Tante Jeanne V

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Proposée le 20/09/2008 par Fulvia

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Dans l'embrasure de la porte que Jeanne venait d'ouvrir, la haute silhouette du visiteur se découpait en contre jour. Irritée par cette visite aussi inattendue qu'inopportune, Jeanne tenta néanmoins de se montrer avenante.

— Louis !... Quel hasard ?
— J'ai vu que tu étais revenue, aussi je me suis permis de venir au nouvelles, s'excusa le visiteur... Comment va Pierre ?...
— Bien merci... Il va d'ailleurs rentrer à la maison aujourd'hui... Robert !... tu connais Robert le neveu de mon mari ?...
— En effet je me souviens de lui, reconnut Louis en saluant le jeune homme... Je me rappelle de l'époque où il venait passer ses vacances chez vous...
— Robert a bien voulu m'accompagner pour aller chercher Pierre à l'hôpital.
— C'est gentil à lui, mais tu sais bien que tu aurais pu me le demander. Je ne te l'aurais pas refusé !
— Je le sais, acquiesça Jeanne qui voyait, attristée, ses espoirs érotiques s'envoler.

Avec un regard désespéré en direction de son neveu, avec lequel elle avait escompté connaître peut-être pour la dernière fois un de ces fabuleux orgasmes, elle se résigna à inviter son visiteur :
— Mais ne reste pas ainsi sur le pas de la porte. Entre un moment... Tu tiendras compagnie à Robert pendant que je change de vêtements.
— Je ne voudrais pas te déranger, tenta de s'excuser Louis, en suivant son amie jusqu'au salon

Aussi affecté que sa tante, sur le fait que ce fâcheux visiteur venait contrecarrer leurs plans, Robert remarqua cependant un détail dans le comportement du nouveau venu ; pendant tout le temps qu'avait duré le dialogue, ce dernier n'avait cessé de couver sa tante d'un regard langoureux. Il ne faisait aucun doute que Louis était fortement attiré par Jeanne. Cette constatation, plutôt que de choquer Robert, lui fit au contraire entrevoir l'avenir différemment. Pourquoi ne tenterait-il pas de profiter du désir que Louis éprouvait pour sa tante, pour inviter ce dernier à partager leurs jeux érotiques. En deux jours de relations sexuelles avec sa tante, Robert avait pu se rendre compte combien cette dernière possédait un tempérament exacerbé. Elle s'était toujours prêtée de bonne grâce à tous ses désirs, même les plus pervers ; les devançant même parfois. Aussi, Robert était certain que Jeanne ne refuserait pas cette nouvelle expérience sexuelle.

— Je vous laisse entre hommes, déclara Jeanne en se dirigeant vers une des portes... Robert, tu sais où se trouve les alcools... Sert à boire à Louis.
— Très bien Tantine!... Que désirez-vous boire, Louis ?... Whisky ? Pastis ou un vin cuit ?
— Je prendrai bien un Whisky !

Se conduisant en maître de maison, Robert, s'en alla remplir deux verres, pendant que Louis suivait d'un œil égrillard le déhanchement sensuel de Jeanne qui s'éloignait. Revenant près de l'ami de sa tante, les deux verres à la main, Robert invita Louis à s'installer dans le profond canapé, alors que lui-même prenait place dans l'un des fauteuils :
— A la votre... Vous êtes assez intime avec mon oncle et ma tante, d'après ce que j'ai compris, questionna le jeune homme.
— En effet, reconnu Louis, loin de se douter où son interlocuteur voulait en venir... Cela fait bien vingt ans que nous nous fréquentons... D'ailleurs, lorsque enfant tu venais passer tes vacances, nous t'amenions à la pêche, ton oncle et moi...
— C'est vrai, je m'en souviens... Si je vous pose cette question, c'est que dans l'avenir, je pense que ma tante aura besoin d'un ami sincère sur qui elle pourra... se reposer...
— Comment cela, nous avons toujours, ma femme et moi, été très proche de ton oncle et de ta tante.
— J'en suis convaincu... Mais si je me permets d'insister, c'est que mon oncle, suite à son malaise cardiaque, devra se ménager...
— C'est certain... Ne te fais pas de soucis pour cela... Je serais toujours là pour lui venir en aide... D'ailleurs ta tante sait très bien qu'elle pourra toujours compter sur moi...
— J'en suis convaincu... En fait, continua Robert, habile comédien, ce n'est pas tant à mon oncle que je pense, mais plutôt à ma tante...
— Comment cela, ta tante ?
— ... Hé bien... Je vais être franc avec vous... Ma tante, est encore dans la force de l'âge pour une femme... Et... Comment dire ?... ... J'ai peur que du fait de sa maladie, mon oncle ne puisse contenter ma tante... sur le plan sexuel... Enfin vous me comprenez !
— Heu, oui je crois, bégaya Louis, estomaqué...

Pensant avoir compris l'allusion de Rober, Louis se sentit étrangement perturbé. Ne sachant pas trop quoi répondre, il porta vivement son verre de Whisky à ses lèvres. Les sous-entendus de Robert au sujet des problèmes sexuels que pourrait rencontrer sa tante, avait déclenché en lui un trouble immense. Le jeune homme venait de toucher un point extrêmement sensible de sa sexualité... Depuis plusieurs années, Jeanne peuplait ses fantasmes les plus secrets. Elle représentait à ses yeux la femme sensuelle par excellence. Par comparaison à son épouse, Jacqueline, au corps filiforme, à la poitrine menue et aux fesses étonnamment plates, les généreux appas de Jeanne ne pouvaient que perturber sa libido.

Lorsqu'il faisait l'amour à son épouse, il s'imaginait chevaucher sa sensuelle voisine. Et lorsque, fiché au plus profond du vagin de sa femme, quand l'orgasme le tétanisait, c'était toujours à Jeanne qu'il pensait en jouissant, lui offrant virtuellement son éjaculation.
Mais malgré ce désir qu'il ressentait pour sa si sensuelle voisine et amie, Louis n'avait jamais osé dévoiler sa passion à cette dernière ; jamais la moindre allusion ou le moindre geste déplacé n'était venu perturber la confiance que Jeanne avait en lui.
— Aussi j'aimerais que ma tante puisse compter sur un ami comme vous,... lorsqu'elle se sentira... triste... enfin vous me comprenez, continua Robert.
Et voila que le propre neveu de Jeanne lui proposait, à mots couverts, d'être le confident des déboires sexuels de sa tante, pour laquelle il éprouvait un désir insensé. Confident, et même plus, s'il comprenait bien le sens caché des propos de Robert. Ce dernier lui proposait à demi-mot de devenir l'amant de sa tante. Pour Louis, l'idée de pouvoir enlacer ce corps sculptural, pouvoir le dénuder, le caresser, le pétrir à pleines mains, enflamma sa libido. Il sentit sa gorge se nouer, tandis qu'une soudaine érection redressait sa virilité dans son slip.
— Tu peux compter sur moi, réussit-il à prononcer...

Loin de se douter de ce que son pervers neveu tramait dans son dos, Jeanne, qui avait gagné sa chambre, s'était débarrassée de son tailleur froissé. A demi nue, n'ayant que son soutien-gorge comme tout vêtement, elle fouilla dans l'armoire pour se choisir une tenue. Son choix se porta sur une jupe noire, plissée qui lui arrivait juste au dessus des genoux, et d'un chemisier blanc à l'échancrure en ‘V'. Mais comme elle s'apprêtait à revêtir sa nouvelle toilette, une question se posa à elle : devait-elle mettre une culotte ?... Une fois l'importun Louis parti, peut-être auraient-ils, Robert et elle, encore le temps de faire l'amour avant d'aller à la clinique, chercher son époux... Il lui fallait qu'elle sente encore une fois ce membre merveilleux naviguer dans ses chairs intimes, la fouiller profondément, avant d'en être privée pour elle ne savait combien de temps. Diminué du fait de son accident cardiaque, Pierre ne pourrait certainement pas éteindre ce brasier, qui depuis son aventure amoureuse avec Robert, ne cessait de lui irradier les entrailles. S'il voulait la combler sexuellement, Pierre risquait peut-être de mettre sa vie en danger : et cela, Jeanne ne le voulait surtout pas. Malgré les aventures amoureuses qu'elle avait partagé avec Robert, le propre neveu de son époux, elle continuait à éprouver un immense amour envers ce dernier. Lorsqu'elle s'était abandonnée aux avances du jeune homme, cela avait été plus par affliction que par réel besoin sexuel. Robert avait en fait profité d'un moment d'accablement, qui l'avait saisi, dû l'hospitalisation de son mari. Elle n'avait pas eut la volonté de lui résister dans un moment où elle avait eu besoin d'un soutient.
Puis le jeune homme lui avait fait découvrir un plaisir qu'elle n'avait jamais connu en plus de vingt ans de mariage. Il lui avait fait connaître un orgasme d'une rare violence ; tous ses sens s'en étaient trouvés chamboulés... Pierre, malgré toute la tendresse qu'il lui témoignait lorsqu'il lui faisait l'amour, ne l'avait jamais fait jouir avec une telle intensité... Robert avait réveillé en elle un besoin sexuel qui devait couver depuis des années, et que son époux n'avait jamais réussi à stimuler.
Après un long moment d'hésitation sur le choix qu'elle devait faire, Jeanne décida qu'il était plus décent, pour aller chercher son mari, d'enfermer son sexe et ses fesses dans une culotte. Fouillant dans le tiroir où étaient rangés ses sous-vêtements, elle choisit la plus fine et la plus coquine. Si jamais Robert avait le désir de venir fouiller sous sa jupe, elle voulait qu'il en soit récompensé. Puis après un dernier regard dans le miroir pour mettre un peu d'ordre dans sa coiffure, elle se décida à aller rejoindre ses deux invités.

L'apparition de Jeanne au salon, déclencha un murmure admiratif de la part des deux hommes. Le premier Robert se leva pour accueillir sa tante :
— Tantine, tu es resplendissante dans cette tenue !...
Si Louis n'avait pas prononcé le moindre mot à l'apparition de son idole, son regard enflammé parlait pour lui. Extasié, il ne savait où poser ses yeux. La courte jupe laissait apparaître les genoux ronds et les jambes fuselées aux mollets nerveux. Au niveau des hanches, le tissu se plaquait étroitement sur les rondeurs sensuelles de Jeanne. Mais ce qui attirait surtout son regard et qui perturbait follement sa libido, c'étaient les extraordinaires protubérances qui déformaient le devant du corsage. Le vêtement, quasi transparent, laissait deviner les balconnets d'un soutien-gorge blanc, agréablement remplis.
Comme Jeanne lui tournait le dos, faisant face à son vieil ami, Robert jugea le moment opportun pour mettre son projet à exécution. S'approchant de sa tante, à cent lieu de se douter de ce qui l'attendait, il referma ses mains sur les hanches en amphore de sa parente et amante.
— N'est-ce pas que ma tante est encore très belle, lança-t-il à Louis.
— En effet, s'empressa de répondre Louis, se levant à son tour... Jeanne, je te trouve éblouissante.
Et comme pour donner encore plus de poids à son compliment, Louis se saisit des deux mains de Jeanne, qu'il serra fiévreusement dans les siennes.
— Oh, Louis !... N'exagère pas, se défendit Jeanne soudainement troublée... Vous allez me faire rougir, tout les deux...
Confondue, Jeanne dut admettre que la remarque de Louis l'avait étrangement troublé. Elle avait toujours considéré ce dernier comme un ami sincère ; jamais elle n'aurait imaginé qu'il pouvait éprouver pour elle un sentiment autre que de l'amitié. Mais cet hommage, à laquelle elle ne s'attendait pas, et surtout le ton et la façon sur lequel il avait été émis, l'avait singulièrement émue. Fixant interrogative son ami, elle découvrit émotionnée que ce dernier la contemplait avec dans le regard une lueur qui ne trompait pas. Cette lueur, elle la connaissait bien, pour l'avoir maintes fois déceler dans les yeux de tout homme que le désir et la passion submergeaient. Cette découverte, loin de la choquer, comme cela aurait dû être, fit au contraire naître dans tout son corps un étrange émoi sensuel. Bouleversée, elle chercha à reprendre ses esprits. Voila, songea-t-elle troublée, qu'elle se trouvait en compagnie de deux hommes qui la désiraient aussi intensément l'un que l'autre. Une onde sensuelle l'enveloppa toute, lorsque son imagination lui projeta l'image de ses deux compagnons sexe dressé. Ne sachant quelle attitude adoptée devant ce nouvel événement, elle retira à regret ses doigts des mains fiévreuses de Louis.
Mais alors qu'elle tentait de reprendre ses esprits, Jeanne perçut avec stupéfaction une raideur bien connue se plaquer contre sa croupe. Son pervers neveu, qui n'avait pas lâché ses hanches, avait profité de son moment d'émoi pour se plaquer étroitement contre son dos. Faisant comme si Louis n'existait pas, ne tenant pas compte de sa présence, Robert s'ingéniait à appuyer sa virilité gonflée entre ses fesses, lui faisant ainsi sentir la force de son désir. Déjà fortement excitée par ce qu'elle venait de découvrir au sujet de la passion que Louis éprouvait pour elle, le contact de ce sexe raidi contre sa croupe ne fit qu'accentuer le trouble sexuel qui l'habitait. Sans plus réfléchir, ignorant à son tour la présence de Louis qui la couvait du regard, Jeanne ne put résister au désir d'appuyer fortement sa croupe contre cette rigidité qui la mettait en émoi. Elle avait tellement espéré pouvoir faire l'amour une fois encore avec son jeune amant, percevoir la raideur de ce sexe magistral à l'intérieur de son ventre. La visite de Louis avait malheureusement perturbé ses projets. Il lui fallait trouver au plus vite une solution à son problème, surtout que le contact du membre viril se faisant de plus en plus insistant entre ses fesses, embrasait ses sens.
Alors qu'elle en était à échafauder divers plans pour résoudre le problème qui se posait à elle, elle sentit les mains de Robert quitter ses hanches pour remonter insensiblement jusqu'à sa poitrine. Dans le même temps, un violent frisson voluptueux, créé par la bouche de Robert se posant contre la chair de son cou, la parcourut. Trop excitée pour être vraiment choquée, elle tenta néanmoins de protester, plus par rapport à la présence de Louis, que par réelle indignation.
— Robert ! S'exclama-t-elle d'une voix, plus amusée que courroucée, veux-tu bien être sérieux... Que va penser Louis !... Tu es vrai gamin !...
— Je suis sur que ton ami Louis est aussi attiré que moi par ton corps si sensuel, s'empressa de répondre Robert... N'est-ce pas Louis ?

Surpris par les privautés que s'octroyait Robert vis-à-vis de sa tante, Louis, la gorge sèche ne pouvait détacher son regard des mains de Robert, qui pressaient les lourdes mamelles tant convoitées de son amie.
— Ouui... En effet, bégaya-t-il de plus en plus troublé.
— Tu vois tantine... Ton ami te trouve à son goût, s'empressa de renchérir Robert poursuivant son idée.
— Voulez-vous bien vous taire tous les deux, balbutia Jeanne, que la scène excitait au plus haut point... Vous allez me faire rougir... Crois-tu, continua-t-elle à l'adresse de son neveu, que Louis puisse être attiré par une vieille de mon âge, alors qu'il a une femme nettement plus jeune que moi...
— Qu'en pensez-vous Louis ?... Est-ce que ma tante n'est pas très désirable ?... Tenez tâtez moi ces seins et dites-moi si ce sont là des seins d'une vielles femme ! insista vicieusement Robert, qui prenait un réel plaisir à diriger les ébats.

Louis, dont le désir pour son amie n'avait cessé de croître au fil des minutes, décida alors d'entrer dans le jeu érotique que lui proposait le propre neveu de cette dernière. D'abord timidement, ne sachant comment son geste allait être accepté par Jeanne, il approcha une main de la forte poitrine qui tendait le léger corsage, qui la recouvrait. Du bout des doigts, il effleura les affolantes rondeurs, objets de ses fantasmes les plus fous, éprouvant un trouble émotionnel intense. Tout en frôlant les généreux appas, que le fin tissu qui les recouvrait mettait encore plus en valeur, en les dessinant subtilement, il jeta un regard en direction de son amie. Ce qu'il découvrit alors finit de l'affoler : Jeanne le fixait, avec dans les yeux une lueur d'une expression particulière. Ce regard brillant de lascivité, l'encourageait à accentuer ses attouchements. Stimulé, par cette œillade pleine de lubricité, Louis referma complètement sa main sur le volumineux sein, le pressant fiévreusement.

Comme la main de son ami de longue date, enserrait son sein gauche, Jeanne ressentit une onde d'une rare volupté lui traverser le corps. Etre ainsi palpée par deux hommes à la fois, lui procurait un plaisir étrange ; jamais, même dans ses fantasmes les plus fous, elle n'aurait imaginé une telle aventure. Comment en était-elle arrivée à ce degré de perversité ; elle qui quarante huit heures plus tôt n'avait jamais trompé son mari. Elle qui pendant plus de vingt ans s'était montrée une épouse irréprochable. Il avait fallu que suite à une émotion trop forte à supporter, elle s'abandonne à la tendresse consolatrice de son neveu. Celui-ci l'avait si bien consolé, si bien réconforté, qu'elle s'était entièrement abandonnée à lui, autorisant sans réfléchir toutes ses caresses, qui l'avait amené peu à peu à accepter d'autres attouchements plus pernicieux.
Robert qu'elle avait toujours considéré comme le fils qu'elle n'avait jamais eu, s'était alors montré un amant exceptionnel. Il l'avait révélé en temps que femme. Il lui avait fait connaître plusieurs orgasmes, plus violents les uns que les autres. Des orgasmes que jamais son mari ne lui avait procurés auparavant. Mais avec ces jouissances fabuleuses, Robert avait déclenché en elle une soif insatiable de satisfactions sexuelles. Soif qu'elle n'arrivait pas à étancher complètement.
Alors que son sein droit était tendrement pressé par la main avide de Louis, le gauche était quand à lui, fiévreusement malaxé par la main conquérante de Robert, placé dans son dos. Contre sa croupe parcourue de frémissements, la raideur bien connue lui labourait la raie des fesses. De son sexe en émoi un véritable ruisselet s'échappait, trempant l'entrejambe de sa fine culotte : cela aussi était nouveau pour elle. Jamais elle n'avait autant mouillé sous le désir ; la simple humidité qui humectait sa vulve, il y a quelque temps encore, s'était étrangement transformée en une véritable inondation. De fond de son vagin affamé un torrent prenait naissance.
Sous cette abondance de flux vaginal qui lui poissait les cuisses, Jeanne tenta de réagir d'une voix manquant cependant de conviction :
— Arrêtez tous les deux !...Voulez-vous être sérieux !...
— Ça ne te plais pas ? demanda aussitôt Robert en pressant plus fermement le sein qu'il tenait en main.
— Je n'ai pas dit ça, bégaya Jeanne !... Vous me rendez folle tout les deux...
Les jambes flageolantes, Jeanne se recula jusqu'au canapé sur lequel elle se laissa tomber, le bas-ventre agité par un désir de plus en plus impérieux.

Surpris par la dérobade de leur compagne, les deux hommes demeurèrent immobiles, debout, faisant face à cette dernière.

Du fait de sa position assise sur les coussins du profond canapé, Jeanne se trouva avec le visage à hauteur du bas-ventre de ses deux partenaires. Les bosses éloquentes que son regard découvrit lui mirent du baume au cœur. D'après ce qu'elle pouvait deviner, ses deux compagnons était victimes d'une extraordinaire érection. Une émotion la gagna : ainsi malgré son âge, elle pouvait encore provoquer le désir chez deux hommes en même temps. Les entrailles torturées par un brasier dévorant, elle décida qu'elle ne devait pas laisser passer une telle occasion ; qui sait quant pareille aubaine se représenterait. Rejetant toute pudeur elle lança ses mains en direction des braguettes déformées. Refermant ses doigts autour des excroissances disgracieuses, mais tellement attirantes, elle interpella ses deux partenaires :
— C'est moi qui vous fais cet effet là ?
— Qui veux-tu que ce soit, plaisanta Robert... N'est-ce pas Louis ?
Déconcerté par le comportement quelque peu lubrique de son amie, Louis ne put qu'émettre un sourd grognement, qui pouvait passer pour un acquiescement.

Follement excitée de percevoir sous ses doigts la fermeté des deux sexes masculins, Jeanne ne put se contenir plus longtemps :
— C'est vrai ?... C'est moi qui vous met dans cet état là ?... Je tiens à voir ça !
— Tu veux voir nos queues ? interrogea Robert, éprouvant un plaisir trouble à se montrer grivois vis-à-vis de sa tante, et ce devant un étranger.
— Oh oui... montrez-moi vos... queue, bégaya Jeanne reprenant avec émotion les termes de son neveu.
— Eh bien Louis, il ne nous reste plus qu'à obtempérer, s'esclaffa Robert en dégrafant son pantalon.
En moins d'une minute les deux hommes se retrouvèrent slip et pantalon aux pieds, exposant leurs sexes dressés, à la convoitise de leur compagne.

Jeanne demeura un instant comme hypnotisé par les deux verges en érection qui semblaient la narguer. Elle laissa son regard aller de l'une à l'autre, les comparant visuellement. Si le membre de Robert, élancé et affûté se dressait telle une lance d'un preux chevalier, celui de Louis par contre, moins long, plus gros, plus massif, ressemblait plus particulièrement à un gourdin. N'ayant toujours connu et accepté dans son ventre, que le membre de son mari, Jeanne demeura extrêmement étonnée à découvrir qu'un sexe masculin pouvait être si différent d'un homme à un autre. Déjà lorsqu'elle avait découvert la longueur étonnante de la verge de son neveu, elle en avait été incroyablement surprise. Elle s'était à ce moment là, posée la question de savoir comment une femme pouvait accepter un tel morceau à l'intérieur de ses entrailles. Jusqu'à ce que ce pal démesuré lui procure une jouissance incroyable. Le membre viril de Louis, bien que d'une grosseur exceptionnelle, lui parut moins impressionnant, sachant que sa vulve pourrait l'avaler sans peine tant celle-ci était particulièrement vaste.
— Eh bien, tantine !... Tu m'as l'air bien rêveuse !... Nos engins ne t'inspirent pas ?... Tu peux les toucher, ils ne vont pas te mordre...
— A la rigueur, ils peuvent simplement te cracher dans la main, renchérit Louis, entrant enfin dans le jeu de Robert.
Tirée de sa contemplation par les encouragements de se deux complices, Jeanne émergea de sa torpeur sensuelle. Lançant ses mains en directions des colonnes de chair qui se tendaient désespérément dans sa direction, elle referma ses doigts autour. A percevoir contre ses paumes la fermeté, alliée à une certaine douceur, des membres virils gonflés, un trouble émotionnel la saisit. Fixant extasiée le dôme rose des glands boursouflés, qui jaillissaient de ses mains refermées, elle entama une lente masturbation conjuguée. Avec énormément de sensualité, elle branla ses deux partenaires, éprouvant un véritable bonheur à sentir leurs verges frémirent entre ses doigts. Entre ses cuisses ses épanchements sexuels s'étaient encore intensifiés, au point qu'elle eut une pensée émue pour sa culotte, dont l'entrejambe s'imbibait de ses secrétions vaginales.

Ce fut Robert qui le premier brisa le silence qui s'était installé dans la pièce :
— Alors, qu'en dites-vous Louis... N'était-elle pas douée ma cher tante ?... Et vous n'avez encore rien vu... Tantine, si tu montrais à ton ami ce que tu es capable de faire avec ta bouche.
Devant tant de perversité entre celle qu'il avait toujours idolâtrée et son neveu, Louis en demeura sans voix. Fixant incrédule son amie de toujours, il vit avec émoi cette dernière approcher son visage de son bas-ventre dénudé. Dans un frisson de tout son être, il sentit la bouche amie, chaude et humide, s'emparer de son gland dilaté pour le sucer lentement. Alors commença pour lui un véritable supplice. Déjà fortement troublé par ce qu'il avait découvert, de la liberté de mœurs qui existait entre Jeanne et son neveu, le suave va-et-vient des lèvres singulièrement douces le long de son membre viril ne fit qu'accroître encore son désir. Dans un frémissement de tout son être, il comprit qu'il n'allait pouvoir retenir longtemps le plaisir que les lèvres sublimes faisaient naître au plus secret de ses entrailles. Refusant cette éjaculation précoce, qui risquait de surprendre et peut être même d'offusquer son amie, il tenta de concentrer ses pensées sur des sujets étrangers à ce qui se passait au niveau de son sexe. La première évocation qui lui vint à l'esprit, ce fut l'image de son épouse qui l'attendait sagement dans leur maison, à quelques mètres de là. Un sentiment de culpabilité le saisit aussitôt, ce qui freina quelque peu sa libido exacerbée. Ce n'était certes pas son épouse qui se serait conduit ainsi. Déjà qu'avec lui, elle se montrait plutôt réticente à tout contact érotique qui sortait de l'ordinaire, jamais elle n'aurait accepté pareille situation.
Alors qu'il faisait des efforts désespérés pour retarder l'instant fatidique qui l'obligerait à s'abandonner à la jouissance, Louis fut sauvé par Robert :
— Dis donc, tantine, si tu pensais un peu à ton neveu...

Jeanne lâcha immédiatement le membre frémissant de son ami, pour absorber le bourgeon de chair dilaté que Robert lui présentait. L'interruption de la trop voluptueuse succion apporta un immense soulagement à Louis, cette trêve allait lui permettre de reprendre le contrôle de ses sens.
Suçant avec application le membre gonflé que son neveu lui offrait, Jeanne n'abandonna pas pour autant son vieil ami. Tout en officiant d'une bouche experte le long du pénis de Robert, elle avait refermé sa main autour de la verge, encore humide de sa salive, de Louis. En amoureuse attentionnée à procurer le maximum de volupté à ses deux partenaires, elle s'attacha à donner le même rythme à ses doigts et à ses lèvres.
Toute attentive à prodiguer un plaisir identique à ses deux amants, suçant l'un et branlant le second, Jeanne ressentait un plaisir intense à dominer sexuellement les deux hommes. Jamais elle n'aurait pu imaginer vivre une telle aventure érotique. Elle qui pendant plus de vingt ans s'était conduite en épouse discrète et fidèle, elle prenait une intense délectation à sentir deux mâles en érection se soumettre à ses attouchements. De sentir ces deux verges, dures et douces en même temps, frémirent d'impatience, l'une entre ses lèvres et la seconde contre la paume de sa main, lui procurait une volupté d'une rare intensité.

Le changement de caresse de la part de son amie avait permis à Louis de reprendre ses esprits. Savourant le suave plaisir que lui prodiguait la main amie, il suivit d'un œil intéressé le spectacle que lui offraient Jeanne et son pervers neveu. Les reins arqués, Robert se laissait pomper par sa tante, l'encourageant crûment de la voix.
— Alors, Louis, je suis sur que vous n'auriez jamais imaginé une telle lubricité de la part de votre amie ?
— Certainement pas !
— Et vous n'avez pas tout vu !... N'est-ce pas Tantine ?
Comme Jeanne tentait de répondre, Robert lui agrippa la nuque sur laquelle il appuya fortement, forçant sa tante à absorber complètement la longue tige de son sexe raidi et l'empêchant de répondre.

Le nez et le menton plaqué au pubis de son neveu, Jeanne sentit le gland gonflé venir lui obstruer le fond du gosier, lui procurant une déchirante régurgitation. D'un brusque sursaut, elle rejeta sa tête en arrière, recrachant le membre surdimensionné. La bouche dégoulinant de salive elle réussit à haleter :
— Tu veux m'étouffer... J'avais ta queue au fond du gosier... Tu es vraiment monté comme un mulet !...
Ravi de la comparaison, Robert contempla son sexe dressé tel un glaive victorieux.

Ne désirant pas être de nouveau à moitié étouffée par la longue verge, Jeanne se saisit de du dard de son neveu, afin de le branler avec beaucoup de douceur. De nouveau, Jeanne ressentit un immense sentiment d'orgueil à l'idée qu'elle tenait en main la concupiscence de ses deux compagnons, et qu'elle pouvait réguler leur désir à sa guise. Il suffisait qu'elle accélère le va-et-vient de ses mains pour amener rapidement les deux males au paroxysme de leur appétit sexuel, et leur faire décharger instantanément leur semence. Avec une ivresse croissante, elle activa ses caresses le long des verges palpitantes, décalottant simultanément les glands, de forme et de grosseur différentes. Ces adipeux bonbons de chair rose la faisaient saliver, au propre comme au figuré, car entre ses cuisses, la source qui avait pris naissance au plus profond de son vagin redoublait de débit. Avec émotion, Jeanne réalisa que jamais elle n'avait autant mouillé depuis son adolescence ; sa culotte allait être complètement trempée, songea-t-elle amusée.
A fixer les bourgeons de chair qui au fil de la masturbation prenaient une couleur violacé, Jeanne ressentit une envie étrangement érotique : pourquoi ne prendrait-elle pas en bouche les deux glands si appétissant ? Avec un frémissement sexuel qui la parcourut toute, elle avança son visage au devant des deux verges tendues qu'elle décalotta au maximum, et ouvrant la bouche en grand elle tenta d'aspirer les deux nœuds particulièrement gonflés... L'extrémité de la queue de Robert pénétra sans encombre à l'intérieur de sa bouche, mais le gland de Louis, plus volumineux, eut quelque peine à se frayer un chemin entre les commissures des lèvres écartelées. Elle dut ouvrir la bouche au maximum, au risque de pratiquement se démantibuler la mâchoire pour pouvoir accepter l'énorme bout à l'intérieur de son palais.
— Eh bien, quel appétit ! s'exclama Robert... Vous voyez Louis... Quand je vous disais que vous alliez être surpris... Vous ne vous attendiez pas à ce que votre amie soit si friande de sexe...
Sidérée par tant de luxure de la part de celle qu'il avait toujours considérée comme une femme et une épouse exemplaire, Louis ne sut que répondre, trop attentionné à fixer la bouche amie extrêmement déformée.

Malgré toute sa bonne volonté, Jeanne dût se rendre compte qu'elle était bien incapable de sucer les deux verges, comme elle l'avait désiré. Ne voulant pas abandonner sa folle succion, elle se contenta de serrer l'extrémité des glands entre ses lèvres, et à l'aide de ses mains, elle entreprit de branler énergiquement les deux verges dilatées. Du fait de sa position, sa jupe s'était largement retroussée, dévoilant la majeure partie de ses cuisses, blanches et dodues, pour le plus grand plaisir des deux hommes.
Alors que Jeanne s'évertuait à leur procurer du plaisir à Louis et à lui, Robert s'attela à déboutonner le corsage de sa tante. Tout occupée à leur procurer du plaisir, Jeanne laissa son neveu s'attaquer aux boutons de son vêtement.

Louis qui suivait intéressé les moindres gestes de Robert, compris, en voyant le jeune homme faire sauter un à un les boutons du chemisier, qu'il allait enfin découvrir cette poitrine qui le faisait tellement fantasmer depuis si longtemps. Le léger vêtement s'écarta soudain, offrant aux deux hommes la vision d'un soutien-gorge de dentelle agréablement rempli. Les balconnets échancrés laissaient libre le dôme supérieur de deux seins gonflés.
Affolé par ce spectacle plein de charme, Louis en oublia la main féminine qui méthodiquement s'activait le long de son membre palpitant. Suivant d'un œil intéressé les gestes de Robert qui essayait de repousser le corsage déboutonné sur l'épaule de sa tante, il fut tiré de sa contemplation par le jeune homme :
— Louis, pouvez-vous m'aider à retirer ce vêtement.

Recrachant les glands qu'elle tentait de sucer maladroitement, Jeanne, sans cesser de branler langoureusement les deux bittes aux dimensions si dissemblables, fixa intensément ses deux partenaires. A l'idée de montrer sa lourde poitrine à son ami de longue date, une folle excitation l'envahit. Au plus secret de son sexe impatient, le brasier qui la consumait gagna la totalité de ses entrailles, tandis que la source qui avait pris naissance dans les replis de sa vulve affolée, s'était transformée en un véritable torrent. L'entrejambe complètement trempé, Jeanne resserra énergiquement ses cuisses, tentant par ce geste de faire barrage à cet amas de sécrétion vaginal.
Cependant, rendus impatient par le désir, les deux hommes tentaient maladroitement de repousser son léger corsage de ses épaules. Comprenant qu'ils n'y arriveraient pas si elle ne participait pas, Jeanne lâcha à regret les deux virilités qu'elle branlait, afin d'aider ses compagnons à retirer son vêtement.

Alors que Louis fixait avec un émerveillement non feint les dômes blancs qui jaillissaient des corbeilles de dentelle, tout en conservant dans ses mains, telle une relique sacrée, le léger corsage, Robert s'empressa de s'attaquer à l'attache de plastique qui retenait le soutien-gorge. Une fois le sous-vêtement dégrafé, le jeune homme se hâta d'en repousser les bretelles, des épaules rondes de sa tante. Mollement, le soutien-gorge tomba sur les genoux de Jeanne, libérant l'opulente poitrine. Dans un réflexe de pudeur, vis-à-vis de Louis, Jeanne protégea ses seins dénudés de ses mains.
— Allons Tantine, tu ne vas pas cacher de tels trésors à ton soupirant, s'esclaffa Robert... Depuis le temps qu'il meure d'envie de voir tes seins, tu pourrais lui accorder ce plaisir... N'est-ce pas Louis ?
Terriblement émue et en même temps follement excitée, depuis qu'elle avait deviné ou voulait en venir son pervers neveu, Jeanne laissa doucement retomber ses mains sur ses cuisses, offrant sa lourde poitrine aux regards concupiscent de Louis.

Agrippant alors les mains de sa tante, Robert la força à se lever du canapé où elle était assise, l'obligeant à faire face à son vieil ami. Dans ce mouvement les lourdes mamelles exagérément gonflées et aux aréoles brunâtres, retombèrent mollement sur le torse de leur propriétaire, leur concédant une sensualité prononcée. Emerveillé, Louis contempla les merveilleux fruits de chair, objets de ses fantasmes les plus secrets.
— Alors Louis, comment trouvez-vous ma tante ?... L'imaginiez-vous ainsi ?...
— Robert !... Protesta doucement Jeanne, soudainement fébrile.
Immobilisant sa tante en lui encerclant la taille de son bras droit, Robert empoigna un des deux seins de sa main gauche, qu'il rehaussa en le pressant délicatement :
— Venez toucher, Louis... Dites moi si ce sont des seins de vieilles femmes, comme le prétend ma tante !...
Terriblement excité, et par la situation extravagante dans laquelle il était plongé et par la découverte de la magnifique poitrine de son amie, Louis ne put résister davantage. Avançant une main tremblante, il se saisit du second sein laissé libre, refermant avec émotion ses doigts dans la chair élastique. Il fut tout d'abord particulièrement surpris en constatant combien ce sein était demeuré ferme, malgré sa grosseur, et l'âge de sa propriétaire ; il est vrai, songea-t-il que cette dernière n'avait pas connu de grossesse, et de ce fait n'avait jamais allaité. Ce qui expliquait peut-être cette robustesse des chairs. Détournant son regard du merveilleux fruit charnel qu'il pressait avec fièvre, il reporta son attention sur son amie de longue date. Ce qu'il découvrit alors, ne fit qu'enflammer ses sens un peu plus : Jeanne le fixait d'un air extatique, bouche entrouverte, narines palpitantes et pupilles dilatées... Jeanne son égérie avait, sous l'effet magique du désir, rajeunit de vingt ans ; elle était l'image parfaite de la femme amoureuse, tel qu'il se l'était toujours représenté lors de ses fantasmes les plus fous.
Jetant un rapide coup d'œil en direction de Robert, il s'aperçut que celui-ci avait saisi dans sa bouche le sein qu'il triturait quelques instants auparavant. Sans plus réfléchir, il décida d'en faire autant. Se penchant sur la volumineuse mamelle qu'il pressait d'une main caressante, il goba le large mamelon brun au centre duquel le téton s'érigeait, tel une minuscule verge. Avec une gourmandise érotique, il aspira fortement l'extrémité gonflée du sein, le pressant de ses lèvres. Avec beaucoup de délicatesse il referma ses dents autour du bourgeon de chair, qu'il mordilla avec une réelle délectation.

Jeanne dont le désir n'avait cessé de croître au plus intime de ses entrailles, la faisant littéralement ruisseler, éprouva un ineffable plaisir à être ainsi tétée par ses deux compagnons. De ses seins voluptueusement sucés, des ondes de plaisir prenaient naissance, lui irradiant le creux des reins et le bas-ventre. Des spasmes violents lui parcouraient les entrailles, la faisant se crisper. Bombant le torse, elle se cambra au maximum afin de mieux offrir sa volumineuse poitrine aux sensuelles sucions :
— Oh oui, c'est bon, murmura-t-elle aux anges, encourageant ses partenaires à continuer !... J'aime...
Agrippant la nuque de ses deux partenaires, elle les força à écraser leur visage contre ses seins gonflés. Bien que les deux hommes œuvraient différemment sur ses mamelons dilatés, le plaisir qu'ils lui prodiguaient la comblait au delà de tout ce qu'elle avait imaginé. Ivre de plaisir, Jeanne lança alors ses deux mains en directions des virilités orgueilleusement tendues des deux hommes, autour desquelles elle referma ses doigts. Le corps parcouru de frémissements érotiques, elle entreprit, d'un souple mouvement du poignet, de branler les deux verges raides et gonflées. A percevoir contre ses paumes la tiédeur et le velouté de sexes masculins en érection, accentua encore le trouble sexuel qui l'avait envahi.
Tout à sa félicité sensuelle, Jeanne ne se rendit pas compte que son pervers neveu, sans cesser de téter le sein qu'il avait choisi, avait fait glisser la fermeture qui retenait sa jupe. Ce n'est que lorsque son vêtement glissa sur ses hanches, pour venir s'étaler à ses pieds, à même le sol, qu'elle se rendit compte de sa tenue. Seul son bas-ventre était encore recouvert par sa culotte extra fine, qui laissait deviner son abondante toison par transparence. Un soudain sentiment de gêne la gagna en songeant que Louis, son vieil ami et soupirant, allait découvrir son léger embonpoint. Aussi, comme pour empêcher ce dernier de polariser son attention sur ses bourrelets, qui risquaient d'atténuer le désir qu'il ressentait, elle échappa aux bouches qui la tétaient pour se pencher vivement sur le bas-ventre de son ami, afin de gober d'une bouche vorace sa virilité tendue. Mettant toute l'expérience qu'elle avait acquise auprès de son pervers neveu, elle suça la volumineuse tige de chair boursouflée, l'avalant entièrement dans sa bouche emplie de salive.

Les reins arqués sous le prodigieux plaisir que lui prodiguait son amie de longue date, Louis, dans un réflexe érotique, crocheta ses doigts dans la chevelure de cette dernière, lui immobilisant le visage. L'excitation le rendant fébrile, il maintint son ardente partenaire d'une main ferme, l'empêchant d'esquisser le moindre mouvement. Incapable de se contrôler, il pistonna la bouche de Jeanne, de sa queue gonflée, s'ingéniant à la faire coulisser entre les lèvres ruisselantes de salive, comme il l'aurait fait s'il l'avait baisé normalement.

Se trouvant soudainement délaissé, Robert fixa un moment le spectacle terriblement érotique que lui offrait sa tante, obligée d'absorber la verge dilatée que son ami Louis lui enfonçait sans ménagement au fond du gosier. Penchée en avant, le visage au niveau du bas-ventre de Louis, les seins ballotant au rythme de la vive fellation, le cul agréablement arrondi de part sa position, Jeanne offrait un spectacle des plus excitant. Cherchant comment il pourrait prendre part aux jeux érotiques de ses compagnons, qui pour l'instant l'ignoraient superbement, Robert jeta un coup d'œil en direction de la croupe tendue de sa tante : seule partie de son anatomie encore vêtue. Jugeant que cette lingerie, si fine fut-elle, dénotait dans l'affriolant tableau, il décida de l'ôter. Se plaçant alors derrière sa sensuelle tante, il entreprit de faire glisser la fine culotte de soie sur les fesses généreuses de sa parente. Avec une espèce d'ivresse érotique, il dénuda la croupe agréablement rebondie et séparée en son centre par la profonde et mystérieuse raie des fesses. S'agenouillant alors à même le sol, tel un adorateur d'une divinité païenne, il embrassa passionnément les chairs fermes et élastiques des rondeurs fessières, tout en les pétrissant passionnément à pleines mains.
Mais en fait l'adoration que Robert portait à la vaste croupe de sa tante avait un but bien précis. Laissant libre cours à sa perversion, le jeune homme écarta les fesses épanouies, afin de dénicher, niché au plus secret de la longue sente, l'affolant orifice plissé de l'anus. Le petit trou brunâtre, cerclé par une fine collerette de poils tirant sur le roux, palpitait doucement, comme pour l'inviter à venir lui rendre hommage. Avec une dévotion presque religieuse, Robert colla ses lèvres à l'anus fascinant et avec une réelle délectation il entreprit de fouiller d'une langue vivace, le ravissant petit trou. Epointant sa langue, il tenta d'explorer les profondeurs mystérieuses du cul de sa tante. Ce baiser très spécial dut plaire à Jeanne car il sentit celle-ci agiter langoureusement ses hanches, comme pour l'inciter à continuer.
Maintenant les fesses de sa parente largement écartées, Robert commença à naviguer entre les deux orifices naturels de cette dernière. Abandonnant momentanément l'anus frémissant, il laissa glisser sa langue jusqu'à la longue faille sexuelle tapie au centre d'une abondante fourrure. Collant sa bouche aux longues lèvres sexuelles, il plongea sa langue dans la chatte aux chairs carminées. Un flot de cyprine chaude et odorante lui englua aussitôt les lèvres et le menton. Bien qu'extrêmement étonné devant cette afflux de secrétions, Robert n'en continua pas moins de fouiller d'une langue agile les profondeurs de la vulve emplie de mouille. Le liquide vaginal âpre et parfumé lui emplit la bouche, alors qu'en même temps un capiteux fumet lui agaçait les narines.

Maintenant toujours solidement le visage de Jeanne à hauteur de son bas-ventre, afin de faire coulisser son membre dans sa bouche, Louis fixait excité ce qui se passait dans le dos de sa partenaire. Celle-ci émettait de sourds grognements en agitant sensuellement ses hanches ; preuve du plaisir qu'elle éprouvait à être léché par son pervers neveu. Aux mouvements qui agitaient le crâne de Robert, Louis comprit que ce dernier dispensait ses baisers aux deux orifices de sa tante, passant de l'un à l'autre alternativement.

Les incursions répétées de la langue de Robert, soit à l'intérieur de sa vulve, soit dans les profondeurs de son cul, déclenchaient chez Jeanne des vagues d'intense volupté. Sa chatte ruisselait de plus en plus abondamment, et soudainement, comme cela s'était produit le matin même pour la première fois, les vannes secrètes de son vagin s'ouvrirent, libérant un flot important de cyprine.

La bouche étroitement collée aux grandes lèvres sexuelles de sa tante, alors que d'une langue gourmande Robert explorait les profondeurs du vagin de celle-ci, se régalant du goût épicé du suc qu'il recueillait, un flot soudain lui éclaboussa le visage, le forçant à se battre en retraite. Devant l'importance des secrétions amoureuses qui l'avait copieusement aspergé, Robert demeura quelque peu étonné. Lors de leurs précédentes relations amoureuses, sa tante ne l'avait pas habitué à un si important débit vaginal. Il est vrai qu'il ne la connaissait sexuellement que depuis trois jours. Comprenant que cet afflux de liqueur grasse, reflétait l'intensité du désir que Jeanne devait éprouver, il jugea qu'il pouvait alors mettre son plan à exécution. Le visage ruisselant, il se redressa afin de pointer sa verge tendue en direction de la chatte dégoulinante. Plaçant correctement son gland gonflé entre les grandes lèvres sexuelles, luisantes de mouille, il n'eut qu'à lancer son bas-ventre en avant pour faire entièrement pénétrer sa verge dans l'antre brûlant. Empoignant alors à deux mains les hanches de sa tante, toujours solidement maintenue par Louis, il entama un lent mouvement de va-et-vient, faisant coulisser, avec une réelle délectation, sa queue dans la fournaise du vagin. Le flot considérable de cyprine chaude et onctueuse que produisait le sexe en fusion, aidait considérablement le glissement de son membre viril. Or vu l'ampleur de la chatte qu'il pistonnait, Robert, comme la première fois qu'il avait découvert cette particularité chez sa tante, avait l'impression de naviguer dans un chaudron bouillonnant. Ce n'est qu'en ondulant des hanches qu'il parvenait à frôler les parois internes du vagin à l'aide de son gland.

Jeanne éprouvait un indicible plaisir à être prise par deux virilités en même temps : elle y avait souvent pensé sans jamais s'imaginer vivre un jour pareil expérience, et voila qu'aujourd'hui son fantasme devenait réalité. Elle aurait voulu encourager son neveu à accélérer son allure, l'inciter à la pistonner plus vigoureusement, mais la verge que Louis lui enfonçait au fond de la gorge lui interdisait toute parole.

Les doigts crochetés dans les hanches de sa volcanique tante, Robert accéléra peu à peu le rythme de ses pénétrations dans le vagin de cette dernière, éprouvant un indéniable plaisir à sentir la fournaise du sexe féminin envelopper son membre. Chaque pénétration de sa verge dans la vulve ruisselante s'accompagnait d'un clapotis extrêmement aphrodisiaque pour le trio.
— Ma tante est une véritable fontaine, annonça soudain Robert à l'attention de Louis qui le fixait... C'est incroyable comme elle peut mouiller... Je nage dans un véritable océan... Ça vous dit d'essayer ?
— Avec plaisir, répliqua Louis qui ne demandait que ça.
Cela faisait des années qu'il en rêvait : pouvoir faire l'amour à celle qui mettait ses sens en émoi chaque fois qu'il la croisait. Celle à qui il dédiait systématiquement ses éjaculations chaque fois qu'il faisait l'amour à sa femme. Il allait enfin réaliser ce désir, il allait enfin connaître la chaleur de ce sexe tant désiré. Le cœur battant, il relâcha le visage de Jeanne, permettant à celle-ci de se libérer de l'énorme membre qui lui obstruait le gosier :
— Mon salaud, tu as bien failli m'étouffer à ton tour ! plaisanta Jeanne...
— Tantine ! s'exclama Robert, plus amusé que choqué... Quel est ce langage vis-à-vis de ton ami...
— On voit bien que ce n'est pas toi qui étais obligé d'avaler ce morceau... Avoue que mon ami, comme tu dis, possède une queue énorme...
— Je te l'accorde, mais comme de ton coté la nature t'a doté d'une chatte étonnamment vaste, Louis ne devrait pas avoir de difficultés pour y enfoncer sa bite...
Louis et Jeanne se regardèrent en souriant tendrement :
— C'est vrai Louis, Robert à raison acquiesça Jeanne... J'aurais plus de facilité à t'accepter dans mon ventre que dans ma bouche...Mais vous ne pourriez pas cesser de vous vouvoyer tous les deux ! Vous avez l'air malin, la queue à l'air à vous faire des politesses !...
— Elle à raison, acquiesça Louis en jetant un coup d'œil amusé à leurs nudités à tous les trois... Robert je veux bien prendre ta place... A condition que Jeanne le veuille, bien sur...
— Et comment que je suis d'accord, s'empressa d'accepter Jeanne... J'ai hâte de sentir ta grosse queue dans ma chatte...
— Alors attendez tout les deux !
S'attribuant d'office le rôle de maître de ballet, afin de diriger les ébats suivant ses désirs, Robert se saisit du plaid qui recouvrait le large canapé et l'étendit sur le sol :
— Tu permets que j'emprunte ta couverture Tantine ?
— J'aurai mauvaise grâce à te la refuser maintenant qu'elle est par terre...
— Voila !... Louis, tu viens t'étendre sur le plaid et toi Tantine tu le chevaucheras.
— Obéissons Louis, je suis sure que tu es aussi impatient que moi...
Louis qui depuis un moment fixait médusé l'abondante fourrure qui tapissait le pubis de son amie, tarda à réagir à l'invitation de cette dernière.
— Eh bien Louis, je croyais que tu mourrais d'envie de me faire l'amour, s'impatienta Jeanne, le bas-ventre de nouveau torturé par un désir impérieux.
Rappelé ainsi à la réalité, Louis s'allongea vivement sur le dos à même le sol, sans cesser de contempler le corps épanoui de son égérie. Il avait tellement rêvé cet instant !... Avec ses longues jambes, fortes mais d'un galbe parfait, sa poitrine au volume impressionnant, ses hanches sensuellement épanouies et sa croupe haute et agréablement arrondie, Jeanne restait à cinquante trois ans, une femme encore très attirante et très désirable.

Comme Louis s'était installé de la façon que Robert lui avait demandée, Jeanne fixa avec gourmandise le volumineux membre viril en parfaite érection, qui dressé à la verticale oscillait doucement :
— Je sens que je vais me régaler, annonça-t-elle en enjambant son ami de longue date.
Jeanne se plaça, comme Robert le lui avait conseillé, au dessus du bas-ventre de Louis, où se dressait fièrement l'impétueux pal de chair, pour le plus voluptueux des supplices. Tout en pliant les jambes, elle lança une main entre ses cuisses afin de se saisir de la verge gonflée, qu'elle maintint fermement au dessous de sa vulve ruisselante. Lorsqu'elle elle sentit le gland turgide frôler l'orifice de sa chatte, alors elle se laissa tomber de tout son poids sur le bas-ventre de Louis, s'empalant profondément sur le pieu de chair turgide. Contrairement à la pénétration précédente, où la longue verge de Robert avait glissé aisément dans sa chatte, lorsqu'elle se laissa tomber sur le bas ventre de Louis, elle sentit avec émotion, le gland volumineux de ce dernier repousser les chairs intimes de son sexe :
— Hum !... Quel morceau, gémit-elle... Il me remplit toute !... Oh que c'est bon !...
La volumineuse bite entièrement fichée dans son ventre, Jeanne s'immobilisa, appréciant l'énorme présence à l'intérieur de sa chatte.

Louis qui avait laissé son amie œuvrer à sa guise, sentit lors de la descente de la vulve le long de son membre, une douce chaleur envelopper celui-ci, tandis qu'une abondante humidité lui trempait le pubis. Robert avait raison songea-t-il, le sexe de Jeanne était pareil à une véritable éponge gorgée d'un liquide brûlant. Immobile, appréciant cette tiédeur autour de son membre, follement excité, Louis laissa son regard parcourir le corps de sa sensuel cavalière. Vivant pleinement ce moment qu'il avait tant rêvé, il fixa émerveillé les volumineux seins à la chair étonnamment blanche et aux aréoles foncées. Les lourdes mamelles, du fait de leurs grosseurs tombaient mollement sur le torse étroit de leur propriétaire, les rendant encore plus appétissantes. Mais son attention était surtout attirée par l'épais triangle brun qui se détachait de la chair blanche du bas-ventre, que l'âge avait quelque peu arrondi. La pointe du triangle velu se perdait entre les larges cuisses qui lui enserraient le bassin.

Cependant, comme Louis tout à sa contemplation érotique, demeurait immobile, Jeanne décida d'entamer cette chevauché qui allait l'amener au septième ciel. Les deux mains posées sur le torse de son ami, elle entama une chevauché des plus voluptueuse. Dans un souple mouvement des reins, elle mima les mouvements d'une cavalière se déplaçant au trop de sa monture, faisant ainsi coulisser son sexe ruisselant le long du pieu de chair qui l'empalait. Reins arqués, poitrine tendue en avant, la chevelure retombant sur ses épaules, Jeanne offrait un spectacle saisissant, l'image même d'un impudique Amazone. Dans sa sexuelle cavalcade ses fesses claquaient durement sur les cuisses de son partenaire, déclenchant dans le creux de ses reins des ondes d'une rare volupté.

Médusé, Louis fixait le ballottement des volumineux seins, qui s'élevaient au rythme de la folle chevauchée, avant de s'écraser lourdement sur le torse de leur propriétaire, à chaque retombée de celle-ci. Au bas de son ventre, le manchon brûlant du sexe féminin coulissait délicieusement le long de son membre, lui procurant un plaisir extrême. Extrêmement excité par le spectacle que lui offrait sa volcanique cavalière, Louis lança ses deux mains en direction des seins qui tanguaient en tous sens pour les saisirent dans ses paumes. Avec une intense passion, il les pressa, les modelant à sa guise. Les tétons durs et allongés attirèrent très vite son attention, par leur arrogance. Il les pinça délicatement entre le pouce et l'index, afin de les rouler entre ses doigts. Tirant les bourgeons érigés à lui, il les allongea, déformant les volumineux seins, les rendant plus pointus : pareil à deux obus de chair.

Sous ces différents attouchements, que lui prodiguait Louis, tous plus excitant les uns que les autres, Jeanne ne tarda pas à ressentir le plaisir envahir ses entrailles. Depuis ses seins fiévreusement malaxés, jusqu'aux creux de ses reins, des ondes voluptueuses la parcouraient. De son sexe investi par le pal de chair dilaté, une abondante averse s'écoulait, lui trempant l'intérieur des cuisses. Sentant le plaisir la submerger inexorablement, elle se pencha en avant afin d'offrir ses seins douloureusement gonflés aux lèvres de son ami, Louis :
— Embrasse les ! quémanda-t-elle d'une voix suppliante.

Louis, qui depuis un moment percevait un liquide brûlant lui poisser le bas-ventre et les couilles, s'empressa d'accéder aux désir de sa chaude cavalière. Aspirant l'un des mamelons granuleux entre ses lèvres, il entreprit de le téter, tel un nourrisson affamé, arrachant un long gémissement à leur propriétaire. Désirant alors apporter à sa sensuelle partenaire tout le plaisir qu'elle attendait, il passa d'un sein à l'autre, suçant alternativement les bourgeons de chair érigés. Sous les différentes sucions administrées à ses seins, Jeanne se tordait lascivement sur son bas-ventre trempé, si bien que Louis dut la plaquer étroitement contre lui, en lui saisissant les fesses à deux mains. Crochetant ses doigts dans les hémisphères charnus, il immobilisa sa volcanique partenaire en lui malaxant les fesses, ainsi que l'aurait fait un boulanger pétrissant sa pâte à pain.


Soudainement affolée, Jeanne perçut les premiers stigmates de la jouissance. De son vagin bouillonnant, des myriades d'ondes voluptueuses prenaient naissance, se répandant dans tout son corps. Le plaisir qui la submergeait la fit se tordre sur le torse de son partenaire sexuel. Lors d'un mouvement plus brusque que les autres, le téton qui se trouvait dans la bouche de Louis se trouva retenu par les dents de ce dernier, qui involontairement le mordit plus fortement qu'il ne l'aurait voulu. Cette soudaine morsure exercée sur l'une de ses zones érogènes, occasionna un brusque sursaut chez Jeanne, qui eut pour effet de libérer la totalité de la verge plantée dans son vagin. Comme le matin même, lors de sa masturbation à l'aide de la brosse à dents électrique, Jeanne sentit ses entrailles se contracter pour aussitôt se relâcher entièrement. De nouveau, de sa chatte palpitante, un long jet jaillit des profondeurs de son vagin, suivit aussitôt d'un second puis d'un troisième. Pour la seconde fois de la journée, Jeanne éprouvait une jouissance extrême accompagnée d'émissions de liquide vaginal exceptionnel. Se contorsionnant sous la violence de l'orgasme, haletante, elle tenta maladroitement de placer sa main devant sa vulve en ébullition, tentant de stopper l'impétueux geyser qui jaillissait des profondeurs de son sexe.

Médusés par l'intensité du plaisir de leur compagne, Louis et Robert ne pouvaient détacher leurs regards des gerbes de foutre qui fusaient de la fente dilatée de cette dernière. Robert découvrait étonné cette particularité chez sa parente et amante. Lors de leurs nombreuses séances sexuelles, Jeanne ne l'avait pas habitué à une telle débauche de secrétions vaginales. Ce fut pourtant Louis qui le premier fit part de son ébahissement :
— C'est toujours comme ça ?... C'est un véritable déluge !... S'exclama-t-il à l'adresse de Robert !
— Je n'en reviens pas !... Je suis comme toi, je découvre !
— Tu veux dire qu'avec toi, elle ne jouit pas aussi abondamment ?
Robert avait déjà entendu parler de ces femmes, qui lors d'orgasmes éjectaient une abondante quantité de liquide vaginal, qu'au premier abord on aurait pu penser qu'elles urinaient. Mais sa tante, lors de leurs rapports sexuels, n'avait jamais montré ce genre de singularité. Ou bien elle avait réussi, lors de leurs joutes amoureuses à réfréner cette particularité, ce qui paraissait particulièrement impossible à Robert vu le nombre d'orgasmes qui avaient secoués sa chère tante : celle-ci n'aurait pu feindre aussi souvent. Ou bien cette originalité s'était-elle révélé soudainement ; aussi bizarrement que cela puisse paraître ; Louis en aurait-il été le déclencheur ? Le jeune homme décida d'avoir une explication avec sa tante. Or cette dernière, étrangère à l'ébahissement de ses deux compagnons, se trémoussait en tous sens en émettant d'incompréhensibles borborygmes, le corps tétanisé par la violence de la jouissance.
Ondulant voluptueusement sous les ondes qui la parcouraient à intervalles rapprochés, Jeanne réalisa soudain que son sexe béant réclamait une nouvelle introduction. Vidé de son abondante liqueur, son vagin sollicitait impérativement la présence de ce membre, qui de nouveau le ferait se liquéfier. Lançant une main impatiente entre ses cuisses trempées, Jeanne se saisit de la verge toujours aussi gonflée de son partenaire, et maladroitement tenta d'en présenter le gland bouffi à l'orée de sa vulve :
— Je la veux, grogna-t-elle !... Encore... Je veux la sentir dans ma chatte !... Mets là moi !...
Réussissant enfin à placer correctement sa vulve détrempée au dessus du pieu de chair érigé, Jeanne se laissa retomber furieusement sur le bas-ventre de Louis, s'empalant profondément dans un feulement sauvage :
— Oh oui !... C'est merveilleux !... Je sens ta queue au fond de mon ventre !... Hhhuuummm !...
Percevant de nouveau le fourreau brûlant du sexe féminin encapuchonner son membre, Louis se cambra de plaisir, projetant sa verge au plus profond du vagin torride. Ce mouvement déclencha aussitôt chez sa cavalière une série de soubresauts désordonnés, accompagnés de longs gémissements amoureux. Afin de contenir les convulsions fébriles qui secouaient sa volcanique partenaire, Louis l'agrippa par les fesses dans lesquelles il crocheta ses doigts :
— Là, doucement, ordonna-t-il !... Calme-toi ...
— C'est trop bon, gémit Jeanne dont les entrailles se contractaient de nouveau sous le plaisir.
Plaquée sur le corps de son partenaire, le visage enfoui dans le cou de celui-ci, Jeanne tenta de se libérer de l'étreinte de Louis, afin de diriger l'accouplement à son rythme. Au plus secret d'elle-même elle percevait les chairs intimes de sa vulve palpiter impatiemment autour du membre qu'elles enserraient.
— Plus vite, gémit-elle en tentant d'agiter son derrière solidement maintenu par son partenaire... Oh, je t'en prie !... Plus fort !...
De son coté, Louis ressentit une étrange sensation au niveau de son membre enfoui au plus profond du sexe féminin. Le vagin de Jeanne palpitait si singulièrement autour de sa verge, qu'il avait l'impression que sa sensuelle partenaire le branlait à l'aide des muscles de sa vulve. Les parois internes de la chatte extrêmement torride, pressaient et relâchaient synchroniquement sa queue, lui procurant un plaisir extraordinaire :
— Comment fais-tu cela, questionna-t-il ébahi ?
— Tu aimes, lui répondit Jeanne dans un souffle ?
— C'est extraordinaire !...
La première surprise, des réactions surprenantes de son sexe, Jeanne se concentra, essayant d'obliger sa chatte à se contracter fortement autour de la verge enfouie en elle. Aidée en cela par l'intense désir qui lui titillait le vagin, elle réussit, pour sa plus grande joie, à forcer ses muscles intimes à se resserrer et à se relâcher suivant sa volonté.

La queue ardemment pressée par la vulve incandescente, Louis s'abandonna entièrement à cette sensuelle caresse. Que Jeanne puisse contrôler ainsi son sexe le sidérait. Jamais il n'aurait cru cela possible. Le manchon brûlant serrant et malaxant sa verge, lui procurait de prodigieuses sensations dans tout le bas-ventre. Comme les relations amoureuses avec son épouse lui parurent soudainement fades. Jeanne possédait une ardeur amoureuse qui le stupéfiait. Tenant cependant à faire partager à Jeanne le plaisir qu'elle lui procurait, Louis entreprit de lui flatter la croupe, pressant et malaxant de ses doigts les chairs veloutées.
— Oui, caresse mes fesses, gémit Jeanne... J'aime trop cela...

Robert qui depuis un long moment assistait en spectateur aux ébats amoureux de sa tante et de son ami, en se masturbant d'une main distraite, se trouva soudain intéressé par le spectacle qui s'offrait à son regard. Louis qui avait crocheté ses doigts dans les fesses charnues de sa tante, les séparait largement suivant ses caresses et d'où il était placé, Robert put alors contempler le profond sillon ainsi dévoilé. Tout au bas de la longue raie, il était capable de suivre le mouvement des lèvres sexuelles luisantes de cyprine, le long du membre viril de Louis. Médusé il fixa la vulve effroyablement dilatée qui encerclait l'énorme pal de chair. Louis possédait un membre d'une grosseur vraiment importante. Avec un tel engin dans la chatte, Jeanne devait se régaler, songea-t-il.
Cependant, ce qui attirait surtout le regard du jeune homme se trouvait à quelques centimètres du sexe féminin distendu par la colossale queue. Au centre de la faille fessière, l'orifice brun de l'anus palpitait doucement, comme animé d'une vie propre. Abondamment imbibé lors des importantes émissions vaginales, les abords de l'anus luisaient d'humidité. Cette observation ne fit que renforcer le plan que Robert avait imaginé dés qu'il avait compris combien Louis désirait sa tante : pouvoir amener sa chaude tante à les accepter tout les deux en même temps en elle...
S'approchant du couple intimement uni, Robert s'agenouilla entre les jambes écartées de Louis, face à la croupe à la cambrure terriblement érotique, de sa tante.

Louis, qui placé comme il était, avait vu s'approcher Robert la bite dressée, avait immédiatement compris les intentions du jeune homme. Eprouvant une vive émotion en réalisant qu'il allait être le complice d'une double pénétration, il s'empressa de maintenir fermement écartées les fesses de celle qui allait devenir leur victime.

Profitant de l'assistance que lui offrait Louis, Robert pencha son visage entre les deux masses fessières largement disjointes et d'une langue habile, il entreprit de lécher le pourtour de l'anus.

Sous cette caresse d'une douceur exquise autour de son orifice secondaire, Jeanne ne put s'empêcher de réagir :
— Robert ! Que fais-tu ?...
— Tu n'aimes pas ? Interrogea innocemment ce dernier.
— Si c'est même très agréable, s'empressa de d'acquiescer Jeanne en tendant son derrière au devant de la voluptueuse caresse.

Alors que Louis, dans un lent mouvement des hanches, faisait coulisser sa verge entre les grandes lèvres sexuelles gorgées de jus, Robert accentua son vicieux baiser. Du bout de sa langue humide, il lécha la longue raie des fesse de bas en haut, en un agaçant va et vient pour Jeanne, dont les reins et les fesses se couvraient de chair de poule. Patiemment, Robert continua d'exciter sa tante d'une langue diaboliquement habile. Stoppant par moment son excursion dans le profond sillon, que Louis lui maintenait charitablement ouvert, il s'attaquait alors au minuscule orifice qui s'y cachait. Après en avoir longuement léché les abords, il y enfonçait sa langue, forant profondément le petit trou plissé.

Si la langue humide de son pervers neveu, glissant le long de sa raie des fesses lui procurait un délicieux plaisir, lorsque celle-ci la pénétra pour une profonde exploration anale, Jeanne sentit un long frisson la parcourir. Jamais son époux en plus de vingt ans de mariage ne s'était intéressé à cet orifice ; il avait fallu que Robert dans sa perversité, lui fasse découvrir tout le plaisir qu'une femme pouvait ressentir à être prise de ce coté. La langue s'enfonçant profondément dans son cul, lui procurait une volupté diffuse; de sa chatte les flots de mouille brûlante se suivaient sans interruption, poissant la queue qui s'y trouvait. Elle eut envie de demander à Robert de remplacer sa langue par l'un de ses doigts ; elle avait besoin de sentir quelque chose de plus consistant s'enfoncer dans ses intestins. Mais comme elle se cambrait afin d'offrir son cul à la savoureuse langue qui le taraudait, Jeanne comprit soudainement les intentions de son immoral neveu. Depuis qu'il était devenu son amant, trois jours plus tôt, elle avait découvert, d'abord avec étonnement puis avec ravissement, les désirs pervers de son cher neveu. Aussi elle devina immédiatement, avec une certaine émotion, que si Robert préparait ainsi son cul de sa langue, c'est qu'il avait une intention bien précise. Et cette intention, elle en était soudainement certaine, c'était de pouvoir l'enculer pendant qu'elle chevauchait Louis !... A la pensée qu'elle allait être prise par deux hommes en même temps, Jeanne sentit un long frisson voluptueux lui traverser tout le corps.
Bien que n'ayant jamais pratiquée ce genre de rapport sexuel, Jeanne était au courant que certaines femmes pratiquaient l'amour avec deux hommes. Il lui était même arrivé maintes fois, de s'interroger sur le plaisir que ces femmes pouvaient ressentir à être prise ainsi en « sandwich ». N'ayant jamais été elle-même sodomisée, jusqu'à ce que Robert l'initie, elle s'était toujours demandée quelle sensation l'on pouvait éprouver une femme, lorsque qu'un homme forçait son anus. Puis Robert, le propre neveu de son mari, lui avait fait découvrir le plaisir qu'une sodomisation pouvait apporter ! Cela avait été pour elle une telle révélation, qu'elle en avait redemandée. Et voila qu'aujourd'hui, grâce à la visite inopportune de son ami Louis, elle allait connaître cette double pénétration, dont elle avait si souvent entendu parler.

Le visage coincé entre les deux hémisphères charnus de la croupe de sa tante, la bouche collée à la rosace brune de l'anus maintenant trempé, Robert jugea qu'il était tant de passer à la suite de son plan. Abandonnant l'orifice qu'il fouillait de sa langue, il se redressa, le menton humide de salive.

Ne percevant plus la sensuelle caresse au plus intime de ses fesses, Jeanne comprit que l'acte sur lequel elle avait tant fantasmer, allait se produire ; qu'enfin elle allait connaître ce plaisir que l'on pouvait ressentir à être pénétrée par deux membres en même temps. Désirant faciliter l'introduction de la longue verge de son neveu et amant, elle s'efforça de relâcher ses sphincters, impatiente et quelque peu anxieuse quand même.

S'étant redressé, Robert contempla un instant le couple que formait sa tante chevauchant son ami Louis. Ce dernier maintenait les fesses de sa cavalière largement écartées, dégageant l'anus luisant, comme pour l'inciter à venir le combler. Ce spectacle, d'une rare obscénité, finit d'exciter Robert qui se décida à passer aux actes. Plaçant sa verge raidie entre les fesses disjointes de sa tante, il présenta le bout arrondi de son gland contre l'anus palpitant. Le cul de sa tante avait tellement été humidifié, et par sa salive et par les jets abondants de mouille, que son gland s'y enfonça lentement sans rencontrer la moindre résistance. L'orifice anal s'écartelait de lui même sous la poussée de sa queue ; si bien que celle-ci se trouva rapidement complètement fichée dans le cul écartelé.

Lorsqu'elle perçut le frôlement du dôme de chair turgide contre son orifice secret, Jeanne, le cœur battant retint sa respiration dans l'attente de la pénétration. Ce n'était pas la première fois que Robert l'enculait, et elle avait appris à apprécier cette nouvelle façon d'être prise ; Pierre son mari n'ayant jamais émis le désir de la pénétrer de ce coté. Mais le fait de se faire enculer alors qu'elle avait le vagin déjà comblé par la verge de Louis, était une expérience nouvelle pour elle. C'est avec un certain plaisir qu'elle sentit la longue queue de Robert s'enfoncer dans ses intestins, alors que Louis faisait lentement coulisser sa bite à l'intérieur de sa vulve. Il lui sembla que les deux queues entraient en collision à l'intérieur de ses entrailles, et cette sensation lui procura un étrange plaisir. Puis, profondément fichés en elle, les deux hommes s'immobilisèrent, afin certainement qu'elle s'habitue à la présence de ces deux pals de chair enfoncés dans ses orifices secrets si proches l'un de l'autre. Enfin elle vivait son fantasme le plus fou ! Etre prise en sandwich par deux mâles aux virilités conquérantes. Si la verge de Louis lui dilatait la chatte, celle de Robert, nettement plus longue, lui pénétrait profondément les intestins. Cette double pénétration lui arracha un gémissement de contentement :
— Je vous sens tout les deux au fond de moi !... C'est merveilleux !...
— Tu aimes, demanda vicieusement Robert ?
— Oh oui...
Et après un silence, Jeanne rajouta d'une petite voix honteuse :
— Il y a longtemps que je me demandais ce que l'on pouvait ressentir à être... ...
— Baisée et enculée en même temps, finit Robert.
— Ouu oui !...
— Mais tu es une vraie salope, ma chère tantine ! Qu'en penses-tu Louis ?... Je suis sur que tu ne t'imaginais ta vieille amie si cochonne ?
— Robert ! Gémit Jeanne... Tu vas me faire honte !...
— Il n'y a pas de honte à aimer le sexe, n'est-ce pas Louis.
— En effet, s'empressa de renchérir Louis, follement excité par cette scène irréelle... Si j'avais pu deviner, crois moi Jeanne que je t'aurais proposer d'assouvir tes fantasmes...
— Oh Louis !...
— Et mon oncle était au courant de tes envies ? continua Robert en entamant un lent mouvement des reins.

Le soudain glissement de la queue de son pervers neveu à l'intérieur de ses intestins, arracha un gémissement à Jeanne, lui évitant de répondre à la question de ce dernier. Relâchant au maximum ses muscles internes, elle se concentra sur les sensations qu'elle n'allait pas tarder à ressentir.

Celui qui goûta le premier aux délices de cette double pénétration fut Louis, qui immédiatement sentit la verge de Robert frôler la sienne, enfouie au fond de la chatte de Jeanne. Le vagin et l'anus étant séparés par une mince cloison, chaque pénétration du membre de Robert dans le cul de sa tante, était ressenti par Louis comme une étrange masturbation. Comme Robert s'agitait de plus en plus vivement entre les fesse de Jeanne, Louis éprouva un délicieux plaisir, grâce au massage de sa verge par le gland dilaté du jeune homme. Au comble du contentement, il décida alors d'apporter sa collaboration à cette joute érotique. Mais du fait de sa position ; placé au dessous de ses deux compagnons, et surtout du corps de Jeanne, qui pistonnée par son neveu, lui écrasait le bas-ventre, il ne put vraiment s'activer. Laissant alors Robert mener le bal, il se contenta d'exécuter de furtifs mouvements lorsque l'occasion se présentait. Au bout d'un moment, il réussit à s'adapter aux mouvements de Robert. Prenant son temps, il réussit à lancer sa queue dans le vagin incandescent de Jeanne, chaque fois que Robert accomplissait un mouvement de retrait à l'intérieur du cul de sa tante. Puis lorsque le jeune homme replongeait dans les intestins de leur partenaire, il accomplissait un mouvement de retrait à l'intérieur du vagin de plus en plus bouillonnant. Dans un mouvement synchronisé, leurs deux membres se frôlaient à l'intérieur des entrailles de leur complice, leur procurant à tous deux un étrange plaisir.

Après un premier moment d'appréhension, Jeanne ne tarda pas à ressentir ce plaisir diffus que son pervers neveu lui avait fait connaître lorsqu'il l'avait initié à la sodomie. Mais cette fois, du fait de la présence de l'imposante verge de son ami Louis à l'intérieur de sa chatte, le plaisir lui sembla plus ardent, plus intense. Le glissement saccadé des deux verges durcies à l'intérieur de ses orifices intimes déclenchait d'insoutenables frémissements de toute sa chair. La félicité érotique qui avait envahi la totalité de son corps, ne tarda pas à prendre possession de son esprit, la rendant dépendante de l'intense plaisir que lui dispensaient ses deux amants. :
— A mes chéris, haleta-t-elle !... C'est merveilleux !... Je sens vos deux queues en moi... C'est tout simplement divin !... Uuuhhmmm !...

Avec un ensemble de métronome, Louis et Robert continuèrent leur va-et-vient, chacun à l'intérieur de la cavité qu'il s'était choisi, arrachant gémissements et râles à leur partenaire. Cette dernière, solidement maintenue aux fesses par Louis et aux hanches part Robert, ne pouvait effectuer le moindre mouvement. Aussi véritable poupée de chair, livrée aux ardeurs des deux males, elle se contentait de subir les fougueux assauts de ces derniers, les encourageant même de la voix.
Pour Jeanne cette initiation était une véritable révélation. Des milliers de vibrations voluptueuses prenant naissance au plus profond de ses entrailles en émoi, se propageaient au creux de ses reins. De ses seins fougueusement aspirés par la bouche vorace de Louis, d'autres ondes sensuelles lui gonflaient la poitrine et partaient rejoindre celles qui lui irradiaient les reins. A chaque pénétration anale, le bas-ventre de Robert venait frapper ses fesses, lui procurant un douloureux plaisir. Jamais elle n'avait été à une telle fête érotique.
Dans l'incapacité de coopérer, Jeanne se contenta de se laisser emporter par la jouissance qui devenait peu à peu plus extrême. Chaque pénétration, soit dans son vagin, soit dans son cul déclenchait une nouvelle vague de volupté, plus violente que la précédente. Bientôt tout son corps ne fut plus qu'une région sismique secouée par d'incontrôlables secousses. Soudain la jouissance s'empara une nouvelle fois de tout son corps, dans un spasme d'une violence inouïe. Le soubresaut de plaisir qui la secoua fut d'une telle puissance, que Louis fut éjecté du vagin dans lequel il naviguait. Poussant de véritables râles de plaisir, Jeanne se convulsa littéralement, ne demeurant en place que grâce à la longue virilité de Robert plantée entre ses fesses.
Pour la troisième fois de la matinée, Jeanne avait senti ses entrailles se contracter pour aussitôt se relâcher entièrement. De nouveau, de sa chatte en fusion débarrassée du membre de Louis, de longs jets jaillirent des profondeurs de son vagin. De nouveau, sans qu'elle ne comprenne ce qui lui arrivait, Jeanne éprouva une jouissance extrême, accompagnée d'émissions de liquide vaginal exceptionnel. Se contorsionnant sous la violence de sa jouissance, elle cria son plaisir pendant tout le temps de l'orgasme.

Jaillissant de la vulve de Jeanne, le liquide brûlant aspergea copieusement la bite et les couilles de Louis, déclenchant chez ce dernier l'orgasme libérateur. Dans un profond grognement qui fit écho aux râles de Jeanne, il lâcha son sperme qui gicla en longs jets blanchâtres, aspergeant les fesses de Jeanne ainsi que les couilles de Robert.

Percevant le choc du sperme contre ses bourses, Robert tenta de se soustraire à ces éclaboussements :
— Eh ce n'est pas moi qu'il faut arroser, tenta-t-il de plaisanter.
Mais dans le mouvement de retrait qu'il opéra pour échapper aux giclées de sperme de Louis, il cessa de maintenir sa tante qui se contorsionnait toujours.

Se sentant soudain libérée, Jeanne roula sur le coté, pour se retrouver allongée à même l'épais tapis marocain. Le corps arqué, ne reposant au sol que sur les talons et la nuque, elle s'empressa de porter sa main droite entre ses cuisses, avec laquelle elle se frictionna sauvagement le clitoris. Un long cri sauvage, accompagna un nouveau flot de cyprine qui tel un geyser jaillit de sa chatte perturbée, inondant le tapis de laine. A l'étonnement des deux hommes, qui demeurèrent médusés devant ce spectacle terriblement érotique, Jeanne ne ralentit pas sa folle masturbation. Avec une rage sensuelle, elle continua de frotter ses doigts le long de sa faille sexuelle dégoulinante, déclenchant une seconde éjaculation aussi copieuse que la première.
Ces jets de cyprine, jaillissant tels des geysers du vagin de leur compagne, laissaient Louis et Robert totalement médusés :
— Ce n'est pas possible, s'étonna Louis... Je n'ai jamais vu une femme jouir aussi fort !...
— Je reconnais que c'est assez stupéfiant...

Enfin vidée de ses liqueurs amoureuses, Jeanne retomba mollement sur le tapis orné d'une large tache humide, cherchant péniblement à retrouver son souffle...
Lorsqu'elle reprit enfin ses esprits, la première chose qu'elle découvrit au dessus de son visage, fut un gland étonnamment rose, qu'elle reconnut comme étant celui de son neveu. Mais avant qu'elle ne comprenne ce que faisait ce bourgeon de chair au-dessus d'elle, un jet blanchâtre s'en échappa qui s'écrasa lourdement sur l'un de ses yeux, la forçant à cligner des paupières. Puis un second aussi copieux la frappa sur le nez, suivi d'un autre qui l'atteignit à la commissure des lèvres, et enfin encore un ou deux, plus frugal qui s'écoulèrent lentement jusqu'à son menton.

Peu à peu le trio reprit ses esprits. Alors que Jeanne restait étendue à même le tapis de laine, Robert s'installait sur le profond canapé, Louis préférant rester à genoux à coté de son amie, les yeux fixés sur l'opulente poitrine de celle-ci.
— Eh bien Tantine, tu m'avais caché combien tu pouvais mouiller quant tu jouissais...
— Je ne le savais pas moi-même, tenta de s'expliquer Jeanne... Ça c'est produit pour la première fois ce matin... Quand je me suis... caressée dans ta salle d'eau... J'ai cru que j'avais un problème de vessie... Mais ce n'était pas de l'urine... J'ai vraiment joui...
— Tu serais ce que certain appelle « une femme fontaine » ! Tenta d'expliquer Louis, qui n'en revenait toujours pas.
— Eh bien si Louis à raison, tu as intérêt à placer une alèse dans ton lit chaque fois que tu feras l'amour, plaisanta Robert.
— Tu sais bien mon chéri que ton oncle, avec ce qu'il a eu, ne pourra certainement plus... m'honorer.
— Te baiser, tu veux dire !
— ...
— Heureusement tu as Louis sous la main, n'est-ce pas Louis que tu viendras en aide à ma tante.
— Mais certainement Jeanne... Tu pourras toujours faire appel à moi...
— Merci Louis, mais ta femme ?...
— Ne t'en fais pas pour ça, Jacqueline n'a jamais été... comment dire...
— Une grande amoureuse, compléta Robert. Je suppose qu'au lit elle ne vaut pas ma tante n'est-ce pas Louis ?... Et puis Tantine, je viendrais te voir aussi souvent que je le pourrais... Tu n'as donc pas à t'en faire...

Après un brin de toilette prise en commun, Jeanne tenant à s'occuper personnellement du sexe de ses deux partenaires, alors que ces derniers choisirent de nettoyer les orifices qu'ils avaient réciproquement occupés. Le trio se retrouva au salon. Jeanne fut la première à revenir à la réalité :
— Ça va être le moment d'aller chercher Pierre à l'hôpital, annonça-t-elle avec un brin de tristesse dans la voix.
— Eh bien allons-y ! acquiesça Robert.
— Non laisse ! s'empressa de proposer Louis, je vais emmener ta tante.
— C'est vrai chéri, Louis peut très bien m'amener... Rentre chez toi, près de Maggy...
— Bon, c'est comme tu veux... Mais attention vous deux, soyez sérieux en route.
Sur un dernier baiser, le trio se sépara, chacun s'engageant dans un avenir différent.




FIN