Histoire Erotique

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Un deal de fantasmes

Deuxième volet d’un triptyque consacré à trois épisodes marquants de la vie sexuelle d’Isabelle, une belle célibataire de 45 ans. Elle rencontre Alex, à qui elle soumet son plus grand fantasme. Alex étant partant, en échange, elle se soumettra au plus grand fantasme d’Alex. Cette histoire nous est racontée par Alex.

Proposée le 4/01/2021 par Clitorine

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Première fois
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Quand on a quarante-cinq ans et qu’on se retrouve célibataire, il est difficile de se passer des sites de rencontres pour refaire sa vie. Moi qui n’avais jamais imaginé y recourir, j’ai dû m’y résoudre. Sans but bien précis, à vrai dire, car je pensais que je ne pourrais pas trouver ce que je cherchais sur un site de rencontres. Après quelques rendez-vous qui n’ont débouché sur rien de mieux qu’un honnête plan cul, la perle s’est insidieusement présentée à moi. Pourquoi insidieusement ? Parce que rien n’était vraiment annoncé, et même la perle ne savait pas qu’elle pouvait l’être grâce à une performance à laquelle elle n’avait jamais pensé elle-même. Trêve de sous-entendus : je vous raconte mon histoire.

Comme moi, Isabelle a quarante-cinq ans. Comme moi, elle seule. Comme moi, les sites de rencontres ne lui ont pas encore rendu le service qu’elle en attendait. Et comme moi, elle se disait qu’elle ne trouverait jamais...

C’est comme ça que nous nous sommes connus, tout d’abord en discutant en ligne, puis en fixant un rendez-vous. Un verre un jeudi, après le boulot, pour commencer.

Isabelle est une belle femme. Assez grande, mince, elle a de la classe. Elle est vêtue d’une jupe en cuir noir qui lui arrive au-dessus du genou, jambes nues et bronzées, d’un chemisier bleu clair et d’une veste foncée. Son visage est fin, bronzé aussi. Une longue chevelure noire met ses yeux bleus en valeur. J’ai droit à un gentil sourire lorsque nous nous reconnaissons, ce qui est bon signe – je le lui rends.
Nous nous attablons dans un bar du centre commercial où nous nous sommes donné rendez-vous. Les premiers mots échangés tournent autour des banalités de circonstance, mais le contact est agréable, plutôt confiant. Nous abordons toutes sortes de sujets sur lesquels nous sommes sur la même longueur d’ondes, parfois moins, mais sans jamais forcer le trait ni dans un sens ni dans l’autre. Autour du deuxième verre, ce sont les loisirs et les vacances qui sont évoqués. Le temps passe sans qu’on ne le sente, le troisième verre nous met de plus en plus à l’aise. Puis le centre commercial se vide peu à peu, le bar aussi et nous devons partir. On se propose d’en prendre encore un autre part, parce qu’on n’a pas encore faim. Comme elle est venue en bus, c’est dans ma voiture que nous nous retrouvons pour la suite.

Quand elle s’installe dans la voiture, sa jupe remonte légèrement sur ses cuisses et je ne peux m’empêcher d’y glisser le regard. Je crois qu’elle s’en rend compte. Elle se tourne vers moi, je me tourne vers elle, et nos bouches se rencontrent. Elle embrasse comme elle est : avec tact, maitrise, et une certaine volupté. Ça dure un peu, comme des adolescents qui n’ont que ça à faire de leur jeune amour, mais avant tout parce que c’est bon.

Je démarre le moteur et je lui propose une brasserie où nous pourrons boire un verre puis manger si nous le voulons. Ça lui va. Puis c’est elle qui entame LA conversation – l’alcool et notre flirt aidant sans doute un peu.

« Avant qu’on n’aille plus loin, je voudrais juste qu’on parle de quelque chose. Ca va peut-être te brusquer, mais mon expérience sur les sites de rencontres m’a appris qu’il valait mieux tout mettre sur la table dès le début. Ça évite les déconvenues et les pertes de temps. »

Je suis un peu surpris. De quoi veut-elle me parler ? De gosses, de maison, de chien ?

« Je voudrais que tu me dises quel est ton plus grand fantasme et je te dirai aussi quel est le mien. Ainsi, on verra si on est compatibles ».

On n’a pas encore parlé sexe. C’est très direct mais j’aime.

« OK, mais c’est toi qui commences puisque c’est ton idée ».

« D’accord. Je t’explique le contexte. Il y a quelques mois, au boulot, j’ai remplacé une collègue qui est partie brusquement vers un autre job. Elle n’a pas pris de temps de reprendre toutes ses affaires et quand je me suis installée à son poste, j’ai découvert, au fond d’une armoire, un harnais équipé d’un gode. Ça m'a fait fantasmer. Par pour l’utiliser avec une femme, mais avec un homme. Je rêve de baiser un homme comme un homme baise une femme. Malheureusement, aucun homme à qui j’en ai parlé n’a accepté jusqu’à présent. Désolé si ça ne te plait pas, mais un critère éliminatoire ».

« Je marche », lui réponds-je directement sans lui en dire plus.
Après un bref silence, elle réagit.

« Super, mais j’espère que ce n’est pas une promesse en l’air pour me garder. J’aimerais qu’on essaie ce soir. »

« Aucun problème. Mais n’oublie pas que je dois aussi exprimer mon plus gros fantasme et voir comment tu vas réagir. »

« Vas-y toujours, on verra…. ». Ma réponse positive à sa demande l’a chauffée. Je la sens plutôt réceptive. Alors j’y vais…

« J’ai toujours rêvé de pratiquer le candaulisme dans une situation de pluralité masculine. Mon ex-femme n’a jamais voulu… En fait, j’adore voir une femme faire l’amour avec plusieurs hommes. J’en vois lors de mes visites dans un club libertin, mais le fait que ce soit ma compagne, waouw… »

« On n’est encore en couple, tu sais… »

« Non, mais si tu me parles de critères éliminatoires, c’est le mien… ».

Là, c’est quitte ou double.

« J’ai jamais fait ça. A plus forte raison avec des inconnus. Ceci dit, je ne suis pas une prude, ça m’est arrivé plus d’une fois de coucher avec un homme le premier soir. Ca ou un inconnu, c’est finalement presque la même chose. Ca m’est aussi déjà arrivé de faire l’amour plusieurs fois sur la même soirée, donc je pense que ma libido et mon corps peuvent suivre. Je pense que c’est jouable. Du moment que ce ne sont pas des brutes ou des dégueulasses… et pas vingt, non plus !»

Les choses peuvent parfois être si simples….

« Mais on s’occupe d’abord de toi, hein ! »

« Et après on sort en club ! »

« Direct, comme ça ? En club, le premier soir ? »

« Tu m’as bien dit plus gros fantasme, non ? D’accord, c’est pas vraiment du candaulisme puisqu’on n’est pas vraiment en couple, mais le fait d’amener une femme en club et de la mettre à disposition d’autres, ça va me plaire, t’inquiète ».

On doit s’organiser. Tout d’abord parce que le gode-ceinture est chez elle, mais elle n’a ni lubrifiant ni poire anale. Ensuite, si on va en club, il lui faut une tenue adaptée.

« Qu’est-ce que je dois prévoir pour aller en club libertin ? » me dit-elle.

« Tenue sexy ou sous-vêtements sexy. Ou à poil directement ».

« Non, ça va. Je crois que j’ai ce qu’il faut. Tiens, une question : la pénétration anale, t’as déjà fait ? Parce que le gode n’est pas tout petit, tu sais ».

« Oui… je suis bi et j’ai déjà pratiqué. Aucun problème de ce côté-là. Je crois que je vais même adorer ».

« Un homme bi… ce que je recherche… Mais comme je n’ai jamais voulu m’inscrire sur un réseau social libertin, je n’en ai jamais rencontré. Je crois que tu vas me plaire ».

« Même chose pour moi. Difficile, en tant qu’homme seul, de trouver facilement une femme charmante qui acceptera le candaulisme à partir des sites de rencontre traditionnels ».

Nous passons rapidement chez moi pour les deux accessoires nécessaires et, comme elle veut qu’on fasse ça chez elle, nous ne nous attardons pas et rejoignons son nid douillet.

Arrivés à son appartement, nous nous installons dans le salon. Elle déboutonne ma chemise et mon pantalon. Je la déshabille également, découvrant tout d’abord une paire de seins menus mais tout à fait charmants. Je lui enlève sa jupe en cuir noir et son string en dentelle noire. Son sexe est bien épilé : il ne lui reste qu’une fine ligne de poils noirs au-dessus de sa vulve. Une fois nue, elle prend le gode-ceinture dans un tiroir. C’est vrai que le gode a une belle dimension, mais je n’en suis que plus excité. Sa forme courbée m’indique qu’il est fait pour titiller la prostate. Je lui rappelle mon petit passage obligé par la salle de bain et, quand j’en reviens, elle est équipée du matériel qu’elle veut essayer avec moi. Complètement nue, avec cet équipement qui ressemble à un large string en cuir mais muni d’un faux sexe en erection, elle est tout simplement magnifique.

Isabelle me demande de me positionner à quatre pattes, fesses offertes, et me masse l’anus avec du gel. Je sens un doigt s’introduire, puis deux, et le plaisir commence déjà à monter.

Elle retire les doigts et je sens le contact froid du gode. Il est plus large que deux doigts, mais Isabelle y va doucement jusqu’à ce que ça rentre. Elle entame un va-et-vient sensuel qui me parait bien habile pour une femme qui fait ça pour la première fois. Elle accélère peu à peu et les sensations de plaisir envahissent progressivement mon corps tout entier. Ses à-coups sont maintenant énergiques, poussant le gode entièrement en moi.

« Tu aimes te faire baiser, hein, mon salaud ? » me dit-elle d’une voix suave. Je réponds par des gémissements de plus en plus intenses.

« Je veux te voir prendre ton pied. Retourne-toi ». Elle se retire, je me couche sur le sofa, les jambes écartées et repliées sur mon torse. Elle me pénètre à nouveau et me branle en même temps. Je bande comme un fou et la vue de ses seins qui se ballottent au rythme de ses mouvements m’excite encore plus. Elle en profite pour me branler.

Dans cette position, les sensations de la pénétration sont plus fortes : qu’elle continue comme ça et je vais jouir. Comme elle sent que je monte, elle intensifie les mouvements jusqu’à ce que mon corps entier soit envahi par l’orgasme. J’éjacule sur mon ventre, Isabelle se retire et lèche les beaux jets de sperme que j’ai lâchés. Elle s’approche de mon visage et déverse le sperme recueilli dans ma bouche.

« Je me doute que tu aimes ton sperme. Il est délicieux ».

Après un baiser langoureux qui me permet de savourer une nouvelle fois ma semence et de redescendre de mon orgasme, je m’adresse à elle.

« Et toi ? Maintenant que j’ai joui, que veux-tu que je te fasse ? »

« On va en club, non ? Je compte bien y prendre mon pied ».

Je la sens effectivement bien excitée : sa manière de s’exprimer et ses attitudes sont toutes différentes de ce que j’ai vu avant notre petite session.

« Tu m’as permis de réaliser mon fantasme et je t’en remercie. J’ai adoré et j’espère qu’on pourra recommencer. Maintenant, on va réaliser le tien ».

Elle se dirige vers sa chambre et en ressort quelques minutes plus tard. Elle porte une nuisette noire courte. La partie qui couvre ses seins est en dentelle et le reste est en tulle transparent. Son sexe est couvert par un petit string noir. C’est très joli et très sexy.

« Ca te va si je prends ça pour aller au club ? Je ne l’ai jamais mise, ce sera l’occasion ».

C’est parfait et j’approuve, évidemment.

Je me rhabille pendant qu’elle se change et nous prenons la route. Je me dis que la soirée s’annonce plutôt bien…

Le trajet vers ce club bien connu de la capitale belge (on passe par un fast-food pour ne pas y arriver le ventre vide) nous permet de discuter un peu de cul.

« Ça fait cinq ans que je suis seule », me dit-elle. «Des mecs, j’en ai déjà eu un paquet. Parfois, ce sont volontairement des coups d’un soir. Parfois, on se revoit mais ça ne dure jamais. Je suis difficile, en fait. Et depuis que j’ai ajouté ce critère éliminatoire de l’utilisation du gode-ceinture, ça ne s’est pas arrangé. J’en parle avant de passer au lit, alors certains me prennent pour une folle, d’autres pour une perverse, et les plus gentils refusent poliment. »

« T’as jamais voulu t’inscrire sur un site pour libertins ? Ça t’aurait aidé… »

« Pas besoin, je t’ai trouvé maintenant ! Plus sérieusement, j’ai jamais voulu m’engager là-dedans ».

« Et maintenant, c’est moi qui t’y conduis ».

« T’es un salaud. Tu m’as bien eue. Mais je suis une femme de parole et en plus, je ne te cache pas que ça m’excite. J’aime le sexe et c’est une des raisons pour laquelle je collectionne les rencontres. J’en ai besoin, en fait ».

« Jamais eu de commentaires des voisins ? »

« Non. Je ne ramène pas toujours chez moi. Par contre, une fois, j’ai été interpellé par Luc, le fils de mes voisins du dessus. Il m’a dit que sa chambre était juste au-dessus de la mienne et que parfois, il m’entendait crier et que ça l’excitait beaucoup. Je lui ai proposé de venir vérifier si c’était bien ma chambre qui était en-dessous de la sienne. J’avais envie de sexe et j’ai vu une opportunité…il avait fêté ses 18 ans un mois auparavant, donc c’était clean. »

« Et ? »

« Il a marché. Je crois que c’est ce qu’il cherchait aussi. A peine dans ma chambre, je l’ai déshabillé et il bandait comme un fou. C’était sa première fois. Il est venu très vite mais comme il était pas mal équipé, il m’a donné du plaisir. » (NDLA: voir récit « ma voisine du dessous »).
« Vous avez recommencé depuis ? »

« Mieux que ça…il m’a demandé de l’initier. Je lui ai appris plein de trucs et il est devenu un bon plan cul. On se revoit une fois de temps en temps, on baise et on se raconte nos aventures. Il les collectionne car il est plutôt mignon et il s’est fait une réputation de bon coup…grâce à moi, me rappelle-t-il systématiquement. Clairement, il se tape des bombes de son âge qui sont nettement plus attirantes que moi, mais il revient toujours pour l’expérience et les confidences. Il me dit qu’il tombe parfois sur des filles magnifiques mais qui le déçoivent au lit. Moi, je ne le déçois jamais et il a appris à me faire monter au 7ème ciel. Il est devenu mon meilleur sex-friend. Quand je suis en manque, je l’appelle et je ne dois jamais attendre très longtemps ».

« Mais il refuse le gode-ceinture ? »

« il connaît mon fantasme. Je ne lui ai jamais proposé et il ne l’a jamais fait non plus. Par contre, mon cul, il le connaît bien… Il est toujours déçu quand il tombe sur une fille qui ne veut pas…»

« Tu pratiques l’anal ? » Question normalement très déplacée lors d’une première rencontre, mais vu l’expérience de la soirée, je me dis que je peux y aller.

« Si je suis très excitée, oui. Tout dépend du mec, en fait… »

Je n’ai plus qu’à espérer que sa première expérience en club va l’exciter suffisamment.

« Ca m’exciterait beaucoup qu’il soit avec nous ce soir. Je peux l’appeler pour qu’il nous rejoigne ? Je sais qu’il peut prendre la voiture de ses parents. »

Je n’ai évidemment pas prévu de m’octroyer l’exclusivité d’Isabelle ce soir. Plus il y en a, mieux c’est. Et l’idée d’initier un jeune homme fringant aux clubs échangistes m’excite aussi. Elle l’appelle et lui explique le plan. Il arrivera avec un peu de retard, mais il est partant.
Je veux revenir sur la question du gode-ceinture et Isabelle m’explique:

« J’ai déjà utilisé l’outil mais avec une femme. J’ai une copine lesbienne à qui j’ai parlé de ma trouvaille et elle m’a proposé de l’essayer avec elle. Elle m’a expliqué les mouvements que je devais faire pour imiter un homme performant au lit et j’ai eu droit aux travaux pratiques jusqu’à ce que je la fasse jouir. Mais en anal avec un homme, je ne l’avais jamais utilisé. Et toi, maintenant, comment en es-tu arrivé à être bi ? »

« Tout d’abord, tu dois savoir que je suis un habitué des clubs libertins. La sexualité classique du couple ne m’a jamais suffi, mais j’ai toujours dû y aller seul. Depuis que je suis séparé, mes visites sont devenues plus régulières. Il m’était arrivé de sucer un homme ou d’embrasser une femme qui venait de recevoir une éjaculation faciale mais sans plus. Comme le club que je fréquente organise aussi des événements bi, un jour, j’y suis allé et j’ai aimé. Je ne pourrais pas faire que ça mais ça me plait. J’adore l’ambiance des clubs libertins. J’espère que tu vas aimer car je compte vraiment continuer à y aller... »

Passé l’entrée, nous rejoignons les vestiaires. Le club est ouvert depuis une bonne heure mais les gens continuent d’arriver. Un couple et deux hommes sont en train de se changer. La dame, qui doit avoir une trentaine d’années, est plutôt petite et assez mignonne. Au moment où nous entrons dans le vestiaire, elle est nue et elle met une petite culotte assez classique. L’homme qui l’accompagne, un gars bedonnant un peu plus âgé, est déjà prêt, en caleçon. Les deux hommes seuls sont en train de se déshabiller. L’un d’entre eux, un grand black, sort une bite de taille impressionnante au repos. L’autre, sans doute déjà excité par la dame qui se préparait, a une érection imposante. Un peu gênée, Isabelle se met à poil. Les deux hommes se montrent déjà intéressés en se caressant le sexe. Le couple sort du vestiaire et Isabelle se retrouve seule avec trois hommes qui l’admirent avec envie – je ne peux m’empêcher d’être excité à la vue de cette belle femme désormais exposée au plaisir. Son regard m’indique que la situation ne lui déplait pas. Elle prend son temps pour enfiler sa nuisette et laisse volontairement son string dans son sac, laissant sa chatte épilée exposée. Elle regarde les trois bites de manière soutenue et m’invite à sortir du vestiaire. Les deux hommes nous suivent.

Seuls le vestiaire, le restaurant et une pièce équipée d’une cage et d’une croix de saint-André occupent le rez-de-chaussée. Le bar, les alcôves, les douches et le sauna sont à l’étage. Nous nous installons au bar pour prendre un verre: il y a une quinzaine de personnes dans la grande pièce équipée de sofas en cuir et d’une piste de danse. Trois hommes sont accoudés au bar avec une dame assez jeune, très mince, vêtue d’un string et d’un porte-jarretelles. Elle se fait caresser par deux hommes. Au milieu de la pièce, une dame nue danse, entourée de quatre hommes qui la caressent et se branlent. Elle a de gros seins que des mains masculines malaxent avec vigueur. Elle doit avoir une bonne trentaine d’années. Ses cheveux noirs et son teint halé me font penser qu’elle a des origines méditerranéennes. Assis dans un sofa contre le mur, le couple qui nous précédait au vestiaire est en train de s’embrasser. La musique du bar ne couvre pas des puissants cris féminins provenant des alcôves.

Les deux hommes qui nous suivaient ont commandé une boisson et se sont installés dans un sofa. Leurs regards sont tournés vers nous.
« Tu as deux possibilités », dis-je à Isabelle en sirotant mon gin tonic. « Soit on fait un peu connaissance avec des hommes que tu choisis et on leur propose de monter dans une petite alcôve qui empêchera les autres de se mêler à nous, soit tu t’installes dans une alcôve et tu acceptes les hommes qui se présentent à toi ».

« Pour une première fois, je préfère choisir. Les deux hommes du vestiaire me plaisent bien. Mais on n’est pas obligés de perdre notre temps à faire connaissance. »

« Alors, tu vas leur faire comprendre que tu les veux en les aguichant. Tu les as déjà excités dans le vestiaire, donc ça ne sera pas difficile ».

Isabelle se tourne vers eux, toujours assise sur son tabouret de bar, elle remonte sa nuisette et elle écarte légèrement les jambes, laissant apparaître sa vulve rose et luisante. Je commence déjà à bander. Elle les regarde et se caresse le bas du ventre en même temps. Ses doigts atteignent sa chatte et écartent ses lèvres. Les deux hommes sortent leur engin de leur caleçon et se mettent à se masturber. J’en fais de même. Isabelle enlève ma main de mon sexe et prend le relais, toujours en regardant les deux hommes. Elle les invite à se rapprocher d’un signe de la main. ils se lèvent, s’approchent, Isabelle s’agenouille et me lèche le gland. Les deux bites sont maintenant à proximité du visage d’Isabelle. La bite du black est énorme : elle dépasse les 20 centimètres et le diamètre est impressionnant. L’autre gars est bien monté également, mais c’est clairement le black qui domine. Une main se glisse sous sa nuisette pour palper ses seins. Elle continue de me sucer, puis goûte tour à tour les deux autres bites. Elle revient à la mienne et continue d’alterner entre les trois bites, ne faisant parfois que lécher l’une pour passer plus vite à l’autre. Je lui caresse également les seins et je fais tomber sa nuisette. Voilà ma belle Isabelle à poil dans ce bar, à la vue de tous. D’autres hommes s’approchent, bite tendue en main, mais je leur demande de s’écarter d’un geste de la main.

« Je veux assouvir ton fantasme comme tu as assouvi le mien. Vous allez bien me baiser tous les trois. Je suis chaude comme de la braise », me glisse-t-elle à l'oreille après s’être relevée.

Elle m’embrasse langoureusement, se retourne, prend la bite de chaque homme en main et les attire en se dirigeant vers les alcôves. Je la précède pour lui indiquer où aller. Je connais bien le club. Au deuxième étage, il y a une petite alcôve où nous pourrons nous tenir à quatre, mais pas plus. Nous nous y installons et Isabelle reprend sa triple fellation. Elle est à quatre pattes et nous offre son cul pour que nous lui caressions la vulve. J’y mets la main et je la doigte. Elle est trempée.

« Tu vois comme je suis chaude. Prends-moi ».

Je me positionne pour une levrette profonde et intense. Dans cette position, son trou de cul est à ma disposition : j’y insère délicatement un doigt. De plus en plus excitée, Isabelle s’active sur les deux grosses bites bien dures. J’accélère le mouvement et elle se met à gémir. Le black enfile une capote : je lui laisse donc la place dans la même position. Je me mets sur le côté pour admirer ma maîtresse du jour en train de s’occuper des deux hommes. Elle pousse des petits cris au rythme des a-coups qu’elle reçoit - elle encaisse bien l’énorme bite du black.

« Elle est vraiment bonne, ta femme », me lance-t-il. S’il savait…
Il lui met un doigt dans le cul, puis deux. Isabelle encaisse et crie de plus en plus fort et jouit.

Le black se retire et laisse la place à l’autre gars. Isabelle se retourne pour prendre la position du missionnaire. L’homme la pénètre et je reviens près du visage d’Isabelle pour qu’elle me suce. Le black en fait de même. Alors qu’elle alterne les deux bites en bouche, le gars renforce les à-coups et Isabelle crie à nouveau. Puis il sort, approche sa bite du visage d’Isabelle en se branlant et lâche trois beaux jets de sperme sur son visage. Le black suit et je termine : le visage d’Isabelle est maculé de sperme.

« Félicitations pour ta première partouze. J’ai l’impression que ça t’a plu ».

La belle me regarde d’un air satisfait.

« Pas mal pour une première fois. Maintenant, je suis impatiente de voir comment Luc va se comporter dans cet endroit. Mais d’abord, une bonne douche ». Elle m’embrasse langoureusement.

Après la douche, nous faisons le tour des alcôves pour voir ce qui s’y passe. Elles sont toutes occupées : ça baise dans tous les coins. Beaucoup plus d’hommes que de femmes, mais personne ne s’ennuie. Isabelle me montre un jeune homme en train de se faire sucer par la dame qui nous a précédés au vestiaire. Elle est nue et chevauche son compagnon.

« C’est Luc », me dit-elle. « Je vois qu’il n’a pas perdu de temps ».
Lorsqu’il aperçoit Isabelle, il prend l’air gêné de quelqu’un qui a fait quelque chose qui ne fallait pas, mais Isabelle le rassure en levant le pouce. Il paraît un peu étonné de voir Isabelle dans sa nuisette transparente.

Nous continuons de regarder la scène : la dame s’active sur la bite de Luc pour qu’il jouisse dans sa bouche. Luc pousse un gémissement, la dame garde son sexe dans la bouche et quand il a fini, elle ouvre la bouche et lui montre qu’elle a déjà tout avalé.

Isabelle invite Luc à nous rejoindre au bar.

« C’est nouveau, ça, les clubs libertins ? Tu ne m’as jamais parlé de ça ».
« C’est un deal avec lui », répond-elle en me montrant. Il a accepté le gode-ceinture mais en échange, je devais me faire prendre par plusieurs hommes ».

« Et tu l’as fait ? Je n’ai pas eu le temps de te chercher quand je suis arrivé, j’ai tout de suite été happé par la salope qui vient de me sucer ».

« Trois avec lui. Dont un black monté comme un cheval ».

« Merde. J’aurais bien voulu voir ça… »

« T’inquiète. J’ai encore envie. On fait un break puis on recommence ».

Je suis aux anges, mais je dois garder le contrôle sur la situation. Isabelle et moi n’avons rien construit jusqu’à présent – je ne considère pas l’expérience vécue chez elle comme un élément suffisant pour permettre une relation durable: ce soir, elle prend son pied avec d’autres hommes et son meilleur amant est avec nous. Certes, nous avons passé du bon temps ensemble avant d’aborder la question du sexe, je pense que nous pouvons vraiment nous entendre, mais il faut quand même que nous ayons une vie sexuelle satisfaisante à deux. Mais si les choses m’échappent, je ne pourrai en vouloir qu’à moi-même…

Luc est un gamin, mais il est sympa et intelligent. C’est la première fois qu’il fait la connaissance d’une rencontre d’Isabelle. En gros, il connaît tous ses amants, mais uniquement par ce qu’elle lui en a raconté. Isabelle et lui montrent une belle complicité.

« Mais on a toujours été d’accord : pas question qu’on forme un couple », me dit-elle après avoir confirmé mon impression. « Il a vingt-cinq ans de moins que moi, il doit profiter de la vie et la construire. Je partage quand même beaucoup plus de choses avec un homme de mon âge dans la vie quotidienne».

C’est rassurant. Luc vu uniquement comme amant régulier de la compagne d’un candauliste, c’est plus qu’acceptable pour moi. Encore faudra-t-il qu’il puisse continuer à sauter Isabelle s’il a une relation stable.

Luc s’approche d’Isabelle et se met à la caresser sous sa nuisette. Il la relève délicatement, exposant sa chatte puis ses seins. Isabelle lève les bras pour qu’il puisse la déshabiller complètement. Elle baisse son caleçon et caresse sa bite déjà bien dure. Je m’approche aussi et Isabelle palpe mon sexe en érection.

« Je vois que vous êtes prêts à me faire jouir. On y va, alors ».
Nous choisissons une autre alcôve, un peu plus grande. Plusieurs hommes nous suivent.

Directement, Luc attaque la chatte d’Isabelle avec la langue. On voit qu’il a le truc avec elle : il ne faut pas longtemps pour qu’elle hurle de plaisir. Pendant ce temps-là, je lui lèche les seins. Un autre homme approche sa bite de la bouche d’Isabelle et elle le suce sans se poser de questions. Un deuxième arrive, même chose. Luc me laisse la place et j’embroche Isabelle. Il se met sur le côté pour admirer son initiatrice en plein gang bang. Deux autres hommes se mettent à lui lécher les seins. J’accélère le mouvement et je la fais crier.

Elle se relève et se retourne. Je la prends en levrette et j’attaque directement son cul avec les doigts. Elle est vite dilatée.

« Prends-moi dans le cul », me dit-elle en continuant à sucer les deux hommes.

Je rentre assez facilement et je la pilonne. Les deux hommes qu’elle suce ne tiennent plus et jouissent sur son visage.

Elle se relève et appelle Luc d’un geste de la main. Elle l’invite à se coucher sur le dos, s’empale sur lui et m’offre son cul. Je me positionne et je reprends la sodomie.

« Une double pénétration, ma belle. Voilà qui devrait te faire hurler de plaisir », lui dit Luc.

Nous intensifions les mouvements tous les deux, entrant et sortant en même temps dans les trous d’Isabelle. Elle monte rapidement et atteint l’orgasme. Ses fesses et ses jambes convulsent pendant plusieurs secondes. Elle se retire, se couche quelques secondes pour profiter de son orgasme et puis se met à genoux.

« Éjaculez dans ma bouche en même temps », nous ordonne-t-elle.
Luc et moi nous branlons sur sa bouche, je me retiens un peu le temps que Luc sente monter la sève et, lorsque je vois qu’il va jouir, je réactive mon geste et nous déchargeons en même temps dans la bouche d’Isabelle. Conquise, la belle se relève et nous embrasse langoureusement, tour à tour, pour que nous goûtions le sperme. Luc semble avoir l’habitude de ce petit jeu, car il s’y prête avec plaisir.
Après une bonne douche, nous retournons au bar. Isabelle cherche sa nuisette mais elle a malheureusement disparu. Elle reste nue, nous aussi, pour un dernier verre.

Nos fantasmes ont donc été réalisés et je ne suis pas mécontent de ma soirée: Isabelle a sucé six bites, accueilli quatre hommes en elle et connu sa première double pénétration.

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Commentaires de l'histoire :

didier
Fort bien écrit et très excitant surtout pour le candauliste que je suis depuis belle lurette ! Merci pour ce récit !
Posté le 30/01/2021

Tenor53
Très bandant et bien écrit.
Posté le 10/01/2021


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