Histoire Erotique

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Ma belle-mère veut que je l'encule.

Anne-Marie veut expérimenter avec son beau-fils l'ultime outrage, une sodomie. Mais elle sait qu'il faut souffrir pour être satisfaite. Mais quand on aime, tout est possible.

Proposée le 2/11/2020 par mlkjhg39

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


LE HAREM DE PATRICK
11ème EPISODE
Mon beau-fils m'encule avec sa merveilleuse bite

Patrick rentre de son entrainement de natation, nous nous embrassons dès qu’il a passé la porte mais ce baiser est celui d’un amant et non d’un fils à sa maman. Celui-ci est sur les lèvres et je sens sa langue s’introduire dans ma bouche. Depuis quelque temps toutes les occasions sont bonnes pour baiser.

Ce n’est pas seulement mon beau-fils que je tiens dans mes bras, mais un homme, mon homme, un vrai mâle sacrément monté ce qui est déjà assez rare mais ce qui ne m’étonne toujours c’est ses autres particularités: Il a une endurance telle qui lui permet de forniquer des heures durant avec des éjaculations dantesques de 6 à 10 giclées très volumineuses et surpuissantes projetant son sperme à plus d’un mètre digne d’un acteur porno.
Finalement, j’arrête de l’embrasser et lui dit fermement d’une façon volontairement grossière:

-Tu veux que je te suce ?

Il sourit largement et hoche la tête. Je me mets à genoux et je descends son boxer et sans dire un mot, Je passe mes doigts le long de cette gigantesque protubérance pour finir sur ses grosses couilles. Sa formidable queue déforme complètement son slip.

- Laisse-moi voir cette incroyable queue qui va me baiser si bien et si fort que je vais jouir à en mourir.

Je tire la ceinture du slip vers le bas, une grosse bite surgit et vient frapper mon menton.
J'avance ma bouche grande ouverte vers le gros gland bombé et je commence à l'avaler tout en léchant avec ma langue, en tournant autour de ce gros membre, sur le gland et sur toute la longueur de ce bâton de chair épais.
Graduellement je laisse mes lèvres glisser sur sa bite, absorbant cm après cm cette trique géante et palpitante, stoppant au tiers de sa queue, réalisant que je peux m’étouffer si je ne reprends pas ma respiration. Pressant mes lèvres autour de la tige épaisse, je respire un bon coup et je pousse le gland vers l'arrière de ma gorge, tenant la partie encore libre dans ma main. Je continue de le branler de ma bouche et de ma main, le faisant gémir et se tortiller de plaisir. Je le suce avec application pendant plus de dix minutes et je sens qu'il ne va plus tenir longtemps avant d'envoyer la sauce.
Sa bite palpite de plus en plus dans ma bouche de suceuse, je sens qu'il va bientôt dégorger ce doux et jeune sperme que je vais être obligée d’avaler aussi rapidement que je peux.

- Ahhhhhhhhh... je vais juter ! Gémit Patrick. Ooohhh! Ça va gicler !

Wouah... ! J’ai ma récompense, il commence à entrer en éruption, son sperme chaud remplit ma bouche affamée, gicle dans ma gorge et je reçois goulûment la crème d’amour qui sort de sa belle et énorme queue.
J'avale avec difficulté ce flot de sperme ininterrompu mais je continue de m’accrocher à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût de la semence de Patrick.
Je me relève et retire ma robe par dessus ma tête. Mes gros seins balancent et rebondissent ensemble quand je me baisse pour retirer mon string et apparaître toute nue devant Patrick.
Je repense de nouveau à ce phallus majestueux à qui je refuse mon cul. Mais est-ce que le pieu de Patrick si long et si gros comme mon poignet pourrait pénétrer dans mon trou du cul sans me déchirer ? J’ai un peu peur, je sais que mon anus n’est plus vierge mais un engin de cette taille....
Je suis prête à le recevoir et j’attends les yeux fermés qu’il me procure ce plaisir, qu’il m’envahisse de toute sa longueur mais, sans avertissement, il s'agenouille devant moi et je sens sa langue chaude pénétrer dans la fente de ma chatte.
Je rouvre mes yeux et je vois son visage enfouit entre mes cuisses et sa langue dans ma chatte dégoulinante de cyprine.

- Oh, petit salaud, tu veux me bouffer la chatte...hein c’est ça? Humm...je sens ta langue qui plonge dedans !

J’en ai des frissons dans le corps et, instinctivement, j’ai attrapé sa tête et tiré sur ses cheveux, en l’attirant encore plus près de ma chatte. J’écrase carrément sa bouche contre ma vulve pour qu’il enfonce sa langue le plus loin possible.

- OOUUIIIII, BÉBÉ, Baise mon con avec ta langue...lèche-moi, mords-moi, suce mon clito qui n’attend que çà ! Prends dans ta bouche le bouton d’amour de ton amante!
Une vague énorme d’excitation traverse mon corps. - Oui bébé, mange-moi...suce bien ma chatte...enfonce ta jeune langue bien droite dans ma fente trempée...bouffe cette chaude chatte humide...bois le jus qui suinte...

Je gémis et crie de plaisir quand il explore chaque partie de mon vagin avec sa langue. Mon clito est tendu et vibre de joie quand il le suce goulûment, qu’il le mordille doucement mais fermement.
Sa bouche engloutit le bouton de mon clitoris et le suce vaillamment et je sens sa langue tourner autour tellement il s’est allongé par les stimulations qu’il reçoit.
Hou-la-la, je sens également un doigt qui fouille ma chatte et qui caresse le haut de mon canal, là où c’est très sensible. Puis, c’est deux doigts vers le haut, puis un troisième et un quatrième.
Un feulement rauque le récompense de son initiative, l'incitant même à mieux fourrager dans le mon sexe de plus en plus trempé.

– Patrick !... Oh oui, c'est bon, mon chéri... Mon merveilleux amant.

Malgré la folle envie que j'ai de pouvoir m'empaler sur ce membre raidi, je ne peux me soustraire au merveilleux plaisir qu'il me procure. Mais alors que je me laisse envahir par une douce euphorie sexuelle, je ressens un soudain frisson sensuel intense me traverser le corps depuis mes entrailles jusqu'à ma poitrine douloureuse. Patrick vient de frôler une zone particulièrement érogène à l'intérieur de mon vagin. Peut-être ce mystérieux point G, le siège d'une zone érogène de grande sensibilité permettant d'obtenir excitation sexuelle et plaisir intense.

<Au violent tressaillement qui secoue le corps d'Anne-Marie, accompagné d'un gémissement aigu, Patrick réalise que cette dernière vient de ressentir un nouveau plaisir manifeste, il repasse ses doigts à l'endroit qui a déclenché ce sursaut voluptueux chez elle. Tâte la face interne du vagin du bout de ses doigts, un nouveau soubresaut, suivit d'un râle de plaisir, lui apporte la preuve qu'il vient de découvrir là un point très sensible. Il insiste alors sur cette partie de l'anatomie vaginale qui a le pouvoir de déclencher une telle réaction. Oubliant son propre désir, il s'efforce de procurer un maximum de plaisir à sa complice sexuelle. La chatte dans laquelle il agite ses doigts déborde littéralement d'un liquide chaud et onctueux. Mais devant l'afflux de cyprine qui s'échappe de La vulve, il n'aurait jamais imaginé un pareil débordement. Elle mouille de façon insolente. La chaude liqueur vaginale lui poisse les doigts et la totalité de la paume.>

Sous cette merveilleuse caresse je prends conscience que pour la première fois de ma vie je connais la jouissance ultime, de longs frémissements de plus en plus rapprochés m'irradient les entrailles, se propageant dans tout mon corps. Une véritable rivière s'écoule de mon coquillage intimement fouillé, me trempant l'intérieur des cuisses avant de poisser la main qui me mène inexorablement à un orgasme foudroyant. Je bloque le poignet de Patrick et réussis à articuler...

– Arrête, arrêêête…..chéri, C'est trop bon... Tu me fais jouir sans arrêt!...

Mais il n'en a cure, il s'empresse de reprendre ses attouchements à l'intérieur de ma chatte torride retrouvant immédiatement cette zone fortement érogène, il la masse furieusement à l'aide de ses deux phalanges accolées d’un mouvement de la main très rapide.
Je ressens une onde voluptueuse d'une intensité foudroyante me traverser, me faisant me cambrer convulsivement, déclenchant cette extraordinaire houle de plaisir. Un véritable tsunami.

– Aaahhh, non !... Chéri arrête !... Je t'en prie, enlève ta main... Oh non !... Arrête !... Noonn chéri !...Je ne peux plus supporter le frottement de tes doigts! Je mouille, je n'arrête plus!...

Il remplace sa main par sa langue qui se met à sucer, à lécher et à grignoter les chairs de ma chatte humide qui coule à flot dans sa bouche. Je ressens l'orgasme sans fin à l'intérieur de mon ventre, je l’attrape par les cheveux et l'arrache de ma chatte.

- Ooooooh, sainte mère, je jouis...ouiiiiii... je jouiiiiis.....Ouahhhh... Merde, ça fait mal mais je ne veux pas que ça s’arrête.

Je ne sais plus ou j’en suis, je perds la tête, mon vagin ne m’appartient plus, il bouge frénétiquement tout seul sur le visage de Patrick et il continue à l’inonder de mon jus. Je le regarde, sa queue toujours bandée, droite comme un mat de bateau, longue, dure, magnifique dans toute sa splendeur, en attente...
Son visage est couvert de mon jus brûlant et brille sous la lumière.

- Merci Patrick, c'était divinement irréel, mais maintenant je veux que tu fasses ce que je t'ai toujours refusé jusqu'à présent de peur d'être déchirer par ton monstre de queue, il est temps de coller ta putain de grosse bite dans mon cul!

Je me détache de lui et je me mets à genoux sur le canapé en lui présentant mon cul bien haut. Je plante mes genoux fermement dans les coussins et j’agrippe de mes deux mains le haut du dossier. Je crois que je suis en bonne position pour être enculée !

- Allez, prends mon cul ! Je veux sentir ton gland écarter ma rosette et pousse fort pour que je le sente passer !

Je vais réaliser un autre de mes fantasmes mais entre nous j’ai peur de souffrir. J’ai déjà absorbé des belles queues mais de la taille de celle de Patrick...jamais.
Je sens sa bite qui appuie contre ma chatte qui voudrait bien être envahie par cette chose, mais... ce soir c’est mon cul qui doit se préparer à une énorme pénétration.
Ce petit salaud me fait languir en frottant son gros nœud sur ma chatte et me taquine le clitoris en tapotant dessus.
Je ferme les yeux pour me préparer à ce qui va arriver mais au lieu de ça, je sens sa langue qui caresse ma rosette. Putain... la sensation de la langue de Patrick, tourbillonnant autour de la corolle de mon trou du cul est incroyable.

- Sale cochon, t’as pas honte de lécher mon cul...t’es vraiment un pervers dégueulasse...

Apparemment non, car il continue la préparation de mon cul et maintenant je sens aussi un doigt qui s’enfonce entre mes fesses et son autre main travaille ma chatte humide et grande ouverte.
Au contact des doigts pervers de Patrick je me suis complètement immobilisée Je dois avoir au moins trois doigts dans ma chatte. Il les enfonce plus profondément à l'intérieur de sa putain de belle-mère qui se laisse faire tandis que sa langue continue à exciter mon cul.
Je crie de plaisir prise de tremblements en me tenant fermement avec mes mains.
- Aaaah...ouiiiiii, vas-y, je sens bien tes doigts...ooohhh, merde, je sens que je vais jouirrrrrr...

Je sens en effet un énorme orgasme s'annoncer, provoqué par la langue et les attouchements de Patrick dans ma chatte.
Je ne peux détacher mon cul de son visage. Mais mon fantasme reprend le dessus

- Baise anneau ridé avec ton monstre....encule-moi !

Peu à peu des sensations que je croyais à jamais oubliées se propagent dans mes entrailles et dans le creux de mes reins. Il me glisse un doigt dans le cul puis deux puis trois. Il se recule et prenant son sexe en main il le présente entre mes fesses trempées.
Cette fois je sens la tête de son gland humide sur mon petit trou et je sais que l'instant fatidique approche. Je serre les dents et j’essaye de détendre mon sphincter.

- Prête à un nouveau plaisir Anne-Marie? demande Patrick qui ne doute vraiment de rien.
- Ohh, ouuiii. Je le suis ! Encule-moi et explose-moi les boyaux !

Maintenant, c’est son gland qu’il a lubrifié copieusement qui appuie sur ma rosette et instinctivement je pousse mon derrière sur cet intrus dans l'intention de le faire pénétrer à l'intérieur de moi. Copieusement huilé par ma mouille abondante et ses coups de langue, mon anus accepte difficilement l'intromission du gland volumineux.

-Ooohhh aïe aïe doucement Patrick, tu me fais mal, tu es trop gros, arrête !

Il pose ses mains sur mes hanches et pousse encore plus fort, ne tenant aucun compte de mes jérémiades.

-Aaaaaaaaaaaaaaah !!! Mon dieu que ça fait maaaaaal, noooooooon !!!

Mon trou se dilate progressivement sous la pression de ce gland énorme.

-Putain tu me casses le fion avec ton bélier !!! Arrête j'ai trop mal !!

Il pousse un peu plus et mon sphincter s’ouvre enfin. Je respire profondément quand je sens la grande tête épaisse franchir l’étroit passage.
Je crie quand même quand, sans attendre il appuie et que progressivement son énorme queue s’introduit dans mon étroit conduit. Je constate que mon anus est encore capable d'accepter un membre viril et surtout le monstre de Patrick, si dur et si imposant. Je sens son gland écarteler mes chairs au fur et à mesure de sa progression. La douleur est difficilement supportable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Heureusement, celle-ci s'estompe lentement.
Soudain il me ressaisit par les hanches et donne un violent coup de reins.

- Wouaaaaaaaah!! ooooooooooh !!! noooooooooooon !!!

Le mandrin est enfoncé au trois quart et commence un lent va et vient, sa bite ressort et se renfonce toujours un peu plus gagnant deux à trois centimètres à chaque poussée.

- Je ne te fais pas mal ? me demande-t-il, inquiet en interrompant un instant la progression de l’intrus.
- Non… oui… continue mon amour, je te sens dans mon cul, tu es si gros et dur!

Il continue sa poussée et la douleur m’envahit de nouveau, des larmes coulent sur mes joues. Je serre les dents à chaque centimètres supplémentaire de son monstre dans mon cul. Et d’un coup il enfonce sa bite jusqu’à la garde dans mon fondement.

- Aaaaahhhhh.....ouuuuhhhh.... AAAAAHHH Putain!!!!

Lorsque la totalité de sa longue queue se trouve enfoncée au plus profond de mes entrailles, il s'immobilise afin de m'habituer à cette présence imposante.

- Ça va, Anne-Marie ????
- Ooooh... ouiiiii... mon chéri, voila... Ta queue est enfoncée dans mon cul... Tu m'encules mon chéri... et... j’aime la sentir dans mon derrière.
- Oh tu l'as toute dans le cul ! Tu es bien serrée et je vais te pilonner à mort, tu vas jouir comme une chienne!!!

Et il me ramone le cul dilaté par sa queue gigantesque, son monstre de chair entre et ressort a vive allure de mon rectum.
Il retire sa queue et la renfonce d’un coup, m’arrachant un hoquet de douleur, et il recommence encore et encore. La douleur se mélange au plaisir me faisant doucement onduler du bassin.

- Oh putain tu m’éclates le cul avec ta queue, t’arrête-pas putain, oh ouuuiii!
Il ne me ramone plus maintenant, il me pilonne carrément comme un fou, comme une machine avec son monstrueux piston.
Je me cambre et recule mon bassin pour être possédée plus complètement.

-Tante Michèle avait raison, dans la famille toutes les femmes adorent les grosses bites! S'exclame Patrick.

Et je commence à bouger mon cul, avançant doucement pour faire sortir son bâton de chair puis reculant aussitôt pour me ré-empaler. J'ondule du cul en même temps que Patrick s’agite en moi, je m’empale toute seule en prenant soin de ne pas la laisser s’échapper.

- Ouaiiiis...mais putain que t’es gros...Vas-y, encule ta salope de femelle, maintenant défonce moi le cul !

Je sens qu’il retire toute sa bite ne laissant que le gland et d’un seul coup il se renfonce entièrement dans mon arrière-train! C'est comme une batte de baseball qu’on enfonce dans mon derrière. Mon trou du cul va éclater !
Ma chatte en ressent les secousses et se contracte sous les assauts. Elle coule de plus belle pendant qu’il m’emboutit, sur au moins 1quinze centimètres à chaque poussée, ses grosses boules se balancent et frappent mon clito.

- Ooohhh Oui ! Prend ma grosse bite dans ton cul de salope ! Haaan ! T’as un putain de trou du cul et t’es brûlante du cul ma cochonne !
Il me bourre encore plus fort avec des «han » de bûcheron.

- Continue mon chéri oooh ouiiiiiiii !!!

Je suis aux anges, je me pâme de plaisir. Ma jouissance arrive et je sens mon anneau se contracter, je le sens, sans doute possible, se resserrer à plusieurs reprises, en cadence, avec des ondes de jouissance. Ma jouissance devient presque irréelle et je tombe presque en syncope. Et ma chatte est à nouveau inondée avec un autre gros orgasme faisant jaillir mon jus d'amour sur le canapé, des jets de cyprine giclent de ma vulve qui s’ouvre et se ferme à chacun de ses coups de bélier, comme des ailes de papillon !...

-Ooooooh ! Tu jouis comme une bonne pute, une vraie pisseuse !!!

Notre baise est intense, mon cul est serré et contracté autour de cette bite su dure qui me martèle et quelques secondes plus tard, encore un autre orgasme énorme traverse l’intégralité de mon corps.
Après cinq minutes d’enculage et d’alésage, je commence à faiblir et mon cul est en feu.
Je n'ai plus de force et Patrick doit faire tout le travail, c’est comme une putain de machine, il continue à déchirer mon derrière, poussant son piston en moi. J’aurais voulu frotter mon clito mais je dois me tenir des deux mains pour pouvoir résister à ses violentes poussées.
Son endurance est incroyable! Je m’attends à ce qu’il explose à l'intérieur de moi à tout moment, mais ça ne finit jamais! Je l’exhorte :

- Mon amour, t’es une vraie machine! Aller, baise le cul de ta belle-mère ! Enfonce ton piston dans mon cul...ooohhh putain ... Que j’aime ça, c’est bon...c’est si bonnnnnnnn...

Je continue de prendre toute la longueur de sa hampe dans mon rectum. Ses violentes poussées me projettent par saccades vers l'avant.
Soudain il retire sa bite avec un énorme bruit de succion et je ressens un grand vide.
Je croyais qu’il allait jouir mais non, il tombe sur le canapé et m’ordonne.

- Viens sur moi et assied-toi sur moi !

Je me mets à califourchon sur ses cuisses, attrape sa queue et la positionne à l’entrée de mon cul et l’enfonce dans mon rectum. Je rassemble les forces qui me restent pour monter et descendre sur sa bite et je sens de nouveau mes chairs internes malmenées par son monstre de pénis.
Il a ses mains autour de mes fesses et ses doigts dans ma raie et il me contraint à monter et descendre lentement sur son morceau de viande palpitant et en complète érection. C'est encore plus fou que dans les films pornos ou l’on voit une scène avec une salope nympho en train de se faire enculer par une bite géante.

- Libère ta semence...lâche-toi dans mon cul...gicle dans mes boyaux que je sente ton jus brûlant... Allez jouit, jouit, jouit !

Je me projette en avant pour le faire pénétrer encore un peu plus loin si c'est possible pour m’exploser les entrailles. Lui aussi me pétrit les fesses en m’attirant contre lui pour me remplir complètement de son beau boutefeu. Je sens aux vibrations et contractions de sa hampe majestueuse dans mes intestins dilatés à l’extrême que l’instant est proche.
Deux énormes jets de sperme giclent profondément à l'intérieur de mon rectum et remonter dans mes boyauxs, avec une telle force que je crains qu’ils ressortent par ma gorge ! Mon cul frémit et ma rosace écrase sa merveilleuse queue pendant que Patrick remplit mes entrailles de son sperme.

- Aahhhh... ouiiiii...je te sens bien....ouii... continue....noie mon cul de ta putain de semence...huuuummm que c’est bon... encore.... ouiiiii...

Quand il me soulève, son sperme s’échappe et recouvre sa bite et coule même sur ses couilles qui continuent de se vider.
J’ai vraiment l’impression que le flux est sans fin et que son sperme va brûler mes entrailles. Je deviens folle, j’attrape mes seins et gifle son visage avec. Lui il gobe au passage un téton et le mord.
Il gémit bruyamment quand lentement je sors sa bite de mon cul.
Le bouchon ayant sauté une incroyable quantité de sperme s’écoule lentement sur ses cuisses et coule sur le canapé. Mon cul tremble encore, en feu et trempé par son jus, complètement dilaté, mais quelle baise !

- Oh mon Dieu... sale voyou, et putain de baiseur... Tu as baisé mon cul comme un dieu !

Mais mon baiseur est insatiable et me remplit de nouveau le trou de balle de son braquemart et en même temps rentre ses doigts dans ma chatte, pinçant, tirant, limant, allant très au fond de ma motte, au point de sentir à travers la mince paroi le membre qui pistonne mes boyaux. Je pleure presque, hoquetant à chaque fois que ses couilles butent sur mon cul. Les orgasmes sont violents avec cette grosse et fabuleuse bite qui me ramone le fondement sans discontinuer, le temps est comme suspendu pendant qu'une main presque entière me travaille la motte, me donnant orgasmes sur orgasmes, me faisant jouir en continu...

Ses mains bien cramponnées à ma large croupe il se redresse soudain en me portant et se met à limer et à pomper comme un fou, enfonçant puissamment sa grosse queue dans mon cul de femme en rut, qui n'arrête pratiquement plus de jouir. La vision de mes jambes autour de ses hanches, avec les fesses bien écartées et son membre qui entre et sort avec la régularité d'un métronome rythmé par mes cris de jouissance
D'un seul coup, puissant, Patrick s'enfonce brutalement, maintenant plus rien ne compte que son plaisir à lui... Il veut décharger pour lui, vider tout le sperme qu'il a encore dans ses couilles dans le ventre de sa belle-mère...

Qu'il est fort mon jeune amant pour me porter si longtemps en me baisant. Me tenant abutée il me pistonne à petits coups rapides, ce qui a pour effet de m'envoyer encore en l'air car je sens grossir sa queue... Je pousse un hurlement quand il me repousse loin en arrière pour m'enfoncer la totalité de sa grosse bite, il recommence à jouir, une giclée de foutre sort avec force lui procurant un dernier soubresaut de bonheur et me force à redescendre sur son pal toujours dressé et il recommence à me besogner pour une nouvelle course d’amour qui se termine par un envoi au fond de mon rectum de ses dernières giclées de sperme chaud et épais.

-Oui mon chéri, vide-toi dans maman !!!

Longtemps il me pistonne encore me reposant au sol et je jouis moi aussi...
Enfin il se retire du cul avaleur de bite. C’était...c’était...unique, formidable, incroyable... j’aime ta bite géante... et je t’aime, toi, pour le plaisir et l’amour que tu me donnes.
Je suis descendue de ses cuisses et au passage je frotte mes seins sur sa bite dégoulinante, mais je n’y crois pas ! Malgré ses éjaculations importantes il y a quelques instants elle est à peine débandée.
Je reprends mes esprits et ses paroles me reviennent.

-Qu’as-tu dis tout à l'heure? Qu’est-ce que t’a dit ma sœur ?

A suivre….

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