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Double jouissance

Fragments de plaisir estival aux côtés d'une femme à la fois douce et tempêtueuse, tantôt dominatrice tantôt dominée - quand ça lui chante ! Un bouquet final qui m'a surpris et auquel je n'ai jamais goûté une deuxième fois depuis...

Proposée le 3/02/2021 par Créatif21

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


J’aime meubler mes moments de solitude en fantasmant mes étreintes à venir, ou en songeant à mes baises passées. Dans cette deuxième catégorie il est des instants dont je me remémore parfaitement certains détails…Fragments de félicité vécus le temps d’un été avec une femme ardente et sensuelle, tout à la fois d’une profondeur d’âme remarquable et à fleur de peau. En parlant de peau…un véritable tableau vivant. Si par hasard tu te reconnais dans ce qui suit, sache que c’est à l’amie que tu es devenue que je dédie ces quelques lignes…

J’avais rencontré Nadyne dans les transports en commun à Rouen. Une magnifique blonde, mince, à la gestuelle gracieuse et au charme mystérieux – et je n’avais pas encore vu sa peau.... Petit jeu de regards discrets de ma part, sans insistance car le jour je suis loin d’être celui que je peux être la nuit…mais la belle avait repéré mon manège, et en descendant m’avait gratifié d’un regard goguenard et d’un haussement d’épaules qui clairement signifiait : « c’est tout ?? ». Je ne pouvais me laisser adresser un tel défi sans le relever, aussi j’étais descendu à la station suivante et avais rebroussé chemin à pieds, espérant la retrouver – vœu qui à ma grande joie fut exaucé. J’eus rapidement l’occasion d’utiliser le numéro de téléphone que Nadyne m’avait donné, puisque je la recroisai plusieurs jours plus tard dans le tram. Petit débardeur. Simple. Diablement efficace. Je lui écrivis dans la foulée puis nous fîmes tranquillement connaissance au fil des semaines qui suivirent. Mon désir me fit signe un soir…le sien fit de même de son côté, manifestement.
Comme le chante un parolier connu, « la première nuit fut exquise, pas moyen de pioncer »…A une heure du matin je raccompagnai ma partenaire pour qu’elle se sente en sécurité, avant de la raccompagner jusque dans son appartement, puis jusqu’à sa chambre et finalement…jusqu’à son pieu. Elle ne me raccompagna pas chez moi le lendemain matin, sinon ce petit jeu-là aurait duré indéfiniment.

Le mois de juillet fut tout simplement brûlant.

Un soir, après avoir discuté avec Nadyne, je me dirigeais vers mon bar pour resservir un verre à mon invitée. Je me sentis alors délicatement mais fermement tiré en arrière par la ceinture. Elle se plaqua contre moi, son bassin contre mes fesses. Ses mains se glissèrent sous mon tee-shirt et caressèrent négligemment mon torse, avant de se faire plus hardies et de descendre imperceptiblement sur mon ventre. Ma ceinture ne résista pas longtemps à leur dextérité ! Une de ses mains se faufila aisément jusqu’à mon caleçon, s’arrêtant un instant pour sentir le membre qu’elle faisait grossir à vue d’œil. Je tentai de me retourner pour embrasser la belle, mais elle ne l’entendait pas de cette oreille et me maintint avec douceur et fermeté, afin de me faire languir, tout en m’embrassant dans le cou. Son désir avait éclos et m’enveloppait désormais tout entier. Tout comme sa main, qui ne tarda pas à me branler avec douceur alors que mon jean se retrouvait à mes pieds. Ce fut elle qui finit par me pousser sur mon canapé-lit. Elle prit un malin plaisir à se dévêtir lentement, contemplant l’effet que son corps entièrement encré produisait sur moi.
Puis elle me chevaucha, me laissant saisir ses seins irrésistibles et goûter furtivement la pointe de ces adorables poires. Elle n’attendit pas longtemps pour s’emparer de ma queue et la glisser dans sa chatte déjà trempée. Je lui saisis les fesses fermement, la pénétrant langoureusement de toute ma longueur. Mes mains se souviennent encore de la prise parfaite qu’elles avaient à ce moment... En la voyant gémir et clore les yeux, je commençai à accélérer le rythme, mais elle me repoussa contre le lit, d’une main. C’est elle qui se redressa sur moi telle une amazone et fit des allers-retours de plus en plus puissants. Son cul (mais quel cul !…) claqua de plus en plus fort contre mes couilles, si bien que le canapé-lit se mit à se déplacer…Je sentais bien qu’avec une femme aussi tempêtueuse au-dessus de moi, je ne pourrais pas tenir longtemps, d’autant plus en étant enveloppé dans une chatte aussi étroite…
Mais elle n’en avait que faire. C’était elle qui me baisait, comme jamais je n’avais été baisé. Ses gouttes de sueur de juillet se mêlèrent aux miennes, tandis que je perdis le contrôle et me déversai en elle en poussant un râle de jouissance. Allongé, terrassé par cette vague de plaisir – plaisir de jouir, plaisir d’être chevauché, plaisir d’être dominé – je m’apprêtais à reprendre mes esprits, mais ma partenaire redoubla d’ardeur. Elle n’avait pas dit son dernier mot. Infatigable. Sous le coup de la surprise, et (é)branlé par son sourire qui me mettait au défi, je jouis quelques secondes après et me répandis de nouveau en elle.
Le triomphe se lisait sur son visage…Nous restâmes ainsi immobiles de longues minutes, parcourant de nos mains nos corps repus.

Dans l’intimité, j’ai souvent l’occasion de dominer ma ou mes partenaires. Nombre des femmes que j’ai connues aiment être tendrement soumises, guidées, amenées vers le plaisir. Avec Nadyne, ce mode de relation volait en éclat, et je ne savais jamais à quoi m’attendre ! Ce qui rendait le moment d’autant plus excitant, et précieux. De dominateur, je pouvais devenir dominé en un instant, et ce jeu n’en rendait nos soirées que plus excitantes. J’avais envie de me faire sucer et je le lui faisais comprendre avec un peu trop d’insistance ? Elle montrait que ça ne faisait pas forcément partie de son désir du moment. En revanche, quand elle faisait une pause pour aller fumer à ma fenêtre, recouverte d’un simple châle, cela pouvait être une invitation… Je retournais la caresser, l’envelopper, lui pencher doucement les reins et finalement lui bouffer le cul.

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