Histoire Erotique

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Ma vie sexuelle en quelques lignes....

D'un commun accord avec mon mari, par envies, plaisirs, je me décide de raconter quelques "tranches" de vie, qui pour certains seront faciles à comprendre et pour d'autres, je passerais pour une dépravée, mais en toute HONNETETE je le vis parfaitement bien avec mon AMOUR DE MARI.

Proposée le 2/09/2020 par candesart

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Vers mes 16 ans et oui déjà…, je perdais ma virginité, plus avec un « copain », qu’un amant, et très vite j’y prenais goût et « butinais » quelques peu, en toute discrétions, mes parents (portugais) me laissant peu de liberté. A 18 ans à peine, je quittais définitivement la maison pour vivre chez mon frère célibataire pour mes études au départ ! Là, avec son assentiment, je sortais beaucoup avec ou sans lui, et oubliais très vite les études pour travailler. Une quasi-totale liberté j’avais maintenant et avec mon frère ou sans lui aussi je sortais beaucoup ; je rencontrais pas mal de garçons et même deux ou trois hommes bien plus âgés que moi et parfois mariés… Toutes ces « aventures » étaient quasiment axé sur le sexe, car instinctivement c’est ce que je recherchais car j’adorais cela, et plaisais beaucoup…, beaucoup aux hommes sans me vanter !!!

Au-delà de mes liaisons, je me régalais et me régale encore aujourd’hui, à me caresser en toutes occasions, lieux, circonstances qui le permettent, sans déroger aux « bonnes mœurs… » avec ou sans accessoires et même devant, ou bien, uniquement pour mon amour de mari. Là, je me laisse aller à des caresses solitaires des plus sages aux plus sulfureuses, parfois même en étant filmée dans des séances des plus délurées... , et j’en retire une joie, une plénitude hors du commun !!!
Quand je rencontrais l’homme avec qui j’allais me marier bien plus tard, en toutes discrétions, pendant quelques temps, sans rien provoquer ou pousser, je menais une « triple vie » avec deux autres hommes, et me réjouissais dans tous les sens du terme, de passer de l’un à l’autre, et même plusieurs fois, malgré mes deux « petits copains », j’avais une liaison avec un homme marié bien plus âgé que moi, (lui48, moi juste 20…) avec qui, dans une garçonnière prêté par un copain à lui, on se retrouvait… Les samedi après midi pendant « normalement » un match de rugby où il aurait du être spectateur, j’étais complaisamment son « jouet » sexuel et aussi couverte de cadeaux!!! Pendant quasiment trois heures, tout il s’autorisait avec moi, et discrètement chacun de notre côté on se séparait simplement, lui rentrant retrouver femme et enfants…, moi mon entourage !Vous qui me lisez, vous pouvez penser de moi que j’étais et suis une « dépravée », il n’en est rien, j’ai simplement beaucoup aimée, et j’aime toujours autant le sexe, aujourd’hui.

Maintenant la quarantaine passée, une vie « presque bien rangée », malgré les aléas de la vie, avec mon mari, que j’aime pardessus tout, j’ai une vie, sexuelle qui me comble parfaitement par nos jeux amoureux, que nous nous régalons d’accomplir. Peu de choses nous rebutent, et que se soit à la maison, ou en extérieur, ou tous endroits qui s’y prête, nous ne nous refusons rarement de nous ébattre. Singulièrement, l’endroit qui nous exalte le plus…, surtout moi, c’est l’auto : (souvenirs de jeunesse !) avec mon chéri des parkings, aux airs de repos, en passant par les chemins, derrière des buissons, ou en pleine forêt, j’adore tout particulièrement quand mon chéri m’y entraine, et me « pousse » à lui être des plus coquines ! Que se soit avec des tenues vestimentaires aguicheuses, et aussi quelques « accessoires » que nous possédons, rien n’est plus exaltant pour moi, que de baiser dans l’auto…, conte celle-ci, ou sur celle-ci !
Sans nous rendre dans les clubs qui se prêtent à toutes sortes de libations, débauches, nous sommes devenus au fil du temps « libertins » loin de notre entourage proche, qui ne peut se douter de nos écarts, frasques sexuels, pour tes rencontres parfois des plus érotiques, fantasques et qui nous régalent !
Dernièrement, lors d’un délire amoureux entre nous, j’acceptais que je puisse avoir constamment dans le coffre de mon auto, carrément un sac de sport, avec à l’intérieur « jouets et vêtements des plus sexy », qu’on aurait choisi… , plus un accessoire que chacun de nous aura plébiscité pour un jeu, et qu’il glissera dans le sac discrètement s’en que l’autre ne le voit, (moi se fut un de mes godes préféré, et mon chéri, une paire de pinces pour têtons) et qu’en ‘’certaines occasions’’, je puisse ainsi le rejoindre ou pas, une fois changée, pour des « jeux » qui vont de l’exhibe au candaulisme par exemple… !! La dernière en date, juste avant le confinement, je recevais à mon travail un message qui me disait ceci :
- « Ma chérie, à la fin de ta journée de travail, je veux que tu te changes où tu pourras, pour me rejoindre à l’hôtel C…….E de l’Isle d’Abeau, une surprise t’attendra chambre n°10. Le seul impératif c’est qu’aucun sous-vêtement ne te sera toléré…, et que ton sac dans le coffre t’accompagnera. Je t’aime, je t’aime ton mari adoré ». Si pas d’impératif, réponse attendue dans les quinze minutes mon amour. »

Vendredi 16h30 je quittais mon travail, à la fois anxieuse et excitée, par ce qui allait se passer et surtout par le fait que je devais me changer… En deux coups, trois mouvements, dans les toilettes à l’entrée d’une grande surface, je réussissais, à me changer et sous mon stretch noué à la taille, je portais une petite et mini robe en vinyle rouge avec fermeture éclaire sur le devant, une paire de collant noir ouvert façon porte-jarretelles dessous, associé à de très hauts escarpins, que je ne porte qu’en de rares occasions (15cm de talons !). C’est là que poussée par je ne sais quoi, ma tête bouillonnant de questions et de plaisirs à venir, je laissais ma poitrine quelque peu « voyante », je décidais de porter la paire de pinces à seins, et malgré une première et vive douleur, vite dissipée, je laissais entrevoir la chainette, et sortais ainsi de la grande surface, et reprenais mon auto. Très vite mes têtons devenaient très dur, et comme émoustillée j’étais de rejoindre mon chéri ainsi.
Je retrouvais sur le parking l’auto de mon mari et me garais à ces côtés, au milieu d’autres voitures, et tant bien que mal je me dirigeais vers la chambre, après un passage éclair devant l’accueil, avec mon sac de vêtements ! Je frappe, et devant la porte entrouverte encore plus amoureusement mon mari m’embrassa, me câlina, et à peine la porte refermée, j’entrevoyais là deux autres jeunes hommes, des connaissances mais rien de plus. Contrariée, et gênée à la fois, pleins de questions je posais, et avec humour tendresse mon mari réussissait à me calmer et à m’amener même jusqu’au lit où tous les quatre on dégustait un peu de champagne. Très vite je comprenais les situations, mais n’étant pas préparée mentalement, je tentais de résister, de freiner leurs envies…

Mon chéri me connaissant parfaitement, me sachant très « passionnée…, éprise de sexes » m’organisait là un « délire » des plus dépravés auquel j’allais me mêler assez rapidement, avec beaucoup de plaisirs ! Prestement les hostilités débutèrent par un flirt des plus poussés avec chacun d’eux…, puis enflammés que nous étions tous, je me retrouvais vite dominée, soumise à ces trois mâles en rut littéralement ! Naturellement tous munis de préservatifs, oubliant tout et tous, tous les codes de « bonne conduite », telle une dévergondée, je me régalais tour à tour de leurs trois sexes, et même je me retrouvais avec les trois sexes en moi et dans ma main, alors que résonnait dans la pièce un savant mélange de mots doux et crus à la fois, qui nous exaltaient !

De part ma tenue vestimentaire, et surtout avec mes pinces sur les seins, tous me trouvèrent « très salope » mais tous étaient fières que je sois ainsi !!! Poussant même le bouchon très loin à un moment où je me retrouvais avec uniquement mes deux amants…, mon mari en face qui me regardait et tout en reprenant des forces, dans notre délire sexuel dans lequel on s’emmêlait, prise en sandwich que j’étais, par-dessus l’épaule d’un de mes amants, j’étais amené à répéter ces dires qu’il me distillait dans l’oreille…
- Dit à ton mari que tu aimes nos deux grosses queues…, dit lui que c’est bon de se faire baiser ainsi…, devant lui ! que tu l’autorise à se branler et à jouir en te regardant petite cochonne que tu ais !!! Et tel un automate, obéissante et soumise que j’étais, aucune honte gêne je n’eue à répéter fortement ces exigences, et effectivement mon mari face à moi, se branlait de plus en plus fortement, se régalant me semblait-il, jusqu’à un moment où en plein spasmes de plaisirs qui me secouaient, je bafouillais mille et une choses des plus immorales, surprenant même mes amants.

Bien plus tard, je me retrouvais allongée sur le lit nue, jambes et bras bien écartés, entourés de mes trois hommes, et à leurs demande, mes seins une nouvelle fois pincés par les bijoux-pinces de mon mari, et du sac mon mari sortait mon gode préféré, qu’il présenta, exposa, exhiba devant « ces amis ». Très vite j’allais continuer à me donner du plaisir devant eux, avec ce jouet des plus réalistes par sa forme, sa couleur malgré des dimensions hors du commun (28cm de long, 6,5cm de large et en plus vibrant !), avec lequel j’allais me fouiller à leurs guise !!!
Aurais-je été enivrée ou même passablement intoxiquée, je pense que je n’aurais pas osée autant mais, là emportée par un tel tsunami de plaisirs et de sexes, que prête à TOUT j’étais, tellement j’aimais ! D’ailleurs moi-même tout en me fouillant je les « invitais » à se branler et à jouir sur moi, jusqu’à un moment, ou sur le lit accroupie et empalée sur le gode j’étais et réclamais-même qu’ils s’approchent et m’offrent leurs sexes : deux dans les mains celui de mon chéri dans la bouche, tandis que résonnait dans ce « baisodrome » pleins de : « cochonne…, chienne…, salope…, et même putain » qui ne faisaient que m’enfiévrer comme rarement ! Aussi bien eux que moi-même, étions surpris, ébahis par tant d’enthousiasme de ma part, par tant d’élans, fougues, et plusieurs fois ils m’avouèrent avoir à faire à une véritable et sublime actrice X, dans laquelle je me complaisais, satisfaisais !!!

Il était bien 20h passés, quand complètement anéantie, écartelée, déchirée, le corps en feu, malgré une douche réparatrice, mes deux « amants de passage offerts » nous quittèrent et restais seule avec mon mari, qui des plus amoureux était. Entre nos douches et un peu de rangement, on échangeait peu que des mots d’amour simples et véridiques. Malgré mon « piteux état » portant sur moi ma tenue de travail, simple robe chemise en jeans des plus sages, mais sans sous-vêtements, discrètement au fond du restaurant de l’hôtel, on soupait avant de nous retrouver une nouvelle fois dans la chambre, où tout à l’opposé de l’après midi, tel un couple des plus amoureux sans se soucier du temps, ni de personne, jusqu’à ce que l’on s’endorme on s’aimait merveilleusement.
Au réveil le samedi matin vers les dix heures, la première chose qui me vint à l’esprit était de m’enrouler contre mon amour de mari et de lui demander si réellement j’étais une putain, une salope, car sans cesse ces mots me résonnaient dans la tête….En guise de réponse mon chéri me chuchota :
- Tu ais t’elle que je veux que tu sois, et comme tout te semble te convenir, d’amuser, de ravir…, alors ne change rien, reste ainsi mon amour !!!
- Oui, mais tu m’as offerte à deux hommes…, tu te rends compte, de notre déviance… ?
- Tu as bien fait pleins de choses avant et même après notre mariage, je ne t’en ais jamais voulus, et tout ce que je pourrais t’offrir qui te ferais envie, alors je tenterais le diable, pour que tu sois toujours heureuse et belle comme à cet instant… !
- Même si je dois encore porter les stigmates d’hier et de cette nuit… ?
Là, je m’enroulais et même m’allongeais sur mon chéri, et sans aucun prémices, je laissais son sexe, se faufiler et s’introduire entre mes cuisses et tout en me déhanchant, on échangeait amoureusement, et le suppliais de me garder ainsi, de ne pas m’abandonner, que je l’aimais par-dessus tout et tous !
Me serrant dans ces bras mon mari me glissa :
- Alors tu veux bien rester ma petite salope d’épouse…, ma merveilleuse petite cochonne, et ma surtout délicieuse petite putain mon amour… ?
Me laissant glisser jusqu’à son entrejambe et tout en me saisissant de sa queue bien dure, entre deux sucions je rajoutais :
- Je ne veux que sa, mon amour : oui, oui, je te serais salope…, oui, oui, je te serais encore et toujours cochonne…, oui, oui, mille fois oui, mon amour j’ai adorée être ta petite putain hier, et je veux qu’il en soit ainsi encore pleins de fois à ta guise, mon chéri !

Et là littéralement j’engloutissais son sexe au plus profond de ma gorge, et le laissais jouir…, se vider…, comme rarement en moi !!!
On rassemblait nos affaires, mon sac, et comme pour lui être encore et toujours plus agréable, sous mon stretch, en toute discrétion, je ne portais que mon collant ouvert…, strictement rien d’autre, et on reprenait chacun notre auto, jusqu’à la maison, où nous restions cloitré tout le week-end amoureusement.
Les quelques semaines de confinement « obligatoires », nous ont permis de beaucoup, beaucoup discuter de nous, du sens de notre vie, et sans trop regarder la télé, de la cuisine au salon, en passant par toutes les pièces de la maison, et aussi en extérieur, nous continuons encore et encore de nous aimer, de nous ébattre, de nous amuser, en attendant des jours meilleurs pour tous. D’aileurs un fantasme est né de cet isolement auquel nous adhérons, c’est de trouver un ou deux couples des plus complices qu’ils sauront être avec nous, pour des jeux par exemples…!!!
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Commentaires de l'histoire :

Jo
Très excitant, je coule... Merci
Posté le 6/09/2020

Anonyme
Quel plaisir de partager ! Et de faire plaisir en même temps. Y aura-t-il une suite ?
Posté le 4/09/2020

Mariepat17
une femme comme la mienne, heureuse de faire l'amour et prendre son plaisir en toute occasion bravo et continuez, profitez de la vie, elle est courte tres amicalement mariepat17
Posté le 3/09/2020


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