La petite Camille

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Proposée le 23/07/2009 par Demon.sadique

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LA PETITE CAMILLE


J'étais au volant de la voiture, Camille était assise à cotés de moi. Je la regardais du coin de l'œil et intérieurement, je fantasmais sur ce que je lui ferais subir une fois rentré. J'ai toujours beaucoup d'idées derrière la tête quand je la vois dans cet état. Il était tard et nous rentrions du restaurant. Son esprit était embrumé par le délicieux vin blanc qui nous avait été servi lors du repas. Sa tenue elle, était comme je le lui avait demandé, sexy et très classe. Elle portait des escarpins noirs ouverts, pas de bas ni de collant, offrant à mon regard la blancheur de sa chair, et à ma main qui se promenait, la douceur d'une peau de pêche parfaitement épilée. Sur ses mains comme sur ses pieds, un joli verni rouge Chanel ornait ses ongles, lui donnant un petit air de femme fatale. Une magnifique robe de soirée d'un noir très sombre épousait parfaitement son corps. S'arrêtant au dessus de ses genoux elle était dépourvue de bretelle, ce qui laissait ses épaules entièrement nues. La robe était très moulante, celle-ci remontait dès que Camille désirait s'asseoir. Il était alors comique de la voir se tortiller en tous sens pour essayer de la rabaisser, sans succès bien entendu. L'alcool aidant, Camille s'était affalée sur le siège avant de la voiture sans prêter attention à ce détail. Le tissu était donc remonté jusqu'à son petit string blanc, qui apparemment était mouillé. Je sentais une pression bien connue se développer dans mon pantalon à mesure que l'on se rapprochait de la maison. Ce soir la, je savais que j'allais abuser d'elle et qu'elle serait très obéissante

Il faut avant de continuer ce récit que je vous présente Camille de façon plus intime. Je l'ai rencontré par hasard lors d'un entretien d'embauche, elle venait pour un poste saisonnier à pourvoir dans le magasin de sport dont je suis le responsable. Camille venait de fêter ses dix huit ans et cherchait un petit boulot pour les vacances.
Personnellement je vis seul, pas d'enfant pas de femme. La raison étant que je suis trop occupé et autoritaire. J'ai trente deux ans bien sonné, je suis en pleine santé, sportif, l'esprit toujours en ébullition. Je travaille sur Paris mais je vis à la campagne dans un pavillon qui m'appartient. Camille se présenta donc à mon bureau pour l'entretien. Dès son entrée, je dois dire que mon regard se posa sur elle, elle était vraiment à croquer. Une silhouette sportive et très fine, des grands yeux bleus en amande, et un visage d'ange. Environ un mètre soixante cinq, elle devait peser dans les cinquante deux kilos à vue de nez. Une belle petite poitrine pointait sous son tee-shirt, et ses jolies lèvres maquillées d'un rose très tendre m'inspiraient déjà nombre de choses. Son caractère était lui aussi tout à fait singulier, extrêmement timide, sa voie était très douce mais aussi très faible, et je devait tendre l'oreille pour entendre ce qu'elle avait à me dire. L'entretien dura bien plus longtemps que la normale, ceci pour une bonne raison, je voulait l'entendre parler d'elle. Il est facile pour un directeur d'exercer une certaine pression sur les candidats pour obtenir plus d'informations. Mes questions qui sortaient un peu du domaine professionnel semblaient la gêner au début, puis elle se mit réellement à me parler d'elle, bien au delà de ce que j'avais demandé. Elle me parla de son père décédé, de sa mère qui ne s'occupait pas d'elle, du fait d'être fille unique. Ces rapports au lycée avec les autres jeunes de son âge étaient désastreux, pourtant elle était très bonne élève. Camille n'avait pas d'amis, ni chez les filles, ni chez les garçons. Malheureusement son joli corps lui valait souvent des avances, mais elle ne donnait jamais suite, trouvant les prétendants trop jeunes et souvent malhabiles. La peinture et la musique classique étaient ces passions, avouez que cela sort de l'ordinaire chez une lycéenne. Malgré moi, cette jeune femme me fascinait, je lui ai donc offert le poste qu'elle convoitait. Bien entendu j'avais dans l'idée de lui apprendre personnellement ce qu'elle devrait savoir sur son futur travail. Quand j'y réfléchis, je pense que je n'ai pas engagé Camille que pour son physique et son comportement. C'est une fille sérieuse, et malgré son jeune âge, elle est très mature. Plusieurs rendez vous dans mon bureau et dans le magasin nous ont permis de tisser rapidement des liens. Au début cela n'était que professionnel, mais bientôt elle accepta de venir manger avec moi le midi. Il était surprenant de voir sa vitesse d'exécution dans les tâches, sa rapidité de compréhension, mais aussi sa totale indépendance vis à vis de ses collègues. Bientôt elle s'attira leurs foudres et fut exclue de l'équipe, ce qui ne sembla pas la déranger. Sans doute était-elle habituer à ce genre de rejet. Je l'emmenais souvent avec moi le midi dans un petit restaurant qui n'était pas trop cher. Sa paye n'était pas énorme, je me privais volontairement de mon restaurant bourgeois pour passer plus de temps avec elle. Quelques fois, je l'invitais et nous parlions beaucoup. Avec le temps nos rapports sont devenu amicaux, je parlais de moi, elle me parlait d'elle. Puis un jour, je me suis décidé à franchir le pas, je l'ai invité chez moi pour le week-end. A ma grande surprise elle accepta, et à la fin de la semaine, je suis partis la chercher chez elle pour l'emmener dans mon petit pavillon isolé. Le soir même, nous étions en train de prendre l'apéro dans le canapé quand la discussion dériva sur nos rapport amoureux. Je lui expliquais que je n'avais pas de femme pour plusieurs raisons, les principales étant professionnelles, les autres relationnelles. Je ne supporte pas les disputes et autres joyeusetés du couple, et mon caractère dominant a le don de les provoquer. Camille m'avoua qu'elle préférait les hommes nettement plus âgés qu'elle, et que la maturité primait dans sa décision. Elle était très sélective et aucun garçon n'avait encore réussit à passer ses critères de choix. Dans son optique un homme se doit d'être responsable, fort, protecteur, et doit prendre les décisions pour deux. J'ai rapidement compris que ses parents étaient de la vieille école, l'homme au travail, la femme à la maison. Je lui expliquais que les mœurs avaient bien changés, elle le savait, mais l'idée lui était plaisante, contrairement à beaucoup de jeunes femmes de son âge. Quand nous avons évoqué son père elle c'est effondrée en larme, je regrettais d'avoir abordé le sujet. Curieusement quand je me suis assis à cotés d'elle, elle est venue se blottir contre moi. Le moment fut très tendre, je lui chuchotais des mots de réconfort à l'oreille tout en lui caressant les cheveux. Puis à un moment, elle me regarda, les yeux rougis, les larmes sur les joues, les cheveux en bataille. Son visage s'approcha du mien, et elle m'embrassa. Mon cœur battait extrêmement vite, et rapidement le simple bisou frivole se transforma en baiser passionné. Nos esprits s'échauffèrent, et à bout de bras, je l'emmenai dans la chambre avant de la déshabiller intégralement. Ce soir là, je pris tout mon temps pour la déflorer, son corps était splendide, elle sentait bon, sa peau était très douce, mais ce qui me plaisait le plus était sans conteste sa timidité. La voir se refuser avant de céder était réellement excitant, je me voyais comme un démon en train de pervertir une jeune vierge effarouchée. Durant la nuit, elle m'offrit plusieurs fois son corps et ses charmes sans résistance. La première fois fut douloureuse pour elle, mais ensuite elle avait réussit à jouir sans aucun soucis.
Quand nos ébats furent terminés, nous avons longuement discuté, et c'est à ce moment que tout s'enclencha. Elle m'expliqua qu'elle rêvait secrètement de devenir la femme soumise d'un homme. Elle avait prit le modèle de ses parents, mais curieusement dans son esprit cela était poussé à l'extrême. Pas besoin d'être psychologue pour comprendre que la mort de son père et le manque d'autorité parentale lors de son adolescence avait renforcé son besoin d'obéir. Sa mère lui avait donné le modèle de la femme au foyer obéissante lorsque son père était encore vivant. Mais à la mort de celui-ci, le modèle s'écroula et la petite fille de l'époque ainsi que la veuve se retrouvèrent dans une "liberté" dont elle ne savait que faire. Je fus surprit de ces déclarations, mais encore plus de ce qu'elle me demanda. Elle désirait emménager chez moi, et devenir selon ses termes "ma petite femme obéissante en tout point". C'est le seul soir où sa timidité fut brisée, et les propositions se succédèrent les unes après les autres, toutes ces années sans père avaient ravagé son esprit, et son besoin de retrouver le modèle d'antan était énorme. Elle m'expliqua en détail tout ce qu'elle pourrait faire pour moi, comme préparer le petit déjeuner, s'occuper de la maison et bien entendu, être une parfaite petite soumise au lit. Soumise, c'est elle qui avait prononcé le mot, pas moi. Elle voulait que je la domine, et ceux au sens propre comme au sens figuré. Elle était très sincère et savait ce qu'elle voulait. Je ne pouvais pas refuser cette proposition, j'ai donc accepté, ce qui la fit sourire. Elle me glissa un "merci" à l'oreille, et s'écroula de fatigue.
Le lendemain matin nous avons établi un pacte. Pour suivre son modèle, Camille devait démissionner et emménager chez moi. Ce fut fait en un temps record, simplement parce que sa mère se moquait bien de ce qui pouvait lui arriver. Elle était donc à la maison, sans ressources, et c'est moi qui devait l'entretenir. En contrepartie, je pouvait exiger d'elle tout ce que je voulait, et je n'allais pas m'en priver. Après plusieurs semaines de dressage, elle était devenue exactement comme je le souhaitais. J'abusais d'elle à volonté, quand et où je le désirais. Elle s'occupait de tout, et je tenais mon rôle de "Maître" à la perfection.


Voilà comment j'ai rencontré Camille, mais retournons à la voiture si vous le voulez bien. La suite est bien plus croustillante.

Nous sommes arrivés à la maison vers minuit, et tout le village était endormit.

- Camille, ferme les volets, et dépêche toi.
Je ne voulait pas que la lumière puisse réveiller les voisins.
- Oui maître, me répondit-elle avec obéissance.
- Quand tu auras fini, tu viendras te mettre en position au milieu du salon.
- Bien maître, je finis de fermer les volets et je viens.
La position que je lui impose souvent est la suivante : elle doit se tenir debout, les mains croisées sur le haut de sa tête, elle doit regarder le sol et écarter ses jambes le plus possible.
De cette façon je peux l'humilier et observer le moindre détail de son intimité. Malgré nos jeux réguliers, Camille a toujours conservé son extrême timidité, c'est ce qui la rend unique. Chaque séance ressemble à la première, et elle ne peut s'empêcher de rougir et de se sentir horriblement gênée quand je lui demande de s'exhiber de la sorte. Je la vois qui arrive, elle se met entièrement nue, mais garde ses hauts talons avant de prendre la position d'attente. J'adore m'asseoir dans un fauteuil juste à cotés d'elle et l'observer longuement, c'est un délice sadique car l'écartement des jambes finit par être douloureux. C'est toujours à ce moment que je lui ordonne sèchement de ne pas bouger et de tenir la position. Elle finit généralement par pleurer.

- Maître je ne peut plus tenir ! Me dit t-elle presque en suppliant.
- Tais toi, depuis quand as tu le droit de te plaindre ?
- Excusez moi Maître.
J'approche mon fauteuil d'elle, et fait glisser mon index sur le long de sa fente qui se révèle être très humide.
- Tu mouilles petite chienne?
Son visage devient rouge comme une pivoine, elle tourne la tête et détourne le regard, pas de réponse.
- Je viens de te poser une question. Pourquoi mouilles-tu ?
Elle se sent terriblement gênée, j'en profite en même temps pour continuer de la tripoter en appuyant sur son clito, ce qui la fait gémir, mais je n'ai toujours pas ma réponse.
- Alors ? Vas-tu me répondre ? Lui dis-je d'un ton très sec.
- Je mouille parce que je suis excitée Maître.
Sa voix c'était faite presque inaudible, et je savais que pour elle, c'était un vrai supplice que de répondre à ce genre de question. Aussi décidais-je de lui faire répéter, mais beaucoup plus fort.
- Pardon, je n'ai rien entendu, répète le plus fort.
Des larmes se mirent à couler sur ces joues, son visage était mortifier.
- Je mouille parce que je suis excitée Maître.
Je la regarde, et mon index qui trifouillait sa chatte est remplacer par mon majeur. Je suis face à elle, mon doigt rentre dans son intimité et en ressort avec une lenteur visiblement exaspérante. Elle gémit, mais je ne compte pas lui donner trop de plaisir. J'arrête ma caresse et la fixe.
- Ouvre grand ta bouche.
Elle ouvre sa bouche le plus possible, et avec mon majeur couvert de mouille, je caresse sa langue, ses dents, son palais, avant de finir par ses lèvres. Puis lasser je cesse ce petit jeu.
- Ferme ton bec, tu te croit au zoo ? Lui dis-je d'un ton moqueur.
Elle referme sa bouche, et des nouvelles larmes roulent sur son visage. Ses jambes tremblent tant la tension est grande. C'est quand elle arrive à cette limite que je lui fait subir les pires choses avant de la libérer. Mon majeur qui avait caressé son petit minou file maintenant à l'entrer de son anus. J'appuie alors avec fermeté et celui-ci rentre très facilement. J'en profite pour la martyriser un peu plus verbalement.
- Comment ça se fait que tu es autant ouverte à cet endroit ?
Cette fois elle éclate en sanglot, mais elle me répond tout de même.
- C'est à cause de dame Murazaki Maître.
- Bien je vois, lui dit-je d'un ton faussement compatissant.
Je continue ma caresse en dilatant lentement son petit trou, mais ces jambes semblent, ne plus pouvoir tenir...

Je vous dois un petit intermède pour vous expliquer qui est Dame Murazaki. Aussi prenez le temps de le lire, vous verrez que cela à son importance.

Dame Murazaki est une grande amie à moi, une femme superbe, issue d'un japon conservateur.
Âgée tout comme moi d'une trentaine d'année, elle est à la tête d'une très grosse entreprise spécialisée dans l'export de vins et de champagnes de luxe. Son attrait pour les jeunes femmes et notre profonde amitié m'avait poussé à lui présenter Camille, non pas comme ma compagne, mais comme ma soumise. Toutes les autres personnes savaient qu'il s'agissait de ma petite amie, mais rien de plus. Bien entendu les commentaires allaient bon train sur notre différence d'âge, mais peut nous importait, nous sommes majeur après tout. Je prête régulièrement Camille à dame Murazaki, l'esprit pervers de cette femme m'impressionne toujours. Elle est propriétaire d'un manoir avec domestique non loin de chez moi. Le salon est époustouflant, tant par sa grandeur que par sa décoration. L'esprit samouraï y est très présent, et nombre d'objet sont des antiquités de grande valeur. Yuro, de son prénom, aime particulièrement humilier Camille en jouant sur sa timidité, elle a d'ailleurs inventé plusieurs jeux spécialement pour ma petite soumise. Quand Camille se rend chez mon amie, elle doit être habillée d'une certaine manière, et faire le trajet de la maison à son manoir à pied. Il y en a pour environ une vingtaine de minute, mais le trajet passe par un grand axe commercial, il y a donc en permanence beaucoup de monde. Camille doit être vêtue de la façon suivante : hauts talons exclusivement blancs, bas blancs, jupe très courte blanche, chemisier en soie blanc, et sous-vêtements blancs également. Elle doit aussi se faire une queue de cheval très haute et très serrée pour bien dégager son visage, ses oreilles et son cou. Au poignet droit, elle doit arborer un chouchou noir quand elle est "disponible", et un chouchou rouge au poignet gauche quand elle a ses règles. Le maquillage est lui aussi très précis, les yeux sont parés de noir pour faire ressortir leurs bleus, les lèvres doivent être d'un rouge très vif, et le fond de teint est très clair afin de contraster avec le reste.
La touche finale est réservée au parfum, qui doit non pas être fruité, mais musqué. Quand elle se rend chez Dame Murazaki dans cette tenue, Camille fait sensation. Elle se fait siffler sur le bord de la route par des hommes qui passent en voiture, et des inconnus n'hésitent pas l'aborder. Les consignes sont strictes, elle doit les repousser, mais en douceur, même si ils sont insistants. Bien entendu je suis de connivence avec Yuro, et je suis discrètement Camille à pied et à distance au cas où elle aurait un problème. Camille l'ignore, mais nous nous assurons de sa sécurité. Nous sommes joueurs, mais pas fou, et il est hors de question qu'une altercation avec un inconnu puisse dégénérer. Une fois arrivée au manoir, elle doit se présenter sous le pseudo de "perle blanche" pour être invitée à entrer. Yuro l'attend à l'intérieur dans son salon, entourée de ces domestique affairés. Une grande table basse ancienne, en bois noir trône au milieu du salon, et le rituel est toujours le même. Yuro ordonne à Camille de se déshabiller, mais de garder ses bas, ainsi que ses chaussures. Elle doit ensuite se mettre à quatre pattes sur la table, les genoux grandement écartés, les bras allongés devant elle, le front touchant la table, les reins creusés au maximum, offrant ainsi sa croupe et son intimité aux yeux de tous. Dame Murazaki utilise la même méthode que moi avec plus de perversion. Plutôt que d'observer Camille longuement dans cette posture, elle décide souvent de s'éclipser pour se changer. Les domestiques n'ont pas le droit de toucher "la perle blanche" pendant son absence, mais bien entendu, cela arrive souvent, et mon amie et moi le savons. C'est un jeu cruel, car Camille ignore que je peux la voir de là ou je suis, et que Yuro de sa chambre voit aussi tout ce qui se passe en bas. Tout ceci est rendu possible grâce à un système de vitre à regard unique, nous pouvons voir, mais les gens dans le salon eux, ne le peuvent pas.
Camille n'a aucun droit de bouger, et souvent après la séance elle rapporte qu'un domestique l'a touché. Yuro la traite alors de menteuse devant tout le monde, alors qu'elle sait parfaitement que c'est la vérité. Cela rend pour ma soumise chaque nouvelle visite chez Dame Murazaki plus difficile, car elle sait que les domestiques, renforcés dans leurs confiances en eux, iront plus loin à chaque fois. A chaque séance les serviteurs s'amusent un peu plus, et parfois Yuro et moi observons la scène ensemble. Une fois, deux d'entre eux se sont vraiment laisser aller, l'un à tirer sur sa queue de cheval pour la faire se redresser sur les genoux, pendant que l'autre c'est assit face à elle pour lui tirer la pointe des seins. Camille quand elle est chez Yuro, a ordre de silence, elle ne doit ni gémir, ni crier, ni parler, ni même soupirer. Elle subit donc les assauts répétés des hommes dans le silence le plus total, et son humiliation n'en est que d'autant plus grande. Quand les domestiques entendent Dame Murazaki redescendre l'escalier qui mène au salon, ils retournent à leurs occupations. Mon amie pour s'occuper de Camille, s'habille toujours de la même façon. Une grande combinaison de vinyle moule entièrement son corps, et elle porte un énorme gode ceinture à la taille. Camille qui attend en position de soumission sur la table sait très bien ce qui l'attend. Yuro est volontairement brute, sans aucune douceur afin d'essayer de prendre ma soumise en faute lorsqu'elle la pénètre par l'anus. Si Camille rompt la règle du silence, nous lui enlevons le droit à un vêtement pour la semaine. Les première fois, elle avait toujours rompu la règle, mais quand Camille avait du s'occuper du jardin et étendre le linge dehors avec simplement des escarpins aux pieds, le silence se fit lors des séances suivantes. Une fois, Yuro et moi lui avions supprimer le droit à l'habillement pendant toute une semaine, elle ne pouvait porter que des chaussures. Je lui avais demandé de s'occuper du jardin uniquement en début de soirée, afin que les yeux inquisiteurs de mes voisins puissent observer son petit corps nue en train tailler les rosiers ou tondre la pelouse. Imaginez vous à ma place, connaissant sa timidité excessive et l'épreuve que je lui infligeais, c'était un plaisir délectable que je dégustais comme un nectar. Yuro prend régulièrement Camille au gode ceinture, et ceux, devant ses domestiques. Cela la met dans un état d'humiliation proche de l'évanouissement. Les larmes coulent en abondance sur son visage pendant que le gode malmène son trou avec un rythme puissant. J'adore la voir quand elle se fait littéralement pilonner l'anus, seule l'expression de son visage indique à quel point elle se sent humiliée. Yuro aime faire durer les séances le plus longtemps possible, parfois elle peut s'amuser avec le petit trou de Camille pendant plusieurs heures, en alternant des godes ceinture de plus en plus gros. A la fin, des photos sont prises, montrant en gros plan le trou de ma soumise complètement distendu. Nous avons fait une sorte de "book" pour montrer à d'autres prétendants ce qu'elle est capable de subir, si nous devions la prêter un jour.
Bien entendu, les photos sont montrées à Camille, et son visage est placarder sur le dessus du fameux "book". Elle détourne la tête et pleure, honteuse de la pointe des cheveux à la pointe des pieds, mais au fond d'elle même, nous savons tout les trois qu'elle aime ça. Malgré les apparences, Yuro a beaucoup de respect pour celle qu'elle martyrise, et souvent à la fin des séances, elle l'embrasse d'un baiser passionné. Camille m'a confié qu'elle adorait ces moments ou une autre femme lui montrait de la tendresse. J'impose désormais à Camille une visite chez mon amie tous les trois jours, autant dire que les domestiques ne vont pas s'ennuyer.

Vous savez désormais qui est Dame Murazaki, retournons donc dans mon salon, ou Camille est sur le point de lâcher...

- Maître SVP je vous en supplie !
Cela faisait maintenant une bonne demi heure que Camille tenait la position. Pour toute réponse, je lui offris une claque magistrale sur son petit fessier rebondit. Elle cria.
- La ferme espèce de catin ! Tu veux réveiller les voisins ?
- Excusez moi Maître, me dit-elle, avec une voie d'enfant prit en faute.
Ma bouche se dirigea sur son cou, et je put sentir de nouveau l'odeur suave que prend sa peau lorsqu'elle est excitée et terrifiée. Je lui fis alors un suçon quasi vampirique, ce qui la fit gémir à la fois de plaisir et de douleur. Alors que ma bouche aspirait, mes doigts se glissaient en même temps au creux de sa chatte, titillant son bouton, l'écrasant parfois, pour ensuite le pincer. Cette caresse la fit défaillir, et tout en serrant les dents pour ne pas hurler, elle prit un orgasme fulgurant. Cette posture avait assez durer. Je prit donc le temps d'observer la belle marque rouge au creux de son cou, avant de la relâcher.
- Mets toi à genoux, les mains dans le dos.
- Oui Maître, merci Maître, me dit-elle d'une voie qui se voulait reconnaissante.
Une fois à genoux, assise sur ses mollets, les mains dans le dos, la tête baisser, elle attendait.
Je me suis déshabillé à mon tour intégralement, et la prenant par sa queue de cheval, je guida sa bouche jusqu'à mon sexe déjà bien durci.
- Donne du plaisir à ton Maître petite chienne.
- Oui Maître.
Elle enfourna mon gland brulant dans sa bouche, sa salive ayant un effet apaisant sur celui-ci.
Ces vas et viens firent vite monter la pression, et la tenant toujours par les cheveux, je lui fis avaler ma queue intégralement avant de lui envoyer plusieurs jets puissants au fond de la gorge.
- Avale tout ! Lui ordonnais-je d'un ton impérieux.
Quand je me suis retiré de sa bouche, elle dut déglutir plusieurs fois pour tout avaler, puis d'elle même, docile et obéissante, reprit sa position initiale.
- Montre moi dans quelle position tu te mets chez Dame Murazaki.
Son visage blêmit, et ses yeux se firent suppliant.
- Dépêche toi petite chienne !
A contrecœur elle se mit dans la même position que sur la table basse. Je put alors observer le travail de mon amie Yuro. Il suffisait de prendre les fesses de Camille à pleine main et de les écartées pour voir sa petite rondelle s'ouvrir comme une fleur épanouie. En tirant bien de chaque cotés je réussit à ouvrir son petit trou de trois centimètre. L'anus était désormais très souple, et aussi accueillant que sa petite chatte. J'avais grande envie de l'humilier ce soir, alors d'un crachat, je lubrifiai l'entrée avant d'enfoncer deux doigts sans ménagement dans son cul. Elle s'est alors remise à pleurer, décidément, cela la mettait vraiment très mal à l'aise. Après avoir distendu correctement son intimité, je l'ai prise sans aucun ménagement. Ma queue s'enfonça profondément sans aucune difficulté, et mes coups de boutoir arrachèrent des gémissements de plainte et de plaisir à ma petite soumise. Je sentis le deuxième orgasme arriver, et je déchargeai tout mon plaisir au fond de ses entrailles. Nous sommes restés un moment emboîtés l'un dans l'autre avant que je décide d'aller me laver. Ma petite chienne elle, avait ordre de rester dans la même position le temps que je prenne ma douche. L'idée qu'elle sente mon sperme chaud au fond de son cul me plaisais bien, et je décidais donc de la laisser mariner comme ça pendant encore un bon moment. Quand je fus propre, et bien installé dans mon fauteuil avec la télévision, elle eut l'autorisation d'aller prendre une douche. Quand elle eut fini, elle se présenta nue devant moi, ses longs cheveux bruns détachés, mouillée et pas coiffée. C'était une consigne, j'aimais bien la voir à la sortie de la douche, pour la voir passer d'un état de femme fatale, à une femme simple sans aucun ornement. Le moment qui suivit fut très tendre, elle est venu s'asseoir sur mes genoux, avant de se blottir dans mes bras. Tout les deux dans mon fauteuil, moi en peignoir, elle totalement nue, mes mains se promenant à loisir sur tout son corps, pas de caresse sexuelle, mais des caresses d'amour. Nous avons échangé des mots très doux, nous nous sommes embrassé. Puis l'heure est venue d'aller nous coucher. Mais avant il restait un dernier rite...
En effet avant de nous coucher, j'enfile toujours un plug dans l'anus de Camille pour la nuit. Celui-ci est retenu par une simple ceinture de chasteté qui a plusieurs avantages. Le premier étant qu'il maintient fermement le plug même si elle bouge pendant la nuit, le deuxième est qu'il l'empêche de se donner du plaisir toute seule si l'envie lui prenait, le troisième est quand à lui le plus amusant. En effet si en pleine nuit Camille à envie d'aller aux toilettes, elle doit soit me réveiller et s'attendre à une punition très dure, soit attendre le lendemain matin. Dame Murazaki m'a suggéré l'idée de lui faire boire un bon litre d'eau tout les soirs avant chaque coucher, j'adore toujours son sens du sadisme. Le dernier avantage indéniable est que même pendant son sommeil je peux facilement enlever la ceinture et le plug, et la sodomiser alors qu'elle n'est même pas encore réveillée. Cela est arriver à plusieurs reprises, je n'arrivais pas à dormir, alors je me suis soulagé et vidé au fond de son cul avant de lui ordonner de remettre la ceinture et d'attendre le lendemain matin pour aller se nettoyer. Mais ce soir je pense que j'ai mon compte, elle sera tranquille pour la nuit, enfin si elle n'a pas envie d'aller aux toilettes...
- Bonne nuit ma petite chienne, je t'aime.
- Bonne nuit Maître, je vous aime aussi.
La lumière s'éteint et nous nous endormons l'un contre l'autre.