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Un massage qui fait du bien

Je me sens fatigué, courbaturé. Un collègue de travail me conseille un massage et me recommande un masseur qui est très bon selon lui. Je prends rendez-vous. La pandémie m'a rendu l'épiderme sensible faute de sexe depuis plus d'un an. Ses mains adroites dépassent le cadre professionnel lorsque je lui avoue mon manque de sexe et nous baisons.

Proposée le 29/07/2021 par beagle

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Étendu sur le ventre, nu, les jambes un peu écartées, les bras allongés, mon sexe encore gonflé qui vient de répandre du sperme sur le drap, je suis dans un état de détente profond. Jean-Yves me recouvre de son corps, son membre toujours en érection enfoncé dans mon cul, je sens toute la chaleur de sa semence qu’il vient de déposer en moi en quelques puissantes giclées. Sa toison pubienne et ses couilles velues caressent mes fesses. Il frotte sa barbe contre ma joue, rencontrant ma moustache, il m’embrasse le cou, me mordille les oreilles. Les poils de son torse excitent la peau de mon dos. Nous sommes si bien! Trois heures auparavant, je n’aurais jamais songé que je finirais ma soirée au lit avec un homme, que nous allions vivre de tels plaisirs!

Un massage qui fait du bien -« Mmmm…. que c’était bon, dis-je. Pour une première fois. »

-« Moi ça fait longtemps que je n’ai pas baisé avec un homme. Les astres étaient bien alignés, ma femme est partie pour deux jours et un beau mâle arrive sur ma table de massage. » me répondit Jean-Yves.

-« Beau mâle… Je suis plutôt ordinaire, même devenu moche il me semble. Avec mon gros ventre…»

-« Pas du tout. Il émane de toi une grande puissance sexuelle. T’as un beau sexe, circoncis comme je les aime et tu sais comment t’en servir pour donner du plaisir mon ami. On est moins beau en vieillissant mais on gagne en expérience au lit. Pour ton ventre qui n’est pas si gros, quelques exercices chaque jour le maintiendraient plus plat. »

-« Quel métier pratiquais-tu avant d’être masseur? »

-« Pompier pendant 35 ans. »

-« Pompier? » Je partis à rire. « Pauvre de toi, à voir tes confrères nus sous la douche toutes ces années c’a dû être éprouvant! »

-« Oh que oui! Il y en a toujours eu des beaux, poilus et bien gâtés par la nature dans les casernes où je suis passé alors j’ai dû contrôler mes pulsions… C’est tellement macho ce milieu, jamais un gars n’osera exprimer son goût pour les hommes. Heureusement que la nature a prévu la bisexualité pour moi, ma vie a toujours été agréable. »

-« C’est la première fois que je baise avec un homme. Voilà le résultat de la pandémie dis-je en riant, j’ai été privé de sexe plus d’un an et je prends la première peau qui passe sans réfléchir et on fait tout bareback sans protection! Y a des côtés de moi que je ne soupçonnais pas on dirait mais je ne regrette rien… Ne t’en fais pas pour le bareback, je suis en santé. »

-« Moi c’est la première fois que je baise avec un client. J’en ai même un peu honte, c’est contraire à tous les règlements de notre ordre professionnel. Évidemment oublie la facture! Je crois que j’étais depuis trop longtemps en manque d’un homme. J’aime bien ma femme mais une queue, c’est bon et la tienne l’est! »

-« Je me demandais si, justement, tu n’aurais pas abusé de mon collègue dis-je en riant. »

-« C’est un assez beau bonhomme mais pas vraiment mon genre. En tout cas il est très pudique, il garde son boxer et pas question de lui masser les fesses même par-dessus son sous-vêtement. À une de ses visites il a bandé et s’est montré très embarrassé que je puisse voir sa queue déployée qui est sortie de la braguette. En tout cas il est poilu comme un ours. »

-« Tu peux le dire! Je l’ai vu nu une fois et son sexe se perd dans sa fourrure tellement il en a, et sur le torse, le dos et des fesses aux mollets. »

Retour en arrière. Cette histoire a débuté il y a deux jours. J’ai 60 ans, pas très grand mais solidement charpenté, large d’épaules, fortes jambes, avec de bons muscles. Mon travail de déménageur me tient lieu de gym depuis longtemps. Je fais un peu de bedaine mais comme je dis souvent à la blague aux collègues qui m’en font la remarque, lorsque je pisse je me vois la queue alors ce n’est pas une cause désespérée. On me dit souvent que je parais bien. Ne souffrant pas de calvitie je porte les cheveux très courts. Ils sont gris et j’arbore une moustache très fournie qui est ma marque de commerce depuis longtemps. Divorcé, je vis seul depuis quelques années mais je ne cherche plus d’attaches amoureuses avec les femmes qu’il m’arrive de rencontrer. J’ai trois enfants et nous nous voyons de temps à autre car ils ont aussi leur vie familiale. D’ailleurs quelle merveille que Skype et autres outils du genre pour communiquer.

Depuis quelques semaines je ressens de la fatigue et des courbatures dans tout le corps. Un collègue m’a vanté les mérites du massage et m’a donné les coordonnées d’un masseur chez qui il est allé quelques fois et cela lui a fait du bien. J’ai donc communiqué avec ce masseur et nous avons convenu d’un rendez-vous pour le lendemain soir.

Le lendemain au retour du travail je mange légèrement puis je prends une douche et me met en route. Le masseur habite à une extrémité de la ville, c’est déjà la campagne. Mon collègue m’a affirmé que c’est un masseur diplômé et qu’il pratique à son domicile. C’est une maison assez petite mais avec un grand terrain et quelques bâtiments, on voit que dans une autre époque ce fut une ferme. Jean-Yves m’accueille et me fait passer au salon. Je remarque ici et là quelques souliers et un sac, signes d’une présence féminine dans la maison.

Jean-Yves est un homme d’environ mon âge, de belle apparence, grand et mince, avec des cheveux et une barbe poivre et sel taillés courts. En raison de la chaleur, il n’est vêtu que d’un short d’exercice et d’un T-shirt. Puisque c’était ma première rencontre avec lui il me pose quelques questions afin d’identifier mes problèmes et être en mesure d’effectuer un massage qui soit efficace. À mes réponses il en conclut qu’il doit travailler mon dos, mon torse et mes jambes mais qu’il me ferait tout de même un massage intégral pour me détendre complètement. Je lui souris au mot « massage intégral » et il anticipe ma question en me disant en riant « non je ne masserai pas ta queue ». Il s’assure toutefois de mon niveau de pudeur, expliquant qu’il masserait mes fesses si je l’autorisais car il valait mieux faire les jambes dans leur entier. Il pourrait me couvrir d’une serviette et ne la retirer qu’au moment voulu si je désirais. Je lui donne mon accord et lui dit qu’une serviette ne serait pas nécessaire.

-« on est entre hommes après tout. » que je lui dis.

Il me fait entrer dans la pièce réservée au massage et me laisse quelques minutes. Mes vêtements enlevés, je monte sur la table de massage et m’étends sur le ventre, le visage bien appuyé sur le coussin muni d’une ouverture et qui permet de garder la tête droite dans cette position. Je m’efforce de me détendre. J’entends Jean-Yves entrer.
-« Alors tu t’es détendu un peu? »
-« J’essaie de décompresser. »

Il s’enduit les mains d’huile et commence à masser ma nuque. Le contact de ses mains me fait déjà un effet extraordinaire. Il faut bien le dire, avec la pandémie les possibilités de rencontres et de relations sexuelles ont été réduites à néant pendant plus d’un an et à présent j’ai l’épiderme plutôt sensible et la testostérone au plafond. Je me satisfais en me masturbant mais l’être humain a besoin d’être touché et caressé pour son équilibre. Il y a des limites à travailler sur soi… surtout pour ça!
Jean-Yves entreprend le massage de mon dos. Il pétrit mes épaules, dénoue les muscles coincés. Les mains jointes et en appliquant une pression calculée il descend à quelques reprises le long de mon dos jusqu’à la raie des fesses puis remonte en travaillant les flancs. Il saisit aussi chacun de mes bras qu’il masse des doigts aux épaules. C’est ensuite au tour de mes jambes. Mes fesses sont pétries tel du bon pain. J’avais averti Jean-Yves de ne pas mettre de pression sur le coccyx car il était parfois douloureux, étant tombé sur le cul l’hiver précédent après avoir glissé sur une plaque de glace. Il se montre donc très attentionné et avec un doigt le caresse presque en diminuant la pression mais fait un faux mouvement et touche mon anus. Au contact de son doigt j’éprouve aussitôt un spasme de plaisir en contractant mes fesses.

-« Excuse-moi me dit Jean-Yves, je ne voudrais pas que ce soit mal interprété. »
-« C’est correct, y a pas de mal, une petite onde de plaisir ce n’est pas déplaisant. »

Le massage des cuisses suit. Par confort j’avais placé mon pénis sous moi de manière à ce que mon gland pointe vers l’arrière. En effectuant ses mouvements à l’intérieur de mes cuisses et en remontant vers les fesses je sens parfois le bout des doigts de Jean-Yves effleurer mon gland et mes testicules. Il finit ensuite par les mollets. Vint le moment où je dois me retourner et m’étendre sur le dos. J’ai un début d’érection et il le voit mais je n’en suis embarrassé d’aucune manière. Il me met toutefois à l’aise immédiatement :

-« prends le temps de te placer confortablement, je reviens dans quelques minutes. »

Cette pause est salutaire pour mon membre qui reprend sa taille normale. Jean-Yves recommence le massage par mon visage, me chatouillant la moustache au passage puis c’est le cou et ensuite le torse. Le corps penché au-dessus de moi il applique une pression égale des deux mains en allant de chaque côté des flancs puis il remonte et redescend vers mon ventre, plongeant à chaque fois un peu plus le bout de ses doigts dans mon abondante toison pubienne. Après quelques manipulations je sens mes tétons durcir et j’ai un début d’érection.

-« Oh!, me voilà reparti, je bande… »
-« Essaie de ne pas trop y penser » me dit-il.
-« Pas facile, surtout que ça fait plus d’un an que personne ne m’a touché. »
-« Veux-tu qu’on arrête? On pourra se reprendre un autre jour. »
-« Non, non, je suis trop bien. »
-« O.K. je continue. »

Jean-Yves fait un bref arrêt. Les yeux fermés, je ne vois pas qu’il vient d’enlever ses vêtements. Je l’entends se déplacer à côté de moi. Ses mains massent doucement le dessus de mes cuisses vers mes genoux puis remontent vers l’intérieur, effleurant au passage ma queue et mes couilles. Mon membre se dresse, il palpite, il est dur, mon gland circoncis pointe, le precum monte, mes couilles se contractent en une boule ferme, mon sexe appelle au plaisir. Jean-Yves poursuit son massage, ses mains se refermant de plus en plus sur mon sexe, je n’oppose aucune résistance. Haletant, je relève les jambes, il explore ma racine pénienne et caresse mon anus, initie une pénétration avec son majeur. Je suis au supplice, sur le point de gicler!

C’est alors que je sens quelque chose caresser ma moustache, forcer mes lèvres. J’ouvre les yeux et vois une longue colonne de chair gorgée de sang qui émerge d’une forêt de poils noirs, le precum jaillit déjà de ce membre circoncis comme le mien, les couilles sous tension sont réunies en une grosse boule velue. Je perds toute inhibition. Jean-Yves fait entrer son sexe dans ma bouche et je le prends en entier, refermant mes lèvres sur ce membre si appétissant. J’empoigne doucement ses couilles avec ma main, j’en caresse les poils du bout des doigts. Il fait un mouvement de va-et-vient dans ma bouche mais très excité il ne peut se retenir bien longtemps, retire son membre et éjacule dans ma belle moustache en poussant quelques grognements de plaisir. Quatre giclées de sperme chaud s’y étalent. Il a entretemps saisi mon pénis d’une main et me masturbe tout en flattant mes couilles gonflées de l’autre. La pression monte dans ma queue, juste au moment où j’allais lâcher quelques bonnes giclées il met mon sexe dans sa bouche et recueille tout mon sperme qu’il avale. Avec sa langue Jean-Yves récupère un peu de sa propre semence dans les poils de ma moustache et l’introduit dans ma bouche pour la partager. Je suis agréablement surpris par le goût et l’onctuosité du liquide séminal et par la sensation toute différente d’embrasser un homme, barbu de surcroit et de savourer ce qui vient de lui.

Un peu plus tard sous la douche et copieusement savonnés tous les deux, je ne peux me retenir à la vue du cul de Jean-Yves et mon instinct de mâle m’appelle à la pénétration. Je mets mon gland savonné contre son anus et il comprend, il m’invite à entrer en lui. Je le fais lentement afin que son anus s’adapte à mon membre. Je le pénètre profondément, il adore me chuchote-t-il quand on s’enfonce si creux en lui que la fourrure du sexe de son partenaire touche ses fesses. Je tiens Jean-Yves par la taille, j’entreprends un mouvement lent mais régulier afin de faire durer notre plaisir. Mon pénis en érection n’est pas très long, même pas 15 cm mais il a un bon calibre avec un gland bien dégagé ce que les femmes de ma vie avaient toutes apprécié, particulièrement pour la fellation. À chacune de mes poussées Jean-Yves exprime sa jouissance parfois assez bruyamment tout en se masturbant. Après quelques minutes j’éjacule en lui et prenant son membre dans ma main droite je termine le travail, recevant bientôt un flot de semence dans la paume. Mon pénis perd son érection et glisse hors de Jean-Yves qui forçant un peu évacue mon sperme de son anus. Je mets ma main sous le jet d’eau pour la nettoyer. Le drain de la douche a sa part de plaisir et avale tout notre sperme.

Nous nous séchons puis nous prenons un verre. La chaleur des sens ne s’est pas apaisée sous l’eau de la douche, Jean-Yves m’invite ensuite dans son grand lit où de nouveaux plaisirs nous attendent. Il m’enseigne comment faire une fellation de première classe. Je suis bon élève mais la leçon se poursuivra la prochaine fois car c’est mon tour de connaitre les plaisirs de la sodomie. Je dois dire que je suis un peu inquiet car son pénis est bien plus long que le mien mais heureusement d’un calibre normal. Je m’offre à lui en me couchant sur le ventre, les jambes un peu écartées. Jean-Yves est attentionné, il prend soin de bien nous lubrifier. Il y va ensuite doucement et son membre fait peu à peu son chemin en moi. Il finit par me pénétrer de toute sa longueur jusqu’à ce que ses couilles et sa toison pubienne s’appuient sur mes fesses.

Me voilà possédé par un pieu de chair qui doit faire dans les 17 cm! Ses mouvements sont lents. La douleur du début fait peu à peu place au plaisir. J’avais toujours entendu dire que la zone la plus érogène chez les hommes est l’anus, j’en suis maintenant convaincu. Il accélère le rythme à mesure que sa jouissance augmente. Les bras allongés mes mains se crispent sur l’oreiller à chacune de ses poussées. Jean-Yves atteint l’orgasme et éjacule en moi à fortes giclées, émettant de tels cris que j’ai l’impression que toute la ville va l’entendre. J’éprouve pour la première fois la sensation du sperme chaud qui envahit mes entrailles et mon corps stimulé par celui de Jean-Yves me fait éjaculer presqu’en même temps. Ma semence se répand sur le drap et réchauffe mon ventre, la sienne l’intérieur de mon corps. Vaincu, Jean-Yves s’étend sur moi. Nos sexes conservent un temps leur dureté en ce moment de quiétude. Quelle belle machine de plaisir que le corps humain!

On prend sagement notre douche en solitaire sinon on ne saura plus mettre un terme à notre baise. On se quitte en promettant de se revoir. Pour une fois je suis vidé non pas de fatigue mais de liquide séminal et immensément détendu.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Histoire délicieuse
Posté le 29/05/2023


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