Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

La fontaine de Colette

Jusqu'ici, cet homme n'a jamais réussi à faire jouir son amie. Ainsi, elle décide de se servir elle-même en employant un gode. Son amant est stupéfait lorsqu'il en voit la conséquence au moment où la femme a son orgasme...

Proposée le 5/02/2021 par Bruno Pouperque

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme



La première fois que j'ai vu une femme gicler, j'avais dix-neuf ans. C'est arrivé après que je l’avais baisée. Elle s'appelait Colette et elle habitait dans un studio au-dessus d'un café de la rue de la Violette, non loin de la place St-Lambert au centre de Liège. Je pense que c'était la troisième fois que nous baisions dans son lit, mais ça aurait aussi bien pu être la quatrième, je ne m’en souviens plus exactement. De toute façon, je n'avais jamais réussi à faire venir Colette jusque-là. Peut-être que je n'avais pas fait assez d’efforts pour ça, ça se peut.

La fontaine de Colette
Cette fois, après avoir tiré mon sperme dans sa chatte, mais qu’elle avait été incapable de jouir, elle était nerveuse et rancunière, je le ressentais clairement.
Elle s’est levée du lit et est sortie de la chambre. Je pensais qu'elle allait faire pipi dans la salle de bain. Ce n'était pas le cas. Elle est revenue avec un objet dans ses mains. Il avait un câble en caoutchouc épais avec une prise étanche. Vous auriez juré que c'était un microphone, cela y ressemblait fort. Mais ce n'était pas un microphone. Un gode d'un modèle que je n'avais jamais vu dans la vitrine d'un sex-shop à Liège, c’est ce que Colette était allée chercher.


Colette l'a branché sur une prise de courant près du lit, puis s'est allongée à côté de moi. Elle a appuyé sur un bouton sur le côté de l'appareil. Le truc a immédiatement commencé à bourdonner et à vibrer, ou du moins la tête du microphone l'a fait. Colette a senti avec ses doigts si la tête du gode était suffisamment chaude. Elle a également ajusté le tempo pour que la tête commence à vibrer plus lentement. Quand elle a pensé que c'était tout ce qu'elle voulait, elle a écarté les jambes grandes ouvertes et a commencé à travailler son clitoris avec le gode. Elle l'a d'abord fait en mouvements circulaires. Puis elle montait et descendait lentement sur toute la longueur de sa chatte. Elle a accordé une attention particulière à ses petites lèvres intérieures.
J'ai regardé, et j'ai vu comment Colette était excitée, et aussi comment sa chatte était très mouillée et ses lèvres gonflées et ouvertes. C'était peut-être juste une impression, mais je pense aussi que son clitoris a enflé et est sorti comme un petit zizi de sous son capuchon…


Colette était un peu agacée parce que j'étais presque dans sa foufoune avec mon nez curieux pour voir ce qui allait se passer.


"As-tu assez regardé?" m’a-t-elle demandé soudain. "Tu ne m'aiderais pas un peu?"


"Oui, s'il te plaît," ai-je répondu. “Dis-moi comment. Veux-tu que je masse tes tettes pendant que tu es occupée avec ton clit?"


"Non, pas la peine," a dit Colette. “Tu as vu maintenant comment ça se passe. Tu prendras le relais. Fais la même chose que moi, et je viendrai à coup sûr.”


Elle m'a donné le gode, et moi, comme elle, j'ai stimulé son clitoris avec la tête bourdonnante. Je n'ai pas eu à faire ça longtemps, peut-être trois ou quatre minutes? Puis, Colette est venue soudain, et elle est venue violemment. Non seulement elle criait et hurlait, mais quelque chose d'autre s'est produit, quelque chose que je n'avais jamais connu avec une fille auparavant: un puissant jet de liquide a jailli de sa chatte pendant environ une dizaine de secondes. J'ai été surpris, car je pensais que Colette était en train de pisser. Ce n'était pas le cas. Le liquide qui giclait de sa fente était très chaud, je pouvais le sentir sur ma cuisse et mes testicules, mais il ne sentait pas l’urine du tout.
Colette a regardé mon visage effrayé et a ri.


"Tu n'as jamais vu une fille gicler quand elle vient?" a-t-elle demandé.


"Non, jamais," dis-je honnêtement. “C'est la première fois. C'est quelque chose de nouveau pour moi!”


"Alors tu n'as pas beaucoup d'expérience," a ajouté Colette. “La meilleure expérience qu’une fille puisse avoir, c’est quand une jolie fontaine gicle de sa chatte. Penses-tu peut-être que c’est dégoûtant?"


"Mais non, pas du tout," ai-je répondu. "Seulement, c'était nouveau pour moi, et..."


"Et quoi?"


“Eh bien, le drap sur lequel nous sommes couchés est trempé et le liquide de chatte que tu as giclé s'est refroidi entre-temps. Être couché dans cette mare, je ne trouve pas ça une sensation vraiment agréable.”


Je n'aurais pas dû dire ça. Colette s'est énervée:


"Espèce de gamin impudent," dit-elle, furieuse. “Tu as pu venir me baiser ici gratuitement dans mon propre studio, pour la énième fois. Tu n’as jamais essayé de me donner un orgasme par toi-même, et tu oses venir me dire quelque chose d'aussi grossier?”


Plus elle en disait, plus Colette s’est mise en colère contre moi. Je ne savais pas quoi lui répondre pour m'excuser auprès d'elle. Parce qu'elle était tellement excitée j'ai soudain eu envie de la sauter. J'ai senti ma queue se raidir à nouveau. Afin de l'apaiser et de pouvoir remettre ma bite dans sa foune, j'ai cherché dans ma tête les mots appropriés pour la calmer. Je n'ai pas eu ce temps. Entre-temps, elle avait vu mon sexe dur se dresser et savait ce que je voulais faire. C'était un pont trop loin pour Colette. Elle a plié ses jambes et m'a expulsé de son lit à coups de pied. Elle m’a même interdit d'utiliser sa salle de bain pour me laver. Quand j’étais rhabillé, elle s’est levée, a ouvert la porte pour moi et elle m'a chassé. Lorsque je l'avais quittée, en bas des escaliers, je l’ai encore entendue crier qu’elle ne voulait plus jamais me revoir…


Je l'ai regretté. J'avais toujours passé de très bons moments avec Colette, et maintenant c'était fini… J'étais vraiment désolé de ne plus pouvoir la baiser, surtout parce que j'aurais aimé revoir comment elle giclait en venant. Et que le drap sur lequel nous étions couchés soit mouillé, je devais l’accepter. Et puis, avant de commencer notre partie de jambes en l’air, je pourrais proposer à Colette de mettre une grosse serviette de bain sous nos fesses...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
La Claire fontaine
L'homme fontaine (1)
L'homme fontaine (4)
Ma fontaine de jouissance
L'homme fontaine (2)