Histoire Erotique

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Rendez-vous galant avec un couple spécial. 6

Céline a enfin pour elle toute seule Patrick et doit subir ses assauts et elle comprend dans la douleur d'où il tient sa réputation.

Proposée le 29/07/2021 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Des cousins invitent Patrick. 6

Ida n’était pas une oie blanche quand elle a rencontré Patrick, elle avait eu un amant pervers et avait rompu avec lui après l’avoir dessalée dans pas mal de parties fines. Après une période de disette, elle avait rencontré une amie qui lui avait parlé d’un amant doux et inépuisable. Son amie les avait présentés, la journée se terminant par une partie à trois où elle découvrit un étalon incroyable doté d’une pine de cheval qui bandait si fort. Malgré qu’il soit en minorité, elles n’étaient pas parvenues à lui faire « rendre les armes ». Ça, c’est un vrai mâle !... Pour lui, elle accepterait tout…, comme ce soir avec ces deux inconnus.
Maintenant qu’elle avait bien joui du bouton, elle avait besoin d’une présence dans la vulve et en fit part à JP.
-Que penserais-tu d’une bonne partie de baisage après tout ce marivaudage oral ?
-Que du bien, répondit-il, comment veux-tu que nous nous mettions ?
-Du moment que tu me mettes, je me fous de la position. Je veux m’asseoir la dessus, minauda-t-elle en caressant le bout de la pine de JP qui se dressait vers le plafond de la chambre et la recouvrant dans petit chapeau.

Elle enjamba le corps de JP en lui présentant les fesses du côté de son visage, puis s’installa accroupie pour que le bout vienne se ficher entre les grandes lèvres de ce charmant abricot qui avait tant servi déjà. Elle se chatouillait l’entrée de la vulve par ce long polard poilu dont le bout était si doux à ses lèvres vaginales.
-Passe tes mains par-dessous de mes fesses, mets-les sous mes cuisses de chaque côté de ma petite chatte et écarte toi-même la bouche vulvaire pour que ta pine puisse bien y entrer toute seule.
Toutes ses vulgarités étaient débitées sur un ton doucereux, avec la voix d’une petite fille qui récite des prières de première communion. JP en fut tout émoustillé et n’en banda que plus fort. L’aphrodisiaque qu’il avait pris discrètement quelques instants plus tôt commençait à faire effet.
Quand Ida sentit le gland lui pénétrer l’entrée, elle baissa le cul jusqu’à toucher de ses fesses le ventre dur du baiseur et s’enfonça toute la grande racine virile jusqu’au fond de sa chatte. Puis elle se souleva un peu, guettant la pénétration et la sortie dans son con, grâce à un miroir qui faisait vis-à-vis à la couche sur laquelle ils forniquaient.
C’était merveilleux de voir ce piston qui lui entrait dans le ventre et en sortait tout luisant comme une bielle d’une machine bien huilée. La bonne mécanique humaine était en marche et le mouvement ne s’arrêterait que par l’orgasme des amants. La verge de JP ayant déjà été à la peine avant d’être à ce nouvel honneur, il garda un peu de semence, réservant l’apothéose pour que les jeux de cul puissent continuer plus longtemps. Cela faisait bien l’affaire d’Ida et lui permit de jouir plusieurs fois de suite sur cette bite qui tardait à débander. Ida prenait son pied sur ce pieu fiché en elle et criait sa jouissance.
-Je coule, je fonds dessus ! S’exclama-t-elle, je jouis sur ta belle queue !... Je décharge, tiens, prends tout !... Je mouille, je prends mon pied !...

JP, stoïque, bandait toujours, aussi, dès que les spasmes vaginaux se furent apaisés, avide d’une nouvelle volupté, elle se mit en position pour une autre joute amoureuse. Cette fois, elle s’installa de nouveau sur le corps de JP, mais de face en le regardant.
Celui-ci tenait sa bite à la main et ce fut lui qui la guida dans le trou rosé du vagin tout gluant de sa dernière jouissance interne. La pénétration eut lieu aisément, la queue de JP commençait à bien connaitre le chemin. La chatte vorace la happa comme une belle proie et se l’envoya jusqu’au fond pour buter sur les coussinets de chair qui tapissent la fin de l’impasse. JP se laissait faire, heureux de sentir la belle femme limer elle-même sur la mentule en érection. C’était pour lui comme une récompense, un hommage féminin à ses charmes physiques, et pour tout dire, c’était moins fatigant.
Il avait posé ses mains sur les fesses rondes et accompagnait leur mouvement lent de va-et-vient vertical. Il aimait bien baiser comme ça, « à la papa ». Ça lui laissait tout le loisir de réfléchir et de penser à ce qui se passait dans la pièce voisine où sa cousine était en train de copuler avec cet homme hyper-membré. Il pensait aussi à ce qu’ils venaient de faire et ça lui paraissait monstrueux d’avoir baisé sa cousine, mais Ida le ramena à la réalité. Elle jouissait de chaque frottement du pénis dans sa vulve se remémorant d’autres soirées chaudes où le stupre coulait à flot. Il s’abandonna enfin et se vida en elle, remplissant le préservatif.
Dans l’autre pièce :
-A quoi penses-tu, Céline !
-A jouir, chéri ! Tu ne peux pas savoir comme j’aime les bites…, et la tienne est merveilleuse, elle glisse magnifiquement dans ma petite chatte qui s’est adaptée à ce format peu commun. Je la sens qui coule en moi, qui s’enfonce, qui me fouille, c’est prodigieux !... Tu es dans ma chair, je te sens, remue mon chéri, accompagne mes coups de reins avec tes coups de pine que je te sente bien bander au fond de mon petit con ! Mets-m’en plein le vagin…, plein le ventre…, je suis ta femelle, baise-moi !...

Il s’amusait avec ses seins parfaits et lui pinçait les bouts pour les émoustiller pendant l’acte.
La douleur la rendait folle mais la sensation d’être pleine et possédée par un tel étalon était la plus forte. Elle montait et descendait maintenant par elle même sur le bélier, gémissante et criante mais acceptant ce membre si viril.
-Oui ! Soupira-t-elle, fais-moi mal, j’aime bien !... ça m’excite, ça me fait bander le bouton…
-Salope ! Je vais te défoncer le vagin jusqu’à ce que tu demandes grâce…
-Oui, défonce-moi ! Je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux, ouvre-moi le cul, fais tout ce que tu voudras… Je jouis, je viens sur ta pine, ta belle queue ! Ah chéri que c’est bon !... Je décharge comme une jument, aaahhh ! Je meurs.
La belle teub, coincée par ses muscles vaginaux, n’était pas sortie de son antre, toujours raide, grosse et prête à continuer.
-Tu me plais, toi, tu es un vrai mâle !

Céline se remit à jouer du cul sur la belle bite. Elle aurait pu se faire piner ainsi durant des jours avant d’être satisfaite pleinement, et ce partenaire tenait la distance. Après quelques minutes elle dut lui échapper car ses jambes fatiguaient. Elle titubait avec une chatte en feu. Il se leva aussi, la repoussa vers le sofa où elle s’appuya, les épaules en avant et il s’empara de ses hanches. Il la prit comme une bête, enfonçant sa queue rapidement et profondément, lui arrachant un cri de douleur mélangé à l’extase. Il la défonça en enfonçant sa bite de plus en plus loin dans la chatte.
Céline se laissait prendre comme une chienne, son vagin s’étirait et le laissait rentrer avec difficulté, râlant à chaque coup de bélier. Elle regardait en bas, étonnée que la queue soit presque entièrement en elle. Ses lèvres intimes restaient collées à ce membre imposant lorsque qu’il se retirait.
-Remue chéri, que je sente ta trique me fourrer !... Ooohhh ! Je me vrille dessus, je me l’enfonce bien, tu sais !

Elle réussit enfin à reprendre l’initiative et se déchaina. Son cul se mit en branle à une grande vitesse, menant son baisage tambour battant, jusqu’au moment où elle s’écroula, vidée de sa substance, sanglotant sur sa poitrine où elle se lova et lâchant une dernière fois : « Je jouis ». Cela faisait maintenant presque qu’une heure que Patrick forniquait avec son hôtesse et il décida qu’il était peut-être temps de conclure. Il s’était tellement fait limer la queue qu’il s’étonnait quelle ne soit pas tailler en pointe comme un gros crayon.
Lorsque l’incandescente femelle eut enfin récupéré de ses jouissances répétées, il la jeta à plat devant lui et lui ouvrit le compas de ses cuisses pour libérer l’accès à la gaine enflammée où il fourrerait son gros engin pour l’apothéose.
-Tu t’es assez dépensée, c’est à moi de conclure !
-Je ne sens plus ma chatte, est-ce que je serai encore capable de prendre mon pied ?
-Il est urgent que je prenne le mien, rétorqua-t-il, j’ai les couilles qui me font mal.
-Laisse-moi les tripoter, murmura Céline en palpant les bourses pleines, de si belle couilles… ça y est, je repars à mouiller, tu vois avec moi, ce n’est jamais terminé.
-Tu es la plus salope des salopes, mais tu me plais chérie ! Regarde, je vais te l’enfoncer dans le con…
-Je la connais, elle est superbe… tu vas encore bien me piner, j’en suis sûre !

Lorsqu’il posa l’ogive de sa fusée sur sa vulve, elle poussa un gros soupir d’aise et souleva son bassin pour mieux recevoir le pénis en elle.
-Viens, viens, pine-moi ! dit-elle dans un souffle.
-Tiens ! La coupa-t-il en s’enfonçant dans toute cette molle chaleur. Tu es inondée de jus, salope ! Ça rentre tout seul.
Elle était étendue à plat et donnait de légers coups de reins pour accompagner les mouvements du coït. Mais cette fois, le mâle cherchait l’aboutissement, il ne travaillait plus pour faire durer le plaisir ou pour le bonheur de la fille. Il avait besoin de jouir et s’employait à atteindre le point de non-retour.
-Ah ! Comme tu bandes bien, mon chéri !... Tu bandes encore plus fort… Cette fois, je sens que je vais être pleine de foutre et j’adore ça, j’en ai besoin ! Je ne peux pas vivre sans foutre… Je voudrais le voir sortir de ta queue, décharge-moi sur le ventre, mon grand, tu seras gentil.

Patrick fit la moue. Il aimait mieux s’abandonner à la grande euphorie finale en balançant toute sa purée dans le ventre chaud des femelles, mais comme il était assez gentil de nature, il accepta.
-D’accord, tu verras mon gland envoyer la béchamel !... Tu as tous les vices, à ce que je vois…, ça te plait de regarder un type qui va décharger, et bien avec moi, tu seras gâtée, ma cochonne !
-Oui ! Décharge-moi dessus, mais dis-le moi à l’avance…que je jouisse juste à temps…
-Eh bien c’est le moment, garce ! Je ne peux plus attendre…
-Ah ! fit-elle, j’y suis, je jouis !... Je jouis !... Fais-moi voir…, vite !

Il sortit vivement sa pine toute luisante et, du gland congestionné, jaillit de magnifiques geysers de sperme qui s’étalèrent en flaques épaisses sur le ventre et la poitrine frissonnants de la femelle comblée.
-Putain !... Avec toi, la petite dose n’existe pas… Et quelle puissance !!!!

Elle se releva et s’effondra sur le sofa, épuisée, ruinée, mais heureuse comme jamais.

A suivre…

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