La racaille s'invite au château

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Proposée le 8/06/2008 par kekolo56

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A peine quelques jours après sa mésaventure en boîte l'ayant conduite à être la pièce centrale d'une tournante en banlieue en compagnie de son amie la baronne Violaine de la Trellière, la comtesse Blanche du Breuil eut la surprise d'entendre son téléphone portable sonner.

Une voix au fort accent de racaille se fit entendre :

- Alors comtesse de la Pute, tu te souviens de moi ?

Cette voix produit un effet fulgurant sur la jeune et belle noble. Elle venait en effet de reconnaître le timbre de Mohammed, l'Arabe qui l'avait si copieusement baisé dans les toilettes de la boite : il avait du récupérer son numéro dans les dépouilles de son sac à main qu'elle avait laissé aux lascars.

D'une voix tremblante d'émotion, la comtesse s'entendit répondre dans un râle :

- Oh oui ! Si bien !
- Alors, la petite bourge pleine de fric a encore envie de se faire défoncer par de vrais mecs ?

Pour la comtesse qui commençait à sérieusement se languir des étreintes qu'elle avait du subir lors de cette folle soirée, l'occasion était trop belle de ne pas récidiver.

Elle pensa cependant pimenter la rencontre en y invitant ses amies ayant le même penchant afin de leur faire vivre ces sensations inoubliables qu'elle leur avait narrées. De plus, ses parents étaient en voyage aux Etats-Unis et le château de famille était vide de tous domestiques en cette saison. Une remarquable orgie pouvait donc y être organisée.

- Oui, j'en ai très envie. Et je connais pas mal de mes amies qui en meurent d'impatience également.
- Ouais, continue, tu m'intéresses ! aboya le jeune dans le téléphone.
- Si vous pouvez réunir une vingtaine de vos amis, je pense pouvoir en faire autant avec les miennes. Naturellement toutes de l'aristocratie et toutes parées de leurs plus beaux atours pour vous servir dans mon château.

L'excitation de Mohammed semblait être à son comble à l'autre bout de la ligne :
- T'en fais pas, taspé, on va venir en force ! Vous pourrez plus vous asseoir !

Blanche lui donna l'adresse de son manoir de famille et demanda une semaine afin de pouvoir réunir ses amies et préparer dignement les lieux.

Elle téléphona immédiatement à ses amies intimes qui furent toutes ravies de l'aubaine qui se présentaient à elles. La comtesse leur recommanda de revêtir leurs plus belles robes de soirée et leurs bijoux les plus luxueux afin de rendre hommage comme il se devait à la virilité de leurs hôtes.

Du côté de la cité, cette semaine fut l'une des plus agitées qu'on puisse imaginer : les caïds de banlieue s'imaginaient déjà chacun avec des aristos en esclaves sexuelles et bon nombre de petits frères étaient totalement incontrôlables. La tension semblait monter d'heure en heure.

Le soir prévu, la cour du château s'était remplie de voitures de luxe d'où débarquaient les plus jolies jeunes filles de la noblesse, et parfois même de leur mères qui n'avaient pas pu résister à un tel attrait. Le froufroutement des robes de bal de grands couturiers et les éclats que jetaient diamants, rubis et or qui resplendissaient sur des poitrines frémissantes remplissaient le hall du salon de réception où avait été dressé un buffet surchargé de Champagne et de gâteaux. Tous les employés avaient été renvoyés pour le week-end et les nobles dames constituaient les seules occupantes. Toutes étaient titrées, on ne comptait plus les comtesses, marquises et autres duchesses. La jeune princesse Hermine de Viry-Clanché était même là, splendide dans une très ample robe de soie violette dont le décolleté laissait paraître un collier de diamant qui avait été donné à son ancêtre par Louis XIV lui-même. C'était une jeune femme de 23 ans dont la blondeur et le teint pâle soulignaient le caractère aristocratique de ses traits.

Le château de Breuil était une ravissante bâtisse du XVIIème siècle avec des jardins à la française, où de grands bassins étaient approvisionnés par de majestueux jets d'eau. Un parc arborisé de plusieurs hectares environnait le manoir et le tenait à l'écart des regards envieux du petit peuple.

Soudain, un tintamarre de klaxons se fit entendre à l'entrée de la propriété et une dizaine de voitures plus ou moins déglinguées entrèrent en trombe dans la cour et freinèrent dans un bruit de crissement de pneus devant les escaliers d'honneur du luxueux manoir.

Une nuée d'une cinquantaine de jeunes bondit immédiatement hors des véhicules et se rua à l'assaut des portes d'entrée. La majorité était très largement black-beur et même quelques filles s'étaient jointes au groupe.

Malgré leur excitation, ils ne purent que s'arrêter un moment devant le ravissant spectacle qui leur était offert : c'était la fine fleur de la noblesse française leur était offerte, drapée dans les robes les plus luxueuses et parées de bijoux dignes de reines, la poitrine battante d'excitation sous les décolletés.

La jeune comtesse Du Breuil, ayant remis un peu d'ordre pour faire pigeonner sa superbe poitrine dans sa robe longue de couleur bleu nuit, fit un signe à ses amies leur signifiant de prendre soin des nouveaux arrivants.

Ce temps d'arrêt ne fut que de quelques secondes, l'avidité reprenant facilement le dessus, les jeunes loubards se jetèrent sur les aristocratiques hôtesses. Comme ils étaient sensiblement plus nombreux que les jeunes femmes, quelques disputes commencèrent sur des sujets de « propriété », les caïds les plus renommés voulant s'arroger les plus belles et les plus somptueusement vêtues.

La princesse Hermine de Viry-Clanché, dont l'altier maintien trahissait la haute noblesse fut immédiatement entourée par plusieurs chefs de bande qui entreprirent de lui malaxer les seins et de palper sa chatte au travers de la soie de son ample jupe. Malgré tous ses cours de maintien et sa fierté naturelle, la princesse ne pu s'empêcher de pousser de petits glapissements de plaisir à la sensation de ces rudes et viriles mains parcourant son corps si délicat et pressant ses seins sans aucune retenue. Ses cris furent cependant vites étouffés par des langues forçant ses lèvres de corail afin de goûter au nectar qu'elles recelaient

Déjà, de belles jeunes femmes avaient été bousculées sur les boudoirs et les canapés Louis XVI, leurs jupes troussées, leurs corsages retournés dans un bruit de soie déchirée et de petits cris de surprise.

La comtesse du Breuil n'eut que le temps de voir son amie la baronne de la Trellière empoignée par un jeune et forcé par une poigne de fer dans sa coiffure à s'agenouiller pour faire une fellation avant de se retrouver elle-même dans les mains de quatre racailles à l'air patibulaire, trois arabes et un noir. Ce dernier lui susurra à l'oreille tout en lui dévorant le cou de baisers et de coups de langue :
- Allez, dans une chambre, vite ! On veut être tranquille avec toi !

Elle entraîna ses nouveaux maîtres dans la grande chambre de ses parents à l'étage. La double porte sauta presque de ses gonds lorsque deux des jeunes l'ouvrirent d'un coup de pied. La chambre était décorée avec un luxe inouï, des lambris recouvrant tous les murs et le plafond d'où pendait un lustre en cristal. Un immense lit à baldaquin trônait au centre de la pièce, entouré de meubles dorés.

La comtesse fut libérée de sa robe du soir en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, les morceaux de soie déchirés étant rejetés avec rage par les quatre jeunes. Plus vêtue que de ses bijoux, de ses gants d'opéra en satin et de ses chaussures à talon hauts, la jeune aristocrate est jetée sans ménagement sur le lit d'apparat. Ses jambes sont écartées par la poigne ferme d'un des arabes, dévoilant sa vulve trempée et des poils pubiens parfaitement rasés.

-Oh, la belle vue ! ricana le black, avant de descendre son pantalon et de sortir un sexe d'ébène tendu à l'extrême.

Passant devant les trois autres lascars qui avaient été moins rapides pour enlever leurs survêtements, il enfonça sa bite d'un coup dans la chatte de la comtesse et commença à la ramoner puissamment. Blanche, la tête en arrière, vit une verge se présenter devant sa bouche et l'enfourna aussitôt, lui offrant le havre doux et humide de ses lèvres.

Elle empoigna également la bite du troisième et se mit à le branler pendant que le dernier voyou se masturbait à la vue de sa poitrine sur laquelle les diamants de son collier dansaient sous les coups de butoir qui lui assénait le black.

Ce dernier, trouvant qu'il avait assez perdu son temps dans la noble chatte de la jeune femme et voulant jouir encore plus de sa supériorité, retira son sexe et attrapa la comtesse sous les reins, lui remontant les fesses à la hauteur de son engin. Comprenant ce qu'on attendait d'elle, Blanche du Breuil écarta encore plus les jambes afin de laisser libre accès à son anus. Elle sentit le bout d'une langue titiller son petit orifice et lança un cri d'orgasme déchirant sous l'intensité de cette caresse.

- Madame aime ça !
- Ouais, vas-y Sékou ! Montre lui comment on les nique, nous, les bourges !

La comtesse s'y attendait, mais maintenant on y était...

Le gland s'enfonça soudainement en elle dans un éclair de douleur et de plaisir. Sékou, le black, ne put cependant tenir longtemps et éjacula en elle au bout de quelques allers-retours. Sortant sa bite de l'orifice, il s'essuya les traces blanchâtres sur un lambeau de la robe de la comtesse qui traînait par là.

Profitant d'un cour répit le temps que les jeunes changent de place, Blanche rouvrit les yeux et vit que le grand fauteuil devant la cheminée venait d'être occupé par un couple dont la femme semblait être la duchesse de Sauzun et qui chevauchait son partenaire avec une frénésie sauvage, sa coiffure ayant perdu toute trace d'organisation. Elle eut le temps de sentir une giclée de sperme brûlant atterrir sur ses tétons et maculer son engageante poitrine : le spectacle avait eu raison de celui qui se branlait sur ses seins.

Pendant ce temps, en bas se passe l'essentiel de l'orgie.

Le buffet a été largement pillé et mis à bas. Les lascars ayant aggripé les bouteilles de Champagne afin de les boire au goulot, les premiers signes d'ébriété commencent à se faire sentir.

Les filles de la cité, plus lucides, ont entrepris de détrousser les colliers, bagues, boucles d'oreille et autres bijoux des jeunes aristocrates. Elles pensent également à récupérer les robes qui n'ont pas été trop abîmées et font le tour des placards, jetant les vêtements à terre afin de renouveler leur garde robe. Certaines, ayant fait un butin particulièrement riche se pavanent dans de longs manteaux de fourrure, le cou orné de plusieurs colliers de diamants et les mains chargées de bagues en rubis et de chevalières aux armes des plus nobles familles.

Par terre, dans le Champagne renversé, la crème des gâteaux écrasés sous les étreintes et au milieux des robes du soir arrachées de leur corps, les nobles demoiselles se font tringler par des zonards en surnombre, chacune en ayant plusieurs sur elle. Certaines, maintenues contre les murs d'où pendaient les portraits de leurs ancêtres servaient de dépôt à foutre à l'assistance déchaînée qui leur remplissait leurs culs et leurs vagins bien nés de sperme plébéien.

La princesse de Viry-Clanché était devenue le centre d'un attroupement de plus en plus important. Allongée en travers d'un divan, chacun de ses orifices était occupé et sa tête maintenue. Elle branle, elle suce, elle se fait baiser, elle se fait enculer par l'un, par l'autre, par deux mecs à la fois, parfois même des filles se glissent dans la file et à la grande satisfaction de l'assistance se font elles aussi sucer par Hermine qui lentement, progressivement commence à perdre conscience... Le foutre déborde de tous ses trous et sa tiare en rubis qui a glissé de sa chevelure trône sur la coiffure afro d'une pétasse de banlieue...

Le flashs des appareils photos crépitaient, chacun voulant se faire immortaliser au cul d'une noble ou se faisant pomper par une marquise. Certains de ces clichés et de ces films feraient un tabac ! Les plus entreprenants imaginaient déjà leur commercialisation sur le net.





Dans le jardin, la baronne Violaine de la Trellière avait été jetée toute habillée dans le bassin par des jeunes après la première fellation qu'elle avait brillamment effectuée. Se relevant tant bien que mal, engoncée dans sa large robe qui était alourdie par l'eau, elle fut entraînée dans les écuries qui se trouvaient non loin de là. Sa poitrine était parfaitement moulée par le corsage détrempé de sa robe Dior. Elle fut jetée dans le foin malodorant qui faisait d'habitude la litière des chevaux de chasse à courre.

Pensant qu'une levrette serait la position la plus appropriée pour et endroit, la baronne se mit à quatre pattes, relevant haut sa noble croupe. Les deux jeunes beurs qui l'avaient amené là ne se firent pas prier. L'un d'eux troussa la jupe et introduit sa bite dans le vagin de Violaine pendant que l'autre lui mit sa bite dans la bouche après avoir écarté les cheveux mouillés de la jeune femme.

- Allez, suce, salope d'aristo !

Ne pouvant répondre à cette injonction car une jeune fille bien élevée ne parle pas la bouche pleine, la baronne s'employa cependant à prodiguer ses coups de langue les plus experts sur la verge circoncise qui lui emplissait la bouche pendant qu'elle se faisait défoncer la vulve. Son baiseur est très bien membré et très endurant, elle sent ses couilles dures cogner contre ses parties charnues à chaque coup.

Finalement, le lascar lui emplit l'orifice en de longues saccades de foutre chaud en gluant :

- Oh, ouiiii !!!! Que c'est bon un cul d'aristo tout propre !!!

Peu de temps après, le beur qu'elle suçait retire sa pine de la bouche de la jeune femme et finit de se branler en maintenant sa tête à hauteur. Lui aussi jouit dans un cri bestial, le jet de foutre lui arrivant en plein visage.

Ses deux « amants » repus et les couilles vidées laissèrent la baronne de la Trellière gire détrempée dans le foin et le purin, le souffle coupé par les sensations orgasmiques qu'elle venait de subir.

La sarabande infernale continua jusqu'au matin avancé, quand plus aucun des participants mâles ne pouvait bander.

Raflant les derniers lambeaux qui pouvaient encore avoir une valeur à leurs yeux, les zonards repartirent dans leurs voitures pourries, certains ayant quand même pensé à récupérer les clés des voitures de luxe des si charmantes demoiselles qui les avaient si bien accueillis.

Le spectacle était tout bonnement apocalyptique : les meubles brisés sous les assauts sexuels, le sol de la sal de bal jonché de bouteilles et de détritus, des lambeaux de robes du soir Dior, Yves Saint Laurent, Balenciaga, jetés aux quatre vents... Et au milieu de tout cela, les délicates représentantes de la fine fleur de la noblesse, à poil, délestées de leurs bijoux, tous les trous débordant du foutre de la lie de la banlieue, peinant à se remettre des multiples orgasmes qu'elles avaient eus...

La comtesse Blanche du Breuil se demandait réellement comment remettre le château en ordre avant le retour de ses parents...