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Comme une maîtresse (d'école)

Delphine est la maman d'Alice; je les connais bien car nous sommes voisins. J'ai toujours eu un faible pour cette charmante voisine. Alice m'a plusieurs fois affirmé que sa maman était une très bonne maîtresse mais le hasard d'une rencontre allait me confirmer que le mot maîtresse ne désignait pas uniquement le personnel enseignant.

Proposée le 4/01/2021 par sorggulp

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme



Il faisait beau en cette fin d’après-midi. Je flânais profitant de la douce chaleur de fin de journée. Les cris d’enfants jouant dans le square voisin couvraient le chant des oiseaux. Il y’avait de la vie, c’était agréable .

Comme une maîtresse (d'école) Soudain, j’entendis mon prénom surgir au-dessus tout le gazouillis enfantin.
« Éric ! Éric ! Regarde maman, c’est Éric ! » criait Alice en me pointant du doigt. J’ouvrais les bras en me baissant pour accueillir la petite Alice.

Sa maman, Delphine, était en couple avec Fred et nous avions souvent l’occasion de nous rencontrer lorsqu’il faisait beau. Nous nous retrouvions au square afin de laisser les enfants se dépenser avant de rentrer à la maison faire les devoirs. La vie classique d’une petite famille.
Tandis que j’embrassais la petite Alice, je me relevais pour saluer sa maman. Instantanément, mon regard passait des chevilles pour remonter sur la robe d’été, glissant sur les formes de la poitrine dissimulée sous le chemisier pour enfin s’arrêter sur le grand sourire de Delphine.

Dès nos première rencontre, j’étais tombé sous son charme.. Brune à la chevelure épaisse, toujours souriante, un brin espiègle avec parfois des tenues disons un brin coquines (il m’était arrivé de la surprendre se baisser pour relever sa petite fille et ainsi admirer les courbes d’un string à peine dissimulé par la transparence de sa longue robe blanche), je devais reconnaitre que je n’étais pas insensible à son allure sportive. Dans son attitude et de par son physique, on sentait immédiatement une femme tonique.

Nous engagions la discussion tandis qu’Alice se ruait dans le square retrouver ses copines d’école.
Delphine me proposait de l’accompagner sur un banc.
Tout en surveillant d’un œil sa fille, elle me faisait part des dernières nouvelles, du travail, de sa fille, de l’école. Bref, la vie de tous les jours.
Le temps passait fort agréablement. Les parents autour de nous ne tardaient pas à rentrer, laissant finalement Alice seule dans le square.
« Ça te dirait de passer à la maison ? » me demanda Delphine en se levant.
« Avec plaisir. »
« Super ! Je vais te faire voir ma chambre » dit Alice en sautant de joie.
Arrivé dans le hall de notre immeuble, nous franchissions la porte d’ascenseur. Delphine habitait 3 étages au-dessus de mon appartement.. La cabine étant exiguë, je me retrouvais collé à Delphine. Tandis qu’elle bavardait, j’avais du mal à rester concentré tant son décolleté attirait mon regard.
Je découvrais une grande salle de séjour aménagée en cuisine américaine. Un comptoir était disposé au fond devant lequel trônaient deux tabourets. Delphine me proposait l’un d’eux. Tandis que je m’installais, elle faisait le tour du bar et se penchait pour chercher une boisson. J’avais une vue imprenable sur son décolleté.
« Jus de fruits, coca, eau minérale, bière ? » me disait-elle en regardant dans le placard.
« Va pour un jus de fruit » répondis-je en admirant sa poitrine parfaitement dessinée.
Un fond musical fit son apparition créant instantanément une ambiance feutrée.
Elle revint s’assoir sur le tabouret face à moi. Elle croisait les jambes, laissant sa robe légèrement remonter sur le haut des cuisses parfaitement dessinées lui donnant un air encore plus sexy.
« Fred ne rentre pas avant 20 heures et encore… » soupira-t-elle en sirotant son jus de fruit.
« depuis quelques temps, il ne pense qu’à son boulot, c’est pénible parfois tu sais »
Alice revint me tirait sur la manche pour m’emmener vois sa chambre.
« Viens ! je veux te faire voir ma chambre de princesse » me dit-elle toute excitée.
Je la suivais tandis que Delphine m’emboitait le pas.
Alice me faisait un descriptif de sa chambre sortant toute sorte de jouets. Je l’écoutais raconter son monde imaginaire dans l’entrée de sa chambre tandis que Delphine observait la scène par-dessus mon épaule. Son parfum m’enivrait alors que je sentais la chaleur de son corps.
Alice me faisait à présent voir son travail d’école.
« Regarde ! j’ai fait ça avec ma maitresse ! » !e dit-elle en brandissant un dessin multicolore.
« Tu sais, une maitresse, ça sert à apprendre plein de chose. Hein maman c’est vrai ? »
Delphine riait en se rapprochant insensiblement.
« Oui ma chérie, une maitresse ça sert à apprendre plein de choses, tu as raison »
Tournant légèrement la tête, je croisais le regard de Delphine. Elle planta ses yeux droits dans les miens en chuchotant :
« Une maîtresse… »
Elle se colla alors littéralement à moi. Je n’osais bouger d’un millimètre, tétanisé par ce qui se passais. Je sentais son sein s’écraser sur mon bras alors que sa jambe se collait à la mienne. Était-ce mon imagination qui me jouait des tours ?
Nous retournâmes dans la salle. Mon rythme cardiaque était monté en flèche. Delphine reprit place sur le tabouret laissant négligemment sa jupe remonter encore plus haut sur ses cuisses. Nous reprenions notre discussion en tentant de rester le plus naturel possible mais je lisais dans le regard de Delphine autre chose.
« Il est temps de faire tes devoirs, ma chérie » dit-elle en sortant le carnet de correspondance du cartable de sa fille posé sur le bar.
Elle installa Alice à la table disposée dans l’angle opposé de la salle. J’accompagnais Delphine. Elle ouvrit un livre et expliqua à sa fille comment colorier le dessin.
Delphine était penchée sur le travail de sa fille. Placé juste en face, je pouvais (étais-ce vraiment innocent ?) profiter d’une vue imprenable sur la poitrine de Delphine. Les deux mamelles se balançaient à chaque mouvement enflammant immédiatement mon imagination.. Je me faisais même surprendre lorsque Delphine croisa mon regard.
« Allez, tu peux continuer toute seule, tu es une grande fille. Maman va retourner discuter avec Éric au bar, d’accord ? » dit Delphine en se redressant.

Faisant de nouveau le tour du bar, elle s’agenouilla pour chercher quelque chose à grignoter. Delphine me demandait de la rejoindre pour l’aider à choisir.
Il y’avait juste assez de place pour que deux personnes puisse se croiser entre le plan de travail et le bar. je me penchais donc juste au-dessus d ’elle (quelle vue !) pour pouvoir effectuer mon choix. J’optais pour des biscuits salés. Lorsque Delphine se redressa, je sentis ses fesses frotter sur mon bas-ventre.
« Pardon ! » dit-elle en se retournant vivement. Le temps se figea.
Tout bascula. Nos lèvres se soudèrent violemment, nos langues se mêlèrent.
Tandis qu’Alice se concentrait sur son dessin, je plaquais mes mains sur les hanches de Delphine pour aussitôt descendre sur ses fesses. Nos dents s’entrechoquaient sous la violence du désir.
Delphine s’activait sur ma braguette en m’embrassant, libérant mon sexe tendu comme un arc.
Je poussais un râle étouffé dans sa bouche lorsque ses doigts s’enroulèrent autour de ma queue douloureuse.
Mes mains disparaissaient sous sa jupe, remontant celle-ci sur ses reins. Je sentais sous mes doigts la fermeté de ses fesses, jouant quelques instants avec l’élastique de sa petite culotte. Tirant d’un seul coup celle-ci vers le bas, elle tomba à ses chevilles. Mes doigts disparaissaient de plus en plus loin dans le grand sillon, effleurant de plus en plus fréquemment le territoire intime si convoité .
Delphine semblait s’impatienter et enroula une jambe autour de mon bassin afin de m’offrir une plus grande liberté de mouvement.
Mes doigts glissèrent alors sur le mont de vénus parfaitement imberbe. Je le caressais délicatement appréciant la douceur des grosses lèvres ne demandant qu’à être explorées.
Nos baisers se faisaient de plus en plus suggestifs.
Delphine me caressait divinement bien, parcourant d’une main toute la longueur de la queue entièrement soumise à sa volonté. Lorsque j’introduisis deux doigts dans sa chatte détrempée, elle poussa un soupir qui en disait long.
Dos au plan de travail, elle posa ses mains sur celui-ci en levant la jambe gauche sur le rebord du bar.
C’était une invitation que je pouvais refuser !
Je me laissais littéralement tomber entre les jambes de Delphine, enfouissant ma tête sous sa jupe.
Je roulais par la même occasion la petite culotte de dentelle noire pour l’enfouir dans ma poche de chemise.
Je prenais quelques instants pour admirer le mont de vénus parfaitement imberbe mis à part un petit triangle brun surmontant les grosses lèvres. Au sommet de celles-ci apparaissait le petit bouton de chair luisant du nectar intime de Delphine.
Je respirais longuement son parfum, m’enivrant de celui-ci.
Du bout de la langue, je parcourais lentement le sillon brûlant. Je me délectais du nectar affleurant des grosses lèvres boursoufflées. Je prenais volontairement mon temps, effleurant à tour de rôle chaque lèvre, forçant légèrement sur le bouton de plaisir qui ne tarda pas à sortir de sa cachette. Je faisais alors exprès de l’ignorer pour revenir le sucer délicatement. Le jeu dura quelques instants rendant folle Delphine.
Elle agrippa mes cheveux pour me plaquer le visage contre sa chatte brûlante. J’écartais délicatement du bout des doigts les grosses lèvres pour admirer la vallée rose dégoulinante de plaisir.
Ma langue partit à la découverte de celle-ci, parcourant les parois douces comme de la soie. Je lapais le nectar ruisselant de celles-ci.
« Il est beau mon dessin maman ? » lança Alice. Ma langue glissa à cet instant plus profondément dans son intimité ouvrant le passage de la grotte désirée.
« Oui oui il est magnifique » répondis-celle-ci en poussant un gémissement étouffé.
« Ma maitresse sera contente ! »
« Oui ma chérie, ta maitresse sera très contente, continue comme ça ! » gémit Delphine d’une voix cassée en se cabrant lorsque ma langue remonta pour triturer son clito douloureux .
L’odeur de son sexe me rendait fou. Je glissais deux doigts dans le fourreau brûlant et poisseux d’excitation. Je mordillais le clito tout en la pénétrant de plus en plus fort de mes doigts. Ceux-ci faisaient un bruit de succion à chaque mouvement. Delphine haletait maintenant sous mes assauts incessants.
Elle me plaqua une dernière fois le visage contre son bas-ventre en refermant les cuisses. Son corps était parcouru de spasmes tandis que je sentais le gout de sa jouissance se répandre dans ma bouche. Je croyais un instant mourir étouffé de plaisir.
« Tu t’es fait mal maman ? »
« Non ma chérie, tout va bien, ne t’inquiète pas. Continue à dessiner » répondit Delphine. Elle retrouva petit à petit le contrôle de son corps et de son esprit. Je me redressais le plus discrètement possible.
Delphine gouta à sa propre jouissance en m’embrassant à pleine bouche.
« J’ai envie de toi » me dit -elle me caressant la queue.
Elle s’accroupit derrière le bar en guidant mon sexe entre ses lèvres.
Je sentis la douce chaleur de celles-ci se diffuser sur toute la longueur de mon sexe. Delphine semblait se régaler, gobant une à une mes boules pour les masser délicatement avec sa langue puis reprendre ma queue pour jouer avec le gland. Sa langue jouait avec, faisant le tour de celui-ci pour le gober entièrement comme un bonbon. Elle finissait par laisser ma queue se glisser tout au fond de la gorge, semblant vouloir m’avaler entièrement. Elle savait divinement me faire décoller.
Delphine se redressa juste au moment où je perdais pied. Se retournant, elle guida ma queue entre ses fesses pour la placer à l’entrée de sa grotte brûlante de désir.
Delphine écarta les jambes en murmurant : « Viens »
Je ne fis pas prier, donnant un coup de rein typiquement masculin.
Je la pénétrais d’un coup arrachant un petit cri de surprise à ma victime. Je restais immobile quelques instants, savourant la douceur du fourreau intime de Delphine.
« Tu fais quoi maman ? » demanda Alice sans se retourner.
« Nous préparons un nouveau cocktail ! » dit Delphine en cambrant les reins.
Je commençais alors de lents vas et vients tandis que je caressais les seins sous son chemisier. Ma queue coulissait parfaitement dans sa chatte de velours. Je prenais volontairement mon temps, appréciant chaque pénétration, m’étonnant à chaque fois de la perfection du fourreau épousant ma queue, savourant la fermeté de ses seins, admirant la beauté de la croupe offerte à mon regard.

Delphine s’agrippait au rebord du bar, écartant au maximum les jambes afin de mieux me sentir en elle. Elle cambrait exagérément les reins afin de m’offrir le meilleur d’elle-même.
Je laissais mes mains se promener sur son ventre. J’arrivais même à glisser un doigt sur son clito allant même jusqu’à accompagner ma queue au fond de sa matrice inondée de cyprine. Delphine m’encourageait en gémissant un peu plus fort lorsque mes doigts trituraient son clito comprimé par ma queue plantée en elle.
Le temps semblait suspendu.
Pourtant, je sentais un grondement sourd monter de plus profond de mes entrailles. Je pris alors Delphine par la taille pour mieux la pénétrer. Je savais que le point de non-retour arrivait inexorablement.
Soudain, un éclair traversa mon ventre, m’aveuglant totalement.
Je martyrisais les hanches de Delphine en la pénétrant le plus profondément possible. Ma queue me faisait mal.
Enfin, la libération arriva. Je fus comme foudroyé par la violence de la jouissance qui fut alors totale. Delphine s’affala sur le bar, ma queue plantée en elle. Je respirais bruyamment. Heureusement, le fond musical absorbait nos ébats.
« C’est fini ! » cria Alice en brandissant son œuvre. Nous revînmes brutalement à la réalité.
« Attends ma chérie, je viens. Éric viens voir aussi ! » dit-elle en se retirant délicatement.
Sa robe se remit en place naturellement tandis que je remettais de l’ordre dans ma tenue.
Delphine avait déjà rejoint sa fille et lui montrait comment colorier un nouveau dessin.
« Maman est aussi une très bonne maitresse tu sais ? » me dit Alice en s’appliquant à reproduire les gestes de sa maman.
Alors que je sortais du bar, j’admirais la croupe de Delphine. Je flattais ses fesses sous la robe allant même jusqu’à introduire un doigt curieux entre ses lèvres poisseuses.
Un filet blanchâtre s’écoulait le long de sa jambe.
« Tu as parfaitement raison Alice, ta maman est une formidable maîtresse ! »
Delphine me faisait un sourire évocateur.
Plus tard, lorsque je me retrouvais sur le chemin du retour, je ressortais le petit bout de dentelle noire pour le porter discrètement à mon visage.

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Commentaires de l'histoire :

Lolo67
Vite la suite de cette belle histoire ! Ce récit est très bien écrit, j'ai pris beaucoup de plaisir à vous lire.
Posté le 10/01/2021

Anonyme
Wouah ! super ! Très sympa à lire et bien rythmé. *Spoiler* Assez vicieux de prendre la mère alors que la petite fille est dans la même pièce !!
Posté le 8/01/2021


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