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Le fils adoptif est monté comme un âne. 3

Connaître le bonheur avec une femme, c'est cool... Connaître le bonheur avec une deuxième feme, c'est aussi cool... Mais connaître le bonheur avec les deux en même temps et que l'une est votre mère adoptive et l'autre sa belle-file que j'aime comme ma vrai soeur, c'est hyper cooooolllllllll!!!!!!!

Proposée le 25/01/2021 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Le fils adoptif est monté comme un âne. 3 Troisième chapitre :
Mes deux femmes se partagent ma bite.

Je passe pour la première fois depuis deux jours une fin de nuit enfin seul dans ma chambre.
Je me demande ce qui va se passer demain après les paroles qu’ont échangées ma mère et ma sœur. Je vous rappelle que si j’appelle Jeanne ma mère, ce n’est pas ma génitrice car elle m’a adopté à quatre ans et que Aude est la fille de son compagnon d’un précédent mariage.

Je n’en reviens pas du changement dans ma vie sexuelle depuis deux jours, j’ai enfin trouvé deux femmes qui acceptent et apprécient ma bite, et tout ça sous le toit de la maison « familiale ».
Jeanne est une très belle femme. Elle a 42 ans. 1 mètre 70 pour 66 kilos, une silhouette à damner un saint. Des jambes fines, toute en longueur, un ventre plat, et des seins énormes qui paraissent trop gros pour sa taille fine.
Des fesses rondes, bien fermes et tout aussi rebondis malgré l’âge. Elle a des cheveux longs, auburn qui lui cachent les seins lorsqu’ils sont détachés. Elle a un nez fin et une bouche aux lèvres très pulpeuses. Il y a deux jours je n’aurais jamais décrit ma mère adoptive comme ça.

Quand à ma sœur de coeur, c’est une bombe de 22 ans, un peu moins grande que ma mère, dans les 1m60, blonde aux yeux verts, hyper bien roulée avec des seins et des fesses à faire bander un curé. Et pour ce qui est du sexe, elle a beaucoup « testé » avant de se marier.

A la suite de la soirée « mouvementée », nous nous retrouvons pour le petit déjeuner tous les trois ensembles.
Jeanne et Aude en peignoir léger et moi en boxer et tee-shirt.
Autant le dire, le climat est lourd, je ne sais pas ce qui va se passer.
Par l’entrebâillement du haut de leur peignoir, je vois la naissance de leurs seins qui sont visiblement libres en dessous. Aux souvenirs que ça m’évoque, ma bite commence à se tendre.
Aude le remarque et fait un signe de tête à Jeanne puis engage la conversation sur le sujet.
-Y a pas photo, Damien a la plus grosse que je n’ai jamais tenue en main !
Jeanne lui rétorque entrant dans son jeu.
-Qu’est-ce qu’il a de plus gros ?
On dirait presque qu’elle veut faire semblant de ne pas avoir compris. « Maman » rajoute en me regardant:
-On ne va pas se mentir ni faire comme si rien ne s’était passé. Damien, aussi bien pour ta « sœur » que pour moi, dès que l’on a vu ton formidable engin nous n’avons pas pu nous empêcher de vouloir en profiter. Mais pourquoi te masturbais-tu ? Avec un tel gourdin, tu dois avoir le choix dans tes conquêtes.
Au point où j’en suis, autant dire ce qu’il y à dire.
-Je suis trop imposant pour les filles de mon âge, tu comprends ? Elles n’ont pas votre expérience et recherchent des petits amis équipés d’un modèle plus standard.
Jeanne insiste.
- Comment ça ?
Je lui rétorque assez violemment.
-Et bien !…J’ai un trop gros sexe pour que les filles apprécient et je risque de les blesser!
Ma mère c’est figée, ma sœur me regarde une lueur que je ne connais pas dans les yeux.
Je me suis emporté et je sens le rouge me monter aux joues.

-Effectivement, souligne Aude, ton défonce-cul est si gros qu’il n’est pas à mettre dans n’importe quelle main, ou plutôt n’importe quel trou !
C’est ma « sœur » qui ouvre le bal en déclarant directement et crûment à Jeanne quelle regarde dans les yeux.
- Ne nous voilons pas la face, ce n’est pas la peine d’aller chercher ailleurs ce qu’on a sous la main et d’après ce que je voie, Damien ne va pas tarder à avoir des problèmes avec sa queue s’il continue à bander comme un âne.
Je passe par toutes les couleurs de l’arc en ciel et baisse les yeux vers le pieu caché dans mon boxer. On voit déjà le bout du gland pointer son nez. Sans me laisser le temps de réagir, Aude saisit mon boxer à deux mains et le baisse jusqu’aux chevilles.
Sans complexe, elle attrape ma bite à pleines mains et se met à jouer de la flute sur la hampe en des allers-retours très lents. Jeanne hésite un instant et se penche pour constater ce que sa belle-fille vient de lui dire, ne réagissant pas. Elle regarde toujours silencieusement Aude, qui les deux mains sur ma verge, a pris ce qu’elle a pu de ma queue dans sa bouche et me suce ouvertement, me laissant totalement libre de lui peloter ses beaux nichons, ce qui me procure un grand plaisir.
Je sens ses tétons durcir, elle ne peut dissimuler son excitation, puis je descends ma main le long de son dos et me mets à lui caresser les fesses aussi, et je sens qu'elle frémit de plus en plus... Tout à coup, Jeanne n'en peut plus :
- Putain, vous m'excitez trop, Aude…donne-la moi que je la suce moi aussi!
Elle cède enfin. Jeanne descend à hauteur de ma « sœur », et approchant une main, s’empare de mes couilles en un massage électrisant puis saisit ma queue que Aude a retirée de sa bouche mais ne veut pas lâcher, et la plonge directement dans la sienne.
Elle se met à me sucer frénétiquement, comme une chienne en chaleur, en y mettant toute sa science, sa langue et sa salive.

- Alors, elle est bonne sa queue hein? Un beau petit pain !... lance Aude à Jeanne.
- Ah oui j'adore!
Je suis soulagé de voir qu’elles préfèrent me partager plutôt que de s’étriper. Je me rends compte de ce qu’elles veulent faire ; me branler jusqu'à la jouissance.
« Maman » a glissée une main sous le peignoir d’Aude et lui caresse la chatte mais comme le vêtement cache tout ça, je ne vois pas ce qu’elle fait.
Ma « sœur » accélère son mouvement et Jeanne commence à me presser les boules plus fortement.
Au bout de cinq minutes de ce traitement à deux bouches et quatre mains pour une pine, je les préviens alors que je vais jouir.
Jeanne ouvre et enlève à toute vitesse son peignoir en disant à Aude d’orienter ma grosse pine rougie vers ses seins.
N’en pouvant plus et sentant monter le jus dans ma queue, j’envoie cinq belles giclées sur les seins et le visage de ma maman adoptive en braillant comme un putois et en lançant.

- Maman, oh Maman !
Aude se précipite et lèche la peau de sa belle-mère pour ne rien perdre de ma semence et la partage d’un baiser fougueux avec Jeanne.
Mon excitation retombe et je me retrouve debout appuyé contre la table de la cuisine, la queue toujours raide, le boxer sur les chevilles en tee-shirt, l’air un peu couillon après ce qui vient de se passer.
Je ne sais plus quoi faire et c’est Aude qui rompt le silence en disant qu’elles ont eu la crème et que maintenant il était temps de prendre le café, ce qui provoque bien sûr un éclat de rire général et déstressant pour moi.
Après le petit déjeuner, Jeanne met les choses au point:
-Au vu de ce qui vient de sa passer, il est inutile que tu continues à m’appeler Maman et Je préfère que tu utilises mon prénom.
D’autre part, avec notre accord bien sûr, elle propose qu’au stade où nous en sommes il n’est plus utile de se planquer sous des vêtements et que nous pouvons nous promener nus chez nous et me rassure en disant qu’elles prennent toutes les deux la pilule.
Je monte alors prendre ma douche et Aude vient me rejoindre quasiment aussitôt, se met nue et rentre avec moi dans la douche, nous nous lavons mutuellement en restant presque sages.

Je lui demande.
-Ca ne te gène pas de baiser avec ton frère ?
- Un peu, mais tu sais bien que ce n’est pas la réalité vraie, tu es si jeune, mais quand je voie ton engin en comparaison de celui de mon mari, je ne me maitrise plus!... m’avoue-t-elle en rigolant et en se mettant à genoux...
Là, elle commence à me sucer, en un rien de temps ma queue est tellement dure que j'en ai presque mal et le fait de la voir dans la bouche de Aude, avec sa langue de velours qui s'active dessus me procure un plaisir fou!
Elle me lèche la verge de tous les côtés, du gland aux couilles, qu'elle met aussi de temps en temps dans sa bouche, testant l’élasticité de la peau des bourses, tout en me fixant du regard, comme une vraie pute!
Jeanne vient de rentrer dans la salle de bain et nous observe dans la douche.
- Vas-y Damien, baise-la bien !
Aude la questionne.
-On est ses deux putes, hein maman?
- Oh oui c'est trop bon ! C'est vrai qu'on est deux belles salopes, ça ne sert à rien de le cacher... Je suis fière de vous les enfants, vous êtes aussi chauds que votre pute de mère! Allons dans ma chambre pour continuer. Suggère Jeanne.

Le bas de mon anatomie continue de subir les assauts de la bouche d’Aude mais en plus, cette ravissante salope de sa main droite me branle vigoureusement. Elle tient bien en main son « bâton de berger » comme elle dit, et met tout son cœur à me branler.
Fatalement il arrive ce qui devait arriver, je sens ma bite gonfler encore plus et avant qu’Aude n’ait le temps de se reculer et sans que je puisse la prévenir, je libère plusieurs puissants jets de sperme qu’elle se trouve obligée d’avaler puisque je lui tiens fermement la tête.
Voyant cela, Jeanne va au-devant d’Aude pour partager à nouveau ma semence en un joyeux mélange de langues.
Une fois revenu dans ma chambre, je vais peut-être avoir un instant de calme… Mais c’est mal connaître mes deux coquines, qui après quelques jeux lesbiens s’allongent chacune d’un côté de moi et leurs mains partent à la rencontre de mon corps en entretenant mon désir par de douces caresses en évitant toutefois mon bas ventre ou mon sexe est un peu en berne mais toujours à sa taille « habituelle », enfin pour moi.

Aude se met alors à quatre pattes sur le lit et m'invite ainsi à venir la prendre en levrette.
Je me mets immédiatement à la chevaucher ainsi en limant sa belle chatte brûlante et dégoulinante de mouille.
Jeanne écarte les grandes lèvres d’Aude pour mieux faire pénétrer ma bite et surtout mieux admirer le spectacle de ma queue dans la chatte de sa salope de belle-fille. Puis très vite, elle se place à côté de d’Aude en écartant ses jambes à fond et en se mettant à se caresser la chatte.
Aude, surexcitée, lui dit alors :
- Vas y maman, mets-toi devant je vais te lécher la chatte!
Jeanne ne se fait pas prier évidemment et avec plaisir se place ainsi en face de ma sœur, et Aude commence alors à lécher son sexe!
C'est un vrai film de cul en direct, Aude que je suis en train de baiser en levrette, lèche la chatte de Jeanne, qui me regarde en gémissant de plaisir sous ses coups de langue.

- Elle est bonne sa chatte? Je demande à Aude
- Grave!
- Vas-y ! Bouffe-moi la foufoune c'est trop bon! Râle Jeanne. Et toi, comment tu trouves la chatte de ta sœur? poursuit-elle.
- Trop bonne! J’adore la baiser cette salope!
- Ben viens me baiser moi aussi, tu verras que t'as pas qu'une seule salope ici, t'en as deux!
Avec bonheur, je vois Aude se retirer et se placer sur le côté et Jeanne s'avancer vers moi, spontanément je saisis à pleines mains les deux gros seins de ma mère adoptive et je les serre fort autour de ma queue pour une bonne branlette espagnole.
Malgré ses gros seins, ma queue vient frapper régulièrement son menton, elle penche la tête pour accueillir mon nœud à chaque poussée en me suggérant :
- Tu veux goûter ma chatte?!

Sans répondre, je me mets à lécher sa belle fente toute chaude et toute mouillée, et avec délice je promène ma langue sur ses lèvres, puis je titille longuement avec le bout de ma langue son clito, son sexe est une vraie fontaine, elle mouille comme une folle. De temps en temps je fourre ma langue dans sa foufoune en feu, avant d'y glisser un doigt, puis deux, puis trois, et en relevant ma tête, je la branle avec trois doigts dans sa chatte tout en regardant l'expression du plaisir sur son visage.
Aude en profite pour me traire pour entretenir l’érection de mon engin.
Jeanne me regarde, en se tordant de plaisir et en pétrissant ses gros seins qu'elle tient fermement dans ses mains.
Je pose ma queue à l'entrée de sa grotte trempée, en frottant mon gland sur son clito, Jeanne prend ma bite et la dirige à l'entrée de son orifice.
Après quelques secondes où je la rends folle en ne glissant que la tête de mon gland dans sa vulve, j'enfonce d'un grand coup toute ma queue au fond de sa gaine de velours. Ses muscles intimes entrent en action et broient ma verge.
Putain! La chatte de ma mère, enfin presque!... Ce n’est pas bien moral, mais qu'est ce qu'elle est bonne!!!
Je me mets à la chevaucher de plus en plus vite, de plus en plus fort, en tenant fermement ses hanches, elle écarte ses jambes à fond!

- Oh ouiiiiiiiiii défonce-moi! Encore! C’est trop bon putain!
Elle a du mal à étouffer ses cris de plaisir, sa chatte est si chaude, si mouillée, c'est irrésistible!
Je me retire et mets deux doigts dans la moule toute trempée de Jeanne en même temps qu'elle se caresse le clito, et quelques secondes après, elle atteint un énorme orgasme qui la fait crier à mort, ce n'est plus le visage de l’autorité parental mais une grosse chienne que j'ai en face de moi, ou plutôt c'est ma mère adoptive et c'est une grosse chienne!!!
Sans hésiter, je renfonce ma queue d'un coup jusqu'au fond de la caverne bien chaude et bien humide de Jeanne. C'est le pied putain ! À ce moment là je réalise que c'est la femme qui m’a élevé que je suis en train de baiser!
Pendant que je m'emploie à limer la chatte de Jeanne, Aude lui pelote les nichons et se met alors à lui parler à l’oreille qui s’écarte aussitôt de moi pour laisser sa belle-fille prendre « les choses en main ».
C’était le moins que l’on puisse dire puisqu'elle se saisit de ma bite et enserre la hampe dans ses mains tout en me regardant droit dans les yeux et me dit de m’étendre.
Je m’allonge sur le dos quelque peu passif et je la vois, sous les yeux de Jeanne qui n’en perd pas une miette, se mettre à califourchon au-dessus de moi tout en continuant à me branler doucement.
Elle guide mon sexe tendu vers son berlingot parfaitement rasé et promène le gland sur sa fente déjà bien mouillée. Je sens sur mon gland la chaleur de son intimité et la seule pensée qui me traverse l’esprit à ce moment est que je nage dans le bonheur !
Pendant que je défonce Aude comme un malade par de furieux coups de reins, elle tourne sa tête vers Jeanne qui a placé sa fente juste sur ma bouche et après quelques coups de langue de ma part, se met à jouir violemment en tremblant de plaisir en m’inondant le visage.
Ca m'excite tellement que je me retire de la chatte d’Aude en annonçant que je vais jouir!
Jeanne m’encourage :
- Vas y chéri, mets-moi tout sur les seins!
J'ai à peine le temps de m'approcher de sa grosse poitrine que de puissantes giclées de sperme s'écrasent sur elle. Aude me nettoie alors le gland en avalant les dernières gouttes de sperme, puis se tourne vers Jeanne qui est en train de se caresser frénétiquement le clito, les seins et le visage souillés de ma sauce, et lui promet :

- Attends maman, je vais te nettoyer tout ça! Et se met aussitôt à lécher tout le sperme que j'avais déversé.
Jeanne reste comme tétanisée, fascinée par ce spectacle si pervers et si excitant à la fois.
Elle est là, à trente centimètres de moi, encouragée par l'audace d’Aude et excitée par ses coups de langue de plus en plus grands.
Quand elle a fini sa dégustation, Aude se tourne vers moi et s’exclame :
- Regarde son formidable chibre, maman, il a à peine perdu de sa superbe, c’est le seul homme que je connaisse capable de jouir plusieurs fois sans pratiquement débander !
Et pour la énième fois de la matinée, leurs bouches se sont relayées sur mon nœud.
C'est une pipe très agréable qu'elles me font, longue, très longue, ma mère et ma sœur se partagent ma bite, ralentissant quand elles me sentent sur le point d’éjaculer, se l'échangeant plusieurs fois, parfois l'une me suce et l'autre me lèche les couilles en même temps, c'est trop, trop bon!!
Déjà que j'avais découvert que ma « sœur » était une vraie salope, mais à vrai dire, ce n'était pas une surprise absolue, mais voilà que je découvre là que jeanne est aussi cochonne et qui s'est finalement laissée aller à franchir le pas de baiser avec moi!
- Vas-y, faut le sucer à mort, il va bien finir par jouir ! Dis ma mère à ma sœur en se penchant sur ma bite et suce le gland, il va te donner son sperme dans ta bouche.

Je ne peux plus me retenir, c’est incroyable la quantité que je lui déverse encore dans la bouche, elle le recrache et en a partout, le sperme coule sur sa poitrine, elle vient d’en avaler une bonne dose et il en sort toujours, mes grosses couilles ne sont pas encore vides.

-Pour fêter ça, on se fait un resto à midi ! Propose Jeanne.

Suite au prochain épisode.


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Commentaires de l'histoire :

bellechate
Bon, j'ai voulu voir et j'ai vu. Y a pas à dire, je dois reconnaître qu'il a une sacrée queue, mais avec photo chop...
Posté le 19/05/2023

gorge profonde69
Vu la photo, c'est une vraie bite d'âne
Posté le 29/10/2022


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