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Quand Lucie se laisse aller...

Je fis la connaissance de Lucie sur le net. Elle cherchait un dominant pour être exhibée. Je réalisais son fantasme puis je la poussais un peu plus dans la soumission, et puisqu'elle cherchait des situations humiliante, je ne me privais pas de lui en offrir

Proposée le 22/05/2021 par Bamby26

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Essayage
Type: Roman


J’ai contacté Lucie sur un site de rencontres. Son annonce était pour le moins laconique : « Femme mature cherche dominant ». Je savais qu’elle aurait de très nombreuses réponses, mais je laissais quand même la mienne en me présentant du mieux possible. Un mois passa avant que je ne trouve dans ma boite mail un message tout aussi bref : « Bonjour ». Bon, je savais que j’allais ramer un peu mais cela ne me découragea pas. J’étais habitué à ce genre d’attitude qu’il me laissa à penser que cette Lucie était novice… et comme j’en suis friand (depuis de nombreuses années), je m’accrochai. Je lui parlais sans détour, mais avec précautions quand même, de mes pratiques. Je parvins ainsi, peu à peu à établir une certaine confiance, et j’appris après plus d’un mois d’échanges, que Lucie vivait en couple dans une relation « vanille » et qu’elle fantasmait sur le fait d’être humiliée et exhibée. Elle eut beaucoup de mal à me faire cet aveu, et je tentais de lui faire admettre qu’il n’y avait là rien de honteux ni d’immoral et que beaucoup de gens, femmes ou hommes, avaient ce fantasme. Je trouvais les bons mots pour la rassurer et c’est elle qui émit le souhait d’une rencontre. Nous n’échangeâmes que des photos de nos visages afin de nous reconnaitre et nous nous retrouvâmes à la terrasse d’un bistro en début d’après midi. J’étais en place bien avant l’heure et je la repérais facilement lorsqu’elle fit un premier passage devant l’établissement. Je m’étais installé de manière à être bien visible. Elle m’avait aperçu, bien sûr, mais elle hésitait encore. Je lui fis un signe discret pour l’encourager et elle s’approcha. Je l’avais prévenue qu’il n’y aurait aucun préambule et que je la considèrerai, dès la première seconde, avec autorité, ce qui sembla la satisfaire.
— Bonjour Lucie.
— Bonjour.
Je la reprenais aussitôt :
— Bonjour monsieur
Elle rougit mais répéta :
— Bonjour monsieur.

Je la détaillais avec soin. Blonde, la quarantaine, cheveux mi-longs, yeux noisette en amande. Elle devait mesurer dans les 1m65 et elle arborait une poitrine généreuse. Selon mes instructions, elle avait revêtu une robe mi-cuisses, au décolleté plongeant. Après que le serveur a déposé nos cafés, j’attaquais :
— Tu as mis des sous vêtements ?
— Oui monsieur, je n’ai pas osé sortir sans. Je n’ai pas l’habitude.
Je la grondais brièvement pour m’avoir désobéis puis j’ordonnais :
— Pose ta culotte sur la table.
Elle rougit puis se trémoussa avant de poser un slip couleur fuchsia à côté de sa tasse.
— Ton soutien gorge.
Moins d’une minute plus tard il était sur la table.
Je lui demandais :
— Alors ?
— Ça me fait tout drôle monsieur.
— Tant mieux. Je t’ai préparé un petit programme. Finis ton café et on y va.
Par discrétion, j’avais décidé de nous éloigner dans une ville voisine. Durant le trajet je lui fis sortir un sein de sa robe, et, chaque fois que, au hasard de la circulation, un regard se portait sur elle elle frissonnait. Arrêté à un feu tricolore je tendis les mains pour descendre la fermeture éclair de sa robe et je tirai vers le bas si bien qu’elle se retrouva bientôt dénudée jusqu’au nombril. Le routier, arrêté à côté de nous ne rangea pas les yeux dans sa poche. Je demandais à Lucie :
— Alors ça te plait de te faire reluquer les nichons ?
Elle baissa les yeux avant de répondre.
— Oui monsieur mais…
— Quoi ?
— J’ai un peu honte.
— Et de quoi ? Personne ne te connait. Il n’y a que ton plaisir qui compte. Le reste tu dois t’en foutre.
Je sentis qu’elle se redressait.
— Oui monsieur, vous avez raison. Elle marqua une pause et ajouta : Et vous monsieur, ça vous plait de me montrer comme ça ?
— Bien sûr !
— Oui, vous devez avoir l’habitude de faire ça.
Je ne répondis pas et quelques minutes plus tard je stoppai la voiture à l’entrée d’un parc. J’entrainais Lucie jusqu’à un muret haut d’un mètre environ, où je la fis asseoir et écarter les jambes.
— Reste comme ça.
Je m’éloignais d’elle puis m’assis sur un banc, en face. La hauteur du mur n’était pas idéale et la vue sur sa chatte pas suffisante. Mais elle l’ignorait. Je décidais donc de la laisser ainsi un moment puis lorsque je revins vers elle elle me sembla émoustillée.
— C’était troublant monsieur.
— Tant mieux mais on ne voyait pas très bien ta chatte. Au fait tu es épilée ?
— Non monsieur, mais j’ai pas beaucoup de poils.
Je vérifiais en passant la main.
— C’est vrai tu n’as pas beaucoup de poils mais tu es toute mouillée ma cochonne.
Le mot la fit frissonner. Je souris et ajoutais :
— Pour l’instant tu es juste une petite cochonne mais tout à l’heure tu seras une petite salope.
Là je fus surpris quand elle me répondit d’une voix martelée par l’émotion :
— Oui monsieur faites de moi une petite salope.
Je lui caressai les cuisses puis lançais :
— Aller on y va. Tu préfères montrer ta petite chatte à un homme ou a une fille ?
Elle ne répondit pas.
— Bon, et bien tu vas la montrer aux deux. Ça te va ?
Pour toute réponse elle glissa sa main dans la mienne, puis après un moment elle murmura :
— J’ai confiance en vous. Je crois que c’est à cause de votre âge et de votre expérience.
— Alors on va bien s’amuser.
Je stoppai devant la vitrine d’un chausseur.
— Tu vas essayer des chaussures.
Je la fis asseoir et aussitôt un vendeur s’approcha. Il proposa de faire appel à une collègue mais je lui dis que ça n’était pas nécessaire. Il s’accroupit devant Lucie et je murmurais à l’oreille de celle-ci :
— Ecarte les cuisses.
Je pensais qu’elle hésiterait. Mais non, et je vis très nettement la direction du regard de l’homme lorsqu’il laça les chaussures. Nous réitérâmes dans un second magasin… avec une fille. Une fois dans la rue je félicitai Lucie puis déclarai :
— Maintenant tu vas te faire voir toute nue.
— Où ?
Je montrai une enseigne de magasin de sport.
— Là. Il y a des cabines très pratiques.
Nous entrâmes et j’invitai Lucie à choisir quelques vêtements. J’attendis qu’il y ait une ou deux personnes susceptibles de la voir. Je repérais bientôt un homme qui patientait devant la cabine de sa femme.
— Maintenant !
J’accompagnais Lucie. Elle entra dans la cabine et je lui lançais :
— Tu te mets complètement nue.
J’attendis le bon moment, puis discrètement j’écartai le rideau et fis un pas en avant pour permettre à l’homme de se rincer l’oeil. J’écartais un autre pan du rideau pour ordonner à Lucie :
— Montre-toi dans toutes les positions.
J’en profitai moi aussi, pour me rincer l’oeil et je la trouvai magnifique.
— Je vous plais ?
— Tu me fais bander, je peux pas mieux dire.
Et c’était vrai. J’avais une trique d’enfer !
Lorsque la femme ressortit de la cabine je vis l’homme s’empourprer.
— Bon, tu peux te rhabiller, fis-je à Lucie.
Lorsque nous sortîmes du magasin elle lança :
— Alors vous trouver que je suis un peu salope ?
— Ben tu sais, pour être une salope il faut en faire un peu plus.
— Il faut faire quoi ?
J’hésitais un long moment avant de répondre :
— Tu te fais baiser souvent ?
— Non. Et puis ça n’est pas très excitant avec mon mari. Ce qu’on a fait jusqu’à présent l’est beaucoup plus.
Je réfléchis à la suite des évènements. Je voulais qu’elle s’exhibe à poil de manière plus compromettante. Tout au long de notre cheminement je tentais de pousser des portes d’allées. J’en trouvais une ouverte. C’était un vieil immeuble sans ascenseur avec un large escalier que l’on pouvait suivre, visuellement, jusqu’au dernier étage. Je pris Lucie par la main. Arrivé au bas des escaliers j’ordonnais :
— Tu vas monter à poil jusqu’au dernier étage. Je veux que tu gardes la main sur la rampe pour que je te vois. Allez, enlève ta robe.
Comme elle hésitait, je la brusquais :
— Aller obéis !
Sur ces mots, je lui retirai sa robe et d’une claque sur les fesses je la poussais vers les escaliers.
— Monte lentement.
Je la suivis des yeux. Lorsqu’elle fut de retour elle n’avait rencontré personne mais je sentis son coeur battre la chamade.
— Oh monsieur, j’ai faillit m’évanouir au troisième quand j’ai entendu du bruit.
— Ça t’a plu ?
— Oh oui ! J’ai eu peur mais ça m’a excitée.
— Alors tu veux continuer ?
— Oh oui.
— Mais avant je vais exiger de toi quelque chose qui pourra te faire entrer dans la catégorie des salopes.
— C’est quoi ?
— Tu es prête ?
— Heu… Oui, je crois que oui.
Je l’empêchais de remettre sa robe puis je déboutonnais mon pantalon.
— Taille-moi une pipe !
— Heu… Je ne sais pas si…
Je la coupais :
— Tu n’as pas à réfléchir tu obéis !
Je descendis mon boxer à mi cuisse puis je la saisis par les cheveux.
— Suce !
Elle hésita encore et je lui mis une claque sur la joue.
— Suce-moi la bite salope !
Doucement, du bout des doigts, elle décalotta ma queue et commença à me sucer. Mal, si mal, que je lui remis une nouvelle claque.
— Applique-toi je veux que tu me suces comme une pute.
Rien n’y fit, et malgré mon excitation je jugeai inutile de poursuivre.
— Stop ! Je n’ai jamais rencontré une aussi mauvaise suceuse. Tu tailles jamais des pipes à ton mari ?
— Non monsieur.
— Tu n’aimes pas ça ?
— Pas trop monsieur.
— Bon et bien que tu aimes ou pas tu vas devoir apprendre avant ce soir. C’est compris ?
— Oui monsieur.
— Je veux que tu deviennes une chienne soumise. Ça aussi c’est comprit ?
— Oui monsieur. Et…
— Quoi ?
— Heu… Ça me fait des frissons quand vous me parlez comme ça.
— Tant mieux parce que je vais continuer.

Je consultais ma montre. Il était temps de rejoindre une étape cruciale : un lieu où je savais trouver des voyeurs. C’était un peu tôt mais ça nous laisserai du temps pour les leçons car j’étais bien décidé à lui apprendre comment me sucer. J’arrêtais la voiture sur le terre plein puis j’entrainais Lucie vers le bord de l’étang où je lui enseignais l’art et la manière. Après cinq fellations que j’interrompis toujours avant d’exploser, elle avait acquis l’essentiel. Lorsque je posais mon gland sur ses lèvres pour la sixième fois elle le lécha, le téta, l’aspira plusieurs fois. Chaque fois qu’elle « travaillait » bien, je l’encourageait en la traitant de « bonne petite salope » ce qui avait pour effet de l’inciter… à faire encore mieux. Elle avait maintenant les bons gestes, notamment pour me toucher les couilles, et je ne pus m’empêcher de la questionner.
— Alors tu aimes sucer maintenant ?
Elle lâcha mon gland.
— Oui monsieur, j’aime vous sucer.
— Tant mieux, parce que cette fois il va falloir avaler.
Elle ne fit aucune remarque et lorsque j’ordonnais :
— Gorge profonde !
Elle s’exécuta… Plutôt bien !
C’est d’ailleurs au moment où ma queue frôlait sa glotte, que j’éjaculais. Elle faillit s’étouffer. Par prudence, je me retirai promptement puis je veillais à ce qu’elle gardât la bouche fermée tant qu’elle n’avait pas avalé. J’attendis un peu puis je lançais :
— Alors ?
— J’aime pas trop, c’est visqueux.
Je la pris par le menton pour la forcer à me regarder.
— Que tu aimes ou pas je m’en fous. Ça sera toujours comme ça. C’est comprit salope ?
— Oui monsieur.
Dix minutes plus tard le secteur s’anima et je vis arriver un… puis deux voyeurs. Je rassurai Lucie :
— N’aies pas peur, ils ne font que voir.
Je préférais attendre encore un peu et j’invitai Lucie à regagner la voiture. Les hommes se rapprochèrent. Je passais un masque à Lucie afin qu’elle put dissimuler son visage et j’en revêtis un également. Après quoi je me mis à poil et invitai Lucie à faire de même. Les voyeurs se rapprochèrent encore de la voiture.
— Il faut leur donner du spectacle. Suce-moi un peu.
Lucie, dont les mamelles ballotaient à chaque mouvement, se pencha sur moi. Lorsque j’eus une belle trique, je l’attirais à l’arrière du monoplace dont j’allumais le plafonnier.
— Mets-toi à quatre pattes.
— Vous voulez…
— Te baiser, oui. Mais rassures-toi, je laisse ta chatte à ton mari. D’ailleurs je prends toujours mes salopes dans le cul.
— Mais non je ne…
Je la coupai d’une claque sur les fesses.
— La ferme, tu n’as rien à dire. Tu obéis et tu te mets en position.
Je ne la laissais pas gamberger. J’appuyai mon gland sur son anus. Si Lucie ne baisait pas souvent elle avait dû s’introduire pas mal de truc dans les fesses car je m’y enfonçais facilement. Elle était toutefois suffisamment étroite pour que je sentisse avec délice ma bite glisser le long de son fourreau. Je la ramonai doucement pour pouvoir saisir ses opulentes mamelles que je pelotais copieusement. Puis je me déchainais. Elle n’arrêtait pas de hurler, comme si elle était en proie à une crise d’hystérie. Elle jouit juste avant que je ne décharge dans la capote. Soudain quelqu’un frappa à la vitre. Je manoeuvrais l’interrupteur. Une femme passa la tête :
— Votre amie à l’air d’aimer ça, et elle plairait sûrement beaucoup à mon mari.
— Il aimerait la baiser ?
— Oui sans aucun doute, répondit la femme. Elle fit un clin d’oeil et ajouta : C’est son anniversaire, alors si madame est d’accord.
Je répondis aussitôt :
— Elle fait ce que je lui ordonne.
— Soumise ?
— Oui.
La femme sourit.
— On a un grand camping car là bas.
— Ok.
Je me rhabillais puis je m’adressais à Lucie.
— Aller, sors ! Et laisse ta robe ici.
Je l’entrainais par le bras jusqu’au luxueux camping car dans lequel elle refusa tout d’abord de monter jusqu’à ce que je lui claquasse les fesses.
— Monte salope !
Je m’adressais à la femme.
— Elle est encore en période de dressage.
— Ah, d’accord.
La femme précéda Lucie et lança à son mari :
— Voilà ton cadeau mon chéri.
L’homme, déjà à poil, développait une érection impressionnante. Il commença à peloter les grosses mamelles de Lucie. Je proposais à l’homme :
— Si ça vous intéresse, elle a encore jamais été baisée dans la bouche.
Le regard de l’homme s’éclaira d’une lueur lubrique. Je bloquais la tête de Lucie qui chercha à se défiler :
— Non monsieur…
— Ferme-la. Tu n’es qu’une grosse pute ce soir et tu obéis.
Je sentis son frémissement sous mes mains. L’homme s’approcha et je donnais une claque à Lucie.
— Ouvre la bouche !
Elle s’exécuta et l’homme glissa sa queue entre les lèvres charnues. Il la baisa doucement et je sentis bientôt que l’on me baissait mon pantalon. La femme me glissa à l’oreille :
— Vous aussi vous avez une belle bite.
Puis elle la prit dans sa main et commença à me branler. Je pensais que l’homme voulait jouir dans la bouche de Lucie, mais il se retira. J’appuyai alors sur la nuque de ma soumise pour la faire mettre à quatre pattes et l’homme aussitôt pris possession de sa chatte.
L’espace était un peu exigu, mais je réussis à monter la femme sur le lit où je la baisais sauvagement. J’entendais derrière moi, les cris aigus de Lucie qui prenait son pied. La femme, qui les avait également entendus, sourit et lança :
— C’est vraiment une petite salope.
Je répliquai aussitôt :
— Toi aussi tu as l’air d’en être une bonne.
Elle ne répondit pas, mais poussa le bassin pour s’empaler plus fort.

Lucie redescendit du camping car, la mamelle alanguie. Arrivée à la voiture elle remis sa robe puis lança :
— Je croyais que vous alliez juste m’exhiber.
— Et alors, le reste t’a déplu ?
— Non monsieur mais…
— Quoi ?
— Heu… Je crois que je ne vais plus trop avoir envie de faire l’amour avec mon mari. Et… Heu… pardon de vous demander ça, mais est-ce qu’on pourrait se revoir ?
— Ha !
— Oui, je sais on était d’accord pour une seule rencontre mais vous m’avez fait découvrir des choses qui m’ont donné des frissons et j’ai envie d’aller encore plus loin.
— Plus loin ?
— Oui monsieur, enfin… si c’est possible.
Je démarrais, puis une fois sur la route je lui répondis :
— Je te donnerai ma réponse une fois que tu te seras branlée.
Elle me sourit puis écarta les cuisses…

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

douglas56
Bonjour, j'ai bien aimé cette histoire dont la structure est bien construite, on a peine à croire Lucie en pleine débauche et avide de sensations malgré sa peur toute en retenue. Bravo et merci pour ce moment.
Posté le 9/01/2022

Chris78
Bravo, super histoire. Je suis dominant aussi et cette lecture était hyper excitante. Merci à vous
Posté le 31/07/2021

Mind13
Oui, à suivre …
Posté le 4/07/2021


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