Histoire Erotique

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Lisa et moi (2ème partie)

J’ai peut-être commis l’irréparable avec Lisa. J’hésite entre avouer mon infidélité et ne rien dire. Lisa va bientôt me rejoindre. Remarquera-t-elle quelque chose ? Et de son côté, as-t-elle été irréprochable ? Ndla : pour une meilleur compréhension du texte, les parties entre « ***…*** » sont des réflexions dans la tête de Lisa.

Proposée le 29/09/2021 par Wiseguy55

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Thème: extra-conjugal
Personnages: Groupes
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


Il est 11h00, le TGV arrive à l’heure pour une fois. J’ai repris un peu de contenance depuis hier soir même si je n’ai presque pas dormi, on va voir si elle remarque quelque chose.
Je m’attends à voir Lisa et sa splendide chevelure rousse sortir du train et à la place je vois Lisa les cheveux très courts, coupés à la garçonne et teints en blond platine. Moulée dans son jean, chaussée de petits bottillons à talons, elle porte un blouson de cuir beige clair cintré et un chemisier de coton tout simple. Elle traîne derrière elle un trolley qui semble plein à craquer.
- Bonjour Mon Amour. Tu as changé de tête ! Ça te va super bien.
- Bonjour Mon Chéri. Oui j’avais envie de changements. Ça te plaît alors ?
Dans la voiture qui nous mène à l’hôtel on continue les petits mots gentils en une conversation classique entre conjoints qui ne se sont pas vu de la semaine. - Comment s’est passée ta mission - et toi ton boulot -j’ai vu une telle - j’ai eu une réunion avec machin – l’hôtel est sympa – le buffet petit dej assez limité - …

-A propos de l’hôtel, j’ai été voire sur Trip Advisor ce que tu avais réservé. J’ai été surprise !
- Tu parles du bar ? Oui j’ai été y prendre un verre hier soir et j’y ai vu des trucs !
Putain d’entrée en matière. Soit je lui déballe tout et le week-end tourne à coups surs à la catastrophe mais j’aurai fait preuve de courage, soit je ne lui raconte que le stricte minimum et je sauve les meubles mais c’est moche de ma part. Tant pis, soyons lâche. Je lui raconte la petite blonde boulotte dans les toilettes, les couples improvisés et même l’épisode Sharon Stone de Catherine en prenant bien soins de ne pas mentionner son prénom et de m’arrêter au moment où je me suis aperçu qu’elle n’avait pas de culotte.
- Et c’est tout ? Personne ne t’a abordé ou proposé un truc ?
- Non, à part le barman, je n’ai parlé à personne.
- C’est bien tu as été sage « ***mon pauvre chéri, si tu savais*** »
- Et toi, tu as été sage ?
- Ben évidemment malgré que j’ai été draguée par Victor, tu sais le black de la salle de fitness. « ***Il m’a baisée dans les vestiaires*** »
- Et tu as résisté ?
- M’enfin oui ! « ***Tu parles, il m’a planté son énorme queue tout au fond de ma chatte, j’avais l’impression de me faire empaler*** »
- Pourtant je sais qu’il te plait et que tu as déjà fantasmé sur lui à plusieurs reprises.
- Je suis capable de me contrôler. « ***Mais là, j’ai perdu tout contrôle, j’ai fini à plat ventre sur le carrelage froid des vestiaires avec cette montagne de muscles en train de me pilonner. Je mouillais tellement que j’en dégoulinais sur le carrelage. Heureusement qu’on était les derniers dans la salle car j’ai hurlé de plaisir au moment où il s’est vidé en moi. Je n’aurais jamais cru qu’un homme puisse produire autant de sperme en une fois. *** »
Je m’en veux encore plus d’avoir craqué, j’aurais dû rembarrer cette fille et me branler. Mais bon, ce qui est fait est fait, heureusement que je me suis protégé.
On arrive à l’hôtel. Lisa veux se rafraichir, changer de chaussures et défaire ses bagages. On continue notre conversation anodine sur la semaine écoulée et je sens un stress monter. La chambre a été faite pendant que j’allais chercher Lisa à la gare mais les draps n’ont pas été changés. Lisa a un odorat de loup, elle va forcément sentir l’odeur de ma compagne d’hier. Peut-être pas maintenant mais ce soir en se couchant c’est certain. Vite, trouver une parade…Pendant qu’elle est dans la salle de bains, je lui demande si elle veut un café. La chambre dispose d’une machine à expresso. Comme elle me répond que oui, j’en prépare deux tasses et verse volontairement un peu du contenu de la mienne sur les draps. Je feins la maladresse et l’énervement. Quand elle sort de la salle de bains, je suis au téléphone avec la réception et, après m’être excusé, je demande si il y aurait moyen de changer mes draps. Ma requête est bien sûr acceptée, les draps seront changés dans l’heure. Ouf, problème réglé.
On part faire la visite de la ville. Vers 13h on mange un petit bout sur le pouce. La ville est très jolie mais les endroits intéressants assez peu nombreux si bien qu’en tout début de soirée on tourne déjà un peu en rond. On repère alors un resto qui semble assez sympa et on se dit qu’on y reviendra ce soir après être rentré à l’hôtel et avoir pris une bonne douche. Secrètement j’espère que la douche sera suivie d’une partie de baise mais rien n’est moins sûr.
- Lisa, tu veux aller en premier dans la douche ?
- Non, vas-y toi j’en profite pour surfer un peu vu qu’il y a le Wifi. « ***Je vais surtout aller voir mes messages, mon téléphone a vibré 5 fois pendant la visite de la ville et je pense que c’est Victor qui me relance encore. Depuis qu’il m’a baisé mardi soir, il n’arrête pas de m’envoyer des messages et des photos de lui à poil et en érection, si mon chéri tombe sur ces photos, j’aurai du mal à lui expliquer. Effectivement c’est bien Victor. Mais merde c’est quoi cette photo !? Mais c’est moi, enfin c’est mon cul, avec sa bite en moi. Ah, il y a un message -On remet ça sinon ton mec aura la photo- Mais il me fait du chantage ce con !!! Bon on verra plus tard, j’entends que mon chéri sort de l’eau. J’ai intérêt à me calmer, je suis à la fois mal de cette tentative de chantage et très excitée par cette photo. Qu’elle garce je suis*** ».

Je sors de la salle de bains et je croise Lisa qui a les joues rouges. Elle semble pensive. Je vais la laisser tranquille. Encore enroulé dans ma serviette je m’allonge sur le lit (dont les draps ont été changés), j’attrape la télécommande de la télé et je zappe. Quand Lisa prend possession de la salle de bains il faut 1-s’armer de patience ou trouver un truc à faire, 2-lui foutre la paix. Bruits d’eau qui coule, bruits de flacons, bruit de sèche-cheveux, porte qui s’entrouvre sur un épais nuage de buée parfumée, encore un peu de bruit dans la salle de bains et elle apparaît, nue comme un verre, belle comme une déesse, maquillée, parfumée et … épilée.
Lisa est debout devant moi. Je ne me lasserai jamais de la beauté de cette jeune femme. Ses fesses finement musclées, ses longues jambes si bien galbées, ses hanches, sa taille fine, ses seins fermes, son cou paraissant si frêle maintenant que ses cheveux ne le cache plus. Son visage d’ange tellement souriant. Et ses nouveaux petits cheveux blond platine qui lui donnent un air mutin. Je mets au défi n’importe quel homme de ne pas tomber sous son charme. Elle vient s’allonger près de moi.
- Dis mon chéri, tu as faim ou tu crois qu’on a le temps pour des cochonneries ?
- Des cochonneries, carrément ! Je pensais tu voudrais plutôt faire l’amour.
- Non, je veux faire des cochonneries.
Généralement dans ces moments-là, on commence par se coucher côte à côte et se masturber mutuellement en se racontant tous nos fantasmes. On n’a aucun tabou. C’est moi qui commence, je lui raconte en détail tout ce qu’il s’est passé hier avec Catherine en lui prétendant que c’est un fantasme et que j’invente au fur et à mesure mon histoire. Je ne sais pas si elle y croit mais en tout cas ça l’excite, elle mouille abondamment et, couchée sur le dos, ouvre grand ses cuisses. J’insère deux doigts dans son vagin et de l’autre main, je lui agace le téton situé le plus près de moi. Je prends mon temps, n’omettant aucun détail. Elle est de plus en plus excitée. Sa main droite serre ma bite et fait des petits mouvements réguliers. STOP-PAUSE sinon on va jouir dans les mains l’un de l’autre. Elle me raconte alors son fantasme dont le récit est aussi détaillé que le mien.
- Tu te rappelles de Victor ? Le gars de la salle de fitness ! « ***je vais lui raconter tout ce qui m’est arrivé, sans rien enjoliver, sans rien éluder*** ».
- Evidemment !
- Alors voilà, dans mon fantasme je prends une douche dans le vestiaire réservé aux coaches. Victor fait le tour de la salle après avoir soulevé de la fonte et ferme l’accès public. Nous ne sommes plus que deux. Je sors de la douche nue avec seulement ma serviette autour de moi, Victor m’attend assis sur la banquette. Il est torse nu avec un legging très moulant qui montre bien son gros paquet entre les jambes. Il ne s’est pas douché après avoir soulevé de la fonte, il sent la transpiration et est encore en sueur. Il se lève, m’attrape les bras et me colle le dos aux casiers métalliques qui sont très froids et me donnent la chair de poule, mes seins pointent. Ma serviette tombe au sol. Il me dépasse de presque une tête. Il est énorme, ses mains font presque tout le tour de mes bras. Ses muscles sont saillants. Ses abdos et son torse luisent de sueur. Il me dit que je l’ai chauffé toute la soirée et que je vais prendre cher et ça m’excite à mort.

Il me force à m’agenouiller devant lui, sort son énorme queue de son pantalon et me dit de le sucer. Son gland est très gros et sa queue noire est longue et très épaisse. Elle est tellement longue que même quand son gland vient buter au fond de ma gorge, je peux presque mettre mes deux mains sur la partie de sa bite qui est hors de ma bouche. Je m’étouffe avec sa queue, il me traite de petite pute, me dit qu’il va me déchirer la chatte et au plus il est brutal, au plus je mouille. Il m’attrape la nuque, me remet debout et m’entraîne jusqu’au bench press défectueux qui est stocké dans le vestiaire. Il me fait asseoir à califourchon sur le banc, tournée face aux chandelles, le cul vers l’extrémité du banc. Il m’attache les mains aux chandelles et les chevilles au pied du banc avec des élastiques de musculation. Il me met deux doigts dans la chatte, constate à quel point je dégouline et me traite de pute qui n’attendais que ça. Il se place derrière moi, il frotte son gland à l’entrée de ma chatte et commence à entrer sa bite. Malgré que je mouille, j’ai peur d’avoir mal vu la taille du monstre. Ses premiers allers/retours sont assez lents et je m’assouplis doucement. Ça ne dure pas très longtemps, dès que je suis assez large, il commence à me baiser beaucoup plus durement et reprend ses commentaires.

Il dit qu’il ne me baisera pas le cul aujourd’hui mais que quand je serai accro à sa bite, ce sera moi qui lui demanderai de m’enculer. Je suis dans une position très inconfortable, cambrée au maximum, pieds et mains liés. Il me baise de plus en plus fort, il prend mes deux seins avec ses énormes mains. On reste dans cette position une éternité jusqu’à ce que je n’aie plus de sangs dans les mains. Je lui dis alors de me détacher et il s’exécute. Mais c’est pour me faire allonger sur le dos toujours sur ce petit banc. Il me prend par la taille et me fait glisser pour placer mes fesses au bord du banc comme si je ne pesais rien. Il maintient mes jambes par les chevilles et les places à la verticale. Il m’enfonce sa bite plus loin encore. Mon vagin est complétement rempli par sa bite qui n’est même pas entrée complétement. C’est agréable mais douloureux, alors comme mes mains sont libres, je me caresse le clitoris histoire d’atténuer la douleur. Je monte très vite et je suis au bord de l’orgasme. Il s’en aperçoit, se retire et me dit « pas encore ma belle ». Il me fait coucher à plat ventre sur le sol, le carrelage est froid et ça me pince les seins. Il se place au-dessus de moi et me pilonne de plus belle. Ca fait bien une heure qu’il me baise comme si j’étais un jouet, sans chercher à me faire plaisir et ça aussi ça m’excite. Je le sens se contracter et je l’entends grogner au moment oui il jouit. Il éjacule dans mon vagin une quantité énorme de sperme et je hurle de plaisir. Il se relève, remet son pantalon, sort du vestiaire et me dit « à la prochaine, salope ».

- Eh bien, ça c’est du fantasme, on dirait presque du vécu !
- T’es con !

Durant tout son récit, Lisa n’a pas cessé une seconde de me branler, parlant d’une toute petite voix sensuelle. Son récit m’a excité au-delà de tout ce que j’aurais pu croire. Je me jette sur elle, je la pénètre très facilement tant elle est mouillée et on jouit tous les deux en quelques minutes. Allez, vite une autre petite douche et on se prépare à aller diner.
Le resto est assez décevant, la nourriture est assez moyenne, le service expédié et l’endroit bruyant. Malgré tout, je suis heureux d’être ici avec Lisa. On se reparle de notre séance de sexe et de nos « fantasmes » avoués. Lisa me dit qu’elle est dans une période où elle a souvent envie de sexe et que si je suis assez en forme on pourrait remettre ça en rentrant. On reparle aussi du bar de l’hôtel.
- Je suis curieuse de voir ce qui s’y passe.
- Tu veux qu’on aille y faire un tour après le resto ?
- Tu crois ? Mais si on nous aborde ?
- On verra à ce moment-là. Soit on est open, soit on ne l’est pas.
- Comment-ça « open » ? Tu serais prêt à tenter une expérience ?
- Tu te rappelles du film porno qui t’a rendue dingue ?
- Et comment ! C’est depuis lors que ma libido a explosé. Et donc ça voudrait dire que tu serais prêt à ma regarder me faire sauter par des mecs devant toi !?
- C’est l’occasion en or ! On est loin de chez nous, personne ne nous connaît, à priori on ne remettra plus les pieds dans cette ville et on connaît un endroit ou potentiellement il est possible de trouver des amateurs. Et pour couronner le tout on a déjà une chambre à disposition.
- T’es fou ! Mais j’adore l’idée. (en chuchotant) Je suis de nouveau toute mouillée !
- Il faut juste se mettre d’accord sur les limites. Si un de nous deux dit stop, on arrête immédiatement. Le ou les heureux élus devront obligatoirement mettre une capote. Ça ce sont mes limites. Et les tiennes ?
- Pas plus de trois gars en plus de toi et jamais plus de deux en même temps. Personne dans mon cul, sauf peut-être toi, on verra. Et c’est moi qui choisis les mecs.
- Ok, je demande l’addition et on file à l’hôtel.

On paye rapidement et on se dirige à pied vers l’hôtel. On se rassure mutuellement sur le fait qu’il n’y a aucune obligation, aucun engagement et que dès lors que un de nous deux ne le sent pas, on remonte dans la chambre et tant pis pour la partouze.
- On repasse d’abord par la chambre, j’ai envie de changer de robe.
- D’accord j’irai acheter des préservatifs au night shop en face de l’hôtel.
Je remonte dans la chambre avec ma boîte de 12 dans la poche. Lisa est là qui m’attend. Elle a mis une toute petite robe blanche à fines bretelles terriblement prêt du corps et très légèrement transparente qui laisse deviner la présence d’un mini string de dentelle blanche. Elle a mis de chaussures à semelles compensée de liège qui allongent encore un peu plus ses jambes. Au moment où j’arrive, elle enfile une fine veste à revers gris clair qui descend en dessous de sa robe. Si de derrière on peut croire qu’elle est nue sous sa veste, de face on est certains qu’elle est presque nue. Lisa me demande d’attendre encore deux secondes et va chercher dans son beauty case une chevillière en argent qu’elle boucle à sa cheville.
- Tu connais la signification de cette chevillière ?
- Non, je croyais que tu la mettais pour être encore un peu plus sexy.
- En partie oui, mais ça veut dire que je suis une « hotwife », autrement dit, une femme que le mari souhaite partager.
- Tu avais bien prémédité ton coup. Tu es une petite garce, une jolie et adorable petite garce mais une petite garce quand même.
- Héhé « ***tu n’as pas idée à quel point !!!*** ». Mon épilation intégrale aurait dû te mettre la puce à l’oreille. Et puis, ose me dire que tu n’y as jamais pensé !
On se dirige vers le bar, il est beaucoup plus rempli que hier. On reste quelques minutes debout près du comptoir en attendant qu’une table se libère. Le fait de rester debout bien en vue attire forcément l’attention sur Lisa qui est radieuse. Beaucoup de regards d’hommes s’attardent sur elle. On est même abordé par un vieux bonhomme qui louche ostensiblement sur la poitrine de Lisa. En l’absence de réaction positive, il passe son chemin. Trois autres gars approchent. Ils ont la quarantaine et sont assez sympa. Celui qui semble le plus âgé des trois entame la conversation avec nous, très vite, les deux autres se mêlent aux discussions. De deux choses l’une, soit ces gars n’ont pas d’intentions particulières, soit ils sont très malins et savent s’y prendre avec Lisa. On parle de tout et de rien, il n’y a pas d’allusion, pas de contact physique ni même de regards trop appuyés. On ressent bien que Lisa leur plaît beaucoup car ils font en sorte de se mettre en évidence à la moindre occasion.
Une alcôve se libère, on décide avec Lisa de s’y installer, les trois gars nous demandent si ils peuvent nous y accompagner. Petit signe de tête et regard vers Lisa qui me fait comprendre que oui. Son regard pétille, elle semble emballée, laissons faire les choses et on verra ou ça nous mène. Je n’ai pas envie de forcer. Dans l’alcôve il y a quatre places. Deux des gars prennent chacun une place du fond, Lisa s’installe d’un côté en début d’alcôve et le troisième gars s’installe en face d’elle. Je prends un fauteuil capitonné à une table basse voisine et je m’installe face à l’alcôve. Je suis assis un rien plus bas que les autres ce qui me permet d’avoir une vue oblique sous la table. Il n’y a pas de serveur, je me propose d’aller au bar prendre notre commande. Le gars assis en face de Lisa me dit :
- Je t’accompagne, la première tournée est pour moi.
Je laisse Lisa seul avec les deux autres gars. La prise de commande traîne un peu, j’ai Lisa en visuel qui leur fait son numéro de charme, elle minaude, se cambre, passe sa main sur sa bouche, sourit en penchant la tête et regardant du coin de l’œil. Les deux gars sont rouges comme des tomates et parlent en gesticulant de plus en plus. Le troisième les observes de loin lui aussi, il a un regard narquois.
- Regardes mes deux potes, une jolie fille à proximité et ils ne savent plus comment ils s’appellent.
- Oui, je vois ça. Tu es plus calme toi non ? Tu es du genre « ténébreux ».
- Oui, et généralement c’est moi que la fille préfère.

Voilà, les cartes sont abattues, ils considèrent Lisa comme un trophée et je suis le handicap de la compétition. Ils veulent jouer, jouons.
On a donc le Ténébreux, grand, mince, allure athlétique, cheveux châtain foncé et yeux noirs, le Costaud, un peu plus petit, larges épaules un peu tombantes, grosses paluches, yeux bleus très clairs et visage doux malgré une légère calvitie et le Vieux, cheveux gris, barbe de trois jours, yeux marrons, de corpulence et de taille moyenne. Tous le trois sont des gars amusants et très courtois même maintenant que la partie a commencé.
De retour à l’alcôve je croise le regard de Lisa. Elle est toute excitée et se penche vers moi pour me susurrer à l’oreille :
- Tu es toujours d’accord ? Je pense qu’on a trouvé ce qu’on cherchait.
- Je pense qu’ils ont démarré une petite compétition entre eux pour savoir qui va réussir à t’avoir. Il va falloir leur faire comprendre qu’ils peuvent potentiellement tous t’avoir.
Au même moment, raisonne dans les baffles du bar une chanson de Metallica dont un des couplets semble avoir été écris pour nous ce soir :

Trust I seek and I find in you

Every day for us something new

Open mind for a different view

And nothing else matters

Chacun des trois y va de son petit numéro de charme et il est vrai que le Ténébreux semble le plus doué. Le Costaud est le plus timide mais il a une manière de faire des compliments qui font mouche. Je sais que Lisa est très sensible à la gentillesse en générale mais là il ne s’agit pas de tenter de la séduire sur le long terme, il se trompe un peu de stratégie. Les trois potes tournent autour du pot, ne sachant pas très bien comment faire évoluer la situation. Je ne vais pas les aider, après tout, leurs approches font aussi partie du jeux. Le Ténébreux est le premier à mettre carrément les pieds dans le plat.
- Jolie chevillière Lisa !
- Merci !
- Elle a une signification quelconque ?
- Tu veux connaître sa signification ou tu veux savoir si moi je la connais ?
- T’en pense quoi ?
- J’en pense que tu la connais. Et tu sais quoi ? Moi aussi, nous aussi…
- Alors si tout le monde est d’accord !
Et tous les trois se font plus pressants, commencent même quelques furtifs rapprochement physiques. Des mains qui frôlent, des mots dits au creux de l’oreille de Lisa dont l’excitation monte d’un cran. Chacun son tour tente son approche.
Le Vieux est celui qui plaît le moins à Lisa, trop sûr de lui, trop arrogant, il se met en évidence en tentant d’écraser ses potes. Lisa me fait signe discrètement que lui c’est mort. Reste les deux autres. On cherche l’occasion de l’évincer gentiment. Et le destin semble être avec nous.
La petite blonde dodue de la veille fait son entrée dans le bar. Le Vieux la voit de loin et se détend comme un ressort. Il va à sa rencontre, ils tombent dans les bras l’un de l’autre et s’installent au bar de l’autre côté de la salle. Le Ténébreux se tourne vers le Costaud :
- Je te l’avais dit, il nous a emmené ici juste pour pouvoir se la taper.
- Oui je sais il a des goûts de chiotte que veux-tu que je te dise de plus.
- On est désolés pour la grossièreté de notre pote, vraiment. J’espère que ça ne change rien pour nous.
Lisa très habilement leur dit que quelque part ça nous arrange pour ce qu’on projetait ce soir. Elle se rapproche du Costaud en croisant les jambes afin que le Ténébreux puisse bien voire sa chevillière. La main de Lisa se pose sur la cuisse du Costaud qui dissimule mal son malaise en croisant mon regard. De mon fauteuil je vois qu’il se laisse faire même quand la main de Lisa remonte vers sa braguette. Il pose lui aussi sa main sur la cuisse nue de Lisa mais reste à bonne distance de son entrejambe. Le Ténébreux n’en loupe pas une miette lui non plus et me regarde avec un sourire interrogateur. Devant mon absence de réaction, il comprend que lui et sont potes ne sont pas les chasseurs mais les proies. Je l’invite à s’asseoir de l’autre côté de Lisa, ils seront un peu serrés mais qui ça dérange ? Je m’installe sur la banquette opposée et continue de boire mon verre. Les attouchements entre les trois sont de moins en moins discrets. Les deux gars n’hésitant plus à plonger leurs mains entre les cuisses de Lisa, l’embrassant chacun leur tour, lui caressant le ventre et remontant furtivement jusqu’à sa poitrine qui pointe à travers sa petite robe, passant les mains dans son dos et lui touchant les fesses. Lisa est aux anges, elle vit son fantasme sans retenue. Sa jambe se tend et son pied qu’elle a déchaussé discrètement vient, sous la table, caresser mon sexe à travers mon pantalon. Le problème c’est qu’on commence à attirer un peu trop l’attention sur nous. Je tente de récupérer un peu de contenance et dit :
- On n’irait pas continuer ça dans notre chambre, on sera plus à l’aise non ?
- Ok on vous suit, notre pote n’aura qu’à prendre un taxi ou un Uber pour rentrer chez lui.
On traverse la salle et au moment de se diriger vers le hall de l’hôtel, le Vieux nous rattrape.
- Hé, vous allez ou ?!
Avant qu’on ait eu le temps de répondre le Costaud intervient.
- Attend mec, tu nous plantes et tu veux qu’on t’attende ! Et puis d’ailleurs elle est ou « Miss Toilettes des Hommes » ?
- Oh ça va, elle s’est tirée avec un gamin.
- Tu t’attendais à quoi franchement ?
Le Ténébreux se mêle à la conversation et Lisa et moi on se dit que notre super plan s’arrête là.
- Tu crois que si on leur propose de monter tous les trois ça pourrait les calmer ?
- Je croyais que tu ne voulais pas du Vieux, que tu voulais te faire seulement les deux autres.
- Fais-moi confiance, j’ai une idée qui m’excite assez. Tu me suis ?
- Qu’est-ce que tu vas nous annoncer ?
- Tu me suis oui ou non ?
- Oui, étonnes moi.
Je connais les capacités d’adaptation hors normes de Lisa, mais j’avoue être bluffé par ce que je l’entends leurs proposer.
- Bon, les garçons calmez-vous, chacun y trouvera son compte ce soir mais les choses devront se dérouler selon mes règles. Si vous n’êtes pas prêts à les suivre, rentrez chez vous, je suis certaine que vos femmes vous attendent. Premièrement, c’est moi et moi seule qui décide de ce que je vous laisse me faire et jusqu’où je suis prête à aller mais sachez déjà qu’aucun d’entre vous n’ira dans mon cul, même avec un doigt. Deuxièmement, aucun enregistrement, ni photo, ni vidéo, ni audio, pas de petits souvenirs. Troisièmement, un à la fois. Et quatrièmement, préservatif du début à la fin. Ok pour tout le monde ?
- OK
- OK
- Ok
- Et toi mon chéri, ok pour toi aussi ?
- Euh oui, …ok…
Les trois potes et moi sommes tellement surpris par cette prise en main de la situation de Lisa que personne ne dit un mot dans l’ascenseur. Elle sort la première et nous devance en roulant des hanches. La tension remonte chez tous les cinq. J’ai quand même un peu peur de la tournure que risquent de prendre les événements mais mon envie est plus forte. Arrivés à la chambre, j’ouvre la porte et laisse passer les trois invités. Au moment de passer devant moi, Lisa me chuchote à l’oreille.
- Je vais me faire prendre à la chaine comme une pute et ça m’excite à mort. Je mouille à un point, t’as pas idée ! Fais les patienter dans le petit bureau le temps que je me prépare.
Le petit bureau est en fait le hall d’entrée de la chambre. Il est juste plus grand que les halls classiques entre la chambre et la salle de bains. Il dispose outre d’un bureau et d’une chaise, d’une petite table basse autour de laquelle sont disposés quatre petits fauteuils individuels assez peu confortable. IL y a aussi comme dans tout hall de chambre d’hôtel classique, une penderie avec un grand miroir sur un des panneaux.
Lisa file dans la chambre et lance d’un air amusée :
- Tout le monde à poil, je vous dirai quand je serai prête.
On est là tous les quatre nus dans la même pièce. J’en profite pour jauger les trois potes et essayer de deviner lequel sera le plus à même de plaire à Lisa. Le Vieux est assez bien conservé, apparemment sportif dans la cinquantaine. Il est presque entièrement dépourvu de pilosité y compris au niveau de son pubis ou on trouve une maigre toison grisonnante qui fait ressortir sa très grosse bite. C’est peut-être ça qui le rend arrogant. Allez savoir. Le Costaud a un corps brut, larges épaules, larges bras, larges cuisses. Sans être doté de muscles saillants, tout lui en témoigne du fait que c’est une force de la nature à commencer par ses grosses mains. Il a une pilosité importante mais très entretenue sur la poitrine et je le soupçonne de se faire épiler le dos. Sa bite n’est pas d’une longueur imposante mais est à son image robuste et large. Le Ténébreux enfin, très soucieux de son image, c’est le plus apprêté des trois, sa coupe de cheveux, sa musculature, sa pilosité, rien n’est laissé au hasard, même pas sa queue rasée et circoncise. Trois profils assez différents.
Lisa ouvre la porte de la chambre, elle est entièrement nue à l’exception de bas auto-fixant blancs que je ne lui connaissais pas. Elle qui d’habitude n’aime pas la lingerie, la voilà transformée par ce simple artifice blanc qui contraste avec sa peau dorée par les UV. On la regarde de haut en bas tous les quatre et on bande tous les quatre. En érection, la bite du Vieux est encore plus impressionnante. Lisa tend la main vers lui.
- Tu viens ?
Il n’a pas le temps de répondre, elle lui prend la main et l’entraine dans la chambre en prenant soin de laisser la porte entrouverte. Grâce au miroir de la penderie je pourrai voir ce qui se passe dans la chambre en étant assis dans le fauteuil du bureau.
Il reste debout à côté du lit, directement Lisa s’agenouille devant lui et lui met une capote sur la queue. Elle s’est positionnée de profile de manière telle que je ne rate rien de la scène. Je vois la grosse queue du Vieux entrer et sortir de la bouche de Lisa. Je les entends, lui commencer à grogner et elle dégluti et respirer par le nez, la bouche étant sans doute trop remplie. Il commence à faire des mouvements de bassins et fait mine de maintenir la tête de Lisa qui se recule et lui fait comprendre qu’elle ne veut pas qu’il la tienne de la sorte. Elle reprend néanmoins là où elle en était et le suce de plus en plus fort, faisant glisser ses mains sur la colonne de chair et les couilles du Vieux. Il se retire précipitamment de la bouche de Lisa. Je comprends qu’il est déjà sur le point de jouir. Il nous a vanté ses « qualités » toute la soirée et là au bout de deux minutes de pipe, il est à l’agonie. Lisa se relève, le fait coucher sur le dos et vient se placer sur lui. De là ou je me situe, j’ai une vue sur ses fesses et sa vulve. Je la vois empoigner la grosse bite et la faire entrer en elle. Penchée vers l’avant, il n’y a qu’une bonne moitié de la queue du Vieux en elle et s’est déjà impressionnant. Elle fait des mouvements de plus en plus amples, recule sur la bite du Vieux et fini par faire entrer l’entièreté dans son vagin. Je l’entends gémir, pas comme quand elle prend son pied mais comme quand elle commence à ressentir du plaisir. Lui ne grogne plus mais râle à présent. Il lui agrippe les fesses et donne des coups de reins vers le haut comme pour s’enfoncer encore plus loin. En un coup, il s’arcboute et retombe sur le dos. Il a joui. Sa participation à notre nuit de débauche aura duré cinq minutes, sept peut-être. On peut avoir été gâté par la nature et ne jamais avoir cherché à développer son talent. Dommage. Il sort de la chambre, s’habille en quatrième vitesse et dit à l’attention de ses potes :
- Bon, je vous attends au bar.
Pas un mot ni un regard à Lisa. Décidément, c’est vraiment un connard. Il a même réussi à me refroidir. J’espère qu’il n’a pas refroidi Lisa, ce serait bête de rester sur un échec.
- Vous venez ou je dois venir vous chercher ?
C’est la voie de Lisa toute guillerette, qui elle n’est absolument pas refroidie contrairement à moi.
- Tous les trois ou seulement un des trois ?
- Je préférerais tous les trois mais c’est vous qui voyez.
Le Costaud et le Ténébreux qui n’ont pas manqué une seconde de la prestation de leur pote entrent en même temps dans la chambre. Mon érection est retombée et je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais avoir un peu de mal à la retrouver. Je décide donc de prendre un des fauteuils du petit bureau, de le placer face au lit et de m’y installer confortablement en regardant comment Lisa va réussir à gérer ces deux hommes.
Lisa s’est allongée sur le dos, elle s’est calée les épaules et le haut du dos contre la tête de lit, elle observe ses deux partenaires avec envie comme on observe un comptoir de pâtisserie. Ils viennent se placer assis de part et d’autre d’elle, sans précipitations. Ils ont compris que Lisa veut faire durer le plaisir aussi longtemps qu’il sera possible.
- Ne m’en veuillez pas si j’ai expédié votre pote mais je ne le sentais pas trop.
- Pourquoi l’avoir baisé alors ? lui demande le Ténébreux
- Disons que ça fait partie du fantasme de me faire sauter par un gars qui ne me plaît pas.
- Et nous on te plaît ? semble s’inquiété le Costaud.
- Vous me plaisez beaucoup tous les deux.
En disant cela, elle ouvre grand ses jambes qu’elle vient placer sur les cuisses des deux hommes. Son sexe épilé est grand ouvert. La bite du Vieux a détendu ses chaires. Ses lèvres sont luisantes, la grosse main du Costaud s’y dirige, introduisant son majeur dans le vagin de Lisa. Le Ténébreux quant à lui caresse son clitoris de petits mouvements circulaires. Il embrasse Lisa avec insistance mais respect, il n’essaye pas de pénétrer sa bouche à tout prix. Le Costaud tout en continuant de la doigter, se penche pour lécher un de ses sein. Lisa à une bite dans chaque main imprime des mouvements en cadence. Les deux hommes bandent dur, leurs queues ayant pris de belles proportions dans les mains expertes de Lisa. Ils émettent tous les trois de petits grognements et bruits de contentement. Plus je les regarde, plus mon excitation monte et je retrouve moi aussi une belle érection. J’essaye de me toucher le moins possible car je sais que je ne résisterais pas longtemps. Je n’ai pour autant pas envie d’aller les rejoindre. Le fantasme de Lisa c’est de se faire prendre devant moi par d’autres hommes, pas que je participe. Et bizarrement ce soir ça me va.
Lisa se couche sur le côté, offrant ses fesses au Costaud et sa bouche au Ténébreux. Chacun enfile un préservatif. Le Costaud soulève la jambe de Lisa et lui introduit sa queue dans le vagin, sans précipitations mais fermement. Il lui tient la hanche et la tire vers lui en même temps qu’il pousse son propre bassin vers l’avant. De ce mouvement lent mais continu, il est entré entièrement en elle. Il imprime maintenant une lente cadence régulière tout en puissance. Le Ténébreux s’est mis sur le dos, la bite pointée vers le haut à quelques centimètres de la bouche de Lisa. Les lèvres de ma compagne s’ouvrent et engouffrent le gland du Ténébreux alors que sa main monte et descend sur la colonne. Elle enfonce un peu plus loin cette bite dans sa bouche, la fait ressortir, reprend la bite en bouche en peu plus longtemps, un peu plus profondément alors que tout son corps bouge au rythme imposé par le Costaud. Elle reprend une dernière fois son souffle et introduit toute la bite du Ténébreux dans sa bouche. Je ne l’ai jamais connue aussi appliquée.
Le Costaud la bascule sur le ventre, place ses mains à la taille de Lisa et la fait se positionner à quatre pattes. Le Ténébreux s’agenouille devant elle. La voilà prise, coincée entre deux bites qui la remplissent, secouée par les coups de reins appuyés du Costaud, gobant la queue du Ténébreux qui lui maintient la tête. Elle n’est plus du tout à la manœuvre, elle est dominée par ces deux mâles qui jouent avec son corps et elle y prend un plaisir énorme. Elle se cambre, s’offrant un peu plus encore, elle branle et suce avidement la bite du Ténébreux, gémit de plus en plus fort. Elle émet un son plaintif quand le Costaud se retire de sa chatte, lâche la queue du Ténébreux à contrecœur. Ils échangent leurs places et le Costaud vient immédiatement mettre sa bite dans la bouche de Lisa tandis que le Ténébreux s’amuse à fouiller son sexe de ses doigts.
- T’es vraiment large ! C’est la grosse bite au Vieux qui t’a ouvert comme ça ?
Lisa est aux anges, elle a ce qu’elle voulait. Elle est baisée comme une pute par deux hommes sous mes yeux. Au plus ils la bousculent, au plus elle se donne. Ils la placent à plat ventre la tête au bord du lit, le Costaud debout devant le lit toujours à lui baiser la bouche et l’autre sur elle, entre ses jambes grandes ouvertes et lui tenant fermement les mains dans le dos. Ils se défoulent, lui disent à quel point elle est bonne et à quel point ils vont continuer de la mettre encore et encore.
Le Ténébreux se retire au bord de l’orgasme. Il nous avoue qu’il est sur le point de jouir. Lisa roule sur le dos, ouvre ses jambes, se caresse le clitoris et l’espace d’un instant s’introduit un doigt dans le vagin. Il n’en faut pas plus pour que le Costaud vienne prendre place entre ses cuisses, s’appuyant sur ses bras il pilonne Lisa qui croise ses pieds dans son dos et bascule son bassin pour permettre une pénétration plus profonde. Il passe ses bras sous les genoux de Lisa et reviens en appuis sur ses mains. Lisa est littéralement pliée en deux, ses genoux à ses oreilles. Les couilles du Costaud lui claquent les fesses à chaque coup de bite.
- C’est vrai que t’es large salope, je sens à peine ta chatte.
Le Ténébreux qui a aussi été chercher un fauteuil s’installe à côté de moi et observe ma Lisa se faire défoncer par son pote. Et au plus le Costaud y va fort, au plus Lisa se met à crier. Le Ténébreux dit à son pote de se coucher sur le dos et à Lisa de venir sur lui. Les deux s’exécutent, Lisa vient s’empaler sur la bite du Costaud elle se tourne alors vers le Ténébreux cherchant son sexe de sa bouche. Après avoir enfilé un nouveau préservatif, il se positionne debout sur le lit et s’apprête à pénétrer la bouche de Lisa.
Lisa prend de plus en plus de plaisir à être remplie à l’extrême et recommence à gémir
Le Ténébreux se retire au bord de l’explosion.
- Jouis sur moi, jouis sur mes fesses.
Il retire sa capote, se branle quelques secondes et jouit à gros jets sur les fesses de Lisa.
- A toi maintenant !
Elle se retire de sur le Costaud, tourne son cul tendu vers lui et enfonce sa tête dans le matelas. Il retire aussi sa capote et vient ajouter une belle quantité de sperme sur les jolies fesses de Lisa pourtant déjà bien souillées. Sans bouger, Lisa me regarde.
- Baise moi, fais-moi jouir.
Je m’agenouille derrière elle et la baise de toutes mes forces. La muqueuse de son vagin complétement ouvert venant néanmoins frotter mon sexe par endroits, la vue du sperme dégoulinant sur ses fesses m’excitent. Lisa se caresse alors que je me lâche en elle. Je jouis en elle et au moment où mon sperme se répand dans son ventre elle jouit également.
Lisa se lève et file à la douche, je propose à nos invités de se doucher une fois qu’elle aura fini. Mais ils préfèrent s’éclipser après avoir été remercié Lisa dans sa douche et l’embrasser une dernière fois.
Une fois les gars partis, je rejoins Lisa dans la douche.
- Ça t’a plus, c’est ça que tu voulais ?
- J’ai adoré même si je m’en veux un peu de m’être lâchée à ce point. Je m’en veux par rapport à toi. Quelle image tu vas avoir de moi maintenant ?
- J’ai l’image d’une femme qui est allée au bout de son fantasme, avec mon consentement, sans le faire en douce…L’image d’une petite salope qui a pris son pied !
- Méchant, tu te moques !
On est épuisés, on se couche rapidement après la douche. On se prend dans les bras, on se dit des mots gentils, on se câline. Comme à chaque fois qu’on se déchaine au lit, on a besoin de se retrouver au calme et de se câliner. Et vu l’ampleur du déchaînement, on va avoir besoin de beaucoup de tendresse.

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Commentaires de l'histoire :

humeuriste
Bonsoir et merci ! Cependant, la fatigue ou l’inattention peut-être, vous fait écrire : "ça t'a PLUS" ? comparatif de supériorité et non participe passé du verbe plaire !!! et de nouveau : "cette petite VOIX au lieu de cette petite voiE ! Malgré ces remarques présentées en toute aménité ; j'ai bien aimé votre récit. Didier
Posté le 3/10/2021

Anonyme
Elle a surtout pris son mari pour 1 con vu qu'elle a baisé sans capotes. En plus elle n'a pas le courage de ses actes vu que l'autre debile l'a fait chanter et elle n'a rien dit à son mari. Bref
Posté le 30/09/2021


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