La salle de gym

Une femme d’affaires fait de torrides rencontres dans sa salle de gym. Ce texte a été écrit à 4 mains, la 1ere partie par K, une complice, et j’ai pris le relais pour la 2nde partie. Il est donc écrit à la 1ere personne du point de vue de la femme. Une écriture qui ne m’a pas laissée insensible. PS: c’est un fantasme. Protégez-vous TOUJOURS

Proposée le 23/11/2020 par Forrest Gump

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Entrée dans l’hiver donc urgent de reprendre le sport. A ma pause déjeuner, je file à mon nouveau cours de pilate. Les locaux sont neufs, je cherche un vestiaire individuel libre avec douche, j’aperçois une porte entrouverte, direct je me faufile à l’intérieur. Dans ma précipitation je ne me rends pas compte que la pièce est déjà utilisée…et par un homme !!!
Il est nu et se prépare à enfiler sa tenue. Je me confonds en excuses très gênée mais la situation ne semble pas le déranger...bien au contraire. Son corps est craquant, son sexe est libre mais je me fais violence pour ne pas baisser les yeux et garder la tête haute. Je reprends mes esprits et très digne je quitte les lieux liquéfiée de désir, les joues rouges.


J’arrive au cours en retard, je me fais discrète et m’installe au fond concentrée sur mon tapis. Une voix masculine très agréable et autoritaire derrière un fond musical lance le programme sportif. Je lève les yeux et nonnnn c’est le type du vestiaire. Je fais comme si de rien n’était mais une agitation sexuelle me remplit. J’essaie de me concentrer sur la séance en évitant son regard.
A la fin du cours, il s’approche, me sourit ouvertement et moqueur me fait entendre juste ça : « même vestiaire 17h » et tourne les talons.
Ma réaction est vive, mais pour qui se prend-il ???
Pendant tous mes RDV de l’après-midi, je n’arrive pas à réfléchir, d’habitude je mène les négociations mais là je laisse mes collaborateurs intervenir comme ils veulent. Sans cesse je regarde les minutes s’écouler, à quoi bon je n’irai certainement pas de toute façon, je me reprends mais juste 5mn avant le gong de 17h, je me lève précipitamment, je quitte la réu sans crier gare. J’inspecte ma tenue. Par chance j’avais enfilé mes talons aiguille qui accompagnent bien ma robe bleue au tissu fluide qui épouse bien mes formes.


Au moment où j’arrive devant le vestiaire, la porte s’ouvre, je rentre dans la pièce. J’entends le verrou se fermer, Il se glisse derrière moi, me bande les yeux...ses mains me caressent, il glisse ses doigts sur le tissu de ma robe, se colle à moi, ouvre le haut de ma robe pour laisser s’échapper mes seins, les enveloppe de ses mains puissantes, je ne bouge pas, trop envie de me laisser faire, il me pousse vers un mur, j’y pose mes mains à plat et instinctivement je me cambre ; il soulève ma robe, glisse ses doigts sous mon string, je mouille comme jamais, quand ses doigts me pénètrent doucement d’un coup je gémis, le plaisir est fulgurant, je sens son sexe se durcir à travers son jean qu’il ouvre, sa queue se caresse sur mes fesses, il me tient par la taille très fort, j’écarte les jambes en me cambrant encore plus, il écarte mon string et me prend fort, devant mon désir animal il me défonce jusqu’à ce qu’il jouisse en moi, sa façon de gicler me donne un orgasme incroyable.
Il me laisse un baiser très tendre sur l’épaule tout en reboutonnant son jean et me chuchotte : « demain même heure..même endroit..porte une guêpière » et quitte le vestiaire… »


Toute la soirée j’ai pensé à lui, à ses mains qui agrippaient mes hanches, à ses coups de reins qui me bousculaient, à son sexe raide et brûlant qui me pénétrait. J’ai attendu le moment du coucher pour me doucher car je voulais sentir son sperme sur moi.
Durant la nuit, je suis assaillie de rêves. A moins qu’ils ne s’agissent de cauchemars ? Je suis le jouet d’un groupe de gymnastes. Je me laisse faire et je jouis à répétition sous leurs assauts multiples.


Le lendemain matin, je ne suis pas certaine de retourner à la cabine mais je prends quelques minutes de plus pour me préparer: une guêpière noire accompagnée de bas assortis sous ma robe de cuir marron qui met si bien en valeur ma poitrine. Je me dirige vers mes bureaux d’humeur légère et conquérante. Plus la journée avance, plus cette confiance s’étiole. Mes jambes flageolent comme le rendez-vous approche.
A l’heure dite, je quitte mon bureau d’un pas rapide et sens déjà l’humidité gagner mon entre-jambes.


Arrivée devant la cabine désormais source de tous mes fantasmes, j’hésite un instant. C’est alors que je suis poussée à l’intérieur. Face contre la paroi du fond, j’entends le verrou se tourner et du mouvement derrière moi. Je ressens une violente décharge électrique au creux des reins lorsque je perçois deux voix chuchoter.
On me retourne et je reconnais mon prof de pilâtes accompagné de celui de crossfit, un beau black qui me dépasse d’une tête. Tous les deux terminent une séance et je peux admirer leur musculature luisante de sueur et leur short gonflés de désir.


Déjà, ils me retirent ma robe , empressés et sans égards pour sa valeur. Je sens leurs mains m’attraper, me malaxer. Incapable de réagir et au fond si heureuse de sentir leur désir animal, je me laisse faire. Rapidement, je suis devant eux, seulement vêtue d’une guêpière et de bas. En un clin d’œil me voilà agenouillée face à deux belles queues tendues. Avant que j’esquisse le moindre geste et comme dans une chorégraphie réglée, ils attrapent leur sexe et le frottent sur mon visage. Je ne me recule pas pour les sentir glisser, déjà humides, sur mon front, mon nez, mes joues, mes lèvres, mon menton, mon cou. Au passage, j’attrape dans ma bouche celui de Pilâtes tandis que mes mains jouent avec leurs testicules. Leurs grognements et la raideur de leurs bites me confirment que cela leur plaît. Je m’occupe des deux sexes simultanément, l’un avec une main, l’autre avec ma bouche et mon autre main. J’alterne entre les deux sans montrer de préférence, même si je dois reconnaître que Crossfit ne fait pas mentir les rumeurs; j’ai du mal à le prendre en main et il rentre péniblement à moitié dans ma bouche.


Comme affamée, je ne cesse de sucer ces queues, montant et descendant la tête de plus en plus vite, de gober ces couilles, de lécher depuis la base jusqu’au gland, de glisser le bout de ma langue dans la fente comme avide de goûter le nectar promis. Mes mouvements deviennent frénétiques alors que l’excitation me gagne comme jamais. Je sens des petits jets inonder le fond de mon string.


Pilâtes me relève et s’allonge a même le sol sur le dos. Sa queue raide m’attire comme un aimant et je m’assois sur lui, je l’enfourche pour être exact en poussant un soupir quand je sens son sexe me pénétrer. Tandis que je commence à monter et descendre avec ses mains qui agrippent mes seins pour accompagner mon mouvement, Crossfit vient se mettre à côté de moi et me présente sa belle bite. Je la gobe avec avidité et, de nouveau, ma bouche et ma main branlent son sabre de concert. Ce n’est pas tous les jours que j’ai un engin comme ça dans le bouche !
Pilâtes me besogne les entrailles avec entrain, mes bas à même le sol se filent à partir des genoux et mon bel étalon noir, tenant ma tête entre ses mains, baise ma bouche en allant et venant jusqu’au fond de ma gorge. Véritablement saccagée par ces deux mâles, je sens l’orgasme venir.


C’est alors que Crossfit s’écarte et me relève. Cheveux en bataille, maquillage étalé, bas filés et guêpière à moitié détachée, je ressemble plus à une bête sexuelle qu’à la femme glamour d’il y a seulement quelques minutes. Il me prend dans ses bras, me soulève et ramène mes jambes autour de sa taille pour m’empaler sur sa queue énorme. Je la sens me pénétrer jusqu’au fond du ventre. Rapidement, la douleur fait place à un extase de me sentir remplie, littéralement possédée par ce totem. Accrochée à son cou, enivrée par les effluves masculines et les corps humides de sueur, j’accompagne ses mouvements du bassin pour aller et venir, monter et descendre.


Pilâtes s’est positionné derrière moi, il arrache ce qui reste de mon string et je sens soudain un doigt dans mon anus. Il le caresse, tourne à l’entrée avant de le pénétrer de nouveau.
Ainsi enfilée avec force par mes deux orifices, serrée entre deux corps musclés et humides, je suis envahie par une puissante vague de jouissance. Je ne peux retenir des petits cris alors que mes étalons accélèrent encore. Enfin, toujours possédées et secouée par mes sexboys, je m’affale sur eux comme une poupée désarticulée.


Crossfit me repose à terre pour aussitôt me pencher en avant et me prendre par derrière alors que Pilâtes se glisse dans ma bouche. Encore totalement anesthésiée par la violence de l’orgasme, je suis un pantin entre leurs mains ou, plus précisément, leur sexe. Tous les deux laissent libre cours à leurs instincts et me possèdent toujours plus fort, toujours plus vite. Je me sens ravagée par ces deux Apollon. Rapidement ils arrivent au point de non retour et, dans un concert de grognements, jouissent en moi. Sentir leur liquide chaud asperger et se répandre dans mon sexe et ma bouche me ramène au bord de la jouissance.
Pilâtes attrape mon visage pour me relever et m’embrasser à pleine bouche. Nos langues se mêlent et se partagent son sperme. Une partie s’échappe et vient couler sur mon menton. Avec sa langue, il l’a lèche et la ramène délicatement entre mes lèvres.
Ils m’embrassent chacun sur une joue pour me dire au revoir et ajoutent : « Merci belle inconnue. Si tu as besoin de nous, tu sais où nous trouver. »

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