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Malgré son âge, Louise n'a rien perdu de sa force de persuasion ! (fin)

Voici donc la suite de « Malgré son âge, Louise n'a rien perdu de sa force de persuasion ! » Evidemment, ce récit est purement imaginaire quoique… Je connais une femme qui ressemble à Louise. Elle me fait du rentre dedans à chaque fois que l’on se voit. Je sens que c’est une coquine et qu’elle devait être un sacré bon coup auparavant ! J’ai tenté

Proposée le 4/01/2021 par sorggulp

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Déjà la nouvelle année ! Louise m’avait envoyé un petit message :
« Bonjour mon petit loup, je serais ravie de t’offrir une coupe de champagne pour cette nouvelle année qui, je l’espère pour toi, sera riche en surprises ! A cette occasion, je te présenterais ma fille Carole. Tu verras, c’est une charmante femme mais qui a besoin de réconfort en ce moment. Je te fais de gros bisous partout »

Evidemment, je ne pouvais refuser pareille proposition.
C’est ainsi que je me présentais en bas de son immeuble à 14 heures le jour fixé.
Connaissant déjà les lieux, je prenais directement l’ascenseur.
Louise m’attendait sur le pas de la porte d’entrée de l’appartement.
« Ça me fait tant plaisir de te revoir mon chéri ! » me dit-elle en refermant la porte derrière moi.

J’avais remarqué immédiatement sa tenue. Elle portait une robe longue noire qui lui arrivait jusqu’en bas des chevilles, des chaussures à talons hauts, une coiffure très distinguée et des bijoux qui lui donnait une allure très vieille France.
« Comment vas-tu depuis notre dernière rencontre ? » enchaina-t-elle en plaquant doucement sa main sur mon entrejambe et en massant mon service trois pièces au travers du tissus. « Toujours aussi entreprenante à ce que je vois ! » répondis-je en l’embrassant sur le coin des lèvres.
« Mais tu ne portes rien là-dessous mon coquin !! » dit-elle alors que je sentais déjà mon sexe durcir dans mon pantalon.
« je me suis dit que cela ne servait pas à grand-chose quand je viens chez toi » répondis-je d’un air entendu.
Elle prit mon manteau pour le suspendre au vestiaire. J’avais opté pour une chemise classique et un pantalon de ville qui manquait de discrétion sur le moment présent.
« Viens mon chéri, ils t’attendent » me dit Louise en pelotant les fesses pour me pousser vers la salle.
« Bonjour !» dit Carole en se redressant de la banquette où se trouvait également assis Jacques. Elle vint me claquer la bise en me prenant par la taille directement. Décidément, ils sont tous très tactiles dans la famille !
Carole était fille unique. Je la connaissais surtout au travers des discussions que j’avais eu précédemment avec Louise.
Carole était une jolie femme brune d’une quarantaine d’année. Habillée façon femme active ( jupe et veste tailleur couleur crème), elle dégageait une certaine autorité ce qui ne me déplaisait pas du tout.
Je savais qu’elle vivait en couple, sans enfant ; c’était à peu près tout.

Tandis que Carole reprenait place sur la banquette, je saluais Jacques qui semblait absent. Il semblait heureux du moment présent.
Nous papotions tous les quatre de tout et de rien. Tandis Carole parlait, je jetais un œil sur elle. Je remarquais son air un peu triste, voire fatigué. Malgré un maquillage judicieux, ses yeux ne pouvaient masquer en totalité des cernes certainement dues à un mauvais sommeil.
Louise proposait une petite collation. Alors qu’elle se penchait pour nous servir sur la table basse, je remarquais son décolleté . Bigre ! Elle ne faisait pas semblant, arborant un magnifique soutien-gorge en dentelle noire quasiment transparent !
Carole croisait mon regard.
« Tu m’as l’air en pleine forme maman ! » dit-elle en mordant à pleines dents un gâteau au chocolat
« Tout à fait ma chérie, je me sens rajeunir depuis quelques temps ! » répondit-elle avec un large sourire tout en me jetant un coup d’œil.
La conversation était agréable. Les dernières actualités étaient passées en revues, chacun y allant de son commentaire. Louise était assise dans un fauteuil juste en face de moi. Carole était à ma droite et Jacques sur le dernier fauteuil face à nous. De temps à autre, Louise croisait et décroisait les jambes. Je ne pouvais m’empêcher de reluquer ses jambes gainées de noir.
Alors que j’étais plongé dans mes pensées (plus ou moins coquines), Louise demanda à Jacques de saluer tout le monde.
« Il est l’heure de la sieste, mon chéri » dit Louise en l’accompagnant vers la chambre.
Jacques devait se reposer l’après-midi et on voyait bien qu’il était complétement absent de nos discussions depuis un bon moment déjà.

Tandis que je papotais avec Carole, Louise revenait avec une bouteille de champagne et trois flutes à la main.
« Nous allons quand même trinquer à la nouvelle année non ? » dit-elle en posant les flutes et la bouteille sur la table basse. Elle mit en route une chaine hifi. Du jazz était au programme.
« Allez Patrick, ouvre-nous cette bouteille que l’on trinque ensemble ! » dit-elle en prenant place à ma gauche.
Je servais le champagne.
Brandissant nos flutes, nous trinquions à la nouvelle année en nous souhaitant plein de choses « et surtout plein de bons moments » dit louise en me faisant un gros clin d’œil.
« Tu n’es pas bien avec nous, patrick ? un vrais coq en pâte avec deux femmes pour toi tout seul ! » rajouta-elle en portant la flute à ses lèvres.
« Et puis tu nous fais un beau cadeau en venant nous voir, tu sais ? » dit-elle en me regardant d’un air espiègle
Nous discutâmes un bon bout de temps de l’état de santé de jacques.
Louise demanda à sa fille des nouvelles de son homme.
« Bof, tu sais, ça ne va pas terrible. je ne me fais plus d’illusions. Il n’y a plus rien entre nous. C’est juste de la colocation » répondit Carole d’un air dépité.
« Mais ce n’est pas une vie ! » rumina Louise d’un air agacé.
Les flutes étaient vides. Je les remplissais.
« Ce n’est pas normal qu’une femme de ton âge ne puisse pas profiter des bonnes choses » insistait Louise. « N’est-ce pas mon chéri ? »
Tout en me parlant, sa main s’était posée sur mon genou. Carole détaillait alors sa vie faite de solitude et de tristesse.
« Je vais te faire une confidence ma fille. Grâce à Patrick, je revis »
Le champagne nous grisait la tête.
« Ah bon ? et comment fait-il ? » demanda Carole d’un air septique.
« Grâce à ça ! » répondit louise en posant sa main sur mon entrejambe.
Je n’osais plus bouger.
« Arrête maman, tu as trop bu ! Et puis tu pourrais dire quelques chose toi ! » dit Carole en esquissant un sourire d’un air faussement réprobateur.
« Oh arrête un peu tes simagrées ! Patrick a parfaitement su répondre à mes attentes » dit-elle en ouvrant mon pantalon. Evidemment, je bandais déjà comme un âne lorsque Louise entoura ses doigts autour de ma queue toute heureuse de sortir de sa cachette.
Carole était soufflée par la scène, regardant sa mère décalotter ma bite sous ses yeux.
« Ah ba ça alors, tu me laisse sans voix ! » déclara-t-elle en vidant sa flûte.
« Ma fille, je sais que ce n’est pas facile pour toi en ce moment. C’est la raison qui m’a poussée à organiser cette rencontre. Considère que c’est le cadeau de nouvel an que nous fait Patrick ; regarde comme il est beau ! »
Tandis qu’elle parlait à sa fille, sa main caressaient mes boules parfaitement lisses.
« Allez, laisse toi aller, profite de l’occasion ! » dit-elle en dirigeant ma bite vers sa fille.
Carole regardait fixement ma queue, semblant encore hésiter sur la marche à suivre.
Timidement, elle posa sa main sur le sujet de conversation. Ses doigts progressaient lentement sur mon sexe, effleurant le gland, descendant sur la tige pour glisser sur les testicules. Sa respiration se faisait plus forte.
Louise se plaça à mes pieds pour m’aider à retirer mes vêtements. Quelques instants plus tard, j’étais intégralement nu.
Louise agenouillée entre mes jambes entreprit de me lécher les couilles laissant mon sexe dans la main de sa fille. J’avais une vue imprenable sur sa chatte entièrement épilée. Elle ne portait rien non plus sous sa robe, la coquine !
Carole prenait de l’assurance, me branlant plus fort. Elle m’embrassait alors à pleine bouche répondant ainsi à mes questions.
Je glissais une main sous sa jupe, la remontant sur ses cuisses gainées de soie. Je ne tardais pas à atteindre le haut de la cuisse. Carole me facilitait l’accès en écartant largement les cuisses. J’avais une vue magnifique sur son intimité à peine dissimulée par un string de dentelle blanche. Sans hésiter, je glissais une main dans celui-ci, parcourant le sillon trempé pour m’aventurer à l’intérieur de celui-ci. Carole me mordit la langue sous l’incursion de mes doigts.
Lorsque mes doigts arrivèrent sur son clito, elle poussa un cri qui inquiéta sa mère.
« Ca va ma chérie ? » dit-elle en suçotant mes couilles.
« « Oh ouiiiii maman, ne t’inquiète pas, tout va très bien » souffla-telle en s’activant sur ma queue.
Se plaçant alors à genoux sur la banquette, elle se rua sur ma queue l’avalant jusqu’à la garde. Ma main s’activait dans sa chatte ruisselante de cyprine. Je la doigtais la faisant gémir continuellement sans qu’elle arrête pour autant de me sucer.
« Viens » lui demandais-je en lui faisant signe de se placer à califourchon sur moi.
Relevant sa jupe au-dessus de son bas-ventre, j’écartais le string d’une main pour plonger mon visage dans son entrejambe. Ma langue glissait sur les grosses lèvres gonflées d’excitation puis plongeait dans le sillon fiévreux. Je remarquais la grosseur de son clito dressé qui sortait déjà des grosses lèvres. Son miel dégoulinait de partout. Je lapais le nectar à pleine bouche, enfonçant la langue dans sa grotte brûlante.
Pendant ce temps, Louise avait profité de l’opportunité pour reprendre ma queue en bouche. Elle me pompait délicieusement bien. Je la remerciais en écartant davantage les cuisses.
Carole gémissait de plus en plus fort sous les assauts de ma langue. Lorsque celle-ci s’attaqua à son gros clito, elle se mit quasiment à crier. Ecartant des doigts les grosses lèvres, je mettais entièrement à découvert le gros bouton de chair rose si convoité. Je le prenais alors entre les dents pour le mordiller et le suçoter en même temps.
Carole criait comme une folle.
Sa mère faisait rouler mes couilles dans sa bouche, les massant délicatement tandis qu’elle me caressait lentement la queue afin de me préserver pour la suite. Pas de doute, l’expérience avait du bon !
Carole perdit le contrôle d’elle-même lorsque j’introduis deux doigts dans son fourreau en feu . Mes doigts semblaient aspirés par les grosses lèvres poisseuses. Sa chatte faisait un gros bruit de succion à chaque pénétration ce qui décuplait notre plaisir.
Quelques secondes plus tard, elle se cambra en poussant un long cri de jouissance. Mon visage fut alors inondé de plusieurs jets qui coulèrent sur ses bas. C’était une femme fontaine !
Elle s’affala sur moi, le souffle court, le visage défait par l’intensité de la jouissance.
Louise cajolait toujours ma queue mais je ne rêvais vulgairement que d’une chose : Baiser sa fille.
Elle devait lire dans mes pensée en guidant ma queue vers l’entrée du fourreau inondé de sa fille.
« Allez ma chérie, laisse Patrick faire. Tu ne devrais pas le regretter »
Afin de donner un maximum de plaisir à Carole, je prenais d’infinies précautions.
Posant les mains sur ses fesses, j’écartais légèrement celles-ci en murmurant à Carole de fermer les yeux.
Louise guidait ma queue en me léchant les boules. C’était divin.
Carole me fixait d’un air extatique. Tandis que ma queue ouvrait progressivement les lèvres de sa grotte, son regard se faisait plus intense. Nos lèvres se joignirent lorsque nos ventres se touchèrent.
Je restais immobile en elle un petit moment, laissant Carole apprécier ce moment de plénitude. Louise participait à notre bonheur en léchant nos parties intimes soudées .
Je remontais les mains sous le chemiser de Carole, soulevant son soutien-gorge pour caresser les seins dressés d’excitation.
Carole se cambra en fermant les yeux. Elle fit alors coulisser lentement ma queue dans son fourreau en faisant onduler son bassin de façon très suggestive.
Petit à petit, elle accéléra la cadence. Elle haletait, les cheveux masquant son visage luisant de transpiration.
« Oh ouiiiii continue comme ça maman, c’est si bon ! » soufflait-elle.
Je ne pouvais pas le voir mais Louise lui léchait le petit œillet pendant que ma queue coulissait au fond de sa matrice.
« Tu es bien comme ta mère ! » dit louise en glissant un doigt enduit de son nectar dans le cul de sa fille.
« oh ouiiiii !!! » gémit Carole en se godant avec ma queue.
« Allez ma chérie, je sais que tu en meures d’envie ! » dit louise en prenant ma queue d’une main pour la poser sur le petit trou de sa fille.
Carole marqua un temps d’arrêt en sentant le gland posé à l’entrée de son œillet. Les yeux mi-clos, elle m’embrassa alors à pleine bouche en se laissant descendre. je sentis le petit passage s’ouvrir progressivement. Le gland franchit l’étroit passage pour ensuite se précipiter au fond du petit fourreau chaleureux.
Carole poussa un cri étrange, un cocktail de surprise et de plaisir. Elle reprit alors progressivement le va-et-vient sur ma queue. Le plaisir ressenti était décuplé par la sensation d’étroitesse de son cul. Je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme !
Louise avait glissé une main entre les cuisses de sa fille, laissant ses doigts experts se balader sur toute la fente dégoulinante d’excitation. Carole se remit à crier lorsque sa mère tortura son clito entre ses doigts.
Elle jouit alors une deuxième fois, contractant les muscles de son anus sur ma queue. Je perdais définitivement le contrôle. Pénétrant Carole comme un forcené, je fut traversé par d’innombrables décharges qui se concentrèrent sur mon sexe.
De nombreux jets de semences allèrent inonder le petit orifice de Carole qui dodelinait de la tête sous la violence de la jouissance.
Nous nous embrassâmes fougueusement tandis que les dernières secousses s’espaçaient..
Louise toujours agenouillée entre mes cuisses avait repris ma queue en bouche, recueillant précieusement les dernières gouttes de semence.
Se redressant alors lentement, elle dit d’un air victorieux :
« Alors ma fille, que pense-tu du remède de Patrick ?»

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Commentaires de l'histoire :

Rouget
Louise veut rendre service a sa fille carole en lancant patrick vers elle afin de retrouver la joie du sex tout en participant aux debats sexuels ...
Posté le 19/01/2023

d.pgt38@gmail.com
Récit excellent, excitant, j’en bande encore, merci
Posté le 30/08/2022


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