Histoire Erotique

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Comme dans le roman, pas comme dans la chanson !

Bien que écrit à la première personne, le récit qui suit est une pure fiction. C'est l'histoire d'un moment d'égarement, de faiblesse d'un homme dans la quarantaine qui tombe sous le charme d'une gamine d'à peine la moitié de son âge. L'après-midi passionnée qu'ils vont vivre laissera des traces.

Proposée le 25/01/2021 par Wiseguy55

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Le début de l’âge adulte chez certaines jeunes femmes donne parfois lieux à des situations qui, si sur le moment, sont terriblement excitantes, laissent un goût bizarre une fois le calme revenu. On a beau avoir acquis de l’expérience avec l’âge et avoir vécu bonheurs et déconvenues sentimentales, on peut se laisser piéger par une gamine de vingt-deux ans. Même si vous avez la quarantaine…surtout si vous avez la quarantaine…

Vers la fin du printemps, juste après le premier confinement, ma femme reçoit un message de sa nièce demandant si elle peut venir passer quelques jours à la maison histoire de réviser au calme et accessoirement profiter de notre jardin et de notre piscine. Elle n’en peut plus d’être enfermée dans son petit studio et on la comprend.

C’est une jeune fille studieuse qui réussit brillamment ses études universitaires. Elle a vingt-deux ans et c’est une vraie beauté. De petite taille, elle est menue avec une silhouette parfaitement proportionnée. Des yeux noisette et de longs cheveux châtains foncés. Elle a conscience du trouble qu’elle provoque chez les mâles jeunes ou âgés et en joue habilement, notamment en postant des photos d’elle mettant en valeur sa plastique sur les réseaux sociaux. Elle m’a, entre autre, invité à la suivre sur un de ses comptes et je me suis aperçu étrangement que ma femme n’avait pas reçu d’invitation. Il s’agit d’une sorte de compte « bis » ou elle publie des photos beaucoup moins sages que sur son compte principal. Sur ce compte « bis » ne la suivent que des hommes de tous âges et personne de la famille à part moi. J’en conclus à une invitation par erreur mais, et c’est là MA première erreur, au lieu de décliner l’invitation, je l’accepte en me disant qu’il sera bien temps de se désabonner plus tard.

Le jour attendu, elle arrive à la maison dans une petite robe légère rouge à fines bretelles. C’est moche de ma part mais la première chose que je remarque c’est l’absence de soutien-gorge. Il faut dire aussi qu’elle a une petite poitrine qui, vu son jeune âge doit encore tenir toute seule. J’en aurai confirmation dans les heures à venir.

Nous sommes en milieu de matinée, nous l’accueillons ma femme et moi et l’installons dans la chambre d’amis. Un lit, une penderie pour ses vêtements, quelques serviettes propres et un petit bureau pour ses révisions. Elle s’installe rapidement et se met immédiatement au travail.

A l’heure du déjeuner nous mangeons sur la terrasse. Il fait un soleil radieux et la température a grimpé bien au-delà des 25°C. Ma nièce est habillée toujours aussi légèrement et je pense qu’elle a remarqué le trouble qu’elle crée en moi. Elle profite que ma femme aille chercher à boire à la cuisine pour se pencher de manière telle que je puisse voir sa magnifique poitrine. Je me dis alors que les jolies poitrines doivent être génétiques dans la famille. Les seins de ma femme aussi sont magnifiques. Il faut dire que contrairement à beaucoup d’hommes, je préfère les petits seins. Ils ont cette particularité de tenir tout droit en toute circonstance.

Revenue de la cuisine, ma femme me rappelle son rendez-vous médical de milieu d’après-midi. On se dit alors que vu que je suis en télétravail, sa nièce ne sera pas seule à la maison.

Plus tard, ma femme part à son rendez-vous et me signale en avoir pour au moins deux heures. Je m’installe sur la terrasse, le soleil a tourné et j’ai un coin d’ombre pour travailler.

Ma femme à peine partie, je vois ma nièce qui me rejoint. Elle a troqué sa jolie robe rouge pour un bikini blanc immaculé. Ce bikini ne couvre pas grand-chose de son corps. Deux petits triangles sans armature ni rembourrage lui cachent à peine les seins pourtant pas bien gros et un troisième triangle blanc maintenu par une ficelles de chaque côté lui cache le pubis que je devine entretenu. Elle passe devant moi et me dit :
- Je fais une pause, je peux aller dans la piscine ? Ça ne te dérange pas pendant que tu travailles ?
- Oui, vas-y, t’occupe pas de moi.

Je sens le danger de la situation arriver, je lui parle comme le ferait un ours dans l’espoir de mettre une distance mais au moment où elle me dépasse elle m’offre la vue de son tout petit cul parfaitement rond et parfaitement mis en valeur par ce décidément très petit bikini blanc.

Elle sent que je l’observe et minaude au moment d’entrer dans l’eau, prétextant qu’elle est trop froide pour y plonger d’un coup. Sans en avoir l’air (enfin je crois), j’observe ses courbes parfaites, son ventre plat, ses frêles épaules et ses bras fins comme des pattes de moineau. Ses hanches, ses fesses, ses cuisses, tout son corps est une invitation à la caresse. Heureusement que je suis attablé car dans mon short j’ai une érection qui ne passera pas inaperçue si je dois me lever.

Elle entre enfin dans l’eau et mon calvaire est suspendu, je me replonge dans mes dossiers péniblement. A peine dix minutes plus tard elle sort de l’eau, elle a la chair de poule, ses tétons pointent à travers le textile devenu translucide et me laissent apercevoir ses aréoles brunes foncé.
Elle me regarde avec un sourire amusé et un brin provoquant et me dit :
- Je suis toute mouillée ! Je vais me sécher au soleil.

Et elle s’installe sur un transat à seulement deux mètres de moi. Elle y passera trente minutes environ en prenant des poses de plus en plus provoquantes. Cette fois plus de doutes, elle me nargue ! Jusqu’où compte-t-elle aller ? D’accord elle est majeur depuis plusieurs années déjà et a sans doute une petite expérience mais je suis son oncle, je la connais depuis toujours ! Je devrais mettre un terme à son petit jeux mais je suis terriblement excité, ce qui altère complétement mon jugement. Je décide de ne pas réagir, elle va finir par se lasser. Encore une erreur, elle attaque en me demandant de lui mettre de la crème solaire dans le dos. Au moment où je m’approche d’elle, elle se positionne sur le ventre et tire sur le cordon de son soutien pour en défaire le nœud. Elle est maintenant là, presque nue offertes à ma vue et à mes mains. Mes grosses paluches l’enduisent de crème et couvrent presque toute la surface de ce petit dos, descendant furtivement jusqu’à la ligne de sa culotte et remontant vers les épaules.

Machinalement comme je le fais à ma femme je commence à la masser presque sans m’en rendre compte.

- T’as des mains géniales ! Mon copain est incapable de faire ça avec ses petits doigts.
- T’as un copain ! Et tu ne nous dit rien à ta tante et à moi ! On va se vexer.
- Oh t’es bête, évidement j’ai un copain, enfin si on veut. Tout ce qui l’intéresse c’est de me sauter. Par exemple dès que je lui demande un massage il termine avec sa main entre mes fesses et me dit « tu connais le tarif ». Du coup, je ne lui demande plus rien.

Pourquoi me dit-elle ça ? Pour m’allumer ou me faire comprendre que je ne dois pas aller trop loin ? Je penche pour la seconde option. J’arrête le massage et je vais me chercher à boire.

A mon retour elle s’est couchée sur le dos mais n’a pas rattaché son haut de bikini qui pose maintenant simplement sur ses seins. Je m’assois sur une chaise longue un peu éloignée histoire de reprendre mes esprits en buvant mon eau gazeuse. Mais que fait-elle !? Elle se lève et viens vers moi en ondulant des hanches, sans même avoir renoué son bikini. Elle se place à califourchon sur moi et viens poser ses lèvres sur les miennes. Je suis paralysé, je reste la bouche fermée alors que je sens sa langue tenter de se frayer un passage.

J’ai deux petites voix qui se disputent dans ma tête : « bordel, c’est ta nièce/mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! - Et ta femme !/vu qu’elle t’a trompé, ça rééquilibrera les comptes ! - C’est une gamine putain !/elle est majeur ! - oh et puis merde/oh et puis merde »

Au moment où elle retire sa bouche de la mienne un peu déçue. Je la prends par la taille et je l’embrasse à mon tour. Elle prend ma tête à deux mains, creuse ses reins et vient appuyer son pubis sur ma braguette. On s’embrasse encore quelques secondes avant que je réalise que nous sommes dans le jardin et que j’ai des voisins très curieux qui adorent passer leur têtes au-dessus de la haie.

Je l’emmène de toute urgence dans le salon à l’abri des regards. Elle se tient debout devant moi. Elle est si petite face à ma carcasse. Je termine de lui enlever son soutien, m’assied sur le canapé et lui fait glisser sa culotte. Je découvre une petite pilosité toute discrète, savamment entretenue, un petit rectangle de poils soyeux châtains se terminant juste au-dessus de la naissance de son clitoris. Mes mains se posent sur ses fesses et je l’attire plus près de moi. J’embrasse son pubis tout en lui caressant son petit cul et ses cuisses, je m’écarte un peu pour la regarder dans les yeux. Je veux son approbation avant de continuer. Son cœur doit battre à tout rompre car je peux voire sa poitrine suivre le mouvement de son pouls.

- Tu es sure de ce que tu veux ? On peut encore s’arrêter.
- Oui continue !

D’une main maladroite elle me repousse dans le fond du canapé et se place à nouveau à califourchon sur moi. Elle est complétement nue maintenant, sans plus le moindre textile comme unique et bien fragile barrière. Elle m’embrasse encore, je commence à lui caresser tout le corps, ses hanches et ses fesses qui me font tant envie, ses seins qui me narguent depuis ce matin, sa taille si fine et son ventre si plat et puis enfin…je glisse une main entre ses cuisses écartées de part et d’autre des miennes et je découvre une vulve lisse, mouillée et entrouverte. Elle inspire dans un gémissement à peine perceptible. Je lui embrasse les seins tout en stimulant son clitoris le plus doucement possible. Son petit bouton se durcit sous l’action de mon majeur. De l’autre main, je descends le long de ses fesses et lui introduit un doigt dans le vagin. Elle gémit maintenant un peu plus fort. Je suis encore tout habillé et franchement à l’étroit dans mon boxer. Elle doit s’en rendre compte et interrompt mes caresses pour ouvrir mon short, attraper mon caleçon et tirer le tout vers le bas. Elle empoigne ma queue et commence des vas et vient. Dans l’excitation je lui introduis deux doigts dans le vagin ce qui la fait gémir encore d’avantage.

- T’as des capotes ?
- Qu’est-ce que je foutrais avec des capotes ? Je suis marié depuis plus de vingt ans.
- Ok j’arrive.

En dix secondes elle a filé dans la chambre d’amis et est revenue avec une boite de préservatifs encore sous blister. Je me dis de plus en plus que tout ça était prémédité. Je la fait s’allonger sur le dos et m’applique à lui lécher le sexe. Ma langue parcourt alternativement ses lèvres et son clitoris. J’introduis d’abord un puis deux doigts dans son vagin tout en lui suçant son petit bouton. Je la sens au bord de l’orgasme quand elle me repousse la tête.

- Arrête toi, dès que je jouis après c’est foutu je ne supporte plus qu’on me touche.

Décidément pour ça aussi elle est comme sa tante.

Elle s’agenouille devant moi alors que je m’étais remis debout, me prend dans sa bouche et pour la première fois, mon sexe pénètre un de ses orifices. Je la laisse s’appliquer, ses lèvres font le tour de mon gland pendant que sa main m’empoigne et s’affaire. L’excitation monte encore un peu et je commence à bouger mon bassin d’avant en arrière sans pour autant aller trop loin. J’ai tellement envie d’aller jusqu’au bout et de ne pas me contenter d’une pipe que je ne voudrais pas la brusquer au risque de la dégoûter. Elle s’arrête, sort la capote de son emballage la met entre ses lèvres et me l’enfile avec sa bouche. Elle est loin d’être la petite chose fragile que je croyais. Elle s’agenouille dans le canapé les cuisses bien écartées, pose sa tête sur le dossier et se cambre me montrant son sexe et son anus. Je lui empoigne la taille et la pénètre. Mes mains font presque le tour de sa taille si fine. Ma bite paraît si grande quand elle s’enfonce dans son vagin. J’admire ses fesses et son joli petit anus. Je le vois se soulever à chaque poussée. C’est incroyable comme elle est profonde pour une fille si menue. Je ne me retiens plus et la baise sans ménagement, mes couilles viennent frapper ses fesses. Elle ne gémit plus mais me crie :

- Plus fort, baise-moi plus fort !

J’y vais tellement fort qu’on bascule en travers du canapé sans que je ne ressorte d’elle. Elle est couchée à plat ventre et je sens ses petites fesses rebondies venir s’écraser contre mon pubis. C’est à mon tour d’être au bord de l’orgasme mais il m’en faut plus. Je dois faire une pause. Je décide donc de me retirer et recommence à la lécher, elle est couchée sur le ventre, je lui ouvre les jambes, y passe la main jusque sous son ventre et la soulève légèrement. Je place un épais coussin sous ses hanches. Sa vulve et son anus sont maintenant dégagés et j’entreprends de lui lécher les lèvres mais aussi son petit trou. Elle se raidit.

- Tu fais quoi ?! Personne ne m’a jamais fait ça !
- Tu n’aimes pas ? Tu veux que j’arrête ?
- Non continue mais vas-y doucement.

Ma langue se fait alors plus pointue et commence peu à peu à pénétrer sa dernière virginité. Avec mes doigts je récupère les sécrétions s’écoulant de son vagin et commence à la lubrifier suffisamment que pour entrer une phalange dans son cul. De mon autre main je lui prends le clitoris entre le pouce et l’index et commence des tout petits mouvements. Elle roule des hanches et recommence à gémir.

- J’aimerais essayer.
- Essayer quoi ?
- Ben que tu me sodomise.

A mon tour je file dans ma chambre et reviens avec un flacon de lubrifiant.

- Je vois que tu as ce qu’il faut.
- Ta tante adore se faire enculer.
- Je m’en doutais, je suis sûre que c’est une salope sous ses airs innocents.
- J’en connais une autre…Laisse toi faire.

Je pense qu’une sodomie et surtout la première doit se faire avec attention et douceur, trop de mecs y vont à la hussarde et dégoûtent définitivement des filles qui auraient pu apprécier ça si ils s’y étaient pris correctement.

Elle est dans la même position que quand je l’ai laissée. Je sors une autre capote de la boite que j’enfile sur mon index et je la lubrifie abondamment. Avec le doigt ainsi ganté je lui étale du lubrifiant d’abord sur l’anus puis tout doucement à force de massage à l’intérieur de son petit trou. Quand il est suffisamment détendu pour recevoir un deuxième doigt, je glisse mon majeur dans la capote et recommence l’opération. De l’autre main je m’occupe de son clitoris afin de rendre la pénétration agréable.

Elle est enfin suffisamment détendue, je fais alors quelques mouvements avec mes doigts dans son cul. Je me retire et enfile une nouvelle capote sur ma bite alors gonflée à l’extrême.

- Tu es prête à te faire prendre le cul ? Caresse-toi au début, ce sera plus agréable. Si ça ne va pas tu le dis.
- Vas-y, je suis prête.

Je la fait se placer en levrette. Elle passe sa main sous son ventre et commence à se toucher. Je positionne ma bite contre son cul et commence à pousser. Malgré la préparation, son anus résiste et j’hésite à insister.

- Vas-y, enfonce toi, tu m’a trop donné envie maintenant.

Je me sers de ma main comme d’un guide et pousse mon gland dans son cul qui cède et me laisse entrer. Quelques poussées plus tard je suis à moitié enfoncé en elle et je commence à la pilonner plus fort. Il suffit de quelques minutes pour que, contre toute attente, elle me crie des obscénités.

- Encule-moi, je suis ta pute ! Fais-moi mal ! Encule-moi encore !

Je me déchaine dans son cul, lui enfonce ma queue en entier, lui donne des grands coups de reins en lui tirant ses cheveux en arrière et la forçant à se cambrer pour essayer de la lui mettre encore un peu plus loin. Je nous aperçois dans le reflet de la vitre et le spectacle est à la fois bizarre et très excitant. Moi, un grand costaud de 1,80m de quarante-cinq ans et elle, toute petite, toute fluette d’à peine vingt-deux ans, les fesse en l’air, cambrée à l’extrême avec ma bite dans le cul. On dirait un ours en train de baiser une ballerine. Et voilà que la ballerine jouit, elle crie à en faire trembler les murs, puis se libère de mon étreinte me laissant là comme un con avec mon érection douloureuse.

- Désolée mais je ne peux plus, c’était trop bon mais maintenant ça me brûle.

Au moment où je me retrouve assis dans le fauteuil à me dire que je suis bon pour terminer tout seul notre si bon moment, elle vient se placer entre me jambes, enlève ma capote et me suce non sans m’avoir dit avant :

- Préviens-moi à temps, je déteste le goût du sperme.

Elle s’active de la bouche et des deux mains me malaxant les couilles. Je tiens tout au plus deux minutes avant de lui dire de se retirer. Elle redresse son buste et continue de me branler jusqu’à l’explosion. Je suis tellement excité que je lui en mets plein le visage et les seins, ces fameux seins qui ont tout déclenché chez moi. Elle a encore ma bite dans la main gauche et du bout de l’index de la droite, récolte une dernière goutte sur mon gland et la porte sur le bout de sa langue.

- Cadeau. Me dit-elle et part en riant se rincer dans la piscine.

Je suis encore là, assis à me demander ce qu’il vient de se passer qu’elle me rejoint et vient se blottir toute nue contre moi. Elle joue avec les poils de mon torse et semble si apaisée.

- Dis-moi, qu’est ce qui t’a pris de me chauffer comme ça ?
- Ca faisait un moment que j’avais envie de me taper un « vieux » et j’avais parié avec une copine de fac que j’y parviendrais avant elle.
- Oui mais pourquoi moi ? Il existe un tas de gars de mon âge bien mieux que moi.
- D’abord, tu n’es pas si moche, ton côté « armoire à glace » est très excitant pour plus de meufs que ce que tu crois. Et en plus, je savais que tu es quelqu’un de gentil, que tu ne me ferais pas de mal.
- Pourtant, tu me l’as demandé !
- Oh ça va, je me suis lâchée, je suis gênée maintenant.
- Ça restera notre secret !
- Oui, notre secret…

On a à peine le temps de ranger tout ce chantier et de se rhabiller que ma femme revient de son rendez-vous.

- Tout s’est bien passé Lola ?
- Oui très bien. Mais appelle-moi Lolita.
… Comme dans le roman, pas comme dans la chanson !

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