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Les métiers de Sabrina : médecin généraliste (1/3)

Enfermée dans une boucle spatio-temporelle, je me découvre chaque jour un nouveau métier... et de nouvelles aventures.

Proposée le 22/11/2018 par Imagine69

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Je m’appelle Sabrina, j’ai 28 ans et je suis une brune aux yeux verts de taille moyenne. Après avoir été frappée par la foudre, je me retrouve coincée dans une boucle spatio-temporelle. Je vis tous les jours une nouvelle vie, dans un nouvel endroit et avec un nouveau métier dans lequel j’excelle. Ce cercle n’est pas pour déplaire à mes envies coquines, retranscrites dans mes histoires. Bonne lecture !

Le réveil résonna dans ma chambre et je me levais en pleine forme comme à mon habitude. Ma chambre était mon seul point de repère fixe dans cette boucle spatio-temporelle. Rien ne changeait à l’exception de mon calepin posé sur mon bureau, qui affichait un nouveau métier chaque jour, et de mon armoire qui elle aussi contenait de nouveaux vêtements assortis à mon travail. Comme tous les matins, j’avais le sentiment qu’une puissance surnaturelle me dictait mes actions et surtout, je me levais avec une libido explosive que je voulais calmer à tout prix.

Le calepin affichait pour aujourd’hui le métier de « Médecin généraliste ». Je souris intérieurement car ce n’était pas le métier le plus compliqué pour assouvir ses envies. Je pris une douche chaude et me caressa longuement sous la douche sans rien y faire. J’avais envie de me faire prendre ! Je sortais de la douche, me séchais puis ouvrais l’armoire pour voir quels vêtements seraient « mis à ma disposition ». Il y avait une blouse blanche, un chemisier en soie blanc, un tailleur haut couleur crème, un soutien-gorge en dentelle assorti à un petit string, à des bas et à un porte-jarretelles, des talons hauts blancs et pour finir, un plug anal que je considérais avec beaucoup d’envie. Je réfléchissais un instant puis décidais de m’habiller en omettant volontairement de mettre le chemisier, le tailleur ainsi que mes sous-vêtements. Je pris le plug anal, l’hydratais avec un peu de salive, le suçotais pour étaler le liquide dessus puis le posais sur mon petit trou, initié plus d’une fois à la sodomie. Je forçais dessus puis sentis le métal tiède et mouillé s’enfoncer dans mon anus en le dilatant. Il finit par être complètement en moi à l’exception de la petite plateforme recouvrant ma rondelle et permettant d’enlever le plug plus facilement. Peut-être que cela m’aiderait à calmer mon appétit sexuel mais à en juger par ma poitrine qui se raffermissait de plaisir, j’en doutais. Je refermais la blouse sur mon corps quasiment nu puis sortis de ma chambre et de l’appartement dans lequel je me trouvais et qui, lui aussi était susceptible de changer. Je reconnu par la fenêtre la ville de Caen, surplombée de nuages gris et menaçants. Je sortis de l’appartement et me dirigeais instinctivement vers l’endroit où je devais exercer ma nouvelle profession. Le vent frais fit rapidement pointer mes tétons qui s’affichèrent fièrement à la vue de tous au travers de ma blouse blanche. Je n’avais pas de gros seins ni de grosses fesses mais ils étaient fermes, ronds et comblaient parfaitement l’espace restreint de cet habit cintré. Guidée par des mains invisibles, j’arrivais devant un bâtiment austère qui devait être la clinique dans laquelle j’allais officier pour la journée. En entrant, le vigile de sécurité ainsi que la réceptionniste me saluèrent par mon prénom comme si j’avais toujours été là. Cette sensation était toujours aussi bizarre à mon goût mais qu’importe. J’ouvris la porte de ma salle de consultation et pris place derrière mon bureau. La salle était assez grande pour accueillir tout le matériel dont un médecin généraliste avait besoin. Elle comportait également un lit et un grand bureau vide.

Je pris mes fonctions rapidement et accueillis mes premiers patients. Les premiers étaient des personnes âgées, hommes et femmes, qui avaient souvent des problèmes de vessie, d’audition ou tout simplement de vieillesse. Bref, rien d’intéressant à se mettre sous la dent ! Peu après l’heure du déjeuner, un homme entra. Il avait un corps d’Apollon, des yeux verts et des lèvres charnues mais lorsque je tentais une approche, aussi subtile soit-elle, il fut contraint de m’avouer son homosexualité. J’étais encore bredouille, très excitée et un peu déçue de cette journée. Le dernier client qui était au programme était un septuagénaire dont le bras était emplâtré et dont les yeux sombres tombaient un peu trop fréquemment au niveau de ma poitrine, qui se raffermit malgré moi. Les personnes âgées n’étaient pas vraiment ma tasse de thé mais mon ventre bouillonnait et je me dis qu’après tout, je pouvais bien jouer avec lui et le contenter un peu. D’autant plus qu’avec un bras dans le plâtre, il devait avoir du mal à « évacuer » ses envies. Pendant qu’il s’asseyait sur le lit, je décidais donc d’ouvrir discrètement un bouton à ma blouse. Lorsqu’il aperçut le sillon de mes seins, le vieil homme, qui aurait pu être mon grand-père, resta bouche bée. Je vins me mettre en face de lui, pour qu’il ne loupe pas une miette du spectacle, et me positionna entre ses jambes écartées. Je lui souris gentiment, plaça les embouts du stéthoscope dans mes oreilles et glissa le pavillon sous son t-shirt. J’entendis immédiatement son cœur battre à tout rompre tandis que ses yeux ne quittaient pas ma poitrine et que son corps était parcouru d’un frisson. Je poursuivis mon auscultation puis sentis sa main douce, blessée mais puissante se poser sur ma hanche et ma fesse comme si de rien n’était. A mon tour, j’avais le cœur qui battait la chamade devant tant d’audace, voire d’impolitesse.

- Vous n’êtes pas très sérieux, Monsieur Duton, lui dis-je en souriant tout en poursuivant mon analyse.
- Je m’excuse, bégaya-t-il en enlevant promptement sa main. Ma main a glissé à cause de ce fichu plâtre, mentit-il en rougissant mais en me complimentant tout de même sur ma beauté.
- Ne vous en faites pas, nous pourrons bientôt vous l’enlever, lui confiais-je.

Une fois mon inspection terminée, je l’invitais à se relever et à se positionner sur la balance. Je remarquais alors une bosse particulièrement bien marquée sur son pantalon un peu défraichi. Je souris discrètement en me mordant la lèvre inférieure puis, une fois qu’il fut sur la balance, je me penchais en avant jusqu’au niveau de son bassin et pris mon temps pour lire le résultat affiché par la machine. Les effluves de son eau de Cologne enivraient mes sens. Même à distance, je pus sentir son érection se tendre à mon attention et je n’en étais pas indignée, bien au contraire.

- Vous êtes bon au niveau du poids mais il ne faut pas hésiter à manger plus, lui conseillais-je en me relevant et en voyant ses yeux se détourner de mon postérieur. Vous faites beaucoup d’exercice ?
- Un peu mais malheureusement pas comme je le voudrais, répondit-il en regardant son bras droit emplâtré.
- Vous êtes marié ? demandais-je avec curiosité.
- Veuf, répondit-il avec peine. Et en plus, je suis droitier, ajouta-t-il en rigolant comme pour détendre l’atmosphère.
Je compris immédiatement le sous-entendu et décidais de lui sourire.
- De nos jours il y a toujours un moyen de trouver ce que l’on cherche, lui susurrais-je malicieusement.
- Oh pour les vieux hommes comme moi il ne reste plus beaucoup d’espoir, marmonna-t-il en me suivant jusqu’au bureau pour régler sa visite.

J’avais le cœur un peu lourd de le voir ainsi. Je décidais donc de prendre un peu les devants même si je n’étais pas complètement sûre de ce que je faisais. Je saisis un tabouret à roulettes et lui dis :
- J’ai une dernière auscultation à vous faire avant de vous relâcher, lui dis-je en faisant naître un sourire charmant sur ses lèvres. Mettez-vous contre le mur.

L’homme s’exécuta et se mis debout, dos contre le mur. Je plaçais le tabouret devant lui et m’assis dessus en faisant exprès de remonter le bas de ma blouse pour qu’il puisse admirer le haut de mes bas retenus par des jarretelles. Il ne disait rien mais je pouvais sentir son cœur battre et son sexe se tendre dans son pantalon.
- Je veux juste m’assurer que vous ne souffrez pas de problèmes au niveau de l’appareil reproductif, mentis-je en gardant un professionnalisme de marbre.

Monsieur Duton semblait déçu et un peu honteux de bander ainsi. Il se laissa cependant faire lorsque je défis son pantalon et mettais à nu son sexe d’une dizaine de centimètres. Son regard était tourné vers le plafond et il évitait de regarder dans ma direction, ce qui me laissait le temps d’admirer son phallus, décalotté et imberbe, qui avait dû être, jadis, une puissante source de plaisir pour de nombreuses femmes. Ses bourses, bien que fripées et pendantes, semblaient pleine à craquer et je me dis que mon intervention ne devrait pas durer trop longtemps.

- Vous pouvez choisir de regarder le plafond, de fermer les yeux ou encore de regarder dans ma direction, susurrais-je d’une voix sensuelle en commençant à tripoter son sexe du bout des doigts.

Le septuagénaire, dont le corps était raide, ne broncha que lorsqu’il sentit son sexe bandé se faire emprisonner dans ma bouche chaude et humide. Il détourna soudainement son regard vers moi et détailla mon œuvre d’un œil inquisiteur et excité. Bien que pas très long, son sexe était assez épais pour que je dusse forcer la commissure de mes lèvres à s’étirer plus que d’habitude. Passé un arrière-goût de naphtaline, sa queue avec un goût qui ravissait mes papilles et son gland lisse et luisant était un délice à lécher. Je le suçais lentement en prenant soin de bien hydrater sa hampe pour aller plus loin la fois suivante. Mes doigts défirent un autre bouton de ma blouse puis saisirent la main gauche du vieil homme et la guidèrent sur mon sein gauche. Je sentis son sexe se tendre automatiquement dans ma bouche et son imposante main me malaxer presque timidement la poitrine. Sa retenue, son charisme et son respect me réjouissaient et me confortaient dans l’idée que j’avais pris la bonne décision. Ils me poussaient également à faire précautionneusement mon travail et à repousser mes limites en enfonçant toujours plus profondément ce pieu, redevenu jeune l’espace d’un moment, en moi. L’idée selon laquelle il aurait pu être mon grand-père ne se dissipa pas totalement et après tout, je ne pense pas que cela lui aurait déplu d’avoir une petite fille comme moi chez lui. Je me concentrais assidûment sur la fellation lorsque je sentis la main du septuagénaire quitter mon sein à regret et se poser sur ma joue. Je retirais son sexe bien lustré de ma bouche mais continuais à le masturber doucement en attendant de savoir ce qu’il avait à me dire.

- Je vous remercie pour ce moment, Madame, me dit-il avec un sourire sincère. Mais je ne pense pas que vous devriez continuer.
- Vous êtes timide, Monsieur Duton ? demandais-je avec un sourire coquin.
- Un peu oui, me confia-t-il. Et surtout très excité par ce que vous faites, conclut-il. Je ne m’étais jamais senti aussi jeune depuis bien longtemps.
- Je vous remercie de m’avoir prévenue, dis-je avec malice.

Monsieur Duton allait se pencher pour remonter son pantalon lorsqu’il me vit à nouveau fondre sur son sexe. J’avais décidé de ne pas le laisser partir ainsi et surtout de passer à la vitesse supérieure. Je posais mes mains sur ses fesses et entrepris de le sucer plus rapidement. D’abord choqué et paralysé, le vieil compris rapidement qu’il ne serait pas en mesure de me contredire, ni de s’échapper. L’excitation se mêla au choc et quand ses fesses se contractèrent brusquement, je compris que c’était le signal pour ralentir la cadence. Monsieur Duton laissa échapper un gémissement bruyant et je sentis quasi-immédiatement son sperme chaud et épais jaillir en moi. J’avais rarement eut autant de foutre à avaler en aussi peu de temps et ma gorge fut mise à rude épreuve. Le bassin de l’homme se rapprochait machinalement vers moi, cherchant à éjaculer au plus profond de mon être C’était un réflexe assez commun mais qui pouvait impacter la déglutition de la fellatrice. Ses mains se collèrent au mur pour ne pas emprisonner instinctivement ma tête. Le sperme continuait de se déverser dans ma gorge puis dans ma bouche sans que je ne puisse, ou ne veuille, y changer quoi que ce soit. Finalement la tempête se calma et Monsieur Duton cessa de gémir pendant que je finissais d’avaler docilement son foutre en finissant la pipe. Je nettoyais complétement son sexe à l’aide de mes lèvres et ma langue puis admirais le sourire que mon client arborait fièrement. J’aimais quand le travail était bien fait ! Je l’aidais ensuite à le rhabiller et me relevais sensuellement devant luia. Je lui demandais si je pouvais l’embrasser et il acquiesça malgré le risque que des traces de son sperme couvre encore mes lèvres. Je l’embrassais donc tendrement, saisis sa main et la fit remonter sous ma blouse et sur ma fesse nue.

- La prochaine fois vous pourriez peut-être me faire d’autres choses, Monsieur Duton, lui murmurais-je en sachant pertinemment que cela n’arriverait pas à cause de la boucle dans laquelle je me trouvais.
- Ce serait avec plaisir, Madame, répondit-il. Encore merci pour…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que l’on tapa à la porte.
- Sabrina, dit la réceptionniste derrière la porte, j’ai encore un patient ici. Tu pourrais t’en occuper ?
- Oui bien sûr Martha, j’arrive, dis-je à l’attention de la réceptionniste. Je suis désolée Monsieur Duton, mais je vais devoir vous laisser. Je vous offre la consultation, ajoutais-je en reboutonnant ma blouse. Disons que c’est parce que je vous dois aussi un merci parce que j’ai fortement apprécié ce que vous m’avez fait.

J’aimais redonner confiance aux personnes qui souffraient de ne plus en avoir. Cette gratitude eut l’effet escompté car le septuagénaire me remercia encore chaleureusement avant de me quitter sur un ton joyeux.

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