Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Montmartre

Une journée mal commencée finit en apothéose grâce à un photographe, voyeur et pervers ... De la lingerie, un bel hidalgo, des désirs inavouables ... et un voyeur fort peu discret.

Proposée le 5/01/2022 par Thomas78000

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Le soleil brille sur Paris, le printemps est en avance, les arbres se chargent de feuilles, le thermomètre remonte ... Je devrais être heureuse ... Et pourtant, la mélancolie domine.
Le courrier ce matin, la sempiternelle lettre de refus suite à l'entretien d'embauche que j'ai passé le mois dernier. Malgré les qualités indéniables dont vous faites preuve, blablabla ... Insupportable.
Je descend de chez moi et me retrouve place des Abbesses, un quartier que j'aime tant.
Les gens sourient, semblent heureux de sortir de l'hiver parisien. Le gris laisse place à des couleurs plus chaudes.
Les terrasses sont pleines de gens que je trouve beaux, je me sens laide.
Je dois réagir, cela ne me ressemble pas.
A l'angle de la rue Lepic, ma boutique de lingerie préférée ouvre ses portes. Je souris à la vendeuse que je connais bien. Elle me propose d'entrer, elle vient de recevoir des nouveautés qui devraient me plaire.
La lingerie a sur moi un effet rassurant, euphorisant, pour ne pas dire excitant. Comment quelques grammes de dentelle peuvent ils doper mon moral ? Cela reste un mystère.
J'ai toujours préféré les strings, tangas, caracos et autres bas au Lexomil. Les hommes que j'ai croisés dans ma vie ne me l'ont jamais reproché.
Une petite culotte en dentelle blanche on ne peut plus transparente attire mon regard. La vendeuse me propose le soutien gorge à balconnet et le porte jarretelle assortis.
Devant la glace de la cabine, je ne peux m'empêcher de sourire à la vue de ma toison pubienne en ticket de métro. L'esthéticienne a fait un super boulot.
Je me sens déjà mieux, cela vaut bien les 230 € réclamés.
Et dire que mon banquier ne jouira jamais de ce spectacle, il le mériterai pourtant au vu de mon découvert qui se creuse.
Je remonte chez moi, impatiente de me changer pour mettre en valeur mes achats.
Je choisi une jupe clairement trop courte, et un chemisier légèrement transparent. Des bas chairs et des escarpins en daim beige.
Je redescends le cœur léger, l'excitation et une envie de profiter de la vie m'envahissent soudain.
La lingerie devrait être remboursée par la sécurité sociale.
Je remonte vers la place du Tertre et le sacré cœur.
Les pavés et les escaliers me font déjà regretter mes escarpins. J’envie les touristes en tennis, mais le crissement des bas quand mes jambes se frôlent commence déjà à m'exciter.
Je m'assoie sur les marches du sacré cœur, Paris à mes pieds.
La vue est toujours aussi magique. Je crois que je ne m'en lasserai jamais.
Le vent tiède passant sous ma jupe me fait prendre conscience de la légèreté de ma tenue. Je vois bien quelques regards masculins appuyés, je m'en moque. Je me sens bien.
Très bien même. Des envies moins sages commencent à me traverser l'esprit.
Quelques marches plus bas, un photographe mitraille le sacré cœur en contre plongée.
Au vu de son matériel, il a tout d'un professionnel. Je le regarde travailler, c'est un métier dont j'ai toujours rêvé.
Au bout de quelques minutes, son sujet semble avoir changé. Je le vois cadrer ma jupe et plus précisément, ce que je porte sous ma jupe. Son manège n'est pas d'une discrétion absolue, mais je ne sais dire pour quoi, il m'amuse. Je devrais m'en offusquer mais je n'y arrive pas.
Je rentre dans son jeu et écarte légèrement les cuisses. Ma jupe remonte et la dentelle de mes bas est maintenant clairement visible.
Je suis folle, mais le fait que l'on s'intéresse à moi est exactement ce dont j'ai besoin aujourd'hui. Ma petite culotte en dentelle commence à s'humidifier.
Le photographe se rapproche et change d'objectif.
Je le dévisage et ne regrette pas mon inconscience. Avec ses cheveux bruns très courts, ses yeux bleus et sa peau mate, il est tout à fait mon type d'homme. Sa barbe de trois jours renforce le coté artiste baroudeur qui me fait fondre.
Il reprend quelques clichés mais cette fois n'ose plus me cadrer. Nous sommes trop proche l'un de l'autre.
Il s'approche.
- Bonjour, je me présente, Enrique Povera. Je suis photographe. Je peux m'asseoir quelques minutes ?
- Je vous en prie.
- Vous avez du me trouver bien malpoli mais je dois avouer que je n'arrive plus à me concentrer sur la travail que je dois faire. L'office de tourisme de paris m'a commandé une série de photo sur Montmartre mais la lumière n'est pas exceptionnelle à cette heure ci et ...
- Et ?
Il rougit légèrement.
- Et la vue de vos jambes me fascine totalement.
- Vraiment ? Je peux voir vos photos ?
Je le sens hésiter mais il me tend son appareil et je fais défiler les photos sur l'écran.
A la vue de certains clichés, je rougis à mon tour.
Ce n'est pas mes jambes que l'on y voit mais mon string et l'amorce de mon porte jarretelle. Le piqué des photos est tel que ma toison y est clairement visible.
Je ne sais trop comment réagir. Je choisis l'humour.
- Je ne savais pas que l'office du tourisme faisait dans la photo érotique.
Je pensais le déstabiliser mais il m'avoue que ces clichés seront pour sa collection personnelle.
- Vous volez souvent ce genre de photos ?
- Si je vous dis jamais, vous ne me croirez pas. Oui cela m'arrive et cet escalier fait partie de mes lieux de prise de vue favoris. Mais je travaille plus sérieusement en studio. Je fais des photos de mode et parfois des nus.
J'ai mon studio Avenue Junot, à quelques pas d'ici. Vous voulez voir mon book ?

J'éclate de rire.
- Non seulement vous photographiez sous ma jupe, mais en plus vous me draguez ouvertement. Rien ne vous arrête !
- Je comprends que vous le perceviez comme ça, mais je vous sens intéressée par la photo. Je voulais seulement partager ma passion avec vous. Excusez moi si je vous ai froissée.
- Vous avez raison sur un point : ne pas avoir été photographe est un de mes grands regrets. Mais je n'en ai pas le talent, ni la volonté.
- Vous venez alors ?
- Ai je dit ça ?
La façon qu'il a de s'exprimer lui donne une forme de candeur enfantine. Il passe de l'enthousiasme à la tristesse en une seconde.
Son français châtié, conjugué à une pointe d'accent espagnol, me trouble.
- J'ai un RDV à 15 heures, je cherche un job.
- Mon studio n'est qu'à quelques minutes. Promis nous n'en avons pas pour longtemps.
Je me lève et le suit en me traitant intérieurement de folle.
Son studio est au dernier étage d'un immeuble Art Déco. La vue sur Paris est absolument incroyable.
- Vous voulez boire quelque chose ? Je prends un verre de Chablis.
- Oui parfait.
Mon regard passe de la fenêtre aux innombrables photos accrochées aux murs.
De magnifiques portraits noir et blanc de femmes toutes plus belles les une que les autres.
Il ne dit rien et me laisse admirer son travail.
- Vous aimez ?
- Oui beaucoup. Vous avez du talent.
- Merci, mais je n'aime pas beaucoup ce terme. C'est juste du travail. Vous seriez capable d'en faire autant.
- J'en doute.
- Vous voulez voire ma collection privée ?
- Avec plaisir.
Il sort un book volumineux et s'assied à coté de moi.
Ce sont toujours des photos en noir et blanc mais le thème est, disons, plus intime.
C'est une succession de photos de sexe de femme, certains voilés derrière de la lingerie, d'autres crument dénudés. Il y en de toutes sortes, des jeunes, des vieux, des fins, des charnus, des glabres, des poilus.
Je ne sais comment réagir. Laisser transparaitre mon trouble ou afficher une attitude offusquée ?
Je bois une gorgée pour me donner une contenance.
- Cela vous gène ?
- C'est à dire que ....
- Vous ne vous attendiez pas à ça ?
- C'est ça.
- Si vous me l'autorisez, j'aimerai rajouter vos photos à mon book. Vous dégagez un érotisme incroyable.
Je suis maintenant écarlate et ne sais quoi répondre. Sa main sur ma cuisse m'évite de dire une bêtise. Mon cœur bat la chamade.
Il me sourit avec son naturel désarmant. Je lui rends son sourire et comprends que je ne saurai pas résister.
Son baiser est d'une incroyable douceur. Avec lui tout semble naturel, ma langue cherche la sienne. Je caresse ses cheveux tandis que sa main remonte le long de mes bas.
La chaleur envahit mon ventre, la tête me tourne. Je pense une seconde à la façon dont a débuté cette journée et maintenant à son dénouement. La vie est si imprévisible.
Sa main plaquée sur mon pubis me ramène à mon désir.
J'écarte légèrement les cuisses et laisse sa main me caresser. Je ferme les yeux.
Son doigt titille maintenant mon clitoris au travers de la dentelle. Il m'arrache un gémissement.
- Laisse toi faire. Tu es si belle.
Mon beau photographe est maintenant à genoux, en train de remonter ma jupe. Il embrasse mes bas, puis la dentelle de ceux ci et enfin le haut de mes cuisses.
Ses lèvres se posent sur chaque centimètre de ma peau. La lenteur de ses baisers fait monter en moi un désir violent, irrépressible.
Avec une indécence que je ne me connais pas, je guide sa tête vers mon sexe.
Sa langue parcours le sillon des mes lèvres. Il écarte la dentelle de mon string et aspire délicatement mon clito.
Je ne suis plus qu’humeurs. Il me rend folle. Sa langue s'insinue maintenant dans mon intimité et son souffle chaud décuple mes sensations. Mon plaisir coule dans sa bouche.
Je devine mon orgasme proche et tente de me dégager mais il plaque davantage sa bouche contre ma chatte en fusion.
Des éclairs traversent mes yeux, mon ventre se tord et le plaisir me submerge.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Il semble un peu surpris par la soudaineté et la violence de mon orgasme. Nous restons quelques secondes sous le choc avant qu'il ne me prenne dans ses bras et me laisse récupérer doucement.
C'est comme s'il lisait dans mes pensées, qu'il anticipait tous mes désirs, mes envies de pause comme mes élans passionnés.
Je m'en voudrais d'être égoïste après des préliminaires aussi réussis et je pose ma main sur sa braguette. Son sexe est dur et mes caresses le font encore grandir.
Je m'agenouille à mon tour devant lui et extrait sa queue de son jean. Je ne regrette plus du tout de l'avoir suivi dans son studio.
Je dépose des baisers sur son gland, puis ma langue s'enroule autour de celui ci.
Je le tête comme un bébé et l'aspire dans ma bouche chaude.
- Si mi corazon ...
Millimètre par millimètre, j'avale son sexe maintenant d'une taille tout à fait respectable.
Ma chatte redevient fontaine, il faut dire que sucer est mon péché mignon.
Mes lèvres resserrées autour de sa hampe font des va et viens qui le font gémir de plus en plus fort.
- Oui suce moi, c'est si bon .... Caresse moi aussi !
Enrique est bilingue, même en amour. Je le branle en aspirant son gland, des spasmes dans son ventre annonce une issue proche. Je relâche la pression afin de profiter de mon bel hidalgo le plus longtemps possible.
Je lèche maintenant ses couilles délicatement épilées, caresse ses fesses et doucement le reprend en bouche ...
Puis, par jeu, je me lève et vais regarder par la fenêtre. La vue sur Paris est sublime et je sens Enrique se coller à moi.
Ma jupe tombe à mes pieds. Je sens son sexe dur contre mes fesses, j'adore.
Il glisse une main sous mon porte jarretelle, joue avec, le fait claquer contre mes cuisses.
Une petite claque sur mes fesses m'annonce un changement de jeu.
Je deviens la proie.
- Tu voulais m'échapper, belle inconnue ...
Pour toute réponse je me cambre ce qui a pour effet d'exposer mon cul de façon indécente. Un appel à la fessée.
Mon photographe adoré comprend immédiatement le message, et mes fesses rougissent sous la claque suivante.
Je mouille maintenant comme une folle. Chaque fessée accroit mon trouble et mon envie de me faire prendre, là, tout de suite.
Enrique écarte ma culotte et je sens son sexe glisser entre mes cuisses. Je me cambre encore pour lui faciliter le passage.
D'un coup de rein, il me pénètre. Je ne peux m'empêcher de pousser un cri.
Que c'est bon !



Agrippé à mes hanches, il me baise maintenant sans ménagement. Ma vue se brouille, mais je distingue malgré tout un homme à sa fenêtre dans l'immeuble d’en face.
Il nous matte sans vergogne. Son sexe à la main, ile se branle en me regardant me faire baiser.
Enrique s'en aperçoit et me dit :
- Ne t'inquiète pas, il est toujours là ...
Finalement, cela m'excite encore plus et j'écarte mes fesses pour sentir le sexe de mon amant encore plus profondément dans ma chatte.
Mon bel hidalgo se méprenant certainement sur mes intentions sort son sexe de ma chatte et pose son gland sur mon anus.
- Non pas ça
- Ah, je pensais que ...
- Je ne suis pas une adepte de la ....
Nous ne sommes pas les rois des fins de phrase.
- Laisse moi faire. Tu vas aimer.
Enrique frotte doucement son gland entre mes fesses, comme pour me masser. Sans chercher à me pénétrer, ce qui me met progressivement en confiance.
Je me détends et il me chuchote des mots crus à l'oreille.
Cet homme est diabolique ou il me connait d'une vie antérieure. Il lève tous mes freins comme par magie, sachant parfaitement ce que j'attends d'un homme, au moment ou je l'attends.
Toujours est il qu'entendre sa voix chaude au creux de mon oreille me donne la chair de poule, et me libère totalement.
Il le sent et presse son gland à l'entrée de mon anus qui s'ouvre doucement à cette nouvelle sensation.
La douleur se mêle à l'excitation mais la lenteur de la pénétration me laisse le temps de m'habituer.
Enrique s'allonge sur le sol et me demande de descendre sur son sexe.
- Viens ma chérie, c'est toi même qui va t'enculer. Comme tu le souhaites.
Le mot me fait sursauter. Je l'ai toujours trouvé très cru, très indécent, pour tout dire vulgaire.
Mais là, je ne saurais dire si c'est l'accent charmant de mon amant ou mon excitation grandissante, mais il provoque en moi comme une déflagration érotique.
Je pose les mains sur son torse et descend mon bassin mm par mm sur son sexe turgescent. Je sens mon ventre s'ouvrir. La douleur disparait progressivement et laisse la place à un trouble profond.
Mon souffle devient court et je m'empale complètement sur son sexe.
- Oui, Enrique, c'est bon, ouiiiiiiiiiiiiiii
Pour toute réponse, il prends mes fesses à pleine main, les écarte et d'un coup de bassin me pénètre encore plus profondément.
- Ahhhhhhhh
J'ai des étoiles plein les yeux et sens mon ventre se contracter. Il commence des va et viens entre mes fesses qui me tirent des cris de plaisir.
Je n'aurais jamais cru ressentir cela un jour. Un plaisir différent, violent, presque animal.
Je ne suis plus qu'une poupée de chair, mais qui garde suffisamment de lucidité pour remarquer notre voyeur en train de prendre des photos au téléobjectif.
Sur le moment cela me laisse indifférente.
D'autant plus que l'assaut que fait subir Enrique à mon cul devient frénétique.
Ma jouissance est proche et la sienne aussi si j'en crois ses râles.
Son cri me surprend néanmoins. Un cri de délivrance et de domination. Il porte l'estocade au fond de mes fesses. Il est le torero, je suis l'animal.
Mais à la différence du toro, je prends du plaisir à me faire sodomiser. Un plaisir fou, même. Un plaisir nouveau pour moi, comme si mon ventre s'ouvrait.
- Oui, Enrique, oui, je jouis .....
Je sens son sperme chaud inonder mon cul par saccade et cela décuple mon orgasme.
Je m'affaisse sur son ventre, chancelante, en nage, le souffle coupé.
Il nous faudra de longues minutes pour retrouver notre pleine conscience.

- Enrique ?
- Oui ?
- Tu es sur de n'avoir pas oublié de me montrer quelque chose ?
Le regard mal assuré de mon beau photographe me confirme que j'ai vu juste.
- Je ne comprends pas.
- Mais si, tu comprends parfaitement. Tu es bien meilleur amant que menteur.
- N'existerai-t-il pas un autre album secret, plus intime encore ? Celui de tes
ébats avec des naïves en mon genre ?
- Mais non ...
La gifle le cueille par surprise et le laisse sans voix.
J'en profite pour me rhabiller à toute vitesse et avant qu'il ne réagisse, je suis déjà dans l'escalier.
Un étage plus bas, n'entendant aucun bruit, je m'arrête pour reprendre mon souffle. Tout a été si vite que la tête me tourne.
Je m'appuie contre le mur et me demande si je n'ai pas rêvé.
Mais la sensation de ma culotte en dentelle trempée contre mon sexe me tire un sourire.
Décidemment, je devrais acheter de la lingerie plus souvent ....

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Leo20200
Formidable. J’attends avec impatience la prochaine.
Posté le 17/01/2023

Valentina
Super! J'aimerais rencontrer ce photographe :)
Posté le 8/01/2022

Exorium
Une après-midi d'une extrême sensualité. On vous lit avec infiniment de plaisir.
Posté le 5/01/2022

Mathilde
Superbement écrit. Un érotisme élégant.
Posté le 5/01/2022


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :