Histoire Erotique

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Un Instant d’Égarement.

Est-ce une erreur, une déviance, ou simplement l’envie d'une aventure dû au hasard ? Il est plus sage de se passer d’un jugement, car on ne sait jamais à quel moment une situation peut vous surprendre. Un sein qui se dévoile, une cuisse qui se découvre au-delà du possible, la transparence d’un vêtement etc…

Proposée le 11/03/2021 par maximilien7

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FF
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


« Que voulez-vous, que je vous dise ?, je ne m’explique rien, ni mes gestes, ni ma passivité coupable dans cette histoire. Ce qui s’est passé ce jour-là, ne peut être justifié et cela pourrait mettre en doute ma santé mentale. Mais….. ! C’est arrivé ! Que voulez-vous que je vous dise de plus…

Comment une femme de mon âge, peut-elle permettre à une gamine d’avoir une emprise sur ce qu’elle à de plus intime ? Comment voulez-vous que j’admette cette réalité ? Pourtant, rien que de me rappeler cet instant de luxure, stimule toujours mes fantaisies sexuelles. Le désir érotique dont m’a gratifiée Betsy me fait toujours frissonner, et je me laisserai encore allez au jeu de ses mains agiles si j’en avais l’occasion. Cela prouve sans doute, que je suis une femme immature, ou…. en manque de tendresse ? »

Estelle se redresse sur le canapé, elle décroise ses jambes, puis resserre ses genoux. Ses joues rouges m’instruisent sur ses émotion, cette belle femme rousse à des yeux de chat, un visage d’une finesse inégalée, sont regard évasif lui offre un charme évident et j’en ressens un trouble manifeste. Elle jouit de cette constance que portent avec elles les femmes d’âge mûr. Elle reprend son récit et j’interviens le moins possible bien sûr, pour ne pas l’embarrasser

« Je suis arrivée chez les Walters vers 8.00 hrs du matin comme d’habitude. Je devais être seule dans cette maison de maître, et j’en avais l’habitude. Les parents eux sont partis au bureau, et Betsy devait elle aussi quitter le domicile, il ne me restait plus qu’à vaquer à mes occupations.
La première chose à faire comme d’habitude, était d’enfiler ma blouse et la chaleur de cette matinée aidant, je décidais de ne garder en dessous que mes sous-vêtements. Dans le miroir en face du couloir, soudain elle apparut.., Betsy, avec cette douceur qui la caractérise et que j’appréciais particulièrement chez elle. Elle était très peu vêtue ce matin- là, pour ne pas dire qu’elle était pratiquement nue, je mettais cela au compte de la moiteur de ce début de journée. Mais j’avoue que pour la première fois, je fus envahie par un profond trouble face à la beauté innocente de la jeune fille.
Une légère nuisette couvrait avec peine son jeune corps , en dessous je découvrais une peau blanche et suave. Et puis, ses jambes interminables et effilées, agrémentés de minutieux pieds nus, que je remarquais pour la première fois car elle semblait flotter dans l’air tant elle était légère. Là, ou finissait le tissu qui enchâssait ses hanches, se dessinait le duvet harmonieux de son sexe. Je me sentais rougir tout en tentant de refouler les images charnelles qui occupèrent mon esprit. Aussitôt, j’engageais une bataille perdue d’avance contre cette irrépréhensible envie de toucher, de caresser et de m’approprier cette virginité qui m’était soumise.

Elle..., elle restait immobile la tête légèrement penchée arborant avec l’arrogance de sa jeunesse, un teint lumineux. Un parfum léger remplit l’espace entre elle et moi et jusqu’à défaire les derniers remparts sensé contenir ce qui me restait de pudeur, c’est l’envie qui me submergea.
Je susurrais alors presque à regret les seuls mots qui me paraissent encore sensés dans cette situation que j'attribuerais au simple hasard, à la surprise aussi de cette vision charnelle.

« Betsy…, vous devriez vous vêtir, vous n’allez pas en cour aujourd’hui ? »

« Au contraire…, vous devriez vous dévêtir !! J’ai envie de vous….Je suis folle de vous, et je vous observe souvent, quand vous évoluez avec cette incroyable sensualité dans cette maison. Je vous épie quand vous caressez une étoffe, et je fonds quand vous êtes à genoux et que vos cuisses se découvrent, je mouille en imaginant vos mains courir sur mes seins, mon sexe. J’aime les femmes, vous savez, et vous êtes…, une belle femme !! »

J’étais là, ma blouse à la main, à demi nue devant cette jeunette qui fixait mes seins comme les fruits mûrs d’un poirier. Quand elle vint se coller contre moi, j’acceptais cette tête contre mon buste, ce corps entre mes bras, et j’avais une fois encore, l’espoir de retrouver ce que j’avais connu à 16 ans, cet érotisme exalté et blâmable, ce feu qui couve dans mon ventre, cette impression de fondre par l’intérieur et de me liquéfier par le sexe. Un soutien gorge qui tombe, et cette bouche d’enfant qui se colle sur l’auréole de mon sein, est un sentiment de plénitude qui anéantissait mes dernières résistances. Puis les doigts frileux de Betsy, s’appropriant mon ventre, descendant au-delà du nombril, franchissant l’élastique de la culotte, ces gestes-là, figèrent définitivement ce qui me restait de volonté.

Je voyais dans ces yeux la curiosité et l’impatience de la novice, Betsy se remettait à téter la mamelle que je lui offrais et mes jambes cessèrent de me porter. Je vacillais physiquement et mentalement, ma vulve en chaleur traduisit instamment le bénéfice incontournable qui m’offrait les caresses de l’adolescente. J'ai reçu sans honte ses doigts inexpérimentés, oui, sans honte je l’avoue ! J’ouvrais alors mes cuisses en me couchant au sol, ma culotte avait glissé pour laisser la place à ce visage juvénile et je subissais alors ce qu'elle avait appris sur internet. Sa langue explorait un vagin effervescent, prodiguant des suçons pernicieux au clitoris, elle mordait et titillait, s’immisçant tel une limace jusqu’au centre de mon intimité et quand je tente de m’en extraire, ses mains sertissent fermement mes cuisses.

Vous devez penser que je me sens souillée, eh ! bien non, ce fut un plaisir sans comparaison aucune avec ce que j’ai pu connaître jusque là ! J’ai mugi comme une gosse baisée pour la première fois, j’ai crié, j’en ai pleuré des larmes de bonheur, et j'ai léché cette bouche souillée de cyprine sans aucune honte je l’avoue.

Betsy avait de petits seins sucrés, j’ai savouré la moiteur de son cou jusqu’à la naissance des petits monts durcis, j’ai mordu la chair immaculé de son ventre, découvert la toison humide, puis suivie d’un doigt mouillé le sillon moiré qui mène au bourgeon nacré, j’ai percé son intimité, avec la délicatesse de celle qui découvre. Et ce corps se raidissait, s’enroulait et serpentait entre mes cuisses, m’offrant des perspectives d’un érotisme unique, magique. Betsy était vierge. J’accédais sans hésiter à ses demandes frottant, masturbant ses parties génitales avec soins et précaution, puis elle se cabra en silence, la bouche grande ouverte, je la retins par les seins et un jet puissant et chaud exsudat de son sexe.

Entre mes cuisses je berçais amoureusement la fille de mes songes, car moi aussi j’aimais les femmes sans jamais oser l’avouer, alors j’ai jouée de ma féminité avec dextérité. Je l’entends encore couiner et piauler sous mes caresses, je la vois toujours forcir ses fuseaux dorés et entre ses cuisses je renouvelais sans cesse la déraisonnable partition, pour enfin l’entendre crier et me supplier de la laisser jouir.
Je lui ai rendu au centuple ce qu’elle m’a donné de plaisir, perforant de ma langue ses lèvres bouffies et repues, cajolant et embrassant cette peau dans ses endroits les plus érogènes autant que ma féminité me l’avait apprise dans la solitude d’un lit. Quatre doigts glissés entre ses grandes lèvres et la chaleur en cette alvéole érubescente, puis ses vagissements suivis de sursauts orgasmiques eurent raison de moi. Et c’est ensemble que nous avons atteint l’orgasme libérateur, instant magique, féerique, merveilleux…..Non, je ne regrette rien, quitte à me faire damner s’il le fallait…..

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Sizaxe
Une remarquable (et excitante) description
Posté le 3/07/2021

Anonyme
Tout simplement sublime...
Posté le 28/03/2021

Anonyme
Magnifique...
Posté le 28/03/2021

verseau29
tout simplement magnifique. Quand la poésie accompagne l'acte....
Posté le 12/03/2021


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