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Colocataires avec bénéfices

Tout se passait parfaitement dans notre collocation, jusqu'à ce qu'une histoire de sexe vienne tout remettre en cause. Ceci est une histoire réelle. J’ai juste changé les noms, résumé certains passages et complété les moments où mes souvenirs manquaient.

Proposée le 29/08/2021 par TheBigBeard

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Il y a quelques années de cela, je quittais ma Guadeloupe natale pour m’installer à Paris et ainsi poursuivre mon petit bonhomme de chemin.

Face aux montants démesurés des loyers parisiens, j’ai dû vite me rabattre sur des solutions plus économiques, et la collocation apparaissait comme le moyen idéal pour me loger sans me ruiner.

Néanmoins, c’est à contre cœur que je me suis mis en quête du fameux sésame. Oui… à contre cœur, car pour dire vrai, je n’étais pas vraiment très emballé à l’idée de cohabiter et partager mon intimité avec des inconnus. Malheureusement, c’était la seule solution que j’avais pour suivre mes cours dans de bonnes conditions.

En y repensant, je ne le savais pas encore, mais ça allait être l’une de mes plus belles expériences de vie. Ennnnfiiin bref…

C’est par l’intermédiaire d’Élodie, une camarade de classe que je fis la connaissance d’Alice et Émilie. Elles étaient à la recherche d’une troisième personne pour remplir leur appartement.

Il faut dire qu’au départ, elles ne semblaient pas très emballées à l’idée de partager leur lieu de vie avec un garçon, d’autant plus qu’elles ne me connaissaient à peine.

Pour ma part, je ne vais pas vous mentir en vous disant que je n’ai pas trouvé excitante l’idée de vivre avec deux belles jeunes femmes au quotidien, bien au contraire, mais le plus important pour moi, c’était de trouver un endroit sympa pour enfin poser mes affaires et étudier au calme.

Bien aidé par Élodie qui avait longuement plaidé ma cause, je m’entendais avec les filles sur une période d’essai qui se transforma en collocation à long terme après les avoir bien rassurés sur le fait qu’elles pouvaient se sentir en sécurité avec moi.

Au fil du temps, je m’étais même beaucoup rapproché de mes nouvelles colocataires. On m'avait pourtant dit que vivre avec deux femmes serait un défi, mais honnêtement, ça a plutôt été une bonne expérience.

Elles étaient faciles à vivre et nous avions assez rapidement accroché. Elles étaient toutes les deux légèrement plus âgées que moi et avaient eu des expériences de vie super intéressantes, ce qui rendait l’ambiance de la coloc vraiment géniale.

À cette époque, j’avais une petite amie depuis quelques semaines. C’était une charmante londonienne que j’avais rencontré lors de mon stage d’étude à l’étranger.

Elle me rendait visite de temps en temps à l’appart pour des weekends de pur sexe intense qui me font encore bander comme un fou quand j’y repense.

Elle s’entendait vraiment bien avec mes colocataires même si parfois elle me faisait par quant à son inquiétude de me savoir entourer de si belle créature alors qu’elle et moi étions séparés par la manche la plupart du temps.

C’est vrai que j’ai toujours apprécié les petits jeux de séduction et les flirts furtifs avec les femmes, mais je m’étais dès le départ mis un point d’honneur à toujours bien me comporter avec mes colocataires et à ne jamais dépasser aucune limite, sachant que je devais juste être ami avec elles pour que ça marche.

L’appartement dans lequel nous vivions était assez spacieux et bien situé. Le seul problème, si on peut vraiment appeler ça un problème, c’était l’isolation sonore.

Les murs étant assez fins, le moindre son se propageait rapidement et on pouvait littéralement s’entendre baiser.

Nous étions tous assez ouverts sur notre vie sexuelle, donc, la première fois que j'ai entendu l'une de mes colocataires faire l'amour, je n'ai pas été le moins du monde choqué.

Mais, il faut dire que ces dernières étaient assez bruyantes. Je pouvais entendre leurs culs se faire taper par leurs mecs et leurs gémissements grandissant vers le crescendo à chaque orgasme.

Nous avions pris l’habitude d’en rigoler le lendemain matin, appréciant simplement le fait que nous nous amusions tous beaucoup. Après quelques semaines, j'ai réalisé qu'elles aussi pouvaient m'entendre et franchement, c'était libérateur !

Vivre dans un environnement sexuellement positif, où tout le monde pouvait s'amuser en sécurité sans craindre le jugement était vraiment top.

La chambre d’Émilie était collée à la mienne. Elle m'avait prévenu avant d'emménager qu'elle adorait le sexe et qu'elle n’hésitait pas à se livrer à des parties de jambes en l’air torride quand elle en avait besoin.

Au début, elle ne ramenait personne à la maison, je pensais alors naïvement qu'elle travaillait trop et qu’elle n’avait pas le temps pour prendre du plaisir. Mais un soir, elle a invité un mec.

Elle nous l’avait fait savoir à l’avance et nous avait prévenu qu’il arriverait tard dans la soirée. Pour ma part je devais me lever tôt le lendemain, mais cela ne me dérangeait pas, car elle m'avait suffisamment entendu lors de mes ébats avec ma petite amie, alors j'étais heureux qu’elle prenne son pied.

Il était à peine minuit passé quand je terminai mon livre et me préparai à aller me coucher. Émilie et son invité parlaient depuis près d'une heure, et les murs étant si fins que je pouvais entendre la plupart de ce qu’ils se disaient sans même le vouloir.

J'ai rangé mon livre et éteins la lumière, puis j’ai entendu Émilie dire quelque chose comme « vouloir sucer la bite ». Cela ne me surprenait pas tant que ça, elle nous avait déjà fait part du kiff qu’elle ressentait avec une belle queue dans la bouche, mais au fond de moi j'espérais juste que cela se fasse rapidement.

C'était assez silencieux au départ, puis j’ai entendu Émilie commencer à gémir doucement alors qu'elle commençait à le sucer. Ses gémissements étaient doux et mielleux, et je pouvais l'entendre le taquiner pendant qu'elle avait son manche au fond de sa gorge. Sa voix montrait clairement à quel point elle aimait le sentir dans sa bouche.

J’avais un peu honte d’écouter ma colocataire s’occuper de ce gars, mais je ne pouvais pas m’arrêter de tendre l’oreille afin d’imaginer ce qui se passait à côté.

Regardant vers le bas, ma bite avait pris une belle forme, frottant contre ma couette, alors que les gémissements d’Émilie devenaient de plus en plus forts. Ils baisaient à présent, et j'étais là, dur comme une poutre alors que j’étais censé dormir.

Je n'avais pas vu ma copine depuis quelques semaines et naturellement j'avais beaucoup de tension où vous savez. En plus de ça, je m'étais promis d'être simplement amie avec mes colocs, alors ça ne servait à rien que je me fasse torture plus longtemps.

Je me suis donc retourné sur mon lit, j'ai poussé un soupir comme pour soulager une certaine frustration, et j'ai fermé les yeux pour essayer de m'endormir. Quant à ces deux veinards, ils ont continué encore un peu, puis les bruits se sont arrêtés.

Le coup d’Émilie avait dû sûrement éjaculer un peu trop rapidement et j’étais un peu déçu pour elle car elle n'avait certainement pas encore fini de s’amuser, mais, j'étais aussi heureux de pouvoir aller dormir à une heure raisonnable puisque j'avais une grosse journée à venir.

Un peu plus tard dans la nuit, je me faisais réveiller par la voix d'Émilie disant qu'elle était sur le point de jouir. Ses gémissements étaient enivrants, et je pouvais l'entendre haletante, alors qu'elle le prenait en elle. Il était environ 2h30 du matin et à ce stade, j'avais seulement besoin de dormir.

Malgré cela, dans mon état de somnolence, j'avais par réflexe la main sur mon sexe.
Mon corps semblait inconsciemment vouloir une libération, et quand je l'ai entendue obtenir la sienne, il était très difficile pour moi de résister. Heureusement, ils se sont arrêtés peu de temps après et je n'ai plus eu à tester mon self-contrôle, car je ne sais pas combien de temps j’aurais pu encore me contrôler.

En fin de compte, j’avais finalement réussi à bien dormir ce soir-là et j'avais passé une bonne journée le lendemain.

De retour à la maison après les cours, je retrouvais mes colocataires et nous avons plaisanté de tout et de rien comme toujours.
Mais bizarrement les choses ne se passaient pas comme d’habitude, l’atmosphère était différente. Alors même que nous discutions tous ensemble, je ne pouvais m’empêcher d’observer Émilie et de repenser à hier soir.

Le son de ses gémissements à chaque coup de rein de son partenaire était complètement enivrant. Je faisais de mon mieux pour combattre mes pulsions mais en dépit de ma bonne volonté, mon corps réagissait à elle.
Avant, quand on traînait ensemble, ça ne me traversait même pas l'esprit de la regarder ou de nous imaginer en train de baiser, mais maintenant, même entièrement habillée, je ne pouvais tout simplement pas résister à son corps.

C'était encore pire à certains moments car nous partagions tous une salle de bain et nos horaires s'alignaient pour que je doive prendre ma douche après elle.

Je pouvais sentir ma queue frémir dans mon short alors que je la voyais enveloppée dans une serviette, de l'eau coulant toujours de ses cheveux sur sa peau. Parfois je devais pratiquement cacher mon érection avant d’entrer dans la salle de bain pour ne pas risquer de mettre Émilie mal à l’aise.

Je faisais vraiment mon maximum pour ne rien laisser transparaître de l’effet qu’elle me faisait, ne voulant en aucun cas gâcher l’ambiance de la coloc. J'attendais patiemment que ma petite amie britannique vienne, puis laisserais toute la tension disparaître.

Je me rappelle encore nos retrouvailles cette fois-là. Je crois que c’était la partie de sexe la plus hard qu’on n’ait jamais eu ensemble elle et moi, et cela en disait long sur ma frustration.

Je lui avais littéralement arraché ses vêtements à peine avait-elle franchi le seuil de ma chambre pour la prendre sans ménagement contre le mur. Elle jouissait encore et encore, alors que l’attrapait par la gorge, la giflais et la marquais comme mienne.

Elle aimait que je la domine et que je me transforme en une bête assoiffée de sexe lors de nos ébats, mais ça, je vous le raconterai une prochaine fois.

En attendant après cette partie de baise, je sentais que toute la tension que j’avais accumulée depuis des semaines s’était envolé.

Au fond de moi, j’espérais qu’Émilie nous entende. J’espérais qu’elle ressente la même excitation que j’avais éprouvé à l’écouter baiser la dernière fois. J’espérais qu’elle ressente le plaisir monter en elle à chaque claque que je déposais sur les fesses de ma copine.

Un peu plus tard, alors que je me dirigeais vers la cuisine pour grignoter quelque chose dans le frigo, je croisais Émilie qui sortait de la salle de bain. Elle était vêtue d’une chemise de nuit et d’un string, laissant apparaître ses tétons pointant à travers le tissu.

Nous avons partagé à cet instant un sourire narquois, sans un mot, alors qu'elle rentrait dans sa chambre, sa chemise recouvrant à peine le dessus de ses fesses rebondissant de haut en bas.

Après cela, j'ai eu l'impression que les choses avaient bel et bien changées entre nous, et que nous n'étions plus que des simples colocataires.

La nuit suivante, elle recevait encore un nouvel amant à l’appart, et c'était reparti pour un tour. Bien que je susse qu'elle jouait à un petit jeu avec moi, cela renforçait mes convictions, et de toutes les façons, ses gémissements étaient absolument enivrants.

Je ne pouvais penser à rien d'autre, complètement absorbé par le son de son apogée. Sans m’en rendre compte, ma main était sur mon sexe, la caressant lentement, absolument perdue dans ce qui se passait à côté. J'essayais tant bien que mal de me contenir mais face à cette mélodie de plaisir je lâchais prise, me permettant de me caresser et d’évacuer ma tension.

Je me caressais de plus en plus vite maintenant, sentant mon liquide pré-éjaculatoire couler le long de ma main, progressant vers mon propre orgasme, tout en laissant échapper quelques grognements.

Alors que je me sentais sur le point de me libérer, ils s’arrêtèrent et rapidement le bruit des gémissements d’Émilie se transforma en silence complet dans sa chambre.

À ce stade, il était déjà trop tard pour moi et je ne trouvais physiquement pas la volonté de m’arrêter. Je fermais les yeux pour mieux m’imaginer le corps en sueur d’Émilie m’amenant à l’extase quand dans un dernier râle de plaisir, j’explosais.

J’avais beau avoir tout fait pour rester discret, je me doutais bien qu’ils m’avaient surement entendu, mais je m’en fichais royalement. Mon corps en tremblait encore, c’était la jouissance la plus libératrice que j’avais eue depuis très longtemps, apaisant complètement toute tension qui existait à l'intérieur de moi.

C’est vrai qu’après coup, je me sentais mal d'avoir joui, mais je savais que je ne pouvais pas me retenir. Au moins maintenant, j'espérais que cela pourrait revenir à la normale.

Le jour suivant avait comme d’habitude été très chargé et j’espérais juste pouvoir me détendre en rentrant à la maison. Émilie était là, assise toute seule dans le canapé du salon le nez plongé dans son téléphone.

Je pouvais sentir la tension entre nous, alors j'essayais de discuter de banalité avec elle en espérant que cela calmerait les choses. En plus Alice étant chez son copain ce soir-là, ce serait juste nous deux donc il valait mieux détendre l’atmosphère pour passer une soirée tranquille.

Émilie suggéra de regarder un film, ce à quoi j'ai juste dit oui, sans arrière-pensée, voulant juste me détendre après cette longue journée. Après avoir préparé un gros bol de popcorn, nous nous sommes installés tous les deux sur le canapé.

C'était un deux places, mais j'ai placé le pop-corn entre nous, lui permettant d'agir comme une barrière physique. Elle a mis le film, et je n'ai pas tardé à être absorbé par ce dernier, ou du moins j’essayais de le lui faire croire. En vérité, je ne pouvais penser à rien d'autre qu’à son corps que je désirais tant et qui semblait si inaccessible alors qu’il se trouvait à 2 cm de moi.

Une fois le pop-corn fini, je remis le bol sur la table sans vraiment m’en rendre compte. En quelques minutes à peine, Émilie s'était déjà rapprochée de moi, et je passai par réflexe mon bras autour de ses épaules, laissant sa tête reposer sur ma poitrine.

Au premier contact de sa peau contre la mienne, je pouvais sentir mon entre-jambes palpiter. Je portais pourtant un jean ce soir-là, mais la position dans laquelle je m’étais affalé sur le canapé offrait une vue parfaite sur la bosse qui continuais de gonfler sous mon bassin.

Malgré mes efforts surhumains pour ne pas bander davantage, j’étais forcé de constater qu’Émilie avait remarquée l’effet que la situation me faisait. Je la voyais jeter des petits regards furtifs en direction de ma bosse et sentais ses doigts effleurer cette zone au gré de ses mouvements. J’osais à peine bouger et aucun de nous n’a dit quoi que ce soit pendant un long moment avant qu’Émilie ne pousse un long soupir venant soulager la tension.

Elle s’est ensuite relevée et à dit d’un ton calme et mielleux "il fait trop chaud ici, j'ai besoin d'air" en enlevant son pull.

En la voyant torse nu, j'ai réalisé à quel point ses seins étaient superbes. Elle portait un léger soutien-gorge noir et bleu en dentelle, qui mettait vraiment en valeur son bonnet C. Émilie remarqua que je ne pouvais m'empêcher de fixer ses deux juteuses poires, me fixant droit dans les yeux et souriant sans un mot alors qu'elle recommençait à se blottir contre moi.

À partir de là il ne pouvait plus y avoir d’ambiguïté et quand j'ai réalisé ce qui se passait, j'ai voulu arrêter ce petit jeu qui remettait trop de choses en cause. Je pouvais carrément sentir ma bite durcir et pousser contre mon jean, alors je prétextais quelque chose à récupérer dans ma chambre pour pouvoir m’éclipser quelques minutes et relâcher la pression.

La tête d’Émilie était à ce moment-là posé sur mon ventre et pendant que j’essayais de me relever sans trop la brusquer, la bosse dans mon jean se retrouva à hauteur de ses yeux.
Autant dire qu’elle ne se gênait plus pour la regarder alors que j’essayais désespérément de casser la tension.

"Mes yeux sont là, tu sais" lui dis-je dédaigneusement.

"Désolé, mais c’est toi qui me la mets sous les yeux. En plus t’es bien en forme » me répondit-elle en désignant mon sexe.

"Ça a été une journée intense, parfois ça accumule la pression" disais-je.

"Je sais" souriait-elle. Son langage corporel avait subitement changé "Parfois, vaut mieux libérer la tension, peu importe les conséquences.

Des frissons parcourraient mon corps tout entier alors que qu’Émilie ajouta :

« Comme quand ta colocataire baise un mec qu’elle a rencontré sur tinder dans la chambre d’à côté » faisant pratiquement un clin d'œil avec sa voix.

« Il est parfois difficile de résister » dis-je lentement en la regardant de haut en bas.

Chaque partie de moi la voulait, et ma bite n'arrêtait pas de palpiter.

« Je suis sûr que tu savais que je pouvais t’entendre » rajoutais-je.

Elle rougit et me répondit :

« Je mentirais si je disais que cela ne m’avait pas traversée l’esprit », comme si elle avait été prise par surprise.

"Je trouve aussi qu'il fait vraiment chaud" dis-je honnêtement et bêtement ne sachant pas quoi d’autre dire.

"Moi aussi" répondait-elle.

Un long silence s’en est suivie, toujours installé dans le canapé, Émilie ayant repris sa position cocooning contre moi. Je pris ainsi un instant pour respirer la douce odeur de noix de coco que dégageaient ses cheveux.

Quel délice ! Je la veux, je veux qu’elle soit mienne, peu importe ce que ça impliquera.
« J'aimerais tellement t’entendre jouir pour moi » lui dis-je d’un ton conquérant.
Elle me sourit et n'hésita pas une seconde.

Elle se redressa, enleva son short et écarta les jambes, une sur le rebord du canapé et l’autre sur ma queue à travers le jean.

Sa culotte était déjà trempée et je pouvais voir les contours de sa petite chatte à travers le tissu transparent. Elle passa alors une main dans sa culotte, alors qu'elle titillait la pointe de ses seins avec l’autre.

Elle se caressait lentement pendant que des petits gémissements venaient accompagner chacun de ces mouvements. Il y avait quelque chose de si intime dans le fait de pouvoir la regarder.

L'entendre gémir, alors que nos yeux ne se quittaient pas et voir son corps se tortiller alors que sa main accélérait le rythme décuplait mon excitation.

Je pouvais la sentir se rapprocher de son premier orgasme pendant que je prenais mon sexe déjà prêt au combat en main. Je me caressais en suivant le rythme de sa main, alors qu'elle continuait de se donner du plaisir, se dirigeant vers un orgasme tranchant.
« Putain, c'est chaud » disais-je en me caressant toujours.

« Bin c’'est tout ce que tu auras ce soir » dit-elle en sortant la main de sa culotte avant de se lever et de se diriger vers sa chambre.

Je la regardais traverser le salon toute nue, ses fesses balançant de gauche à droite alors qu'elle se retournait pour me faire un clin d'œil avant d’entrer dans sa chambre, laissant la porte ouverte.

D'ordinaire, je n'aurais rien fait, mais, me demandant si elle avait délibérément laissé la porte ouverte et attiré par mes désirs, quelques secondes après, je me levai et marchai jusqu'à sa chambre.

Arrivé au seuil de sa porte, je l’ai découverte enlevant son soutien-gorge et sa culotte. Dieu… que son corps était magnifique.

« Je pense que tu n'es pas dans la bonne chambre » dit-elle d'un ton affectueux.

" Je suis au bon endroit " lui ai-je répondu.

" Tu es sûr de ce que tu fais ", me lança-t-elle dans la foulée.

Je rentrais alors complètement dans sa chambre en fermant lentement la porte derrière moi sans dire un mot en guise de réponse. Je commençais à avancer lentement dans sa direction alors qu’elle me fixait du regard :

« Qu’est-ce que tu vas me faire ? » me questionna-t-elle alors doucement.

"Tout ce qui me passera par la tête " dis-je avec confiance, "mais on peut arrêter maintenant si tu veux".

Elle ne broncha pas et continua à me fixer dans les yeux sans jamais rompre le contact. Pendant ce temps je me rapprochais de plus en plus du fruit de mes désirs.

À ce moment précis, j’aurais aimé pouvoir me retourner et faire comme-ci tout cela ne s’était jamais passé. En effet, la collocation se passait vraiment bien et je n’avais aucune envie qu’une histoire de sexe ne vienne ruiner la merveilleuse relation qu’on avait construite tous les trois. Mais c’était déjà trop tard, nous étions déjà allé trop loin Émilie et moi pour faire marche arrière et qu’on le veuille ou non, notre relation avait déjà pris une autre tournure, alors nous n’avions plus rien à perdre.

Arrivé à sa hauteur, J'ai attrapé son sein gauche et j'ai commencé à jouer avec son mamelon pour voir comment elle réagirait. Je voulais qu’elle se sente possédée par moi.
Elle gardait pendant tout ce temps le contact visuel mais laissait échapper des petits gémissements aigus alors que ses yeux roulèrent légèrement en arrière. J'ai ensuite attrapé son autre sein et j'ai commencé à devenir plus rugueux dans mes mouvements, à jouer avec les deux mamelons, les portants chacune son tour dans ma bouche.

Je sentais Émilie perdre le contrôle, s’abandonnant totalement à moi tandis que je délaissais quelques secondes sa poitrine pour la pousser sur le lit par surprise. Je l’ai ensuite tiré par les jambes, la traînant sur les draps jusqu'aux rebords.

Je ne pouvais plus attendre, je voulais absolument goûter à son fluide corporel et explorer chaque recoin de son corps avec ma langue.

Je la voyais me regarder de près, m'étudier, alors qu’elle succombait au plaisir que je lui imposais. Je lui écartai ensuite les cuisses d’une main pour dégager l’entrée de son intimité. Son vagin était déjà bien trempé, prêt à être dégusté avec l’attention qu’il méritait. Je devenais fou devant cette petite chatte rose et majestueuse à quelques centimètres de mon visage.

J’entrepris alors une salve de baisers, partant de ses pieds jusqu’à l’intérieur de ses cuisses. Je sentais le corps d’Émile se raidir au fur et à mesure que je m’approchais de sa fente.

« Je ne pourrais pas me retenir longtemps » me lâcha-t-elle dans un long soupir qui remplit toute la pièce »

« Tais-toi et profite alors ! » dis-je en lui insérant deux doigts, « je suis douée pour ça »
Son vagin était un peu serré mais j’étais bien aidé par sa mouille intime qui avait déjà bien lubrifié les contours de son sublime minou.

Elle ramena alors un peu plus ses jambes vers elle et écarta au maximum ses cuisses pour me laisser un champ d’action plus large pendant que je m’appliquais à titiller son clitoris. Émilie gémissait de plus en plus bruyamment pressant ma tête avec force contre son vagin. Je pouvais à peine respirer tandis que sa chatte à la saveur si particulière spasmait délicieusement sur mon visage.

J’ai continué à la lécher jusqu’à ce qu’elle ait fini de jouir dans ma douche puis j’ai levé les yeux vers elle. Elle me regardait avec une expression qu’on pouvait décrire comme quelque part entre extase et choc, des larmes au coin des yeux.

« Tu sais que je n’en ai pas encore fini avec toi » lui lançai-je

« Tu vas me baiser ? » gémit-elle dans la foulée

Je luis souris malicieusement comme unique réponse, me levant et enlevant mes vêtements en environ un dixième de microseconde. En voyant mon manche se dresser devant elle, Émilie se releva, et l’agrippa comme une morte de faim avec sa main.

Elle l’examina quelques secondes avant de l’engloutir de toute sa longueur et de me sucer désespérément. J’imprimais le mouvement qu’elle devait adopter à l’aide de mes mains tenant fermement ses cheveux. J’étais vraiment bestiale avec elle à ce moment-là, comme dans un état second.

Émilie m’avait rendu tellement fou avec les mecs qu’elle ramenait à la maison que c’était comme si je lui faisais payer ces nuits de frustration que j’avais passé seule dans ma chambre avec elle prenant son pied juste à côté. Mais ce soir c’était mon tour !

Voir ses lèvres s’agiter autour de mon sexe était un incroyable spectacle. Et ne parlons même pas de la sensation…ooohhhhh ouiiiii, sa langue était douce et soyeuse, électrisant ma bite à chaque assaut. J'étais au paradis et mes grognements d’ours le faisaient savoir.
J’ai alors baissé les yeux afin d’établir un contact visuel avec Émilie. En réalité cela ne fut pas vraiment difficile à obtenir, et sans un mot je lui fis un signe de tête qu’elle n’eut aucune difficulté à comprendre.

Ne me lâchant pas du regard elle donna un dernier baiser à son joujou du soir puis se retourna sur le lit en levrette, relavant au maximum son cul et enfonçant complètement sa poitrine dans le coton douillet du matelas.

WOAW ???? C’ÉTAIT BEAU.

La position, la fille, l’atmosphère, tout était parfait.

Nos corps sont entrées en contact, et j'ai été complètement enseveli en elle, nos deux corps unis en un seul. Tenant la position, je pouvais sentir son cœur battre à travers ma bite.

« Oh my…putain… » gémit-elle alors que je m’enfonçais plus profondément en elle la tenant solidement par les fesses.

J’étais désormais complètement perdu en elle alors que je commençais mes coups de reins sur un rythme assez lent pour faire monter la tension. À travers mon manche, je pouvais sentir chaque détail de son intimité, c’était l’extase.

J’étais en transe, à peine capable d’en croire mes yeux. C’était comme si je devais vérifier que c’était bien moi qui faisais jouir ma colloc Émilie.

Mon bonheur était accru quand je voyais sa bouche s’ouvrir en forme d’ovale à chaque coup sec que je lui donnais. Ses gémissements remplissaient complètement la pièce alors que je commençais à la baiser plus profondément.

Je pouvais apercevoir ma queue agripper les parois de son minou et l’étirer complètement. Je sentais son corps vibrer complètement pendant que sa chatte convulsait autour de ma bite.

« Baise-moi encore. » me chuchotait Émilie.

Elle en voulait encore et comment pouvais-je dire non à cela ?

« Tu vas avoir ce que tu mérites » dis-je en m’agenouillant sur le lit.

Je fis alors remonter ses jambes de telle sorte que ses genoux se retrouvent quasiment collés à ses seins et je me positionnais au-dessus d’elle. J’appelle ça la position du mangeur d’âmes car quand elle est bien réalisée, cela offre un accès direct à l’âme de sa partenaire.

Émilie savait parfaitement comment gérer cette position, poussant son bassin vers moi pour mieux recevoir chaque centimètre carré de mon anatomie.

Elle avait un regard sauvage dans les yeux, je pouvais la sentir sur le précipice de l'orgasme me sentant la prendre encore et encore, toujours plus profondément.

Ses gémissements étaient maintenant mélangés à des cris alors que je mettais toutes mes forces dans mes derniers coups de reins avant d’exploser. Au final, Je suis sorti juste temps pour voir couler son jus tout le long de sa vulve bien ouverte.

Cette vision était magnifique et il ne m’aura fallu que quelques va-et-vient avec ma main pour jouir moi aussi sur les seins de ma « partner in crime ».

Je me suis finalement effondré sur elle, restant allonger là de longues minutes dans les bras l’un de l’autre dans un mélange de sueurs, de salives et de fluides corporel.

J’ai ensuite partagé un dernier regard avec elle puis j’ai quitté la pièce.
Les jours qui ont suivi ont été quelque peu « bizarre » entre Émilie et moi, mais c’était normal après ce qui venait de se passer. Heureusement, pour le bien-être de la collocation, cela n’a pas changé grand-chose à notre relation.

Je vous avoue que nous avons remis ça quelques fois avec Émilie mais vraiment occasionnellement, ce qui pourra d’ailleurs faire l’objet d’autres récits si vous le voulez. Faites le moi savoir dans les commentaires.

Érotiquement vôtre.

TheBigBeard

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Olympe
J'ai adoré cette histoire! Super excitant!
Posté le 22/09/2021

Anonyme
Bravo pour cette superbe histoire très réaliste et sensuelle.
Posté le 6/09/2021

Anonyme
…top :.. et super réaliste et bien ecrit
Posté le 31/08/2021

filou83
impressionnant de vérité. Bravo d'avoir pu ecrire ces sensations érotiques J'ai adoré votre histoire; Merci pour cette évasion
Posté le 30/08/2021


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