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Nudité forcée en prison

Cette histoire relève du fantasme de l'incarcération des femmes, des fouilles à corps humiliante, de l'exhibition et de la nudité imposée lors de l'emprisonnement.

Proposée le 17/02/2021 par Masterjail

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


L'histoire est entièrement fictive, les faits rapportés sont totalement imaginaires. Tous les personnages ont plus de 21 ans.
Un inspecteur des prisons enquêtant dans la prison militaire américaine d'aboutissants Ghraib pendant la seconde guerre du Golfe (2003/2011). La femme est restée entre les mains des forces de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis a récupérer le témoignage d'une femme détenue pendant plusieurs mois durant l'année 2004.


Fiche de la détenue :

Nom Houda G
Sexe : femme
Nationalité : irakienne
Ethnicité : moyen oriental
Taille : 1.67 m
Poids : 54 kilos
Age : 30 ans
Lieu de Détention : prison militaire d'Abou Ghraib (Irak)
Détenue pour soupçons de liens avec les rebelles.
Yeux : noirs
Cheveux : noirs, long, légèrement bouclés
Tatouages : non
Cicatrices : non
Période sous en détention : du 27 septembre 2003 au 18 mai 2004


Début de l'automne 2003, les forces américaines on mener un raid dans le quartier de Bagdad ou résident d'Houda G, une jeune femme suspectée de soutenir la résistance à l'occupation. Après quelques combats sporadiques et la prison de contrôle du secteur par les Américains qui ont ensuite ratisser la zone et passer le secteur au peigne fin. Les hommes et les femmes ont étés contrôles. L'armée à placés en détention des dizaines d'hommes, ainsi qu'Houda et quelques autres femmes dont les âges varient entre 21 et 42 ans.
Les premiers jours de détention sont respectueux, mais se passent dans des conditions de vie très spartiates, les femmes sont gardées dans une tente en plein milieu du camp militaire. Les interrogatoires sont très simples et consistent à de simples questions sur l'état-civil et la profession.


Le renseignement militaire décide que les hommes arrêtés dans l'opération de ratissage et Houda et trois autres femmes doivent être gardées sur le site de la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad. Des soldats et gardes américains gèrent cette prison associés à des agents de sécurité privés et de sécurité privée et de la police militaire et de la CIA. La grande majorité des personnes privées de liberté sont des mâles, mais des femelles sont aussi incarcérées.


Houda et les autres sont toutes épuisées et portent des vêtements sales et usés par les quelques jours de captivités sont placés dans un camion militaire avec les menottes. Le trajet dure plusieurs heures avant d'arriver à destination.Comme dans les prisons américaines, le processus d'admission des prisonniers exige qu'Houda et les trois autres prisonnières se déshabillent.Cette opération appelée strip search est difficile à vivre pour les femmes, surtout que par manque de moyens et de temps, ces opération de fouilles se déroule en groupe, sans aucune intimité devant les gardes. La fouille a pour but de rechercher des objets illicites, des armes, de la drogue, ou des pièces importantes qu'un prisonnier peut avoir caché sur lui, comme une puce téléphonique par exemple.

Les femmes prisonnières doivent se mettre complètement, nues malgré leur pudeur, et leurs gênes. Les Américains ne font aucune exception pour les femmes ici.

Houda doit se soumettre à ce rituel très humiliant. Elle forcée de se déshabiller en groupe. Les soldates américaines leur ordonnent en arabe et en anglais de retirer tous leurs vêtements. "Ôtez vos robes, abbayas (longue et ample robe arabe traditionnel), voiles (hijabs) chaussures, bas, collants, chaussettes si vous en posez, culotte, soutien gorge, montres, bijoux, boucles d'oreilles, serviette hygiénique, tampon aussi etc. A poil".
La nudité totale est exigée. Les femmes obéissent terrorisées, elles savent que toutes résistance est futile et que les Américains déchireront et découperont leurs vêtements en cas de résistance et qu'elles finiront toutes nues de toute façon.

Elles enlèvent leurs vêtements les unes devant les autres et sous le regard inquisiteurs des gardiennes. Surtout qu'elles ne se rendent pas tout de suite compte, mais des soldats hommes filment discrètement avec des caméscopes les prisonnières en train de se mettre à poil.
Houda retire d'abord ses chaussures, alors que d'autres ôtent les foulards et manteaux en premier, elle retire ensuite ses bas et pose ses plantes des pieds nus sur le béton poussiéreux, elle défait ensuite son voile qui couvre ses beaux cheveux noirs, et enlève sa robe traditionnel pour apparaitre en sous vêtements sexy.

Elle remarque qu'elle n'est pas trop mal en se comparant aux autres femmes, elle a beaucoup voyagé pour une femme arabe du moyen orient, elle a même séjourné aux Etats Unis pendant plus d'un an à la fin de ses études. Bien sûr sur le campus de son université au Texas, elle s'habillait à l'occidentale, n'hésitait pas à porter des tenues très courtes et osées en compagnie des étudiantes américaines. Elle a des jambes fermes, longues et sexy, des fesses bien galbées bien ronde et des hanches, et de jolis pieds égyptiens délicatement vernis en rose.

Les femmes sont en sous-vêtements et elles sont très gênées surtout qu'elles entendent des voix d'homme dans les pièces autour et les portes de la salle de fouilles sont entrouverte, mais aucune n'osent se retourner pour regarder. La plus âgée, Dounya est une milf arabe de 40 ans, de petite taille, 1,55 m environs, encore sexy, avec d'énormes fesses et de grosses mamelles qui débordent de son soutien gorge noir.


Une autre, Hind est âgée de 23 ans, elle est grande et maigre avec la peau mate et de long cheveux noirs très raide, elle porte une petite culotte blanche, avec une brassière de la même couleur et des chaussettes qu'elle n'a pas retirer contrairement à Houda et Dounya.

La dernière détenue à 32 ans, elle s'appelle Sabra, elle est en petite culotte et chaussettes et ne portait pas de soutien-gorge pendant son arrestation, ses seins sont moyens et était bien couvert par sa robe, elle n'a pas de réels besoins de soutien-gorge. Elle est bien en forme, avec un petit bidon.

Les gardiennes américaines rappellent à l'ordre les nouvelles arrivantes, elle intime l'ordre de "tout retirer" et de se présenter "totalement nues, et avoir les fesses à l'air, pieds nus, et les seins qui pendouillent comme Sabra", et de "défaire leurs cheveux".

Les surveillantes rappellent que "La nudité est une routine dans cette prison". Les détenus hommes et femmes sont souvent déshabillés en public devant les gardes lors des fouilles et des opérations de contrôle. Une gardienne ajoute "Que les prisonnières s'y habitueront rapidement, car ceux sont les règles américaines."


Houda et les trois autres femmes prisonnières irakiennes obéissent et sont maintenant nues devant les surveillantes devant les piles de vêtements. Par pudeur, elles tentent toutes de cacher leurs seins et leurs parties génitales.


"Les mains sur la tête, écartez les jambes". Disent les gardiennes.
La fière, pieuse et respectable femme irakienne se retrouve à poil devant les piles de leurs vêtements les mains sur la tête et les jambes écartées avec d'autres femmes dépouillées par les Américains.



Ces femmes bien éduquées sont maintenant des prisonnières nues et impuissantes. Houda tremble et pleure devant cette humiliante épreuve. Houda se tient à poil les seins et sa chatte rasée exposée, elle se rase le pubis depuis sont séjours en Amérique pour faire comme les copines. Lors des soirées étudiantes les filles n'hésitaient pas à se bizuter entre elles de façon perverses, et la première fois qu'elles ont vue la chatte d'Houda, elles lui on rasés puis lécher, c'est l'une des premières expérience lesbiennes de la jeune femme, elle a garder cette habitude en rentrant en Irak, contrairement à ses co détenues dont les chattes sont touffues.


Houda en rentrant dans son pays à quand même réussi à vivre une sexualité lesbienne avec sa voisine, elles se font des choses osées, se lécher partout et s'introduisent mutuellement des carottes et des doigts dans leurs orifices.


Houda demande en anglais comment peuvent elles cacher quelque chose puisqu'elles sont toutes nues ?


Les surveillantes répondent qu'elles doivent enquêter sur tout le corps des détenus, dont les orifices naturels, car beaucoup de femmes prisonnières cachent dans leurs cavités des produits de contrebandes.
Les femmes doivent soulever et exposer leur chevelure qui est palper par les surveillantes, elles doivent aussi ouvrir grandement leurs bouches pendant que les gardiennes contrôlent avec des lampes. Houda mouille un peu.

Comble de l'horreur, des soldats hommes arrivent dont un avec un caméscope.
Les captives doivent ensuite sautiller pour faire sauter leurs seins, c'est humiliant et les Américains rigolent. Les Irakiennes doivent aussi faire des squats les jambes ouvertes et tousser fort.

Le personnel du pénitencier leur dit que c'est "La procédure".


Les prisonnières sont invitées à mettre les mains contre le mur, et à lever d'abord le pied-droit une américaine contrôle le peton d'Houda, elle regarde bien la plante et écarte les petits orteils vernis de rose avant de faire de même avec l'autre pieds. La surveillante lui dit qu'elle a de jolis pieds et qu'ici, elle aura l'occasion de les montrer, car les chaussures, bas, et tout ce qui couvre les pieds est interdit.


Les Américaines soulèvent les seins des Irakiennes, et les palpent sans retenue, et contrôle les aisselles. Les prisonnières sont toutes rouges et elles pleurent de honte.


Les gardiennes américaines mettent lentement et ostensiblement des gants en caoutchouc et ont des sourires narquois avant d'annoncer à leurs victimes que "c'est l'heure de l'inspection des rondelles."
Puis les détenues doivent se pencher et écarter les jambes, Houda sent une soldate lui introduire un doigt ganté dans l'anus, elle lui dit qu'elle a un petit anus bien serré mais qui doit être vérifier puisqu'il peut contenir des objets illicites. L'anus de chaque femme est profondément vérifié, les doigts sont introduits au plus profond des trous du cul, Houda gémit et pousse des petits cris lorsque le doigt est en train de pénétrer son vagin.
Les soldats se marrent et les bosses de leurs bites dures sont visibles sous leurs pantalons militaires.


Une fois l'inspection terminée, les femmes sont amenées nues dans la salle des douches et reçoivent pour ordre de se laver en frottant bien les parties génitales, anus, aisselles, pieds. Houda à très envie de se masturber surtout que les gardiennes insistent sur le lavage des vagins, et s'assurent que les femmes passent bien le savons jusque à l'intérieur des chattes.


Leurs vêtements, bijoux, voiles, montre, papiers, argent, effets personnels, sont confisqués en détention.


Lorsque la douche est finie, les femmes sont alignées et on leur attache les mains dans le dos. Elles doivent suivre les soldats dans un large couloir de la prison. Les gardiens rient de l'humiliation imposée aux prisonnières. Houda et les autres sont obligée de parader nues jusque à leurs cellules sous le regard des hommes et des femmes qui s'occupent de la prison. Elle voit que les autres détenues sont elles aussi consternée d'être dans cette situation, totalement exposée, seins, fesses, chattes, cheveux à l'air. Lors qu'elles arrivent dans une aile de la prison rempli de prisonniers, elles n'ont aucun échappatoires et doivent s'exposer à poil devant très certainement certains de leurs voisins ...


Houda est une femme pieuse, respectable malgré certaines entorses à la morale dans sa jeunesse, et elle baisse la tête et les yeux.
Les prisonniers matent la colonne de femme nue, des gardiens rigolant de leurs seins qui pendouillent ou s'amusent à leur claquer les fesses pour le fun.


Les prisonnières sont ensuite placées dans des cellules de deux mètres sur deux, avec juste une toilette "turque" et une minie fenêtre et un banc de pierre pour s'allonger et dormir.

Pires, les portes des cellules sont faites de barreaux et donc ouvertes, n'importe qui en passant devant peu voir la totale nudité des femmes prisonnières.

Les geôles sont vides et dépourvues de tous objets extérieurs. Les va et viens dans les couloirs sont incessants et les gardes n'hésitent jamais à s'arrêter devant les cellules des femmes pour les mater à poil.
Houda se sent comme un animal dans la cage d'un zoo, elle reçoit de temps en temps de l'eau que des gardiens méchants lui lancent dessus les rares fois ou elle s'endort.

Lorsque l'avocat d'Houda a prévenu la direction de la prison de la situation, cette dernière à répondue que le secteur ou la prisonnière est retenue est dans la partie isolement et la détenue est en confinement solitaire, l'idée est de supprimer tout objet potentiellement dangereux pouvant servir à s'auto mutiler, ou à agresser le staff ou d'autre personnes privées de liberté. Garder des femmes sans vêtements est considéré comme une mesure de sécurité classique et légale.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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