Histoire Erotique (Archive)

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Proposée le 18/10/2009 par Georges Richard

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Texte très cru


Devant mon écran d'ordi, je réfléchis à ma vie de célibataire et je mesure combien j'ai changé depuis quelque temps. Est-ce l'air du temps ou l'évolution de la société ? Je ne saurais le dire. Toutes ces pubs pour des lingeries sexys, la mode des sextoys qui sont devenu branchés, les rencontres sur internet. Les conversations entre copines avaient changé elles aussi.

J'étais plutôt sage il y a dix ans, à peine sortie de ma bonne éducation, je ne savais même pas ce qu'était un film porno, il y avait l'amour avec un grand A un point c'est tout. Le prince charmant que d'ailleurs je n'ai jamais trouvé.
Depuis, j'ai fais pas mal de chemin et je ne me pose plus trop ce genre de question, advienne que pourra, on verra bien. Par exemple en ce moment, je ne sais pas ce qui se passe mais j'ai un fantasme qui prend forme depuis quelque temps, je m'aperçois que je prends du plaisir à entendre des mots plutôt crus lorsque je fais l'amour, en fait, cela demande vérification. Pourtant ce n'est pas trop mon style habituel, je suis plutôt une femme qui aime qu'on la respecte ; mais là, je sens qu'il y a quelque chose à expérimenter.
Je suis sure que Benoit et Luc, mes deux camarades de bureau, qui ne sont pas les derniers quand il s'agit de faire des cochonneries, seraient d'accord pour participer à l'idée folle qui vient de germer dans mon esprit.
Je vais les inviter à un concours de langage salace, et que le meilleur gagne.
Je leur envois donc un petit mail à tout les deux :

Bonjour, qui est ok pour une compétition de séduction uniquement à l'aide de phrases que vous aurez choisies. Le gagnant (s'il est vraiment bon) pourra avoir le droit de finir la soirée dans mon lit.
Sont prohibés les expressions gentilles, mielleuses, sages, délicates et pudiques. En revanche sont autorisées et même recommandées les phrases obscènes, lubriques et ordurières. Rendez-vous demain soir à 20h30 chez moi.
Katy

Leur réponse ne se fit point attendre, évidement, ils étaient plus que d'accord.

Le soir venu, les voici déjà devant ma porte, et même un peu en avance, « Tu m'étonnes »
- Salut Katy dit Benoit en m'embrassant
- Salut dit Luc j'espère que tu es en forme parce que j'ai bien l'intention de te mettre une bonne giclée dans la cramouille ou plus si affinités.
- Je vois que les hostilités ont déjà commencées dit Benoit en rigolant.
Il m'a surprise la canaille me dis-je.
- Entrez vous deux ! Asseyez-vous, vous buvez quelque chose ?
C'est Benoit qui, une fois les verres servis s'adresse à moi :
- Dis-donc, il faut être une sacrée chienne en chaleur pour proposer un truc pareil à deux collègues de bureaux. Remarque c'est une bonne idée, j'ai la bite tellement gonflée que je ne vais pas tarder à te faire gouter une bonne purée de sperme.
- Tu oublis de demander à cette petite pute de Katy ce qu'elle préfère, je suis sur qu'elle adorerait se faire brouter la chatte avec ma langue bien baveuse et se faire enfiler dans le con des objets divers et variés.
Ca démarre fort, je me suis faite prendre à mon propre jeu, il faut dire qu'en choisissant ces deux là, j'étais sure que l'on ne perdrait pas de temps. Je sentais que je mouillais déjà.
Je finis par répondre :
- C'est vrai j'aime bien me faire sucer.
Benoit enchaina
- D'accord mais après un bon plat de moule gluante, ce sera l'heure de se faire limer les orifices, puis ensuite un bon jet de foutre chaud sur ta petite gueule de salope pour le dessert.
Je n'en reviens pas de l'excitation qui monte en moi, je me sens souillée par les mots et j'en ai du plaisir.
Luc enchaine :
- Moi je me vois bien en train de caser mon membre dans ta bouche et te ramoner ta pauvre gorge avec mon big zob et une fois qu'il sera bien dur, te percuter le fond du con avec mon gros dard.
- Tu n'es pas très romantique Luc, tu brule les étapes, d'abord il faut que Katy se foute à poil qu'elle se masse ses gros lolos comme une cochonne et comme elle mouille déjà il faut lâcher un peu de pression, alors elle peut se masturber un peu devant moi en s'enfilant les doigts et se caresser la fente et la raie.
Plus j'imagine la scène, plus j'ai envie de faire ce que me suggère Benoit ; mais il faut que je reprenne un peu le dessus de la situation.
Oui c'est pas mal tout ça, un peu désordonné mais c'est pas mal.
Luc reprit :
- Lorsque ta bouche sera pleine avec ma queue à l'intérieur, tu pourras plus parler, tu pourras juste dire « Mmmm mmmmmmh » et ça te feras mouiller la moulasse qui deviendra bien juteuse et ton petit slip sera bon à essorer.
Je sais qu'il en rajoute des tonnes pour épater l'assistance mais je commence vraiment à avoir envie de me toucher, je ne sais pas si je vais tenir longtemps à ce petit jeu.
- Luc parle beaucoup mais lorsque tu te foutras à quatre patte, mon braquemart démesuré va me permettre de te besogner la rosette en grand et de te pilonner comme un marteau piqueur, qu'est-ce-que tu en pense ?
- Au point ou on en est, dit Luc je pense qu'on a tout les deux mérité de te mettre nos bites dans tout tes trous.
Je n'en peux plus, je l'ai cherché, je l'ai eu, je me dessape en deux secondes. Luc et Benoit qui ont compris le signal font de même, ils bandent comme des taureaux, eux aussi se sont fait prendre à leur propre jeu.
Ils m'écartent les cuisses et se mettent à me brouter ensemble, ils me lèchent l'anus et le clito. Il ne m'en fallait pas plus pour me faire jouir comme une folle.
- Maintenant bouffe ma queue ma grosse truie, dit Luc.
Je me jette sur sa bite et l'aspire goulument, dans le feu de l'action j'aurais même envie de le mettre tout entier dans ma bouche comme les pros mais j'ai l'impression d'étouffer, il y a des limites tout de même ! Pendant que je suce Luc, Benoit en profite pour me fourrer la chatte en levrette et contrairement à ce que j'attendais il prend son temps et m'astique plutôt lentement un peu de douceur dans ce monde de brute, me dis-je.
- On va te prendre en sandwich, dit Luc
- Ouais, une catin fourrée aux asperges, enchaina Benoit.
Luc s'allongea sur le dos, je m'empale aussitôt sur son sexe et Benoit m'enduit la rosette de lubrifiant (mais ou a-t-il trouvé ça ?) et m'encule tendrement.
Que c'est bon ! J'en ai plein les trous, je n'avais jamais fais ça auparavant. Deux hommes rien que pour moi.
Notre rythme s'accélère et je sens que je ne contrôle plus rien du tout (ai-je contrôlé quoi que ce soit ce soir ?) je jouis comme une démente. Une fois que j'ai un peu retrouvé mes esprits, je sens que je vais me venger un peu et je leur dis :
- Alors les deux petits cochons, ça vous plait comme ça ? Vous réalisez vos petits fantasmes de petits pervers.
- Oui, oui me répondent-ils presque timidement.
- On fait reluire sa petite bistouquette dans la chatte de Katy ?
Luc n'en peut plus et il envoie la purée.
Et toi Benoit dis-je en me redressant tu veux que je te finisse à la main en te massant les roubignoles ?
Benoit ne répond rien mais se laisse faire.
- Tu aimes ça hein petit vicieux ?
C'est à ce moment la que Katy se prend une douche de sperme dans les cheveux.
Tout les trois sont épuisés allongé sur le tapis.
Un silence
- Vous n'avez pas faim vous ? Finit par dire Luc
- Huitres et champagne pour tout le monde ?
- Ah oui cool ! dit Benoit, cette soirée est vraiment cool ! Honnêtement, moi j'étais au bout de mon vocabulaire cochon.
- Pareil pour moi, dit Luc.
- Je crois que je pourrais encore trouver quelques idées pour vous les mecs. Dis-je. Mais comme il y a moins de littérature salace pour les garçons, il va falloir inventer quelques expressions croustillantes.
- Ah oui croustillante ! répond Benoit en se marrant
Tout le monde éclate de rire.
- Dites, vous connaissez pas quelqu'un qui serait intéressé par ce genre de soirée au bureau ?
Sans hésiter Benoit et Luc me répondent :
- Solange.
- Super, on va organiser ça ! Bon à table tout le monde.


Solange RICHARD