la regarde par la caméra du téléphone sans dire un mot non plus. Un sourire sur mon visage, elle peut voir que je n’ai pas de t-shirt et que je suis debout. J’appui pour changer l’angle de la caméra et montrer l’autre côté

Elle voit une tête du dessus, aspirant ma queue gonflée comme jamais. Elle n’a jamais vu ma tante, mais avec la vidéo précédente elle doit se douter que c’est elle. Par la caméra on la voit faire des vas et vient de plus en plus rapide. Ma tante regarde dans ma direction.

« Qu’est-ce que tu… »

Avec ma main gauche, j’appuie pour lui rabaisser la tête et d’un coup de rein, j’enfonce ma queue dans sa bouche et lui baise la bouche.

« Suce » lui dis-je avec fermeté

Elle ferme les yeux et continue avec vigueur. Elle aime l’avoir entière au fond de sa gorge, elle me surprend, avec quand même un bon 20cm bien dur. Je vois le visage de Sabrina, stupéfaite et excitée par ce qu’elle voit. Je la voit se mordre les lèvre, ce qui m’excite toujours plus. J’approche mon téléphone de ma queue pour montrer à Sabrina. Je met mon téléphone de profil qu’elle voit bien ma queue entrer et sortir de la bouche de ma tante. Sabrina, sur son lit éloigne son téléphone d’elle et commence à se caresser les seins par dessus son t-shirt.Elle en sort un, se pince le téton. Je prend mon téléphone à deux mains et lui écrit :

« Bientôt ce sera ta bouche. »

Je replace mon téléphone, attrape ma tante par les cheveux et me met à lui baiser la bouche plus lentement. Je sors ma queue de sa bouche et lui passe le gland sur les lèvres, puis l’enfonce doucement dans sa bouche et recommence. Sabrina regarde sur le côté, se penche et ouvre un tiroir. Elle en sort un sex toy qu’elle montre bien à la caméra en affichant un large sourire. Rose transparent, assez gros et large. Elle le met devant sa bouche et le lèche délicatement. Elle en lèche le gland. Elle le lèche sur toute la longueur, puis en titille le bout avec sa langue. Elle a vraiment l’air douée aussi, autant avec un sex toi qu’une vraie queue. Elle commence à le rentrer dans sa bouche, délicatement, puis de plus en plus profond.

La vue est aussi folle qu’incroyable. D’une main je tiens la tête de ma tante et baise de plus en plus vite sa bouche et de l’autre, je vois Sabrina complètement avaler son sex toy. C’est impensable et pourtant c’est vrai. Au bord de l’explosion, je décide de garder mon sexe au fond de sa gorge. Elle sent que ça monte aussi et agrippe mes fesses comme pour me dire qu’elle ne veut pas en perdre une goutte. Je me déverse intégralement dans sa gorge, l’entend avaler avec difficulté alors que je lâche un énorme râle de satisfaction. Elle se recule, reprend sa respiration, du sperme qui coule au coin de sa bouche. Elle regarde dans ma direction et lèche intégralement ma queue qui ne perd pas de sa vigueur. Mon sexe luisant, elle le lâche et se relève.

« Fais moi jouir »

Pendant qu’elle me dit ça, elle se cambre contre le lavabo. Son cul contre mon sexe, elle le frotte quelque secondes. J’écarte ses fesses, me place et glisse mon gland toujours aussi gorgé de sang entre ses lèvres. Je le glisse entre ses lèvres et place bien mon téléphone sous sa chatte afin que Sabrina puisse voir ce que je fais. D’un coup sec, j’enfonce mon queue au fond de sa chatte. Ça glisse avec aisance, elle aspire l’intégralité de ma queue. Je commence des vas et vient, de plus en plus vite et brutal je baise mon fantasme d’adolescent. Le téléphone dans ma main droite, je le remet à ma hauteur afin de voir ce que fait Sabrina. Je ne vois que son visage, crispé de joie.

Elle semble se masturber avec son sex toy, mais je ne le vois pas. Je ne vois que son visage se tordre de plaisir, ce qui me convient. Je filme le miroir, qu’elle voir les seins de ma tante bouger sous mes coups de reins et son visage également se tordre de plaisir. Il en faut peu, je sent sa chatte se contracter sur ma queue. Elle se contient pour ne pas faire trop de bruit. Son jus se déverse sur mon sexe encore plus trempé et à mon tour, je vais venir une seconde fois. Je sors mon sexe de sa chatte, je lui appuie sur les épaules pour lui asperger le visage cette fois. La caméra au dessus de son visage je parle directement à Sabrina :

- « Regarde »

Elle ouvre les yeux et regarde son téléphone alors que je recouvre le visage de ma tante avec mon sperme. Elle lèche la lèvre du mord et se mord les lèvres avant de couper son téléphone.
Ma tante se relève, me fais face et m’embrasse à pleine bouche, partageant tout ce qui lui restait tant dans la bouche que sur le visage.

- « Si j’avais su que t’étais une telle salope, j’aurais pas attendu autant de temps. »

- « Et c’était qui cette fille que t’as voulu impressionner mon chat ? »

« Une amie. Je te la présenterai si tu veux. » lui dis-je en souriant

Elle me rend tout naturellement mon sourire, me tourne le dos et se regarde dans le miroir.

Je m’assois sur les toilettes et commence à uriner. Encore sur mon nuage, j’ai du mal à croire en ce qui vient de se passer. Et pourtant, ma tante est toujours proche de moi, elle se passe de l’eau sur le visage. Entièrement nue, des fesses bien rebondies pour une femme de son âge. Je m’essuie, secoue mon sexe et tire la chasse d’eau. En passant derrière elle, comme une ultime provocation, je me colle à elle. Passe mon sexe entre ses fesses et lui met plusieurs petites tapes dessus. Ça la fait sourire, moi aussi. Je sors de la salle de bain sans faire attention et retourne dans ma chambre des idées plein la tête pour la suite des évènements.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

coco
Ouffff ca donne envie de baiser autant la tante que Sabrina. J'ai hâte d'en lire la suite
Posté le 19/12/2022


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Sabrina, début d'excitation avec ma meilleure amie
Sabrina, début d'excitation avec ma meilleure amie (2)
Le jour où j'ai dépucelé une vierge avec ma meilleure amie (1)
Le jour où j'ai dépucelé une vierge avec ma meilleure amie (2)
CHLOÉ LA MEILLEURE AMIE (2 de 6)