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Petite Emily 2

Emily est ma petite amie depuis deux mois maintenant. Avec elle c'est toujours l'extase, mais je la sens un peu coincée parfois. Sans doute l'ombre de son ex qui plane. Pourquoi ne pas remédier à cela avec une petite fête improvisée ?

Proposée le 8/02/2018 par Shaaa

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Thème: Vengeance
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


- Au revoir, monsieur Hillenaud !
Je refermai la porte de l’immeuble et ne pus retenir un sourire. Enfin ! J’allais pouvoir retrouver mon Emily et passer le week-end en amoureux qu’on avait tant attendu ! Ce soir cela faisait un mois que j’étais en stage, un mois de boulot intensif où j’avais trop peu profité de ma chérie toute neuve. Un mois que je devais réfréner mes ardeurs et patienter (encore !) avant de pouvoir profiter de cette magnifique jeune femme dont j’avais tant rêvé.
Mais c’était fini ! Le stage avait pris fin ce soir, et je reprenais la fac la semaine prochaine ! A moi les semaines de quinze heures, les soirées film/pizza et les nuits de sexe et de câlins avec ma chère et tendre ! J’en salivais d’avance.

Le bus arriva après quelques secondes d’attente, et je me précipitai vers le cinéma où je devais retrouver Emily. Je la vis arriver depuis l’arrêt de bus, ses traits illuminés par la joie de vivre, ses lèvres étirées en un grand sourire dès qu’elle m’aperçut, et cette vision me frappa en plein cœur. Oui. J’avais totalement craqué pour cette femme incroyable. Je me dépêchai de la rejoindre et l’embrassai sur les lèvres. J’aurais voulu la soulever de terre et lui rouler la pelle du siècle, mais elle se contenta d’un petit baiser chaste. Ça faisait partie de notre accord tacite. En public, on se tenait par la main et on se limitait à quelques bisous. Les grands gestes passionnés, c’était pour la maison, sans témoins et derrière une porte fermée à clef. En même temps, je comprenais ses réticences : Camille, son copain précédent, l’avait plus ou moins forcée à faire des choses salaces dans des lieux publics. D’après ce que j’avais compris, il se la jouait hippie « faites l’amour pas la guerre » pour justifier ses débordements sexuels. Je n’avais rien contre les fantasmes un peu perchés, mais pas quand ils étaient imposés à sa partenaire sous couvert d’une prétendue ouverture d’esprit.

Je refroidis donc mes ardeurs et entrai à sa suite dans la salle obscure. Le film, Alien Covenant, était passablement nul, mais ma chérie profita de l’obscurité pour se blottir dans mes bras. Je l’emmenai ensuite dans un Irish Pub pour le dîner, et j’en profitai pour demander une bière. A ma grande surprise, Emily me suivit et commanda un whisky coca. Chaque gorgée d’alcool la rendait un peu plus rieuse et détendue, et chaque gorgée de bière me la faisait paraître encore plus belle, encore plus rayonnante, encore plus désirable. Vers la moitié de ma pinte, mon regard se promenait sans pudeur sur ses lèvres, ses seins, ses hanches que je devinais derrière la table. Elle portait une chemise à carreaux ce soir, et le tissu à motifs écossais épousait ses formes à la perfection. La pression monta doucement entre mes jambes et je me retrouvai bien vite avec une demi-érection. Ma chérie ne rata pas mes regards insistants sur ses courbes, et elle me prit le menton pour que je la regarde en face.
- Rêve pas, Roméo ! Y a trop de monde dans cette salle pour que je te laisse me mater comme ça ! fit-elle avec son habituel petit sourire en coin.

Mais ses yeux me tenaient un tout autre discours. Une petite lumière s’y était allumée, une lueur de faim qui disait : « attends un peu qu’on soit seuls tous les deux … ». La pression dans mon caleçon s’accentua encore.
Nous finîmes de manger et nous prîmes le chemin de son appartement. Elle partageait un T4 avec deux autres étudiantes, à dix minutes à pied du pub. Mais ce soir, Alixia, 20 ans, passait le week-end chez ses parents, et Kim, 22 ans, était chez son propre copain. Nous avions les lieux pour nous seuls …
Mais pour l’instant, Emily, 19 ans, était passablement éméchée. Sa démarche était quelque peu vacillante, et son humeur, d’ordinaire joyeuse, était devenue carrément hilare. Elle riait comme une folle à la moindre de mes blagues (pour tester, je lui ai même dit le simple mot « balançoire », et elle était repartie de plus belle), et ses baisers se faisaient un peu plus appuyés, un peu plus charnels à chaque minute. Elle se lâchait complètement, les cheveux en bataille, l’œil égrillard, et j’adorais la voir comme ça.
- Dites donc, mademoiselle Emily Anaïs Florence Gough, ça ne vous réussit pas l’alcool ! m’amusai-je alors qu’elle tentait pour la troisième fois de me rouler un patin au milieu du trottoir.

Elle éclata de rire.
- Ah bon ? Et qu’est-ce que vous allez faire, agent Thomas Lareau ? M’arrêter pour ivresse sur la voie publique ?
Elle se retourna vers moi et, marchant à reculons, me tendit ses poignets pour que je lui passe des menottes imaginaires. J’affichai un petit sourire séducteur et m’approchai d’elle.
- Non. Par contre je vais devoir vous faire passer quelques petits tests. Test d’alcoolémie … (je lui volai un petit baiser), contrôle de stupéfiants … contrôle des papiers et fouille corporelle …
Je posai mes mains sur ses hanches, la caressant plus que je ne la « fouillais ». Elle rit encore et s’arracha à mon étreinte, gambadant quelques pas devant moi.
- Oh, c’est pas juste, je ne vais pas réussir la moitié de vos tests ! Peut-être qu’une petite faveur suffira à me faire oublier ?

Et d’un coup, elle passa ses mains sous sa ceinture et baissa son pantalon cargo jusqu’à mi-cuisse. Je manquai de trébucher et la fixai, le cœur battant. Elle avait mis un tanga. Le tanga, c’était notre petit compromis : elle n’aimait pas beaucoup les strings, mais je raffolais des jolis sous-vêtements sur le corps de mes partenaires. Celui-là était en dentelle noire fine, ouvert au milieu et refermé par un lacet rose qui lui faisait un petit nœud en haut des fesses. C’était sexy à tomber par terre.
Le fait qu’elle ait mis un tanga me touchait du fond du cœur. Néanmoins, ce n’était pas à mon cœur que ce spectacle plaisait le plus. Je sentis mon entrejambe se gonfler à nouveau, plus vite, plus fort. La ruelle où nous étions était déserte. Je rejoignis Emily en quelques pas et la serrai contre moi, son dos plaqué contre mon torse, mes doigts descendant vers l’adorable petit sous-vêtement. Il était également lacé sur le devant et, plus bas, entre ses cuisses, le tissu devenait de plus en plus humide …
Emily retint un soupir excité et remonta son pantalon en vitesse, les joues écarlates et le souffle court. Elle me jeta un petit regard contrit et gêné, puis reprit la direction de son appartement.
- On ferait mieux d’y aller.

Pour ma part je commençais aussi à prendre une belle couleur pivoine, mais la bosse en acier sous ma braguette venait contredire ma gêne apparente. J’avais rarement bandé aussi fort devant un tel spectacle. Peut-être que ses mauvais souvenirs liés à son ex allaient enfin disparaître, et qu’elle allait laisser libre cours à sa sexualité ? Je pressai le pas pour la rejoindre, et nous nous dépêchâmes d’arriver chez elle. Elle allait taper le digicode de son immeuble quand son téléphone se mit à vibrer. Une fois. Deux fois. Elle y jeta un coup d’œil, agacée, puis décrocha après une demi-douzaine de sonneries.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu veux ? jeta-t-elle sèchement dans le combiné.

Une voix indistincte me parvint depuis le portable, nasillarde, mais indubitablement masculine. Le regard de ma douce se fit de plus en plus furieux.
- Ce soir ? Même pas en rêve, c’est non! … Non mais je m’en fous, vraiment ! Je te les rendrai lundi ! … Bah t’as qu’à venir à la fac pour une fois, ça te changera de d’habitude ! … Non mais attends c’est hors de question ! Tu ne …
La tonalité du téléphone la coupa net, indiquant que son interlocuteur avait raccroché.
- Un problème ? lui demandais-je.
Elle eut un geste impuissant et tapa enfin le code pour ouvrir la porte de l’immeuble.
- Camille va passer d’ici un quart d’heure. J’ai retrouvé deux trois fringues à lui chez moi et il veut les récupérer.
Je la dévisageai avec interdiction.
- T’es pas sérieuse ! Ici ? Maintenant ?
Elle haussa les épaules avec un sourire sans joie.
- Que veux-tu ? C’est ça un ex qui comprend pas le sens du mot « non ».

Elle franchit le hall d’entrée en quelques pas et appuya sur le bouton d’appel de l’ascenseur. Je fulminais à mon tour. Je n’allais certainement pas laisser cet abruti me gâcher ma soirée avec ma chérie !
- Et tu peux pas l’ignorer ? Le laisser à la porte et lui rendre ses sapes un autre jour ?
- J’aimerais bien, mais il connaît le code de l’immeuble. Si on lui ouvre pas, il va spammer la sonnette jusqu’à nous rendre complètement fous ! Autant en finir au plus vite.
Son raisonnement était logique, je le savais. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de ressentir une vague de colère. Ce type lui avait fait du mal, il l’avait forcée à mener une vie sexuelle qu’elle ne voulait pas, et aujourd’hui encore il l’empêchait de faire l’amour comme elle voulait. A ses yeux baissés et à son air frustré, je devinais qu’elle aussi avait eu l’intention de me sauter dessus dès qu’on serait entrés chez elle. Mais il lui interdisait même ça. Elle poussa un soupir résigné et descendit de l’ascenseur.
- Juste une chose, Thomas, me dit-elle en déverrouillant la porte. Ne rentre pas dans son jeu. C’est un petit con narcissique et il fera tout pour te provoquer. Ne lui donne pas cette satisfaction.
La serrure s’ouvrit avec un petit clic et nous entrâmes chez elle. L’appartement était assez petit, trois chambres plus un salon minuscule et un coin cuisine. Je me laissai tomber sur le canapé tandis qu’Emily se dirigeait vers la machine à café. Elle en revint avec deux tasses brûlantes et s’assit près de moi, la tête sur mon épaule. Je remarquai que ses mains tremblaient sur son mug.
- Il te fait si peur que ça ?
Elle fronça les sourcils, vit l’état de ses mains et se détendit.
- Non, il ne me fait pas peur. Ça m’emmerde juste que ça tombe ce soir. Les tremblements, c’est plutôt dû à l’alcool.
Elle m’adressa un de ses sourires renversants, et m’embrassa. L’excitation ne tarda pas à revenir. Je la serrai un peu plus fort dans mes bras, et elle se mit à califourchon sur mes jambes, créant un nouvel afflux de sang dans mes parties.
- Attends, il est pas censé venir bientôt ? haletai-je entre deux baisers passionnés.
- Qu’est-ce qu’on s’en fout ! Il est toujours en retard de toute façon !

Ses lèvres embrassaient mon cou, mon torse, ses mains passaient sous mon t-shirt. Ma queue gonflait un peu plus à chaque instant. Comme dans un rêve, mes doigts se portèrent vers ses seins, les pressant doucement à travers le tissu, tirant un petit soupir à ma compagne. Je commençai donc à déboutonner sa chemise et découvrit un superbe soutien-gorge à lacets roses assorti à son tanga. La dentelle noire couvrait à peine les tétons, qui commençaient déjà à pointer. Je les fis glisser hors des bonnets et les portai à ma bouche. Elle se mit à gémir quand ses mamelons roulèrent sur ma langue. Elle allait déboutonner ma braguette, mais ses mains se figèrent sur la bosse de mon entrejambe.

La sonnette venait de retentir dans l’appartement.
Paniquée, Emily remit son soutien-gorge et reboutonnait sa chemise quand ma main se posa sur son bras. Elle me regarda, surprise.
- Reste comme ça, lui dis-je. Montre-lui un peu tout ce qu’il a perdu en te rejetant.
Les mots sortirent de ma bouche avant même que je m’en rende compte. Putain mais qu’est-ce que je disais ?! J’étais complètement fou !! Pourtant l’idée parut plaire à ma chérie. Un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres, un sourire que je ne lui avais jamais vu avant. Etait-ce l’alcool ? En tout cas, elle se leva pour aller ouvrir la porte, la chemise à peine fermée par un bouton, le ventre dénudé et le soutien-gorge apparent. Une voix masculine désagréable retentit bientôt dans la pièce.
- Ah, quand même ! J’ai failli attendre ! Tout ça pour …
La voix s’interrompit net en découvrant son interlocutrice. Quand elle reprit, ce fut sur un ton beaucoup plus chaud.
- Petite salope … Je savais bien qu’un jour tu reviendrais me supplier de te prendre …

Dans l’encadrement de la porte, une silhouette tenta d’enlacer Emily, mais elle l’esquiva d’un mouvement souple.
- Salut Camille ! fit-elle avec enthousiasme. Entre ! Je crois que tu n’as jamais rencontré Thomas ?
Elle s’effaça du passage, et je me retrouvai face à lui. Camille. Le fameux enfoiré qui a osé la faire souffrir. Son physique était assez insignifiant – plutôt grand, maigrichon, des cheveux blonds filasse qui lui tombaient sous les épaules et un petit bouc hirsute sur le menton. Sous son manteau, son sarouel aux couleurs de la Jamaïque était contredit par la grosse paire de Nike qu’il portait aux pieds. Hippie, lui ? Tu parles ! Hippie quand ça l’arrange, ouais !
Ses yeux gris délavés m’inspectèrent de la tête aux pieds. Ma présence semblait vraiment le dérouter. Emily virevolta vers moi et m’enlaça avec effusion.
- Mon amour, je te présente Camille, un ex. Je vous laisse, je vais chercher ses affaires.
Et elle partit vers sa chambre avec un déhanché parfaitement maîtrisé. Camille s’assit sur le petit fauteuil en face du canapé, mal à l’aise. Sans doute se demandait-il pourquoi Emily l’accueillait dans cette tenue alors que son copain était présent. Puis son visage s’éclaira.
- Elle veut qu’on la baise tous les deux, hein ? C’est ça ? La grosse cochonne. Je suis sûr que tu dois prendre ton pied avec une chienne pareille.
Je me forçai à sourire.
- Oui, y a pas à dire, elle fait l’amour comme une déesse. Mais je suis le seul qu’elle autorise dans son lit, désolé !

J’accompagnai ma réponse d’un clin d’œil qui le plongea à nouveau dans la confusion. Emily fourragea un instant dans sa chambre, puis en ressortit avec un sac plastique.
Elle s’était changée. Envolé le pantalon cargo, disparue la chemise, seuls restaient ses sous-vêtements si sexy et un déshabillé noir translucide qu’elle avait laissé ouvert. Elle était tellement belle, mon dieu, et quand elle m’adressa un de ses petits sourires espiègles, j’aurais juré que j’allais imploser de désir.
Face à moi, Camille était bouche bée, et son sarouel ne dissimulait rien de son érection. Ma délicieuse chérie se pencha vers son ex, lui mettant son décolleté sous le nez, et lui tendit le sac. Son tanga et sa divine croupe étaient bien visibles sous le déshabillé.
- Tiens, pépia-t-elle. Ne les oublie pas cette fois, parce que je ne te les rendrai pas.
Et elle vint s’asseoir sur mes genoux, dos à moi, les jambes écartées de part et d’autre de mes cuisses. J’avais du mal à en croire mes yeux. Mon Emily, mon adorable Emily si réservée et si chaste en public, qui s’exhibait sans la moindre honte devant son ex. Je n’avais jamais osé en rêver, mais cela ne la rendait que plus attrayante. Mon membre bandé comme jamais pouvait en attester.
- Je te plais, comme ça ?

Camille ouvrit la bouche pour répondre, mais c’était moi que la magnifique créature regardait.
- Oh oui, bredouillai-je. Tu es tellement … tellement …
Je n’arrivais même plus à parler, subjugué comme je l’étais. Emily eut un petit rire satisfait et s’abandonna contre moi, dans une posture à faire se damner tous les saints de la création.
- Caresse-moi, ronronna-t-elle.
J’effleurai sa peau si douce, hypnotisé, glissai mes mains sous sa robe de chambre, remontai lentement vers ses seins. Je passai mes doigts sous le soutien-gorge et attrapai ses mamelles. Emily poussa un profond soupir de bien-être. Camille se leva et s’approcha, mais elle l’arrêta d’un geste.
- Pas toi. Assied-toi et patiente.

Oh la vache, elle allait vraiment se donner en spectacle devant lui ! J’étouffai un gémissement et plongeai mon visage dans son cou, inspirant son odeur, embrassant et mordillant sa peau. Ma main gauche titilla la pointe de son sein, tandis que la droite descendait jusqu’à son pubis et la caressait par-dessus le tanga. L’entrejambe était déjà bien humide. Son clitoris avait gonflé et mes doigts s’y attardèrent à travers la dentelle. Elle commença à gémir.
- Oh, Thomas …
Ses fesses se mirent à rouler contre mon entrejambe, elle savait que ça me rendait fou. Tant bien que mal, elle défit ma braguette et baissa mon caleçon, libérant ma queue de sa prison de tissu, et reprit ses lents mouvements de bassin. Mon membre vint se loger dans le sillon de ses fesses, pressé et caressé à chaque coup de rein. J’étais aux anges.
- Tu aimes ça ? demanda-t-elle à nouveau d’une voix de velours.
- Oh oui j’adore ça, Emily, mon Emily …

Du coin de l’œil, je vis que Camille commençait à se tripoter par-dessus son sarouel. Emily le vit aussi et susurra à mon oreille :
- Fais-moi mouiller comme jamais. J’ai envie de te sentir en moi.
- A tes ordres, ma belle …
Aussitôt, mes doigts plongèrent sous la dentelle, la masturbant frénétiquement. Elle se mit à gémir comme une damnée, complètement abandonnée à mes caresses. Camille ne devait pas en perdre une miette. Le déshabillé glissa à terre, et je la débarrassai également du tanga. Mes doigts alternaient entre son clitoris si sensible et son vagin détrempé. Sa petite chatte se dilatait de plus en plus, réclamant ma queue à grands cris. C’eût été un crime de ne pas la lui donner. Je la soulevai par les hanches et l’empalai sur mon membre qui n’attendait que ça. Elle poussa un cri d’extase.

Depuis deux mois qu’on couchait ensemble, Emily n’avait presque plus besoin de lubrifiant. Ce soir-là, nous étions tous deux si excités que je la pénétrai sans le moindre problème. Mon plaisir décolla en flèche. C’était si bon que j’en perdis la tête, et commençai à la pilonner avec passion. Ma chérie était aussi ardente que moi et criait de bonheur à chaque coup de rein. A ce moment je n’étais plus Thomas, je n’étais plus qu’un immense chibre gorgé de plaisir qui allait et venait dans une chatte parfaitement taillée pour moi. Et c’était si bon ! Emily criait de plus en plus fort, je gémissais moi aussi, brûlant de désir, au bord de l’orgasme, et tout ce plaisir qui montait, montait, toujours plus fort …

Je sentis soudain ma compagne jouir dans mes bras, les muscles bandés, son con parcouru de spasmes. Toutes ces contractions eurent raison de moi et j’explosai à mon tour, euphorique. Ma queue se vidait, se vidait, l’orgasme n’avait plus de fin. Le monde se résumait à ce petit vagin qui se remplissait de mon jus, et une voix qui gémissait « Oh, Thomas, c’était tellement bon … »
Quand je repris mes esprits, Emily était descendue de mes genoux et se tenait à quatre pattes face à moi, un filet de sperme dégoulinant le long de sa cuisse. Mon pantalon était descendu aux chevilles et sa bouche nettoyait mon membre. Sa langue montait et descendait, léchant nos fluides mélangés, et elle me jeta un regard gourmand. Je compris que la nuit n’était pas finie pour moi. Un seul passage dans sa bouche suffit pour me faire rebander. Derrière elle, Camille s’était levé de son siège et avait baissé son sarouel, astiquant le plus petit pénis que j’aie jamais vu. L’engin devait mesurer huit centimètres à tout casser. Le faux hippie vit que je le regardais et un éclat de fureur passa dans ses yeux. Etait-ce pour cela qu’il avait forcé Emily à accomplir toutes sortes de fantasmes perchés ? Complexait-il sur la taille de ses parties ? Sa bite à la main, il s’approcha de la croupe de ma compagne comme pour la pénétrer, mais elle se retourna aussitôt.
- Qu’est-ce que tu fais ?

Sa voix était sèche, bien loin de la voix tendre avec laquelle elle me susurrait des mots doux une minute avant. Cela fit l’effet d’une gifle à Camille.
- C’est à mon tour, non ? fit-il, les joues empourprées par la colère. Tu t’es laissée baiser comme une pute par ce mec, maintenant c’est à moi !
- « Comme une pute », dis-tu ? Je crois que t’as pas compris la leçon. C’est pas avec ça que t’auras le droit de baiser, mon gars.
Et elle recommença à me sucer avec douceur. Chaque aller-retour rendait peu à peu sa vigueur à mon entrejambe, et mon désir avec. Après un regard provocateur à son ex, elle prit ma queue dans sa main et descendit sa langue jusqu’à mes bourses, les léchant avec une maîtrise aphrodisiaque. Je poussai un léger râle. Camille l’observa un instant, la bouche ouverte, puis tenta de l’amadouer.
- Sois gentille, Em’. Je sais que t’en as envie, tu m’aurais jamais chauffé comme ça sinon. Je sais que t’as toujours aimé ma bite, t’adores quand je te prends et quand je te lèche.
Emily eut un sourire machiavélique.
- Me lécher ? Mais quelle bonne idée ! Vas-y, connard, bouffe-moi tout ça, on verra après si t’es digne de te servir de ta teub !
Un instant, je crus que Camille allait refuser, rouge de fureur. Puis il s’agenouilla et pointa sa langue dans le fruit de ma chérie, encore ruisselant de mon sperme. Si celle-ci appréciait le traitement, elle n’en montra rien et reprit sa fellation. J’avais de plus en plus envie de retrouver la chaleur de sa chatte, quand elle poussa un petit gémissement surpris. La bouche de son ex avait dérapé sur son anus.
- Mais c’est qu’il aurait de la suite dans les idées, le petit salaud ! Reste où tu es et lubrifie-moi le cul. T’auras peut-être l’occasion de t’en servir.

Mon chibre fit un bond contre la joue d’Emily. Sans rire ? Elle voulait se faire sodomiser ? On en avait un peu parlé, mais on n’était jamais passés à l’acte. Elle m’avait elle-même avoué ne jamais avoir essayé ! L’imaginer comme ça, en pleine sodomie avec un autre homme, m’infligeait un mélange de jalousie cuisante et de désir incontrôlable. Sa fellation de plus en plus sauvage n’arrangeait pas les choses. J’avais envie de la prendre, maintenant, et de la combler par un autre trou.
Camille ne se contentait plus de la lécher, à présent. Il avait enfoncé trois doigts dans son vagin, et le quatrième n’était plus très loin. Emily se redressa brusquement et sa voix claqua comme un coup de fouet.
- Arrête. Retire ta main.

Le hippie ne l’écoutait pas. Il enduisit son pouce de sa cyprine, et commença à l’enfoncer dans son anus. Elle se releva avec un cri de colère et le repoussa violemment dans son siège.
- Je t’ai dit d’arrêter !! Qu’est-ce que tu comprends pas là-dedans ?! « Stop », c’est « stop », imbécile ! T’as intérêt à bien te foutre ça dans le crâne si tu veux pas que je te mette dehors !
Camille ne devait pas avoir l’habitude de subir ce genre de coups de gueule. Il la fusilla du regard, puis eut la bonne grâce de baisser les yeux. Emily arbora une expression satisfaite et se remit à califourchon sur mes genoux.
- Puisque t’as pas joué franc-jeu, tu vas patienter encore un peu ! C’est Thomas qui va pouvoir profiter de mon cul.
Elle avait prévu ce coup depuis le début, je le compris en voyant son regard féroce. Je n’allais certainement pas m’en plaindre ! Elle se positionna face à moi, sa bouche pressée contre la mienne, puis attrapa ma queue et la glissa dans sa chatte. Une fois, deux fois, histoire de lubrifier, puis mon gland entra en contact avec son petit trou. Je la pris par les hanches pour adoucir le mouvement, mais la colère la rendait brutale. En trois allers-retours, je m’étais enfoncé en elle jusqu’à la garde. Aucun signe de douleur sur son si joli visage, mais, à son silence, je devinais que ce n’était pas l’extase. Je dégrafai alors son soutien-gorge et portai ses seins à ma bouche.

Ce fut le déclic qui déclencha son plaisir. Elle se détendit peu à peu et commença à gémir doucement, ses mains caressant mes cheveux, ma langue enlaçant son téton dressé. Puis je le mordillai, et elle retrouva toute sa fougue habituelle. Je poussais des râles de plaisir sous ses assauts, et elle décrocha ses seins de mes lèvres pour faire des mouvements plus amples. J’étais au paradis. Son petit cul de déesse m’emmenait toujours plus loin dans l’extase, mon plaisir était toujours plus intense, je gémissais sans retenue.
- Aahh, aaaaahh Emily ! Hmmmh !! Aaaahh !!
Elle enfouit son visage dans mon cou et murmura quelque chose au creux de mon oreille.
- Je t’aime Thomas.
C’était quelque chose qu’elle n’avait jamais dit avant, et ces mots furent comme une décharge électrique qui me parcourut tout entier. J’allais jouir à nouveau, j’allais exploser de désir et d’amour mêlés. Je criais presque de plaisir, mais elle se retira et se remit dos à moi.
- J’imagine que t’as été assez puni comme ça, lança-t-elle à Camille. Tu peux venir.
Il ne se le fit pas dire deux fois. Elle replaça ma verge entre ses fesses et guida la queue de son ex entre ses cuisses. Je pouvais presque la sentir à travers la fine paroi de chair. Puis Emily lui ordonna de ne plus bouger et recommença ses va-et-vient, empalée sur nos deux sexes à la fois. Camille observait ma copine avec des yeux de merlan frit, la bouche ouverte dans une expression ridicule, mais je n’avais d’yeux que pour mon Emily. Ma chère et tendre Emily, ma chérie, mon amour. Le plaisir me faucha à nouveau et je me mis à gémir son prénom. Elle me répondit de la même façon, le corps tendu, la tête renversée en arrière sous l’effet du plaisir. Cette double pénétration avait l’air de dépasser toutes ses attentes.
- Oooh oui, Thomas ! Ouiiiii !! Oooh ouiiiiiii !!
Nos cris s’entremêlaient avec une osmose parfaite. Camille, lui, grognait stupidement comme un acteur de film porno.
- Oooh Thomas !! Oooooh c’est tellement bon mon amour, oooOOH OUIIII !!
- Emily !! Aaaaah, Emily je t’aime !! Je vais jouir !!

L’orgasme me frappa de plein fouet et me broya tout le bas du corps, intense, dévastateur. Je m’agrippai aux hanches d’Emily et lui donnai de puissants coups de bassins, les yeux clos, extatique. Chaque jet de sperme m’arrachait un gémissement de pure euphorie, je roulais dans un océan de jouissance où chaque vague me pressait la bite. C’était brûlant, c’était intense et extraordinaire. Sans doute le meilleur orgasme de ma vie, même si, des orgasmes hors du commun, j’en avais eu à volonté ces deux derniers mois.
Le temps que je revienne à moi, Emily s’était retirée et s’essuyait avec une boîte de mouchoirs. Camille était furieux.
- T’es déjà pleine de sperme, tu peux bien prendre le mien en plus !
- Inutile d’insister, c’est non. Tu te finiras tout seul chez toi.
- C’est dégueulasse ! Tu l’as fait juter deux fois, lui !
- C’est son privilège en tant qu’homme que j’aime. Un privilège auquel tu as toi-même tourné le dos, il me semble.
- T’es vraiment la pire des salopes !
- C’est humiliant, n’est-ce pas ?

Emily attrapa le sac plastique qui contenait les vêtements de son ex, ouvrit la porte d’entrée et le balança dans le couloir.
- T’étais venu chercher tes affaires ? Elles sont là-bas. Je t’en prie. La prochaine fois que tu essayeras de forcer une fille qui te dit « non », j’espère que tu te souviendras de cette nuit et que t’y réfléchiras à deux fois.
Camille dévisagea son ex-copine avec haine. L’espace d’un instant, je crus qu’il allait la frapper. Puis il tourna les talons avec un cri de rage, remonta son sarouel et partit récupérer son sac. Le claquement de la porte résonna dans tout l’immeuble comme un coup de tonnerre.
Emily poussa un long soupir et se laissa tomber à côté de moi, sur le canapé. Je la pris tout de suite dans mes bras.
- Ca va aller ?
Elle se blottit contre moi.
- Oui. A partir de maintenant ça ira beaucoup mieux.
Elle devait ruminer sa colère depuis un sacré moment. Mais elle ne s’était pas laissé dominer par ce petit merdeux. J’étais tellement fier d’elle ! Je l’embrassai dans le cou.
- Je te dois un orgasme. Tu n’as pas joui deux fois, toi.
Elle eut un sourire plein de malice, un de ces purs sourires Made in Emily qui me faisaient systématiquement tourner la tête, et ouvrit les jambes.
- On s’inquiète pour moi, monsieur Lareau ?

Je m’agenouillai au sol, face à elle, et plongeai mon visage entre ses cuisses. Elle gémit aussitôt. Nous avons fait l’amour encore une fois ce soir, puis nous nous sommes écroulés sur le canapé, à bout de forces. Je dus rassembler tout mon courage pour aller chercher une couverture. En revenant, ma chérie dormait déjà. Elle dormait encore quand je me réveillai à midi et demie le lendemain. Je me dirigeai vers la salle de bains et commençai à faire couler l’eau de la douche, quand je sentis deux petites mains m’enlacer par derrière.
Le week-end ne faisait que commencer.

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Commentaires de l'histoire :

Sarah
J'ai adorer! Elle rentre clairement dans mes favorites
Posté le 27/11/2018

Anonyme
Belle vengeance! Bravo aux auteurs qui respectent les femmes!
Posté le 10/02/2018


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